200 djihadistes barbus et armés de couteaux à découper les ventres ont été libérés en compensation de la libération de la vieille dame Sophie Pétronin, âgée de 75 ans. Ben quoi ? Il faut y mettre le prix si l’on veut redonner la liberté - seule raison de vivre - à cette remarquable personne qui aura tenu 4 ans dans les geôles de gens peu recommandables, même si elle affirme qu’elle a bien été traitée. Mais ses paroles ne peuvent être prises à la lettre, car, là-dessous, il y a la broyeuse, la machine politique que vous tous entretenez en allant voter. Curieux ce Roi de France, connu pour la mouvance extrême de sa langue de vipère, qui n’a pas prononcé un seul mot dans le micro, à la descente - de l’avion - de la dame ! Nous ne savons RIEN sur cette affaire et nous n’en saurons jamais rien. Mais, Sophie Pétronin est libre. Et c’est bien l’essentiel.
Comme il n’y a plus personne dans les trains, la SNCF qui n’aime pas travailler à perte, les laissent au dépôt au mépris du service publique qui n’a pas à tenir compte des décisions criminelles du Roi de France et de sa cour de godillots qui travaillent méthodiquement les cerveaux des français à l’exercice de la soumission absolue avant l’installation officielle de la dictature et en prenant pour prétexte un virus qui se promène tranquillement parmi ses milliards de collègues. Et c’est ainsi que le nombre de voitures s’est multiplié sur les routes de France, comme sous ma fenêtre où le boulevard avec ses dix ronds-points - un tous les cinquante mètres - voit rouler - ou se mettre au point mort - dix fois plus de voiture qu’il ne peut en contenir. Je ne dis jamais : « Saloperie de virus ! ». Je dis toujours : « Saloperie de Roi de France et saloperie de français qui votent pour des Rois ! »