L’enfant de l’Élysée, l’enfant au psychisme inabouti, l’enfant baratineur, l’enfant menteur, l’enfant destructeur, va mobiliser, ce soir, l’écran de TF1, pendant plus de deux heures, en embobinant Binet la porte-voix de la CGT-islamo-mélenchoniste, InShape le youtubeur, Duflot la gauchiste ONG Oxfam, Biétry en fin de vie, Saqué le journaliste, Ménard le maire de Béziers, un haltérophile, et quelques centaines de téléspectateurs naïfs et imbéciles. Je ne sais pas s’il a raison - l’enfant - de penser qu’il va pouvoir, encore une fois, enculer la France et en y réfléchissant bien, je me dis que oui : il va le faire et ce seront, plutôt, des milliers de cerveaux vides qui auront mal au derrière toute la nuit et probablement encore au cours de la journée de mercredi.
En face, sur Canal+, je suppose, Binoche la meetosienne wokiste va présenter la messe crapuleuse qui ouvre le Festival de Cannes où toute l’extrême gauche française réuni sa superbe, avec débauche de seins et de fesses et de compliments-caresses qui donne la nausée. Pouah ! Je ne serai ni là-bas ni ici. Je ne veux pas me rendre malade, et surtout, je ne veux pas rater mon feuilleton PBLVPB, qui me tient en haleine depuis plus de douze ans.
Ce matin, à 10 heures, va tomber la sentence afférente aux comportements sexuels de Gérard Depardieu, le plus grand acteur français depuis Gérard Philip. Soumis aux nocifs mouvements femellésiens, la justice sera inévitablement injuste. L’ère macroniste nous en a donné l’habitude. Peu importe. L’homme fabuleux restera dans les mémoires jusqu’à la fin des temps… si proches.
Et si j’excepte les tribulations de Trump aux pays des Émirs, il ne reste que l’affaire Kardashian, cette nana qui a reçu, à poils, dans son hôtel six étoiles, la visite d’une poignée de papis qui lui ont pris ses bijoux sans même la violer. C’est sans doute qu’elle est plus fade que sur les photos.