L’auteur de bandes dessinées, Bastien Vivès, est accusé de diffuser des images pédopornographiques par quelques sauvages préhistoriques ignorants dont le psychisme a oublié de naître. Ils n’ont pas lu le philosophe universel - le plus grand de tous les temps - Donatien Alphonse François de Sade qui a exploré à fond le sujet. Ils n’ont pas lu, écouté et vu le Ring de Richard Wagner où un frère et une sœur - des jumeaux - vont s’aimer et donner vie à un petit Siegfried qui tombera amoureux de sa tante Brunehilde et copulera beaucoup avec elle avant de la tromper avec une naïve étrangère. Le monde de la sexualité - moteur fondamental de la vie - est complexe et indéfini. Vouloir le censurer est un acte criminel contre la liberté, dans tous les sens du terme. Les imbéciles qui veulent la mort de Vivès feraient mieux de parcourir les milliards de chaumières où l’inceste est la règle absolue. Et si vous voulez en savoir plus, il vous suffit de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher votre miroir, le trouver, vous y regarder, vous y reconnaître et le traverser. Vous saurez alors que les comportements humains ne peuvent être inscrits dans la Constitution ou dans le Catéchisme.
