Que de naïfs ! Même crevant dans l’enfumage, ils ne voient pas la fumée. Quelques résidus d’otages vont peut-être sortir du trou à rat de Gaza dans un état que personne n’ose imaginer, pendant que quelques milliers de terroristes de Hamas vont être libérés et se joindre à l’armée défaite de la peste toujours pas exterminée. Rien n’est résolu. Tout est comme avant et le sinistre cadavérique Biden a cru bon de se vanter durant vingt minutes d’une victoire imaginaire, qui s’il en restait tout de même quelques points insignifiants mais positifs, ne seraient dû qu’au sacre de Trump, ce lundi. Le Qatar finance et soutient Hamas. Le Qatar est donc une marmite de terroristes fréquentés et adulés par le monde entier. Et comme le Qatar est au centre des négociations – on ne négocie JAMAIS avec les terroristes -, la concertation n’est pas un espoir, mais une combine de terroristes qui finira bien par achever l’envie justifiée d’Israël de ne céder en rien pour sa liberté et sa survie. L’évènement d’hier est un immense nuage de fumée noire qui va faire couler le sang et les larmes. Les réjouissances ne sont pas de mises. Israël ne peut vivre que par l’extermination totale de tous ses opposants et ce ne sont pas les palabres des langues en action qui peuvent régler quoi que ce soit. Prenons pour modèle le grand Toscanini. Ceux qui ne suivaient pas sa baguette, se la voyaient se fracasser sur leur tête, avant de prendre le chemin des écuries.
jeudi 16 janvier 2025
mercredi 15 janvier 2025
vu à travers le tube • poésie au clair de lune…
Le ministre François Rebsamen : « Les Insoumis je les respecte, je respecte toutes les forces politiques sauf le RN. » Dans l’hémicycle, il n’y a que deux forces irrespectables et irrespectueuses, les insoumis et leurs alliés écolos-socialos-communios, et les macronistes. Le vieux Rebsamen devrait le savoir. J’espère que Bayrou va le sortir de son gouvernement à grands coups de pieds dans le cul et que l’on va se décider à destituer et à priver de leurs droits civiques tous les élus qui proféreront des insultes envers qui que ce soit. Onze millions de Français font confiance au RN et le nombre ne peut que croitre devant la bêtise immonde des autres partis. Alors, d’accord ou pas, qu’on leur fiche la paix. La dictature qui avance à grand pas ne viendra pas de leur famille, mais bien de celle des insoumis et du pitre Mélenchon allié à ses amis islamistes qui vont s’empresser d’instaurer la charia sous l’œil médusé de Rousseau mais aussi de Panot qui vont très bientôt porter le voile et se soumettre aux gros et gras mâles impitoyables. Quel beau et magnifique tableau.
Bayrou a parlé comme Bayrou. C’était poétique et mélodieux dans un rayon de lune douçâtre et champêtre. Il n’est pas certain qu’il se soit adressé au ras-le-bol des Français, mais au moins, il aura diverti joliment, avec des jolis mots bien agencés les uns eux autres, presque digne de Baudelaire ou de Hugo. On ne va tout de même pas se plaindre d’avoir assisté à un récital quasi littéraire, sans sortir le moindre sou de notre bourse pendulaire à notre ceinture de pantalon. J’avoue que j’ai bien aimé ses réponses à ses détracteurs. J’ai adoré la grosse bou-bouille de Panot. Hier, j’ai vécu un grand moment de télé dont la qualité aura été bien supérieure à celle de « Scène de ménages » qui sombre chaque jour dans les ignobles caniveaux où grouillent les gros rats noirs et poilus de Paris, les enfants et petits-enfants d’Hidalgo dont le monde entier ignore toujours et encore qui sont les papas.
lundi 13 janvier 2025
vu à travers le tube • une histoire de girouette…
En fait pour Bayrou, une éternelle girouette vieillie et usée qui, sans idées, s’est toujours placé entre deux mouvances et qui, aujourd’hui, après avoir presque réalisé ses souhaits d’enfance - il n’est que le second, le premier des ministres - ne cherche pas à ressusciter la France que Macron a achevé, mais surtout, à ne pas se faire censurer et retourner à la maison, ses grandes oreilles pendantes. Pour cela, il semblerait qu’il va céder aux pitoyables socialos, les associés des gauchios-islamistes qui veulent nous imposer la charia et une dictature afghanistanique. Cette lâcheté, qui va de pair avec celle de l’enfant au psychisme inabouti qui a épousé sa maman et qui sert de roi à la France, est la marque de la grande majorité des politiques qui parlent pour faire croire qu’ils agissent, et endorment les pauvres gens qui jamais n’ont compris dans quel caniveau la femme coupable les a éjectés et abandonnés. Mettre au monde un enfant est un crime. Jamais je ne me lasserai de le dire. Seuls les adultes non ignorants devraient pouvoir copuler et enfanter. Et dans notre monde de tarés intarissables, il n’existe que des enfants, des adultes au psychisme inabouti et des marmailles qui persistent à vivre dans le déni.
jeudi 9 janvier 2025
vu à travers le tube • le repoussant peuple français…
En fait, le couple Rotailleau-Darmanin ne fait pas de miracle. Il a laissé des immondes voyous fêter, sur les places publiques, la mort d’un vieillard, en promettant la mort de sa fille et de ses collaborateurs. Le mort, de son vivant, n’a pas été pire que l’est Macron et ses soumis ou, mieux, l’innommable pourriture Mélenchon et sa grasse et grosse poissonnière Panot et son inquisiteur Bompard. La justice n’a toujours pas montré son efficacité et très bientôt le voile sera officialisé à l’école et toutes les femmes auront l’obligation de le porter. Le couple n’a pas pris la mesure du danger islamiste et c’est pourquoi, nous avons définitivement perdu. Reste un espoir, un seul, celui que Trump annexe la France en même temps que le Canada. Le pénis et le vagin reprendront alors leur emplacement initial et les tous du cul célèbreront leurs messes noires à la maison. Dans quelques semaines – ou quelques jours – le gouvernement Bayrou va tomber. L’enfant et sa maman resteront sur place. Le boulevard mélenchoniste sera ouvert tout grand et nous connaîtrons notre seconde 1789. Robespierre va pouvoir s’en donner à cœur joie. Les têtes vont tomber. Le sang va couler. Et c’est bien normal puisque les Français ont choisi de fermer les yeux devant le prévisible. La mort de Jean-Marie Le Pen aura montré au grand jour la lâcheté et l’ignominie du peuple français. Son comportement va lui coûter si cher qu’il va rentrer sous terre, inondé de son sang et de ses larmes.
mercredi 8 janvier 2025
vu à travers le tube • le pire est consommé…
Ces gauchiasses crotales notoires qui ont dansé sur le cadavre d’un homme dont le corps était encore chaud, ont bu jusqu’à la lie, hurlé leur haine ravageuse et déshonoré la France à tout jamais. Nous ne pouvons leur accorder notre pardon parce qu’ils savent ce qu’ils font. Insoumis, animaux de cirques caligulaïens, brutes épaisses et cervelles fracassées, leur place est au cachot à vie, rongés jusqu’au plus profond de leurs viscères par les gros rats puants d’Hidalgo. « Rien, absolument rien ne justifie qu’on danse sur un cadavre. La mort d’un homme, fût-il un adversaire politique, ne devrait inspirer que de la retenue et de la dignité. Ces scènes de liesse sont tout simplement honteuses. » (Bruno Retailleau). Le jugement dernier viendra bien un jour, et la race des racailles sera pendue par les pieds et tranchée de haut en bas sous l’œil des foules qu’elle a trompées et humiliées.
mardi 7 janvier 2025
vu à travers le tube • la bronzette et la justice…
Pourquoi Rotailleau a-t-il donné l’ordre à la police et à la gendarmerie de stopper le mouvement des agriculteurs, avant qu’ils entrent dans Paris, et avec les moyens qu’on emploierait pour se défendre de la Chine et de la Russie réunies ? Pourquoi tant de haine pour ces gens nobles, courageux et désespérés et tant de compassion pour les terroristes islamiques, algériens, mélenchonistes et écologistes qu’on n’exécute pas sur le champ et sans jugement ? Ces salauds, Macron et ses bandes, sont champions contre les gens sans défense et lâches devant ceux qui les humilient sans cesse et qui, 10 ans après Charlie, ont redoublé de puissance. Et que penser des Français, qui, après la gloire des Chevaliers de la Table Ronde, se sont métamorphosés en grosses vaches à lait qui dorment dans les prés en regardant passer les trains. Hier, en allant chez mon Leclerc, je suis passé à côté d’un pré près d’un passage de trains. Parmi les ruminantes, j’ai reconnu Panot qui faisait bronzer son gros cul tout nu au soleil. Je vous assure que ce n’était pas beau.
C’est le même sujet, mais pas vraiment différent. Sarko a été un président avec ses faiblesses, mais avec ses convictions. Et puis, il a épousé Carla, une chanteuse de rue sans voix, mais mignonne et jolie, ça le rend un peu sympa. Il y a eu pire comme chef suprême. L’ineffable et lâche idiot Hollande et le pire des pires, un enfant handicapé au psychisme inabouti, conditionné par la vieille femme toute ridée qu’il a épousée. Aussi, peut-on me dire pourquoi, 15 ou 20 ans après, on traine encore l’ancien président devant les tribunaux pour des affaires qui n’ont laissé aucune preuve et qui n’ont lésé aucun français ? Les tribunaux sont engorgés, les prisons sont pleines, le personnel est nettement insuffisant. Ne pourrait-on pas réserver la Justice à ceux qui le méritent et la faire fonctionner à plain régime pour toutes ces brutes que sont les criminels, les violeurs, les voleurs, les mélenchonistes et les écologistes ? La France ne s’en porterait que mieux et la Justice pourrait reprendre ses vertus : être rendue sous un chêne, accompagnée des chants des petits oiseaux.
lundi 6 janvier 2025
vu à travers le tube • trois petits sujets à la portée de tous…
Sarko est encore dans la tourmente. Ses sentiments exacerbés pour Kadhafi, un triste sire abominable et criminel, le rattrapent aujourd’hui et atteignent les plus fidèles d’entre ses fidèles, Hortefeux, Guéant et Woerth. Son procès pour financement illégal de sa campagne – je disais, hier, pourquoi il faut interdire les campagnes électorales – va durer plusieurs mois, ce qui va lui permettre de se rendre chaque jour au tribunal des délits avec son chevillelet connecté qui lui sert de rapporte-paquet. Le monde entier sait que Nicolas n’est pas le seul à avoir détourné les lois et que si la Justice était réalité, aucun chef d’État ou chef de boyscouts boutonneux ne serait aujourd’hui en liberté.
Voyez-vous quelques parts un journaliste, un politique, un français, qui se préoccupent du sort de Boualem Sansal, cet écrivain franco-algérien qui n’a fait que dire toutes les vérités sur l’effroyable régime algérien et sur le danger imminent qu’il représente pour la France ? Le vieillard de 80 ans croupit dans les cachots d’un pays de sauvages attardés et Macron, Bayrou et toute la pitoyable clique, ne bouge même pas le sourcil.
Et encore bien pire ! Les cowboys des Amériques ont décerné trophées sur trophées au film gore, indécent et immoral d’Emilia Perez, qui incitent les populations à changer de sexe. Tous ces gens, auteurs, acteurs, votants, publics, doivent être enfermés à vie jusqu’à décomposition totale de leur corps. Je ne vois pas d’autres moyens pour exterminer la vermine.
vendredi 3 janvier 2025
vu à travers le tube – les triomphe de l’eau crasse…
Pour le premier Conseil des ministres du gouvernement Bayrou, Madame Primas, porte-parole, a parlé d’elle et de son égo 11 ou 12 minutes, puis elle a dit qu’il ne s’était rien dit parce qu’il n’y avait rien à l’ordre du jour, à part le transfert d’un truc qu’il m’a échappé. On n’a pas évoqué l’immigration surréaliste, les meurtres intempestifs, les agriculteurs que l’on étrangle et ceux à qui ont interdit de promener leur voiture dans les centres-villes. On n’a rien dit, sinon répété en chœur polyphonique une phrase célèbre que l’enfant à ressorti de derrière les fagots : « De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace, rien que de l’audace, de l’audace avant l’audace, de l’audace dans vos poubelles, de l’audace dans votre whisky ! » La descente dans le noir du fond de mon puits se poursuit et les lapins crétins regardent passer les trains.
jeudi 2 janvier 2025
vu à travers le tube • de tout et de rien…
A 79 ans, la femme-chat est décédée, à Paris, le soir du réveillon. Bof ! Une femme-chat de moins, ça ne casse pas la queue d’une écrevisse. Je l’avais vu chez Hanouna, il y a fort peu de temps. Le monstre était déjà parmi les déchets de notre civilisation.
Que de commentaires insipides sur l’attentat à la Nouvelle-Orléans. Les radios et télés saturent en mode répétitif. Ce n’est ni premier ni le dernier et il n’est que la conséquence de la perversité de nos dirigeants qui ne sont que la conséquence de la perversité des peuples votants. Donc tout va bien. Par contre, je suis le seul – voir mon tube d’hier – à connaître le coupable de la violence contre l’enfant de 2 ans atteint d’un mortier, place Bellecour à Lyon. Les parents, ignorants comme tous les parents, auraient dû être au lit avec leur enfant, à l’heure dite. On n’emmène pas des enfants dans des réunions de masse qui, quel que soit le sujet, peuvent dégénérer à tout instant. Et puis, à minuit, un enfant doit avoir déjà largement entamé sa nuit.
Le vieux, très vieux Muti, dirigeait encore et encore le Concert du Nouvel An. Les rengaines méritaient mieux, comme par exemple, une jeune cheffe rigolote et intransigeante.
mercredi 1 janvier 2025
vu à travers le tube (bis) • crimes et châtiments…
En ce réveillon rien n'a changé. Les voitures ont brulé. Certains ont reçu du mortier en pleine figure, d’autres l’ont lancé. Les cambriolages ont perduré. Certains ont été volés et violés, d’autres ont volé et violé. Les 100 000 policiers sont restés babas et consternés. Ils n’avaient pas l’ordre d’exterminer définitivement ceux qui exterminent régulièrement. Et dans les débats télévisés, chacun y va de son indignation en réclamant une justice ferme et juste. C’est quoi, au juste, une justice ferme et juste ? Pour être ferme et juste, il faut appliquer à la lettre les lois ancestrales qui consistent à appliquer sur le champ le principe de « œil pour œil, dent pour dent ». Et, surtout, il faut jeter aux ordures toutes compassions et tous sentiments. Tu voles un pain, on te coupe la main. Tu violes une femme, on te coupe le pénis. Tu brûles une voiture, on te brûle les jambes et les bras. Tu squattes un appartement, on te jette dans un cachot noir, quinze jours à la diète, puis on te jette à la rue avec un boulet de cinquante kilos à chaque pied. Ce que je préconise n'est pas du sadisme, c’est du réalisme pour faire cesser les jeux d’enfants à tous ces handicapés qui n’ont jamais réussi à grandir. Et peut-être qu’avec ma politique, les parents prendront conscience de leur crime : avoir fabriqué un enfant.
vu à travers le tube • le monde des enfants malades…
Dans ce monde d’enfants incapables d’accéder au monde d’adultes, le plus petit d’entre eux, le plus insupportable, a encore parlé à la télé pour dire des riens en faisant semblant de se culpabiliser pour sa dissolution et en faisant croire qu’ils allaient demander aux petits enfants de français de donner leur avis sur la marche à suivre pour ressusciter la morte, la France, celle qui est déjà rongée par des vers de terre et les fourmis rouges étrangères. Bof ! Le mauvais cinéma est toujours aussi mauvais même s’il n’est plus que le résidu des pires des IA. Et le drame n’est pas là. Il est à Lyon, où, hier à minuit, sur la place Bellecour, un enfant de deux ans a été atteint par un mortier tiré par d’autres enfants. À minuit, un enfant de deux ans doit être chez lui, dans sa chambre et dans son lit. Ses parents, des enfants idiots, crétins et malfaisants, ont-ils été arrêtés sur le champ et transférés dans les cachots noirs de la prison de Montluc où pourrissent les cadavres des prisonniers de la dernière guerre mondiale ? Une fois encore, la Justice de l’enfant, n’a pas fait son travail.
mardi 31 décembre 2024
vu à travers le tube • le grand moment de vérité est proche…
Tous les journalistes, tous les chroniqueurs et tous les commentateurs de tous les postes et toutes les télés, se posent la même et primordiale question pour la vie de tous : « Mais qu’est-ce que l’enfant déséquilibré, au psychisme inabouti, qui a épousé sa maman toute ridée, va dire aux têtes vides des français, ce soir, sur toutes les radios et sur toutes les télés, à vingt heures précises, après un soupçon ridicule de Marseillaise, alors que depuis sept longues années, il n’a su qu’imiter la tirade du Cid, qui, comme chacun le sait, n’est qu’une invention d’un poète qui avait travaillé l’art de la versification et de la dramaturgie ? » Moi, je ne me pose pas la question. Je sais. Il va dire que, tel Hercule, il a été capable, en solo et devant les caméras, de construite une cathédrale en cinq ans, et qu’il a gagné toutes les épreuves des jeux du cirque parce qu’il est un athlète complet et même se vanter de la présentation de la manifestation sportive qui n’était pourtant qu’un hommage appuyé à la pornographie des gens dont le sexe est incapable d’assurer son identité. Il va dire aussi qu’il va partir, à la tête de son armée, à la conquête de Moscou et ramener à Paris, le tsar félon Vladimir, qui ne cesse de chatouiller son ami de cœur Volodymyr, un autre félon qui a jeté son pays dans la corruption. Il va dire aussi qu’il aime les français et qu’il est navré qu’ils soient violentés ou tués à chaque coin de rue, de nuit comme de jour, alors que sa police veille en se planquant de partout sauf dans les coins de rue parce qu’ils sont trop exigus. Il va dire aussi qu’il est navré d’avoir pu sauver « Les Folles Journées de Nantes », parce que son choix est que l’argent qu’il vole aux français doit aller en priorité aux pauvres pays d’Afrique dont les habitants viennent chez nous, en barques à rames, pour nous étrangler et nous manger après nous avoir embrochés. Il va dire aussi qu’il nomme à gogo des Premiers ministres, parce que les français ne comprennent rien à sa merveilleuse politique et qu’il préfère qu’ils s’en prennent à plus petit que lui, ceux à qui il a légué ses piètres compétences. Il va dire aussi beaucoup d’autres choses très importantes. Nous aurons enfin des nouvelles de son chien et de son hamster et peut-être la vérité sur ses relations avec sa maman. Mais ça, j’en suis moins sûr !
lundi 30 décembre 2024
vu à travers le tube • les sauvages et kaufmann…
100 000 policiers et gendarmes vont être de service, le soir du réveillon, pour tenter d’intercepter les populations très fournies de voyous qui vont malmener les bien et les personnes. Ceux qui sont dans la page et non dans la marge ont déjà commencé et beaucoup crient les slogans : « On va les tuer ! » Et depuis quelques années, certains même, des ânes gauchistes et islamistes illuminés par Mélenchon, manifestent en portant des pancartes « La police tue ! » Soyons claire, juste et sans pitié. Cette race n’a rien à faire sur la terre. Si à chacune de leurs apparitions la police tirait à vue et à balles réelles, leur nombre diminuerait considérablement jusqu’à disparition. Et ce ne serait que justice, une justice juste. Mais, jamais cela ne se fera pas, parce qu’on est à la mode du respect de l’irrespectueux et des droits des criminels, au détriment des droits de l’homme.
Chanter Turandot n’est pas une mince affaire pour le couple vedette, les voix étant sans cesse tendues à l’extrême. Mais, tout de même, avant, dans les années de ma jeunesse, Corelli, Bergonzi, di Stefano, Domingo, faisaient front sans marquer la moindre peine, dans le respect de la nuance et de la musicalité. Au Staatsoper de Vienne, Kaufmann a crié ses notes les unes après les autres et le miracle est qu’elles aient toutes été émises. Mais le voir forcer ainsi mettait fort mal à l’aise. Le rôle n’est plus dans ses cordes et nous allons devoir attendre qu’il soit un authentique baryton à la Tito Gobbi. Sa partenaire, la princesse râleuse et revêche, ne chantait pas si mal, mais elle était trop belle déguisée en Mélisande. Quant à Armiliato, il aurait pu éviter d’étirer les mouvements, cela aurait facilité la tâche à tout le monde. Bref, l’opéra s’est arrêté dans les années 1960. Depuis, qu’en reste-t-il ?
vendredi 27 décembre 2024
vu à travers le tube • hors de l’écran…
C’est insupportable ces interminables vacances où, aux fêtes de Noël succèdent les fêtes du nouvel an, où des milliers – plus probablement – d’automobilistes inconscients se ruent sur les autoroutes, jusqu’à les bouchonner, pour vite dépenser dans les stations, les fortunes qu’ils n’ont pas, et vite poser leurs fesses sur les tire-culs, pour vite se retrouver à l’hôpital avec une jambe cassée ou un pied gelé, où, mieux, aller dormir à la morgue après s’être trouvés ensevelis pas l’avalanche qu’ils ont déclenchée. C’est insupportable ces radios et télés qui changent leurs programmes et nous collent sous le nez des horreurs imbuvables, des redites des plus mauvais moments de l’année, des films surfaits et des flots de compassions pour le monde entier. Même chez mon Leclerc tout est bouleversé. On n'y trouve plus que des pères Noël en chocolat ou en chaire et des grappes de marmots chialant, hurlant et vociférant contre leurs parents qui veulent à tout prix les faire pâmer de joie devant les guirlandes clignotantes des bals du 14 juillet au bord de la Marne, sous les bombes des allemands.
Il semblerait que les acteurs soient sortis de l’écran et que depuis que les réalisateurs se sont affranchis des lignes géométriques, ils aient trouvé la sortie. Savent-ils que la vie n’est pas hors des lignes et que hors de l’écran, on ne fréquente que la mort ?
jeudi 26 décembre 2024
vu à travers le tube • de tout et de rien…
Mais pourquoi donc l’Orchestre Philharmonique de Vienne compte-t-il si peu de femmes ? Depuis des années, les vagues de contestations se succèdent et personne vient y remédier. Pour le concert du Nouvel An, ce sera encore un homme : Muti, pour la 7e fois. Miracle ! En mai 2025, la cheffe d’orchestre lituanienne Mirga Gražinytė-Tyla deviendra la 1e femme à diriger le Philharmonique de Vienne pour des concerts d’abonnement. Je l’ai vu à Lucerne diriger la 2e de Mahler. C’est bien un miracle. Une grande parmi les plus grands, et peut-être encore plus grande !
Son TGV roulait à 300 km/h. Le conducteur a ouvert la portière de sa cabine et s’est jeté. Il est mort bien sûr. Je salue son courage. Le train s’est arrêté tout seul.
Dans les Alpes, une famille skiait hors-piste. L’inévitable avalanche l’a emportée. Un ado de 14 ans est mort. Est-ce que ses parents seront jugés et condamnés ?
Darmanin compte bien combler l’insuffisance de la Justice. Déjà la présidente du Syndicat de la Magistrature lui a répondu. Elle n’entend pas laisser entrer la rigueur et la fermeté dans le système, les prisonniers devant être traités, selon elle, comme les clients du Burj-al-Arab à Dubaï. D’après-vous, qui va l’emporter ?
mercredi 25 décembre 2024
vu à travers le tube • dieu et ses ratés…
Les informations fusent de toutes parts. Les Frères musulmans s’infiltrent de partout, et, sans coups d’éclats, seront très bientôt au pouvoir en imposant la charia. Et Mélenchon et ses chiottes et ses chiots, n’y sont pas pour rien. Les pitoyables vers de terres écologistes et socialistes non plus. C’est pourquoi je me pose la question : « Pourquoi Dieu, le vieillard qui vit dans le haut des nuages sur son trône de fer, et qui a tous les pouvoirs inimaginables, a-t-il imposé son fils sur notre terre en le faisant passer par la fente d’une vierge qui a copulé avec un ange à ailes – ce qui fait qu’elle a trompé son Joseph de mari qui était artisan charpentier -, et qui, devenu grand par la taille, a déclamé - autant que Macron - des proses qui affirmaient qu’il était venu sur terre pour nous sauver ? » Nous sauver de quoi, puisque depuis sa mort sur une croix, rien n’a changé, mieux, tout a empiré. Nous avons eu Borgia, Caligula, l’Inquisition, Napoléon, Hollande, Macron et Dion. Les guerres se sont amplifiées. Les ânes ont proliféré. Et les pantins vivent le cul sur des tire-fesses, les pieds sur des planches, tout en geignant que les routes sont glissantes et que les trains sont à l’arrêt parce qu’ils ne supportent pas le moindre petit flocon de neige. La morale d’ « Einstein on the beach », c’est peut-être bien cette représentation du réel : l’homme pantin, marionnette, immobile, au regard figé, qui se déplace par télécommande interposée et qui a perdu sa pensée et son âme. Dieu a raté sa mission. L’homme n’est qu’un rien inutile dans un univers super organisé. Pourquoi l’un et pas l’autre ?
mardi 24 décembre 2024
vu à travers le tube • ça va être terrible…
Alors que l’Éducation nationale demande un chef autoritaire, tyrannique et sans concession, un vrai dictateur Kim Jong-unien, on lui colle une vieille dame, lesbienne disent certains, de gauche, de cette gauche molle qui assèche les cerveaux et qui va devoir faire face à un ministère poids lourd, sous le nom de « Madame 49.3 ». Quelle honte pour la France et pour ses enfants. Et que dire de ce retour de Valls le traitre, celui qui a tenté de corrompre l’Espagne et qui s’est fait encorner en plein milieu de la corrida ? Les socialistes ne sont pas contents. Ils n’ont pas de représentants de leur parti peau de chagrin, trahison même du socialisme, et c’est tant mieux. Point fort, s’il en est un, point fort et s’ils ne sont pas bâillonnés, le duo Rotaillerau-Darmanin qui, je l’espère, vont virer les hordes sauvages et construire des cachots tous noirs et des gros rats dodus de Paris, pour tes enfants, pour les adolescents, pour les plus de dix-huit ans, sans limite d’âge, pour tous ceux qui ne font pas la différence entre un humain et une racine de pissenlit. Ce nouveau gouvernement à peu de chance de durer, alors il ferait bien de ne pas attendre le 3 janvier pour commencer le grand nettoyage de printemps, en désinfectant, avec Monsieur Propre, les campagnes, les villes, les plaines, les montagnes, les mairies et les Élysées, avec leurs occupants. Après, il sera trop tard. Mélenchon est en embuscade. Panot guette. Bompard ouvre sa braguette. Ça va être terrible… horrible ! L’enfant, lui, il aura déjà fait ses valises et mise maman dedans.
lundi 23 décembre 2024
vu à travers le tube • les fausses moqueries…
Ce que demandent les mahorais, ce n’est pas qu’en ce lundi 23 décembre 2024, la France revête son vêtement de deuil et pleure à chauds de larmes sur les promesses non tenues d’un enfant psychopathe, ils demandent du pain, de l’eau et un toit, éléments fondamentaux qui leurs sont refusés depuis des décennies. Et puis, ils demandent aussi qu’on jette dans l’océan les hordes de sauvages qui les violent et les massacrent pour prendre leur place et régner sur leur territoire. Rien ne se fera là-bas ni ailleurs. Et ceux qui pensent le contraire doivent aller à l’école.
Et le gouvernement du mou Bayrou ? Il en est où ? Et quand il sera, s’il en est un jour, quelle sera la durée de sa vie ? Si les français avaient des couilles, ils nommeraient Rotailleau dictateur, pour sauver le pays de la maladie qui le ronge depuis qu’une poignée de terroristes mélenchonistes ont séparé la tête du corps de Louix XVI, le roi bien-aimé des français et aussi, et c’est idem, de sa délicieuse Marie-Antoinette. Mais les français ne feront rien. Ils sont naïfs et lâches et atteints par le mou bayrousien.
Hier soir, sur une de mes 400 chaines télés, j’ai revu « Florence Foster Jenkins » de Stephen Frears. Je le préfère à celui de Giannoli parce qu’il est plus caustique, plus violent, plus théâtrale, plus humour anglais, plus réaliste et plus émouvant. Et puis, il y a le pianiste… irrésistible ! C’est une histoire vraie. C’est une tranche de vie de notre société. C’est la laideur et la puanteur que notre miroir nous renvoie.
dimanche 22 décembre 2024
vu à travers le tube • la pente, toujours la pente…
« J'ai l'honneur d'être à la place où les Français m'ont mis » a déclaré Emmanuel Macron depuis Djibouti. Le pauvre enfant psychopathe ment encore. Ce n’est qu’une toute petite poignée de français naïfs qui l’ont mis là où il est, sur le trône de France exaspéré par son derrière talqué de poupon. L’homme est bourré de failles psychiques. Le politique est véreux, pervers et ignorant. Il n’est qu’un pantin, acteur minable d’une mauvaise pièce de théâtre où ses tirades sentent la fadeur des mauvais dramaturges qui jonchent l’histoire. Cet enfant est dangereux. Et je me demande ce qu’il va arriver si un sursaut miraculeux ne met pas fin à ses incartades. Peut-être que le duel à l’ancienne, annoncé en direct sur TFX, le duel au glaive Bayou-Macron, va mettre fin à l’inquiétude des français quand tous deux vont s’effondrer avant d’avoir déclamé : « En garde ! Je te pique et je te découpe en tranches de melons ! » Nous serions enfin débarrassés du pire de l’histoire de France et les Majestés les plus séduisantes seraient de retour à la maison.
Mais comme nous n’en sommes pas encore à ce stade, pensons à nous protéger des petits fours, des petits chocolats, des petites pattes de langoustes, des petites pinces de homards, des petits rognons de coqs en pâte et des petits verres de gnôles de Soisson. Ils ne sont qu’illusions. Une fois la fête finie, la vie, la vraie, recommence avec la vieillesse qui s’est encore engouffrée dans la jeunesse périssant.
vendredi 20 décembre 2024
vu à travers le tube • du théâtre au cinéma…
Tout est devenu mauvais théâtre, mauvais spectacle. Évincé de la Justice, Dupond M. se réfugie sur une scène de théâtre pour dire à son public – comment peut-on payer pour écouter cet ours mal léché ? – toutes les âneries qu’il a dites quand il était ministre. Pitoyable théâtre que ces scènes médiatiques et mélodramatiques autour de la dame qui a été violée contre son gré par une horde de coquins encouragés pas son mari et qui aura tenu le rôle principal dans tous les postes et télés, pour la joie des voyeuristes qui en ont eu pour leur argent et leurs désirs bien cachés. Dramatique, cet autre théâtre où l’enfant psychopathe est monté sur scène sous les quolibets du public terrassé par la soif et la faim et qui a tout de même eu la force de demander sa démission. Et lui, le petit enfant venu sans sa maman épousée, a pris dans ses bras, sous l’œil avisé et perverses des caméras, la dame éplorée qui a tout perdu par la faute de cet enfant, seul coupable du drame absolu. Quelques années avant, il avait vociféré devant ces mêmes gens : « Dans moins d’un an, votre ile sera débarrassée de ses bidonvilles et de ses crasses de sauvages qui viennent s’installer pour vous prendre votre identité ! » Les années ont passé et les bidonvilles ont prospéré et les crasses de sauvages se sont multipliés. Et l’enfant a osé dire qu’il n’était pas cyclone et qu’il n’y était pour rien alors qu’il y est pour tout, tout sans exception, par ses envolées lyriques qui n’ont jamais pondu de suite. Sa lâcheté est pire que les pires malheurs de la terre et les français d’une pitoyable naïveté ne l’ont toujours pas destitué. Et dans un autre théâtre parisien, le vieux Bayrou toujours aussi inconsistant a réuni les chefs de partis en évinçant la moitié de la France. Il ne lui reste plus qu’à démissionner avant que quelques gens lucides le poussent dans la rue à grands coups de pieds dans son cul qu’il ferait bien de protéger.
Du théâtre au cinéma, quand Arte eut la sagesse de proposer – c’était hier soir – le chef-d’œuvre absolu de Demy, mais aussi du cinéma, « Les Parapluies de Cherbourg », fusion parfait de la musique et de l’image, de la couleur et des sentiments, évocation magistrale de la souffrance de l’absence et de la subtilité des sentiments où les blancs vont se superposer, s’additionner dans une éblouissante pureté, en éclairant l’écran de la robe du mariage, de la station-service et de la neige qui tombe en hiver pour clore ce film sublime dans l’interaction de ses éléments. On est loin des riens d’aujourd’hui.