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mercredi 22 février 2023

vu à travers le tube • crépuscule…

Comment se fait-il que le Roi de France ne ce soit pas fait lyncher à Rungis, lieu où le travail particulièrement fatiguant ne peut souffrir un départ à la retraite à 64 ans. Non ! Même pas ! Et pourtant il a fustigé ouvertement ceux qui ne pouvaient comprendre que plus on meurt vieux, plus il faut travailler longtemps, un principe de vase communicant. Et moi, je ne peux comprendre qu’un Roi censé être un être supérieur, croit que la logique est de mise quand on évoque une manière et un choix de vie. La logique, la raison, le psychisme de l’homme n’en a rien à faire. Avant de proférer des âneries sur le comportement des sociétés qui régissent les comportements humains, il faudrait peut-être commencer par analyser le cerveau humain pour comprendre ce qu’il est, qui il est, ce qu’il est capable d’assimiler et ce qu’il est capable de réaliser. Tout va dans le mauvais sens et personne n’y voit rien parce que personne ne voit de sens pour aller au bon chemin. Tout s’apprend. Et le monde n’apprend rien. Hier, Biden et Poutine en sont allés de leurs suites de mots sans sens, des copier-coller dépourvus d’imagination et de bon sens. Ils ont été lamentables et insultants pour les peuples qui vont payer. Mais après tout, les peuples l’ont bien mérité. Les torts seront toujours du côté de celui qui se laisse humilier. La seule erreur de celui qui humilie - et il n’est pas interdit d’humilier - c’est qu’il s’attaque à plus petit que lui. Les issues - toutes - sont bouchées et maintenant bien scellées. La guerre est déclarée puisque si on a inventé le crime de guerre, on n’a toujours par décrété que la guerre était un crime et que ceux qui la déclarent ainsi que ceux qui y répondent sont passibles de la peine de mort. Tant que l’homme réclamera des chefs et des dieux, tout restera ainsi.

vendredi 27 janvier 2023

vu à travers le tube • et surgit la vie…

Hier, Classica 19h21, Le chef d’orchestre Teodor Currentzis dirige l’ensemble MusicAeterna avec la violoniste austro-moldave Patricia Kopatchinskaja. Concerto pour violon en mi mineur de Felix Mendelssohn. Voilà presque 80 ans que j’écoute, que je décortique et voilà que je découvre - je connaissais déjà l’incroyable chef - un binôme, un duo fusionnel, des frère et sœur jumeaux, dont les mots - mes mots - ne peuvent décrire le choc, le coup fatal donné aux plus grandes interprétations - qui restent des immenses interprétations - connues à ce jour. Elle virevolte chaque note dans les yeux des musiciens et du chef qui a jeté la baguette pour conduire la phrase et la denteler sur une éblouissante structure fondamentale. Après ça, que voulez-vous, Zelenski et son jeu de dupe avec Poutine, Micron et sa retraite impossible qui lui est déjà acquise, Mélenchien et ses chiots, les femmes qui se laissent battre, les enfants perdus, l’invasion des musulmans, la chute du monde dans le noir du trou du fond de mon puits au fond de mon jardin, tous les restes et les restes des restes, JE M’EN FOUS ! J’ai rencontré une fois encore - rare rareté - l’image de la vie que j’ai su m’approprier. La dernière fois, c’était le Ring à Berlin. La fois d’avant, c’était Tristan à Lyon. Trois fulgurantes apparitions de vie en trois ans. Qui peut en dire autant dans ce monde de morts-vivants où ceux qui semblent vivre sont morts depuis longtemps ?      

vendredi 30 décembre 2022

vu à travers le tube • la mort gagne du terrain…

Après 3 ans de prison ferme, les chinois ont été libérés. Ce matin, ils ont pris l’avion pour Paris, New York, Tokyo, Moscou, Clermont-Ferrand, Twin Peaks, Baltimore, Berlin ou Asnières, pour se remettre de leurs émotions. Le monde tremble. Il est tout de même plus glorieux de mourir de la main de Covid plutôt que de la main de Zelinsky ou de ses fantoches MIcron et Bidon ! De toutes les façons, en France, la mort est proche. Les hôpitaux sont pris d’assaut. Les malades s’entassent dans les couloirs. Il n’y a plus de chauffage. Les médecins sont en grève. Les pharmacies n’ont plus de médicaments. Les boulangers ferment boutique faute de ne pouvoir payer leur électricité. Sans pain ni Doliprane, que reste-t-il au peuple ? Même PBLV a fui les écrans après 18 années de courageux et loyaux services ! Par contre, hier soir, sur France 2, il y a eu exposition de singes savants avec tous les poncifs d’usage. Je n’ai pas regardé, comme je n’ai pas regardé la vente aux enchères des Miss venues de tous les coins de France. J’ai préféré OCS Choc qui programmait le superbe Dominik Moll, « Seules les bêtes ». Il est dommage que le monde continu à vivre en morts-vivants alors qu’il pourrait vivre en vivant. Je le regrette profondément. Je n’y suis pour rien s’il ne comprend pas que c’est chez Freud qu’il faut puiser l’eau nécessaire à sa vie et non chez Micron ou Mélenchien ou quelques illusoires philosophes anémiés.       


vendredi 21 octobre 2022

vu à travers le tube • mort…

Hier, Micron II Roi de France - le seul qui a le pouvoir absolu et qui décide seul - a lancé sa deuxième bombe 49-3, éliminant ainsi ces impudents parlementaires qui voudraient contrer ses projets. C’est ça la république française. Le Monarque décide. La France courbe l’échine et entame le chœur des esclaves : « Merci Ô Roi Divin ! » Le problème est que ce n’est pas ça la démocratie, toujours pas inventée. Bof ! Mon puits au fond de mon jardin est plein et déborde. La vie de l’homme est sur sa fin. Les bombes atomiques vont se percuter pendant que les femmes à zizi, à peine au pouvoir, se verront égorger par la horde sauvage des islamistes. La mort… Encore la mort… Toujours la mort... dit un jour Carmen avant de se faire justement poignarder par un brave homme qu’elle a rendu fou.

 

Philippe Aïche est mort. Vous ne le connaissez pas. Moi non plus. Il était le 1e violon solo de l’Orchestre de Paris depuis 37 ans. Il n’avait que 59 ans. Il a consacré sa vie à Beethoven, Schubert, Tchaïkovski, Mahler, Stravinski, des héros comme lui qui ne mentaient pas aux populations et ne les rabaissaient pas au rang de balais de caniveaux. Il n’aura droit à aucun hommage national parce qu’il ne jouait pas au ballon. Il ne jouait que du violon. Les radios et télés n’en parleront pas 24h/24 parce qu’il ne participait pas au jeu pervers, laid et vicieux des politicards et des journaleux. Merci Philippe Aïche.        

samedi 9 juillet 2022

vu à travers le tube • un mort parmi les morts dans un monde mort…

Un ancien ministre japonais a été assassiné et voilà que le monde est en émoi. Il y a des milliers d’assassinats par jour et personne n’en parle. S’il avait vécu reclus dans une HLM avec 150 euros par mois, il serait sans doute encore en vie. Inconnu et invisible, personne ne se serait soucié de lui, lui qui est mort depuis le jour où la femme l’a odieusement éjecté dans un monde qui n’est que pourriture alors qu’il ne lui a rien demandé. Sa non-existence aurait été un havre de paix. Il serait mort de dépressions ou bien de cancers ou bien de suicides. Le ministre a choisi d’être ministre. Il a choisi la lumière ténébreuse du pouvoir. Il a choisi de régner sur les êtres et de les plier et de les déchirer comme des feuilles de papier. L’immense majorité de cette race s’en sort. Lui a payé. Pas de quoi en faire un fromage… ni les gros titres des journaux !

 

 

Aujourd’hui, journée noire. Il y a des voitures partout. On ne peut plus n’y marcher ni trottiner. L’espace entier est occupé. Les gens partent tous en vacances, le même jour, à la même heure, sur les mêmes routes. Ils fuient leur domicile comme ils fuient eux-mêmes et ont réussi le tour de magie de remplir les caisses de l’État en un seul jour, alors que cela demande des semaines voir des mois en périodes besogneuses. Ils vont faire trois ou quatre fois le plein alors qu’ils n’ont pas les moyens d’acheter un crouton de pain pour leurs marmailles. La question primordiale n’est pas le pouvoir d’achat ou la sécurité, mais l’humain qui continu d’ignorer qu’il n’est pas lui et que la vie ne peut être consacrée qu’à la recherche de soi-même afin de ne pas être le reflet de la pensée des autres, c’est-à-dire, de ne pas vivre mort. Être soi, c’est se démarquer de l’autre et refuser les directives imposées par ceux qui s’arrogent des pouvoirs de dictateurs. L’homme ne naît pas libre. Il doit apprendre à l’être et pour cela pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est tout ce qu’il a à faire pour remplir sa vie qui ne devrait être qu’un passage dans la liberté authentique et absolue.  

lundi 1 novembre 2021

vu à travers le tube • jour des morts…

1e novembre, jour des morts ? C’est tous les jours le jour des morts tant que nous aurons tant de peine à trouver des vivants. Nous survivons travestis dans le dénie par peur de la lumière qui pourrait éclairer notre visage que nous ne trouvons pas dans le miroir que nous ne cherchons pas. C’est vrai que notre visage est si laid, si peu conforme au paraître, socle de notre éducation pour être des enfants bien sages. Tout n’est qu’illusion et seul celui qui se reconnaît peu briser les chaînes éternelles de notre assouvissement à notre ignorance. C’est sans doute pourquoi certains - beaucoup trop - vont voter pour des fantômes virevoltant dans d’autres mondes, qui ne vont pas manquer de faire comme dans le passé, nous pousser dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin comme la femme expulse violement de son ventre le petit homme qui ne lui a rien demandé et qui jamais n’a choisi son passage sur cette terre où le malheur s’enchaîne au malheur depuis le début des temps.  

 

PS : Ma voisine de palier vient de me dire que le jour des morts est demain. Alors attendez demain pour lire mon tube de ce matin !

mercredi 31 mars 2021

le puits au fond du jardin • astrazeneca est mort, vive vaxzevria…



 

AstraZeneca est mort. Vive Vaxzevria. Le Roi est mort. Vive le Roi. Louis XIII est mort. Vive Louis XIV. Hollande est mort. Vive Macron. Macron I est mort. Vive Macron II. Le successeur du mort est toujours un mort. Ainsi le veut le peuple. Ce qui oblige à constater que tous morts peuvent remplacer les morts et que de morts en morts, la vie n’est toujours qu’une illusion. C’est aussi pourquoi ne vivent que des morts-vivants. Entre la mort d’avant et la mort d’après nous vivons morts sans jamais avoir connu le vivant. La dictature féroce se propageant grâce aux subtilités qui se jouent autour de Corne à Virus, nous allons irrémédiablement vers une vie-mort qui conduit à la mort d’avant la vie. Et c’est notre vie que nous jouons alors que nous sommes incapables de jouer. Nés morts nous étions, morts mort nous finirons. Et si une pensée libérée se mettait à penser, peut-être que le secours suprême, Freud, pourrait nous sauver. Mais non ! Pour cela il faut penser, et actionner une machine à l’arrêt depuis des siècles est un défi qu’il faut gagner. Comment gagner ce pari alors que rien n’a jamais été acté : qu’est l’homme et pourquoi est-il ? Les réponses - individuelles - sont dans le cabinet du psy et, sans doute pourraient-elles fructifier si, l’homme grandissait et oubliait son stade d’adolescent attardé. Être adulte, c’est penser ? Penser c’est chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser.     


mercredi 6 janvier 2021

vu à travers le tube • ce monde de tarés…

Qui oserait dire que Bachelot, la négation de l’humanité qui elle-même est la négation de la négation, ose tenter de lever le petit doigt pour défendre la culture, mission pour laquelle elle est largement rémunérée, rémunération qui s’ajoute à ses nombreux autres revenus qui justifie son surnom de Tante Piscou. Ses rares prises de paroles ne sont que l’expression de tempêtes sur son océan de larmes qu’elle laisse couler sur les artistes qu’elle poignarde dans le dos. Bachelot n’est rien. Elle n’a jamais été. Ceux qui arrivent à se souvenir de son inexistence ne voit que le visage bouffi de l’amuseuse vulgaire et publique de chez Ferrari la protégée de Bouygues.

 

Donc, c’est acté. Les bars, restaurants, hôtels ne rouvrons pas le 20 janvier. Et comme nous allons tout droit au prochain confinement général avec sanctions à l’appui, nous sommes assurés de ne pas reprendre une vie normale qui n’aura rien de normale avant courant 2022. La liste des morts par dépression va dépasser de loin celle des morts par soi-disant virus. À ce propos, pourrait-on cesser de faire chier les vieux qui sont mêlés à toutes les sauces. Je suis vieux. Je suis un vieux. Je ne veux ni dépistage, ni vaccin. Je veux mourir libre et maudissant et en combattant - comme je l’ai fait toute ma vie - tous ceux qui prétendre s’immiscer dans ma vie. Je suis aux portes de la mort et j’entends bien mourir comme je l’entends en me réjouissant de quitter ce monde de tarés que je vomis.  


mardi 5 janvier 2021

vu à travers le tube • sur le chemin de la mort avec la sublime isolde…

Il semblerait que ce soit la panique à bord du paquebot « Monarchie-France » et que le Roi immature soit quelque peu dépassé. La fissure qui couvre l’ensemble de la terre s’élargit et s’élargit encore et l’invisible en temps d’insouciance saute aux yeux, prend la première place et ce sont toutes les failles de la société qui surgissent ensemble, paralysant et éliminant toutes les conventions sociales que les hautes sphères avaient imposées pour leur bien et leur repos éternel au mépris de ceux qui n’ont rien et qui meurent nus comme un ver. Je me réjouis qu’un virus invisible et inconnu ait apparu sur terre pour donner raison à mes convictions. Je me réjouis de la panique qui souffle sur le monde qui toujours a été peuplé d’imbéciles qui se donnent ou subissent des chefs imbéciles alors que le propre de l’homme est la liberté absolue et individuelle. Personne n’a compris que pour sortir de la merde il faut d’abord se démerder soi-même - de préférence avec la pelle dorée à l’or fin du Docteur Jacobi-Ampe - et que le salut de l’humanité ne peut-être que dans l’éradication de l’ignorance, virus mortel, dont la quasi-totalité des individus sont atteints. Tout est devenu politique vomitive et les pensées ne sont même plus capables de se projeter au-delà de ce poison éternel et sans antidote. Mon âge et ma santé n’appellent que la mort imminente avec ou sans virus. C’est pourquoi sur ce dernier bout de chemin je me fais accompagner de Schubert et Wagner, de Wang et Jansen, de Furtwängler et Klemperer, de Pelléas et Mélisande, de Tristan et de son éternelle et sublime Isolde. Mourir heureux avec de tels compagnons, c’est quand même mieux que de mourir entourés de médecins incapables de comprendre l’essence même de la vie ou de mourir, comme pour la majorité des individus, dans un caniveau peuplé de rats…    


mardi 29 décembre 2020

vu à travers le tube • liberté, liberté, liberté…

Trois soldats français sont morts au Mali et les hommages fusent à tous les coins de rue comme si ce n’était pas le propre du soldat de mourir au combat et pas en héros parce qu’il n’a fait que son travail. Ces trois hommes ont choisi librement d’être soldats et de combattre avec le risque de mourir pour le Roi de leur pays. Aujourd’hui, on voit des héros de partout alors que moi je n’en vois qu’un : Sigmund Freud, celui qui a décelé l’ignorance de l’homme et qui a élaboré une manière de penser pour l’en sortir.

 

La vie des français tient à un fil, un conseil de défense - comme à la guerre de 14/18 - qui tient lieu de lois et de vérités. Composés d’ignorants et cautionné par le Roi, le conseil se réuni fréquemment pour décérébrer le peuple mort-vivant et l’amener tout doucement à l’obéissance absolue. Heureusement, la mort ne reste plus que le seul recours à ceux qui - comme moi - savent que la vie ne peut être que liberté, liberté absolue et sans contrepartie.  


vendredi 4 décembre 2020

vu à travers le tube • polkas, mazurkas et pasos…

J’apprends ce matin qu’hier, mercredi 3 décembre, était une journée de deuil national, deuil décrété par le Roi de France. Je n’ai vu aucun homme en costume noir, je n’ai vu aucune femme cacher son visage par une voilette noire, je n’ai vu aucun corbillard noir, je n’ai vu aucune pleureuse en robe noire, je n’ai vu aucun signe pouvant me rappeler que cette journée était consacrée a un mort récent et que nous devions tous rester au garde-à-vous vingt-quatre heures durant. Au contraire, les rues étaient embouteillées, les queues longues et impatientes devant les magasins qui reçoivent désormais les clients un par un - il faut une journée et plus pour acheter sa baguette de pain - m’ont obligé à marcher sur la voie publique au milieu des voitures, la fanfare du quartier a joué des polkas, mazurkas et pasos sur le kiosque du parc, ma voisine de palier a copulé avec le mari de la libraire toute la journée. Bref ! Une journée ordinaire. Au fait ! Qui donc est mort pour justifier ce décret du Roi ?  


jeudi 19 novembre 2020

vu à travers le tube • je ne vois pas qui oserait m’empêcher de choisir ma mort…

Et voilà que les vaccins anti-Corne à Virus surgissent de toutes parts et seraient tous efficaces de 91 à 95% ce qui laisse une belle fourchette de morts à venir. Même sous le couperet de la guillotine je refuserai ce vaccin comme je refuse le vaccin anti-grippe. La seule chose dont la société me laisse maître, c’est la maîtrise de mon corps et je n’ai pas l’intention de le céder comme une prostituée sur les berges de la Tamise. La folie extrême qui s’est emparée du monde et de la France en particulier est entrain de tout casser et le peuple de France fait honte à ses aînées qui ont fait la Révolution de 1789 en tranchant la tête du Roi et de sa Marie-Antoinette. Deux siècles et trente ans plus tard, le français s’est métamorphosé. Il n’est plus que mauviette et crapaud rampant et bavant de trouille. Pour ma part la distance qui me sépare de la mort s’amenuise vertigineusement chaque jour, et je ne vois pas qui oserait m’empêcher de la choisir… ma mort !  

samedi 7 novembre 2020

vu à travers le tube • des crapauds, des rois et des rêves…

Une panne informatique chez « Santé publique » empêche de mesurer l’efficacité du confinement. Quand l’informatique aura retrouvé sa santé nous allons être terrassés par l’annonce de la mort de plus de la moitié de la population. Et, sous le choc, la France sera vide de ses crapauds rampants. Et bien voilà ! L’affaire Corne à Virus est réglée.

 

Les américains sont pressés de se trouver un Roi. Ils sont débiles ou quoi ? On en a un en France et ont en a eu plus qu’à revendre et on voit où on en est. Au lieu de poser des culs sur les trônes royaux en permanence, les peuples ne feraient-ils pas mieux d’inventer la démocratie ?

 

C’est Monica Bellucci qui dit à Gordon Cole patron du FBI : « Nous sommes comme le rêveur, qui rêve et se retrouve ensuite à vivre à l’intérieur du rêve. Mais qui est le rêveur ? » Sa phrase énigmatique résume assez bien la situation actuelle. Nous ne pouvons qu’être en plein rêve. Nous dormons pendant qu’on nous enferme pour la vie entière. Le plus douloureux sera quand nous nous réveillerons, si nous nous réveillons : un vaste désert où la mort a érigé son trône.


samedi 26 septembre 2020

vu à travers le tube • hiver, mort, nuit…

L’hiver est là, sous ma fenêtre. Peut-être, enfin, le terme de l’illusion du temps, de l’illusion de la vie, résidu du temple de la mort, silence et nuit éternels.

 

Et voilà que l’homme stupide a encore inventé sa dernière stupidité avant sa prochaine stupidité, une petite voiture électrique - en mémoire de la 2CH Citroën - à 6 000 euros, ne dépassant pas les 45 kms/h, voiture sans permis pouvant être conduite dès l’âge de 14 ans. La route est devenue le fourre-tout de tout ce qui se déplace : vélo, trottinette, patin à roulette, scooter, Solex, moto, auto, camion, bus, car, caravane, du plus petit au plus monstrueux des gabarits. Et les grands savants de la circulation disent vouloir faire cohabiter tout ce monde incompatible - sur une bande de béton-goudron - dont 99% ne différencient pas leur droite de leur gauche. Je ne cite pas les piétons parce ce que marcher tout tranquillement en 2020 est devenue une anomalie dangereuse pour la vie. La vie, cette vie, que l’on assassine au nom de Corne à Virus qui va, dans les minutes prochaines, se fondre dans la grippe qui tue beaucoup de vieux et de plus jeunes et avec laquelle on continue le ciné, on continue le bar, on continue le resto, on continue le musée, on continue Bach et Wagner, on continue la copulation, on continue la ponte, et avec laquelle on ne porte pas Muselière qu’aujourd’hui on appelle Masque. J’aimerais voir, et entendre surtout, à quoi ressemblerait « Un Bal muselé » de Giuseppe Verdi !