Semence dans des orgies, le viol, invincible chimère à tête de vertige se foutant en l’air, dit le survivaliste prostré qui mystique l’autre côté du temps qui reste.
Semence dans des orgies, le viol, invincible chimère à tête de vertige se foutant en l’air, dit le survivaliste prostré qui mystique l’autre côté du temps qui reste.
Le comble. L’incompétence. Le mépris des réalités. Le godillot - bien pire - ministre de l’Éducation nationale s’attaque compulsivement au harcèlement à l’école et à ses satellites dérivés. Ordre, sous peine de mort, aux chefs d’établissements, de prendre une heure à l’aube des vacances pour sensibiliser les élèves aux dangers du harcèlement et des réseaux sociaux. Le ministre crétin espère ainsi faire oublier le crime de l’État macroniste dans l’affaire Lindsay, cette jeune fille qui s’est suicidé devant la lâcheté de tous : principal du collège, professeurs de l’établissement, élèves et parents, - sans oublier la police. Cet imbécile invente une parade pour cacher l’incompétence des élus du moment et la perversité crade du Roi qui sert les paluches, caresse les épidermes et puise ses mots dans les tissus de mensonges qui enferment l’humanité. J’espère que les receveurs de l’ordre vont envoyer chier le connard qui est tout juste bon à déboucher les WC.
Hier, à la télé, est passé en boucle la fête foraine annécienne ou s’est vendu des tonnes de barbes à papa. On a vu aussi la victoire d’un héros - d’un vrai -. Un joueur de tennis qui a refusé le vaccin covidien, envers et contre tous. Un esprit tenace et solide qui n’a pas la langue de bois, mais le geste auguste du vainqueur. Quand quelqu’un se distingue, au-dessus des foules, j’aime bien le signaler. Je ne sais pourquoi ou je le sais trop, Djokovic me fait penser à Wang. Le psychisme abouti, l’un sa raquette à la main, l’autre, ses doigts sur le clavier… et - cerise sur le gâteau - son regard inoubliable qui montre qu’elle n’est que musique.
(*) - « Les triomphes de la psychanalyse » par Pierre Daco (Marabout poche)
- « En Thérapie », une série de Eric Toledano et Olivier Nakache (2 coffrets DVD)
La compassion, les marches blanches, sont à la mode du jour. Pleurer sur la détresse des autres est en vogue, d’autant qu’une fois la larme sèche versée, la vie continue. Le pauvre cherche sa nourriture dans les poubelles vertes ou jaunes. Le riche fume son cigare et copule abondamment sur son yot ou dans son jet privé. Tout est déni. Tout est mensonge. La réalité est que chacun veut sauver sa peau du qu’en-dira-t-on. J’ai vu à la télé l’admiration masochistement effrayante pour le couple royal venu « rendre hommage » aux petits enfants poignardés. La foule a léché les pieds de l’homme le plus détesté au monde, ce Roi de France qui ne fera toujours rien pour imposer l’introduction de la justice dans la Justice et rien pour que plus aucun français ne meure de faim et d’ignorance. Pleutreries ! Veuleries !
Les meurtres dans la rue, l’ultra violence homme-femme, les guerres de religions, les invectives crades Mélenchon-Le Pen/Zemmour, vont s’intensifier, se généraliser et triompher dans l’indifférence générale. Les peuples lâches et pantelants vont ramper et creuser leurs tombes comme les vers de terre creusent leurs galeries souterraines. Et rien à l’horizon. Pas la moindre lumière. L’inconscient a triomphé du conscient. La mort triomphe à jamais. Les quelques survivants, ceux qui ont poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher leur miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, vont disparaître dans leur isolement. Heureusement parce que le monde de dictatures qui se dessine à grande vitesse, ne tolère en aucun cas la psychanalyse, la seule thérapie qui rend à l’homme sa liberté totale et fondamentale. Le seul est grave problème que connait l’univers, c’est l’homme. Sans lui, le paradis illuminerait la voute céleste et même, comblerait les trous noirs qui ponctuent l’espace.
(*) - « Les triomphes de la psychanalyse » par Pierre Daco (Marabout poche)
- « En Thérapie », une série de Eric Toledano et Olivier Nakache (2 coffrets DVD)
Pourquoi évoquer ce jour, ou l’Assemblée nationale va apporter la preuve de notre dictature sous le couvert d’un régime monarchique ? République, point ! Démocratie, point ! Ça se sait, mais ça ne se dit pas. Et rien ne changera jusqu’à la déclaration officielle - prochaine ou très prochaine - de la France Dictature où le peuple portera l’uniforme et, comme le chien, accourra au sifflet de son maitre absolu. Tout se fissure. Tout se disloque. Tout se désintègre. Hier - information peu divulguée -, dans une école française, deux enfants de 5 et 6 ans ont violé une fillette de 3 ans. Tout est dit. C’est bien pire que la guerre en Ukraine, bien pire que les vociférations de Mélenchon, bien pire que la grande surface de la drogue et de la prostitution à Marseille, bien pire que le psychisme ravagé du Roi de France qui pavane sa vie en caressant les corps. Après des millions d’années d’existence, l’homme n’a toujours pas réussi à franchir le stade de l’enfance. Triste ! Triste ! Triste ! Et pourtant Freud (*) a bien existé. Le monde a préféré le châtier plutôt que de l’écouter. Tant pis. Les humains auront eu ce qu’ils méritent et n’ont pas fini d’en payer le prix.
(*) - « Les triomphes de la psychanalyse » par Pierre Daco (Marabout poche)
- « En Thérapie », une série de Eric Toledano et Olivier Nakache (2 coffrets DVD)
Un sondage indique que 10% des français sont LGBT. Ils ne seraient donc que 10% atteints de déficience psychique. Moi, je ne suis rien. Je suis libre.
Le spectacle n’est pas vraiment sur les scènes de théâtre ou d’opéra, ni dans les écrans de télé ou de cinéma, mais très souvent dans la rue. Hier, j’attendais ma compagne de Leclerc, assis sur mon banc, en face de mon immeuble. J’ai vu une fille de 16-18 ans, grosse et grasse comme une truie de vingt tonnes qui ne serait pas passée par la double porte de mon salon, vêtue d’une robe moulante qui s’arrêtait au ras de sa petite culotte. Je me suis demandé ce qu’il pouvait bien se passer dans sa tête pour en être arrivé à une telle difformité. Quand la pensée est absente, toujours le corps se manifeste et souvent ouvertement et bruyamment. Il semblerait - j’en ai la certitude - que cette demoiselle n’ait pas conscience de son état comme elle n’a pas conscience d’être en vie. Si, toute jeune, ses parents l’avaient incitée à pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, elle ne serait pas là où elle en est aujourd'hui. Cette jeune fille n’est qu’un exemple parmi des milliers et plus. Mais l’homme, aveugle et sourd, ne voit pas et n’entend pas ce qu’il doit voir et entendre. C’est pourquoi, le monde se lézarde, se brise et chute en mille morceaux dans le noir du fonds de mon puits au fond de mon jardin. Ce n’est ni Dieu, ni le politique, ni Jésus, ni Macron, qui sauveront le monde et éradiqueront la bêtise humaine. Il y a tellement mieux à faire. Mais pour cela, il faut voir, entendre et discerner.
Il aura consacré sa vie au ballon ovale qu’il manie avec dextérité comme il manie avec dextérité ses pieds et ses poings pour frapper SA - quelle volonté de possession ! - propre femme. Il a été filmé en pleine action par des caméras de surveillance qui font le tour des réseaux sociaux. Il l’a frappé parce qu’elle a osé fumer. Prétexte ! Car il l’a déjà beaucoup frappé et la seule raison est qu’il ne supporte pas que Sa possession tente d’exister. Le juge l’a condamné à un an de prison ferme et l’a laissé en liberté - comment comprendre la justice française ? - pour qu’il puisse continuer à la frapper, chaque jour si nécessaire. Elle, elle a plaidé sa relaxe auprès du juge parce que - a-t-elle dit -, son mari est un bon garçon parce qu’après chaque défoulade, il lui demande, penaud et à genoux, de lui pardonner et elle, elle a pitié. Pauvre gentil mari qui joue si bien avec son ballon ovale. C’est 20 ans de prison que mérite ce salopard et c’est l’internement en psychiatrie que mérite la femme qu’il a épousée. Et ce fait se produit des centaines de fois par jours dans tous les pays du monde et en 2023, si on réfléchit - qui réfléchit ? - la pensée psychique aura évoluée dans une proportionnalité inversée par rapport aux techniques mises sur le marché. Sous Louis le Pieux ou Dagobert on ne faisait pas moins avec la seule différence que les bœufs tiraient les chariots alors qu’aujourd’hui, c’est l’IA qui tire les psychismes fracassés.
Je suis heureux que Sylviane Agacinski ait été élue à l’Académie française. L’auteure lucide de « Corps en miettes » - « Le baby business cherche partout des ventres à louer. La propagande en faveur de la GPA ne saurait masquer la violence d'une telle pratique. Au nom de la dignité de la personne humaine, ce livre appelle à résister. » - est rejetée par la société des grands malades handicapés du cerveau de notre époque et elle résiste à sa manière. Elle reste la référence pour les socialistes disparus - dont je suis - et sans aucun doute, un rare espoir pour l’humanité. Même si je n’y crois plus, je tenais à signaler cet événement qui n’intéresse personne puisque la pensée n’est plus et que l’homme - et la femme - n’est plus qu’un ectoplasme croupissant dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin.
La Comédie Française, qui joue souvent dans l’excellence et qui est garant de la pérennité de l’immense Molière, va avoir fort affaire face à ce concurrent qui vient de la détrôner, non pas dans cette excellence légendaire, mais par l’auditoire que lui donne la télé en transmettant en direct toutes ses pièces avec potins de coulisses et dénis de loges et couloirs. La pièce jouée en ce moment sur la scène de l’Assemblée nationale est copieusement sifflée. Elle peut rappeler la bataille d’Ernani ou la première de Pelléas. Si ces deux titres sont rentrés dans la légende, l’ouvrage sans titre perdurera dans les mémoires pour les pitoyables acteurs qui l’interprètent, pour la vulgarité et la crasse de son texte, pour la laideur du décor et pour le message purulent qu’il transmet. Dans ce torchon sans nom, il est question de la scélérate constitution du militaire à la retraite que les français de l’époque ont approuvée sans en lire la moindre ligne. S’ils avaient lu, ils en auraient compris facilement l’extrême dangerosité d’un texte qui impose des méthodes dictatoriales scandaleuses et qui donne tous pouvoirs à un homme - à ce jour, aucune femme ne s’y est frottée - quel que soit son degré d’imbécilité. Et ça marche. Ça marche si fort que le dernier en date procède depuis six ans à la destruction méthodique de la France et propage la haine entre les français. Son psychisme d’ado inabouti, capricieux, archaïque - regardez comme il caresse les gens physiquement, tactilement et intellectuellement - mène au désastre et une bonne part des « citoyens » se laissent berner et humilier. Ils sont minoritaires, mais font la pluie et le beau temps. La voix populaire va-t-elle enfin se lever pour bouter le Roi hors de nos frontières et enfin inventer la Démocratie ?