vu à travers le tube • bastille, fbi et mère indigne…

En cette année 2024, la commémoration de la prise de la Bastille, moment hautement symbolique de la révolte du peuple contre la monarchie, s’efface devant la naïveté, la stupidité et le coût exorbitant des jeux du cirque, si prisés par les empereurs romains. Exit les Champs Élysées. Exit le monologue excitant de l’enfant qui sert de roi à cette France qui a tranché le cou à la lignée royale sans parvenir à l’éradiquer. Et toutes les radios et les télés vont nous saouler avec les prestigieuses ballerines qui vont user leurs pointes sur les pavés de la rue Foch. C’est pourquoi, pendant ce temps, je vais réécouter mon vieux vinyle de Butterfly avec Tebaldi et Bergonzi, le plus grand ténor du monde, qui aurait eu 100 ans hier. Ça m’évitera de prester sur les immondices du monde et de la France en particulier. Je ne sais pas si vous savez qu’hier, on a tenté d’assassiner Trump. Le chasseur a mal visé. Depuis que Cooper n’est plus, le FBI n’est plus à la hauteur. Et, puis avez-vous entendu ce mécréant et sinistre procureur qui nous a expliqué en long et en large, sans oublier le moindre petit détail, et pendant trente minutes interminables, comment a été assassinée la fillette de 6 ans par son taré de beau-père. Et pas un mot sur le déficit psychique de la mère qui a exposé son enfant durant deux ans aux bons caprices d’un malade, d'un dangereux psychopathe, camé, alcoolique et toute la suite. J’espère qu’elle va répondre de son ignorance devant la Justice.      

vu à travers le tube • la femme coupable…

Depuis samedi – aujourd’hui, on est mardi – les chaines d’informations continues sont branchés 24h/24 sur le tueur au couteau et au marteau, mélangeant sans honte les tous du désastre du psychisme humain. Si cet homme déterminé – j’ai bien dit « homme » - a tué avec son couteau et son marteau au nom, une fois encore, d'Allah, c’est qu’il est un taré dangereux et de grande envergure avant d’être un illuminé par une idéologie de fosse à purin. Jamais les médias n’ont autant écrit et prononcé le mot psychiatre sans savoir de quoi il s’agit. Et quand Gérard Miller, un psy qui n’est pas psy – peut-on être psy lorsque que l’on a passé des années à faire le pitre à la télé en compagnie du puéril Ruquier ? – débite ses âneries d’une gauche dépassée, on ne peut que rire ou se flinguer. L’État de droit empêche la seule conclusion honnête et juste. Le psychopathe n’a pas à être jugé. Son cas est sans issue. Il doit immédiatement être mis hors d’état de nuire en étant jeté au milieu de l’océan pour nourrir les requins. Cette méthode – très efficace – devrait être employé plus souvent, pour la tranquillité de tous et par économie. Et pourtant, je reste persuadé que si les enfants avaient des parents, si l’école enseignait, si la littérature, la musique – l’authentique -, la peinture, le théâtre, l’opéra, étaient les matières prioritaires, si, dès le plus jeune âge, Freud entrait dans nos vies pour mettre de l’ordre dans notre psychisme, les tueurs aux couteaux et aux marteaux, seraient des denrées si rares que personne ne songerait qu’ils pourraient exister, sauf dans la belle histoire d’Eve et Villanelle. Les coupables ne sont jamais coupables. Seule la femme qui les a éjectés de son ventre porte la culpabilité. Désolé ! La seule erreur dans ce monde, c’est l'invention de l’homme, une chose ignorante, stupide et dévastatrice. Rien d’autre…    

vu à travers le tube • et pourquoi pas kim jong-un en pire ?

Et ça continue ! Et ça s’amplifie ! Et ça va continuer de s’amplifier, puisque le Roi a pour seule (pré)occupation le fait de mettre son vilain nez dans les affaires des pays étrangers pour ne pas voir dans quel état il va rendre la France au moment de son départ obligé, à moins qu’avant, le peuple exsangue et révolté, ne lui fasse subir le sort de son prédécesseur en lui tranchant la tête comme on tranche un saucisson de Lyon. Je disais donc que ça continue et que s’amplifie la prolifération des couteaux qui tranchent les corps dans les rues en plein jour et même en pleine nuit. Et le couteau qui a tué, hier soir à Paris, était dans la main d’un récidiviste fanatique de l’islamiste, français parce que né en France, mais d’origine étrangère, connu par la police pour le dérèglement de son psychisme et qui au moment de son crime aurait dû être enfermé à vie dans un établissement psychiatrique si le Roi et ses soumis accomplissaient le travail pour lequel ils ont été élus. Le laxisme ambiant officiel aura raison de lui, des abrutis qui l’entourent, des abrutis qui l’ont mis au pouvoir et, par ricochet, de la France entière. Et la vraie désolation n’est même pas ici. Elle est dans la parole de ceux qui sont atteints de la maladie de la parlote, terrible maladie qui ne se soigne pas, maladie toujours couplée avec le mensonge et le dénie inscrits dans les gênes de ceux-ci et qui ne laisse présager que cris, souffrances et humiliations pour ce pauvre peuple à qui on n’a jamais donné les armes pour pouvoir se défendre. Puisqu’on n’a toujours pas inventé la Démocratie et que l’on rejette la thérapie de Freud, je ne vois que l’arrivée d’un dictateur, un vrai, un Kim Jong-un en pire, qui mettra tout le monde d’accord.  

vu à travers le tube • la terrible nouvelle…

La nouvelle du jour, l’information la plus importante, bien au-delà des joutes israélo-hamassiennes, ukraino-russiennes et de la vengeance de la nature dans le nord de la France, c’est l’exclusion – temporaire - de sa secte, de l’insoumise Garrido qui a cessé de se soumettre - le temps de trois ou quatre mots - au Grand Prêtre de l’Inquisition mélenchienne, Mélenchien en personne. Alors que la devise de ces tarés, c’est INSOUMISSION, même ses membres influents n’ont pas le droit de s’insoumettre, surtout à l’égard du gourou, ce qu’à fait notre pauvre Raquel. Ce crime de lèse-majesté lui a valu une infâme punition. Elle sera désormais montrée du doigt et jetée, nue, en pâture à la foule déchaînée. Quatre mois sans pouvoir se montrer au côté de Panot et Rousseau. Waouh ! Quelle abomination ! Comment la France va-t-elle pouvoir se passer de ses Trois Grâces, dont le tableau orne si bien le célèbre hémicycle bien inutile depuis si longtemps ? Et pendant ce temps, Dupond-M. vocifère devant ses juges et les fixe d’un regard noir, comme dans Carmen. Et aussi pendant ce temps, le Sénat papote sur l’immigration, alors que ce que veut le peuple, c’est sa mort sans aucun délai. Et puis, il y a aussi le renvoi de Cédric Jubillar devant les assises, pour l’assassinat supposé de sa femme Delphine, dont le corps a disparu il y a trois ans. Et si ce corps était au Paraguay ou au Caucase, avec le corps de son amant ?

vu à travers le tube • annecy, ses turpitudes et ses fantasmes…

Le maire d’Annecy, coïté aux écolos, organise, ce matin, un « rassemblement citoyen » pour remplir les coquilles vides, sans doute parce que personne ne sait qu’un malade mental que l’on met en prison alors qu’il n’y a pas de place, a tenté de poignarder quatre bambins et deux vieillards. Depuis le 8 juin - 4 jours - on nous serine, on nous embrouille, on nous emmerde avec un malade et un inconscient qui lui a donné un coup de sac à dos. La Justice ne passera pas parce que la Justice, c’est du vent rempli de vide qui n’a jamais pris connaissance des comportements humains. Et pendant que la foule suppute des âneries, le Roi de France a les mains libres et poursuit son chapelet d’humiliation à l’égard des français qui jouissent de bonheur sous le joug du fouet. Je ne savais pas, qu’avant de mourir, je verrais un tel spectacle de désolation. La coquille est vide. Les vivants-morts rampent sur les sables mouvants. Les pensées quittent les cerveaux. Quand je ne prends pas mon café chez Leclerc, je m’installe à la terrasse du café face à la Maison de la Presse et je regarde. Les filles boudinées. Les vieux chancelants. Les bébés maltraités. Les collégiens arrogants. Le spectacle du malheur sous mes yeux qui me renvoie à « Los Olivados » du génial Bunuel. L’horreur est là, tout près de moi. Et pourquoi ? Parce que, depuis que le monde est monde, sa construction s’est opérée sans tenir compte du facteur humain, du fonctionnement du psychisme qui détermine les comportements. Et le refus absolu de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser, laisse l’univers sans voix et amplifie la régression de ce que nous appelons la vie. Personne ne veut comprendre que vivre vivant, c’est plus facile que de vivre mort.      

vu à travers le tube • une affaire de psychisme…

24 heures que cela dure. 24 heures qu’on me répète sans relâche que des enfants ont été poignardés à Annecy, sur les bords du lac et que mon travail est d’avoir de la compassion et de pleurer à chaud de larmes. Merde alors ! Zemmour a dit une petite part de la vérité et on veut l’assassiner. L’immigration est un problème gravissime et pourtant il y a pire. Il y a la santé mentale de toutes personnes dont personne ne parle. Le syrien est gravement atteint psychiquement et c’est tout. Nous sommes tous malades à un certain degré et celui et celle qui va se flageller sur les lieux du crime, peut, dans l’instant, reproduire la même exaction parce que nul n’est sain d’esprit. Le Roi qui laisse la France de désintégrer va, lui aussi, faire le voyage à Annecy, politique oblige. Société de merde. France de merde. Je l’ai dit. Je le redis chaque matin. Je le répète pour la énième fois. La solution n’est ni Macron, ni Mélenchon, ni les imbéciles à venir, mais le soin permanent de notre psychisme en poussant la porte du cabinet de Freud (*) pour y chercher son miroir, le trouver, si regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien d’autre. RIEN D’AUTRE. Personne ne veut entendre. Tant pis. L’affaire d’Annecy est reconductible et le sera obligatoirement. D’autres affaires beaucoup plus sordides se généraliseront obligatoirement. Tant que l’homme restera un inabouti psychique, tout continuera et tout s’amplifiera. Je n’y peux rien. Rien. Absolument rien.

 

(*) - « Les triomphes de la psychanalyse » par Pierre Daco (Marabout poche)

- « En Thérapie », une série de Eric Toledano et Olivier Nakache (2 coffrets DVD)  

vu à travers le tube (bis) • le pays où l’on tolère les meurtres d’enfants…

4 enfants et 1 adulte, poignardés par un syrien, en pleine matinée au bord du lac d’Annecy. Pas un jour ne se passe sans que la France soit entachée de sang, parce que la folie s’est emparée de la quasi-totalité de la population et de ses dirigeants. Au lieu de l’arrêter, il fallait tuer l’homme sur le champ. Et puisqu’il est vivant, il ne faut pas le juger, mais l’enfermer à vie. Les problèmes de la France - et d’ailleurs - ne sont que des problèmes psychiatriques. Les pensées sont lézardées, fracturées et moribondes. Les lois, les châtiments et les leçons ne changeront rien. Rien. Absolument rien. Il faut soigner la maladie à la racine. Il faut cadrer, encadrer et encadrer encore. Freud et rien d’autres. Désolé ! Toutes les autres propositions ne sont que des pipis de chats dans un égout percé.  

vu à travers le tube • quatre sujets semblables : la misère !

L’enfant qui a tué son professeur n’est qu’un grand malade dont le psychisme est détruit. Et - comme pour Palmade - tout le monde y va de sa mise à mort. Les mêmes qui défendent le taureau, veulent la mort de tout ce qui les dépasse par leur ignorance abyssale. L’enfant semble ne pas avoir de parents. La femme coupable a encore pondu sans savoir, sans savoir que mettre un enfant au monde est une terrible responsabilité et qu’il est plus que nécessaire d’assurer le service après-vente. Des millions de gens sont prêts à tuer pour réaliser les tourments de leur inconscient. Et ceux qui ne passent pas à l’acte, vivent avec la désespérance de leur traumatisme. Aussi, les donneurs de leçons, les champions de l’ignoble morale, svp, fermez-la et fermez-la pour toujours.  

 

Et le jour de gloire est arrivé pour le clown trafiqué Zelenski, qui, du haut des pyramides, contemple son cheval blanc pour fêter l’anniversaire, jour pour jour, de la pugnace résistance d’une grande partie du monde contre le Tsar qui en est resté à Yvan le Terrible, en moins grandiose et en moins visible. Et ce monde est dans la même situation que l’individu face à un pervers. C’est sur le champ et dès les premiers instants, qu’il faut le fuir ou le maitriser. Un an d’invectives et de combats. C’est trop tard. Le mal est fait. La guerre est inéluctable. La bombe est sur le point d’éclater. Il est temps. Voilà qui va régler le problème de la civilisation qui ne cesse d’étouffer.

 

Ce soir, les Césars, où va se congratuler le monde d’à côté. On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même.

 

Il paraîtrait que des élus s’inquiètent - je n’ai jamais vu un élu s’inquiéter de quoi que ce soit, sauf de sa réélection - des bouchons sur les routes des stations d’hiver. Ils n’ont pas de solution. Moi j’en ai une, une facile à mettre en place et qui ne coûte pas un centime : supprimer les tire-fesses (on dit aussi : remonte-pente). Quand on est capable de descendre sans l’aide d’une IA (intelligence artificielle) ou robot mécanique, on peut remonter avec ses pieds, c’est excellent pour la santé. Plus de tire-fesse, plus de bouchons et plus de gens dans la détresse qui dépensent l’argent qu’ils n’ont pas !

vu à travers le tube • ça débloque…

Un monde de magie qu’envierait le grand Houdini. On a eu droit pendant dix jours successifs, 24h/24, sur toutes les radios et toutes les télés, les mots les plus orduriers et la condamnation à mort de Palmade, l’horreur incarnée et, subitement, d’un coup de baguette magique, l’affaire Palmade s’est tue. Il n’y a plus d’affaire. Depuis hier, 10h, ces mêmes radios et télés ont retourné leur veste en décapitant un enfant gravement malade qui a poignardé sa prof d’espagnol, ceci en continu et sans reprendre son souffle. Très curieux cette chose parce que personne ne sait. Quand on ne sait pas, on se tait. Et quand il y a un meurtre, ce qui est tout naturel dans une société de psychopathe - dirigeants et peuple -, on attend de connaître les tenants et les aboutissants avant de se faire une opinion et de venir la hurler dans les débats radios et télés, tous aussi ignobles les uns que les autres. Et où les bras m’en sont tombés et que j’en suis tombé sur le cul, c’est quand j’ai entendu Charlotte d’Ornellas nous raconter - en direct - que cet enfant meurtrier pourrait être victime du démon et que ses parents auraient dû le faire exorciser. Putain ! Elle est débile Charlotte. D’autant qu’elle y croit dur comme fer. Le discernement n’est plus. L’homme n’a plus de propre. Quand va-t-on remettre les pendules à l’heure ? Quand va-t-on s’occuper du psychisme de l’homme ? Quand va-t-on comprendre que la société, la famille, la religion, anéantissent tout et détruisent l’homme irrémédiablement. C’est pourquoi nous devons délaisser les sectes politiques et religieuses et travailler à notre propre rénovation, chacun chez soi. Quand nous aurons compris que l’autre n’est pas, qu’il n'ait que le fruit de notre pensée, notre autre autre, nous ne pourrons avancer et les crimes physiques et psychiques se perpétueront jusqu’à ce qu’enfin, l’ultime bombe explose sur notre tête et nous délivre de la crasse de ce monde qui n’aura servi à rien.    

vu à travers le tube (bis) • fusillade à paris…

Je n’ai pas envie d’entrer dans les détails. Le coupable, le tueur, le criminel - pas le suspect comme l’indiquent toutes les presses - est un récidiviste. Il venait de sortir de prison. A 69 ans, il possédait encore une arme très active et une cervelle vermoulue. Il est évident qu’il ne connaît pas Freud et que puisqu’on en est toujours au même point, il faut condamner le Roi de France Micron II qui parcourt tous les pays du monde - à nos frais - pour dire d’immondes conneries au lieu de s’occuper de la France et des français. Quant à l’assassin, il faut le mettre dès aujourd’hui - sans jugement - dans un avion et le jeter au milieu de l’Atlantique. Les requins ne pourront que mieux s’en porter. Tout est dit… pour cet après-midi…   

vu à travers le tube (bis) • scala, boite de nuit et pouvoir...

Meyer a présenté la nouvelle saison de la Scala. Je ne savais pas que Chailly dirigeait encore et que l’on osait comparer Kaufmann à Eyvazov. Netrebko y revient dans Macbeth comme si Lady Macbeth était Netrbko. À part cette non-révolution, le train-train.

 

30 minutes de débats sur Cnews sur la femme à la boite de nuit que le méchant monsieur - jamais condamné - a étranglé, puis frappé, puis violé, à moins que ce ne soit avant. Question cruciale : est-ce un fait divers ou un fait de société ? Pour moi, ce n’est que le fait que tout individu normalement - si l’on définit la normalité - constitué devrait être dans son lit à 4 heures du matin. Et puis, les débatteurs se sont demandés s’il était nécessaire de le mettre entre les mains d’un psychiatre. La majorité a contesté parce que dans ce cas, on ne pourra pas le juger comme on juge un loup qui a mangé un agneau. Je n’ai jamais entendu, comme je n’entends jamais à la télé dans les débats comico-dramaturgiques, le mot Freud et sa psychanalyse. Dans tous les cas, même celui-ci, c’est sûrement mieux que Doliprane ou Vaccin Covid.

 

Le Brésil a un nouveau Roi. Je me réjouis que l’ancien ait été viré, mais je ne me réjouis pas qu’il y ait encore des pays où l’on nomme des Rois.   

vu à travers le tube • dans les méandres de la vie incomprise…

La question qui turlupine le monde entier est de savoir si Justine Vayrac a été droguée avant d’être violée et tuée. Sans réponse, le monde va tomber en dépression et les morts-vivants qui le composent vont devenir des zombies décérébrés-dévertébrés. Comme je suis d’un autre temps et d’un autre monde, je me fiche de la réponse qui n’apporte rien à la poursuite de mon chemin de vie et je réitère : Justine avait 20 ans, un enfant de 2 ans et elle n’avait d’autres loisirs que de fréquenter les boites de nuits jusqu’à 4 heures du matin, heure à laquelle je m’apprête à me réveiller. Elle a choisi le danger et c’est sa liberté. Tout choix comporte des conséquences. Soit, elle savait, soit elle était naïve. Peu importe. Sa mort n’est que la conséquence de ses actes. Et la pleurer est stupide parce qu’il y a mille choses plus importantes dans la vie qui n’est qu’une belle pochette surprise quand on nage dans l’ignorance permanente.    

 

C’était cousu de fil blanc. À Marseille, c’est bien la mère qui a tué son enfant autiste. Tant que la société n’aura pas compris qu’être parent est un métier, une profession à part entière, des drames de ce genre et beaucoup d’autres se multiplieront. S’occuper et mettre sur le chemin de la vie un enfant autiste n’est pas de tout repos. Être avec lui, être lui, se travaillent, s’analysent, se construisent. C’est une réflexion et un dialogue de tous les instants. Il faut aux parents une force psychique vertigineuse pour faire face, à moins que l’amour l’emporte sur l’immensité des difficultés. Si cette femme avait consulté Freud et entrepris une analyse de longue durée dès l’apparition du fœtus vu dans l’échographie, elle ne serait pas dans la détresse aujourd’hui et en prison probablement pour un bout de temps. J’espère que la justice la placera en hôpital psychiatrique. Et ne venez pas me raconter que je divague. Je suis et je sais. Je sais ce que c’est que d’avoir un enfant handicapé et condamné à court terme par la médecine.

 

Marnie est une menteuse et une voleuse frigide. Elle prend ce qu’elle devrait laisser et garde ce qu’elle devrait donner. Elle est revenue, hier sur Arte, 60 ans après. Elle n’a pas pris une ride et j’ai pris un immense plaisir à revoir cette enquête policière pleine de suspens, concoctée par un des plus grands cinéastes de l’histoire du cinéma, le maître de la psychanalyse, Alfred Hitchcock. David Lynch est bien son digne successeur.

le puits au fond du jardin • justine et lucas…

 

 

Justine Veyrac est cette jeune femme assassinée par Lucas après sa soirée, sa nuit et son petit matin, passés dans une boite de nuit où on y rencontre obligatoirement l’alcool, la drogue, le sexe. Les hommes y vont pour draguer, les femmes pour se faire draguer. Mais les gens bien comme il faut - je n’en suis pas un - affirment qu’ils y vont pour danser, danser essentiellement sur des valses de Strauss et des menuets de Mozart. Et depuis l’évènement, encore aujourd’hui et toute la journée, les chaînes d’infos continues ne parlent que de ce roman sordide qui est rabâché depuis le début des temps. Justine est coupable comme est coupable Lucas. Il ne s’agit plus que d’une affaire de justice. Aussi il serait temps de cesser de nous importuner avec ce fait divers qui n’est plus à l’ordre du jour.   

vu à travers le tube • deux affaires bien étranges…

Curieuse cette agression sexuelle à Roanne sur une fillette de 6 ans par un Guinéen de 16 ans (*). Le père de l’enfant qui a frappé le soi-disant violeur - il nie et rien n’est prouvé - à un lourd passé judiciaire derrière lui, 4 ans de prison dont 1 avec sursis - ses amis violents aussi - et interdiction de séjourné à Roanne. Tout repose sur les déclarations de la mère qui se serait retrouvée nez à nez avec le supposé coupable, au 1^e étage, dans la chambre adjacente à la sienne. Et les presses, toutes confondues, ne commentent que la mise en examen du père et de ses complices qui se sont crus dans un western hollywoodien. Personne ne parle de la petite fille qui - si les faits sont exacts - sera traumatisée à vie si elle n’entreprend pas, le moment venu, une longue analyse freudienne. Je ne suis ni Maigret, ni Columbo, mais je ne trouve pas de logique dans cette affaire qui ressemble un peu trop à une pulsion punitive du Ku Klux Klan si cher aux américains. Bien sûr, comme vous, je ne sais rien, mais…

 

Et puis l’autre affaire, celle de Justine. Le coupable a avoué. Ce n’est plus qu’un crime comme il y en a des milliers. Moi, ce qui me dérange, c’est que personne ne trouve à redire sur le fait qu’une jeune femme de 20 ans, belle et attirante, mère d’un enfant de 2 ans - où était-il cette nuit-là ? -, séparée du père, en couple avec un nouveau copain, puisse se trouver seule en boite de nuit - le lieu de tous les dangers - à 4 heures du matin et parte avec un demi-inconnu, le suive chez lui, fait l’amour ou se fait violer avant qu’il ne l’assassine. Peut-on être naïve à ce point ? Je réitère : dans un conflit - ici un crime - chacun des deux protagonistes est coupable à 100%. Et les stupides, néfastes et inutiles marches blanches n’y changeront rien.  

 

(*) https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/loire/roanne/agression-sexuelle-d-une-fillette-a-roanne-le-pere-de-famille-qui-s-est-fait-vengeance-a-un-lourd-passe-judiciaire-2644100.html

vu à travers le tube • lola ou le triomphe du voyeurisme…

Je ne suis d’aucun parti, ni de droite, ni de gauche, ni du centre, ni des extrêmes, ni des indépendants, ni des non-inscrits. Je ne vote plus depuis près de trente ans. Voter est indécent et demande à choisir son bourreau. Je suis un homme libre, libre par la pensée et libre par l’action. Bravo Marine Le Pen qui hier à l’Assemblée a réussi un coup de maître : montrer au PR ses contradictions, ses stupidités, ses erreurs, sa lâcheté et dire à Nupes qu’elle lui chie à la gueule. Bravo, bravo et encore bravo. Les qualificatifs que j’attribue au PR se retrouvent dans tous les étages de la société, particulièrement hier où l’indécence la plus totale a recouverte la France toute la journée. Lola ! Lola ! Lola ! Toutes les radios et télés ont passé leur journée à commenter - c’était le jour de ses obsèques retransmises en direct -. J’ai entendu pendant des heures des lamentations, des gémissements, des marmites de larmes et des camions-bennes d’indécences morbides qui donnent envie de faire exploser toutes ces manigances de gens bien comme il faut qui sont tous devenus des sages, des anges, parce que l’État - Micron II - n’a pas fait son travail parce que JAMAIS, il ne le fait. La mort de Lola a bouleversé des milliards de vies révoltées par l’horreur totale du crime commis. Et jamais autant de mouchoirs n’auront autant servi si bien que Leclerc est en rupture de stock. La famille exigeait - dit-on - l’intimité absolue. C’est gagné d’autant que - prune sur le cake - Darmanin, le complice, aurait été invité aux obsèques par la famille, à moins que l’on ne l’ait obligé. Répéter en boucle le destin pourri d’une enfant, en insistant bien avec voyeurisme, est-ce une marque de respect et d’humanité envers celle qui a quitté la vie ? L’homme a encore du chemin à faire avant que son psychisme aboutisse. La mort tragique d’une enfant commentée par des enfants qui se sont trompés de chemin.      

le puits au fond du jardin • phénomène…

 

Il y a une guerre en Ukraine, des marmites de 49-3 en France, plus de Premier ministre au Royaume uni, une révolte des femmes en Iran, des viols continus en Afghanistan, et la presse écrite, les radios et télés ne parle que de Lola depuis une semaine en s’écharpant violemment sans que personne ne sache pourquoi. C’est donc quoi ce nouveau phénomène qui nourrit les pensées affamées ? Moi, je ne vois pas…  

 

le puits au fond du jardin • lola…

 

Lola par-ci, Lola par là, Lola hommage, Lola récupération, Lola, Lola, Lola ! Toutes les radios et télés ne parlent que d’elle 24h/24 et c’est à celles qui diront le plus d’insanité. Lola a été assassinée odieusement par une algérienne qui aurait dû se trouver en Algérie. Point. Les coupables sont les autorités françaises, c’est-à-dire Micron II Roi de France, monarque dictateur. On ne peut qu’espérer que la suite sera à la hauteur de la douleur des parents de la victime. En attendant le mot fin, je ne vois pas ce qui reste à dire, sinon qu’en place du Roi, c’est de Freud que la France a besoin. Mais qui peut comprendre ce que je dis, l’ignorance triomphant à tous les coins des rues et à tous les étages. Le noir de la nuit noire comme de l’encre est tombé. C’est fini.   

vu à travers le tube • il doit y avoir un truc !

Ceux qui pensent que le crime de Lola aurait pu être évité sont priés de se taire, ont hurlé les gauches et le monstrueux Dupond.M.. Lola a été assassinée et plus par une algérienne interdite de séjour sur le sol français. C’est tout. Tout est dit. En France, les crimes, les viols, les agressions en tous genres, se succèdent à une vitesse supersonique et l’État - en France l’État, c'est le Roi et rien que le Roi, Micron II en ce moment - ne serait pas coupable de ses négligences, de son incompétence, de son arrogance ? Si tous les interdits de séjours et les islamistes prêcheurs de haine étaient ailleurs, 70 à 80% des délits n’auraient pas lieu. Si au lieu de déifier Benzema - un inutile qui fait mumuse avec baballe - le Monarque absolu montrait Freud en exemple et la criminelle serait une femme ordinaire comme vous et moi - pour moi, dans le genre homme évidemment -. Elle aurait - il y a une dizaine d’années - poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Elle aurait maitrisé ses pulsions et aurait continué tranquillement le chemin qu’elle aurait été capable de se choisir. Le monde entier s’offusque de ce crime qui dans nos conditions de vie ne me semble pas tout à fait anormal. Le monde est fou. Tout le monde en convient. Un monde fou est un monde d’excès dans un sens comme dans un autre. Cette femme n’a pas à être jugée ni condamnée. Elle doit être internée dès aujourd’hui chez les fous, sans espoir de retour, et ceci parce que jamais quiconque ne lui a dit qu’il existait une thérapie psychanalytique conçue pas un grand homme nommé Sigmund Freud, thérapie qui n’a pas été faite pour les chiens ou les crapauds. Par contre, on lui a dit que Benzema était le Sauveur que le monde attend depuis plus de quelques milliards d’années ! Le Sauveur, le vrai, l’authentique, il est là, sous votre nez. Freud, rien que Freud. Mais nés aveugles et sourds, comment le sauriez-vous ? La délitation du monde se poursuit et vous écoutez Mélenchien et Rousseau et vous votez Micron. Il doit y avoir un truc !  

vu à travers le tube • psychisme…

L’hystérie Benzema d’un côté et la folie du meurtre sadique d’une enfant de 12 ans de l’autre côté, laisse à réfléchir sur l’état de décomposition de la société et sur l’extrême imbécilité et ignorance de ceux qui la dirigent et de ceux qui la composent. Nous sommes tous complices du meurtre de cet enfant parce que ses parents d’abord et l’État ensuite n’ont pas su la protéger. Dans cet immense champ psychiatrique qu’est le monde, on ne laisse pas une fillette de 12 ans vaquer librement (parents) et on expulse sur le champ une personne interdite de territoire (État). Rousseau est enfin contredite. Les hommes ne sont pas tous des salauds. L’horreur aujourd’hui vient de la femme, une femme dont les origines ne sont pas les nôtres. Nous sommes tous coupables parce que nous laissons tous s’installer la haine et la violence gratuite : pas un jour sans agressions ou meurtres, pas un jour sans échanges violents chez les politiques, dans les familles, entre religions et sur et hors les terrains de foot chers au héros sans fait héroïque Benzema. L’homme, quel que soit son rang, reste inabouti. Son psychisme s’est arrêté avant le stade adulte et aucun chirurgien ou épidémiologiste ne peut y faire quoi que ce soit. Encore moins Micron II Roi de France qui lui s’est arrêté très bas. Je suis désolé de me répéter, mais sans avoir poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, l’homme restera enfant et ne pourra jamais assurer son authenticité qui ne peut se manifester que s’il a appris à relier son conscient à son inconscient. Le monde est mené par le bout du nez par des psychismes altérés et la foule applaudit à tout rompre. Qu’y puis-je ? Moi j’ai fait ce que je devais faire et je regarde tous ces vivants morts descendre dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin.      

vu à travers de tube • « crimes de guerre ! » avez-vous déjà vu des guerres sans crimes ?

Les russes ont bombardé une caserne où les valeureux soldats ukrainiens dormaient. Ils sont passés du sommeil à la mort. Avez-vous déjà vu des soldats dormir dans une caserne en temps de guerre ? Pour la guerre de 14-18 mon grand-père était à Verdun dans les tranchées. Il ne dormait pas. Il tremblait sous les bombes jusqu’à ce qu’il s’en prenne une dans le pied. Et parce que l’armée russe bombarde des casernes où dorment des militaires, des théâtres où se jouent des pièces, des hôpitaux où il y a des malades et des mourants, des maternités où il y a des enfants à naître, des enfants qui naissent et des enfants nés, Poutine est accusé de crimes de guerre. Ah bon ! Je ne savais pas que la guerre n’avait pas été inventée pour tuer soit commettre des crimes. Si on ne veut pas de crime de guerre, on n’en fait pas. Et pour ne pas faire de guerre, il ne faut pas construire et vendre des armes pour faire la guerre. Qui est coupable dans une guerre ? L’homme crétin et abruti, c’est-à-dire nous tous. NOUS SOMMES TOUS COUPABLES ET NOUS LE SERONT TOUJOURS ! Pleurer les morts ne sert à rien. Il fallait y penser avant. Et que les gros nazes débiles qui veulent débaptiser le collège Soljenitsyne parce qu'il aurait copulé avec Poutine aillent se faire voir - qui n’a pas copulé avec Poutine ou avec les dictateurs visibles et invisibles de ce monde ? -. Et que les autres gros débiles nazes qui veulent mettre à mort les chefs de guerre commencent par le plus célèbre et le plus pourri d’entre eux : Napoléon qui a massacré des milliards de gens qui ne lui ont rien fait. La guerre, c'est la guerre. Et si elle n’a jamais cessé de sévir, c’est parce que nous le voulons bien. Pourquoi ne vous demandez-vous jamais pourquoi l’homme n’est qu’un enfant inabouti qui aime jouer aux soldats de plomb en rêvant qu’ils sont de chair ? Si vous ne le savez pas, moi je le sais. Et si vous voulez connaître ma réponse, demandez le moi. Je vous répondrai, bien qu’il suffise que vous alliez sur mon blog où sur ma page personnelle facebook. C’est écrit tous les jours en toutes lettres.