Affichage des articles dont le libellé est pécresse. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est pécresse. Afficher tous les articles

jeudi 9 décembre 2021

vu à travers le tube • le retournement de veste…

Hidalgo a retourné le vide qui remplit sa pensée.  Voilà qu’elle réclame une primaire à gauche. Hidalgo est morte. La gauche est morte. Comment réunir tous ces morts qui grouillent et croupissent dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Et cela ne veut pas dire que les vivants de la droite ne sont pas morts. Mon puits est plein. C’est donc qu’il y a du monde. Les français sont des lâches et moi aussi. Comme moi, ils se font injecter des produits chimiques sans rechigner alors que les milieux autorisés commencent à affirmer - en code secret - que les vaccins ne servent à rien et le pass encore moins. Covid n’est pas une affaire sanitaire. Covid est une affaire politique qui va largement participer à la réélection du Roi de France. Moi, si je me suis laissé remplir de produits chimiques, c'est que j’ai une excuse qui n’en ait pas une : je veux continuer à aller à l’opéra et au bistro et au restaurant. Si les hôpitaux déclenchent tour à tour le plan blanc - les plans sont rouges à Twin Peaks - c’est que le Roi de France les a amputés de la moitié de leurs lits. C’est simple et c’est tout. Le président du Conseil de Guerre, un anorexique, annonce la quatrième dose. Il n’a même pas le courage de compter jusqu’à quatre-vingt-dix-sept. Et voilà qu’on annonce l’arrivée de la grippe. Cette fois, c’est non. Je cède ma place pour son vaccin comme je le fais depuis 78 ans. Et puis, le Roi de France va encore parler cet après-midi. Il n’a rien à dire. Il va occuper l’espace public en espérant faire oublier Pécresse. Je ne vois pas pourquoi il s’inquiète. Macron 1 est déjà Macron 2.

mercredi 8 décembre 2021

vu à travers le tube • ça ne veut rien dire…

Ça ne veut rien dire mais ça veut tout de même dire. Je me plais à me dire que ça veut dire même si ça ne veut rien dire. Ce n’est qu’un sondage. Pour la première fois depuis sa naissance, l’enfant immature inabouti Roi de France Macron 1 futur Macron 2 se fait battre et risque sa tête comme son illustre prédécesseur confère de la confrérie des Louis. Et de plus, cerise sur la tarte au citron, battu par une femme alors que depuis toujours il n’est battu que par sa maman qu’il a épousée, une femme. Cocasse est la situation. Je suis ant-Pécresse comme je suis anti-Macron comme je suis anti-Mélenchon, comme je suis anti-Zemmour comme je suis anti-Jadot comme je suis anti-Les Restes. Je suis anti-Roi. Je suis anti-Dictateur. Je suis anti-Monarque. Je suis anti-Président. Je vomis cette race. Je suis pour que des pensées intelligentes avisées et décrassées inventent la Démocratie. J’attends alors que je sais que je vais mourir bien, bien avant, tout en sachant que jamais - jamais - la Démocratie sera inventée. C’est pourquoi voter est un crime, le plus horrible des crimes, tout aussi horrible que de mettre au monde un enfant qui ne l’a pas demandé. Je vous laisse à vos réflexions qui devraient être capable - je suppose - de réfléchir.     


samedi 4 décembre 2021

vu à travers le tube (bis) • sans doute un duel sanglant…

Pécresse investie. Exit les Mélenchon, Le Pen, Hidalgo, Jadot, Zemmour, socialos, communistes, et autres racailles. Il ne reste que l’enfant Roi de France qui va se retrouver - je le pense - face à une femme, lui qui n’a connu que sa maman. Il va avoir très peur et le débat va être sanglant. J’espère de tout cœur qu’elle va le pourfendre définitivement et que la France sera débarrassée de ce petit prétentieux incompétent. Je ne voterai pas Pécresse. Je suis de gauche et le seul spécimen qui reste en France et sans doute ailleurs. Je ne voterai pas parce que j’attends celui ou celle qui osera inventer la Démocratie pour retourner aux urnes. En attendant, je me contenterai, comme je le fais depuis presque trente ans, de regarder, d’observer et de donner mon avis.  


vendredi 24 septembre 2021

vu à travers le tube • les vivants et les morts

Hier soir, ma télé était infectée de morpions dont certains vont se transformer en virus. Quatre débatteurs ont débattu, rebattu, abattu, je veux dire débité des flots de mots en non-lien, des mots rebattus et abattus déjà entendus en boucle depuis Clovis et même sans doute avant. Quoi de plus semblable que deux morpions ? Ils étaient quatre : Mélenchon, Pécresse, Zemmour, Darmanin. Ils auraient pu être cinq, quinze ou trente-cinq. Le propos n’a toujours pas changé : chacun d’entre eux est le meilleur et chacun d’entre eux veut votre bonheur et est prêt à sacrifier sa vie pour que vous soyez le plus beau, le plus fort, le plus jeune, le plus riche, le plus tout ce que vous voulez. Ne jamais oublier la triste histoire de Faust qui a cru les mots de Méphisto. Triste pays où l’on croit encore au Père Noël. Il y en a même qui croient encore en Dieu. J’ai zappé quelques dizaines de minutes entre les deux programmes puis je suis allé très vite sur Mezzo Live ou j’ai vu et entendu le London Symphony Orchestre et Rattle puis la lumineuse Yuja Wang. Il y a tout un monde entre ceux-ci et ceux-là. Il y a les vivants et il y a les morts.