Un sondage indique que 10% des français sont LGBT. Ils ne seraient donc que 10% atteints de déficience psychique. Moi, je ne suis rien. Je suis libre.
Le spectacle n’est pas vraiment sur les scènes de théâtre ou d’opéra, ni dans les écrans de télé ou de cinéma, mais très souvent dans la rue. Hier, j’attendais ma compagne de Leclerc, assis sur mon banc, en face de mon immeuble. J’ai vu une fille de 16-18 ans, grosse et grasse comme une truie de vingt tonnes qui ne serait pas passée par la double porte de mon salon, vêtue d’une robe moulante qui s’arrêtait au ras de sa petite culotte. Je me suis demandé ce qu’il pouvait bien se passer dans sa tête pour en être arrivé à une telle difformité. Quand la pensée est absente, toujours le corps se manifeste et souvent ouvertement et bruyamment. Il semblerait - j’en ai la certitude - que cette demoiselle n’ait pas conscience de son état comme elle n’a pas conscience d’être en vie. Si, toute jeune, ses parents l’avaient incitée à pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, elle ne serait pas là où elle en est aujourd'hui. Cette jeune fille n’est qu’un exemple parmi des milliers et plus. Mais l’homme, aveugle et sourd, ne voit pas et n’entend pas ce qu’il doit voir et entendre. C’est pourquoi, le monde se lézarde, se brise et chute en mille morceaux dans le noir du fonds de mon puits au fond de mon jardin. Ce n’est ni Dieu, ni le politique, ni Jésus, ni Macron, qui sauveront le monde et éradiqueront la bêtise humaine. Il y a tellement mieux à faire. Mais pour cela, il faut voir, entendre et discerner.