Je ne sais pas si vous avez remarqué que depuis l’arrivée au pouvoir du Roi Macron I puis Macron II, la France est entrée dans l’ère des catastrophes qui semblent s’installer et ne plus vouloir quitter notre pays où ça marche si bien. Tout cela a commencé par l’égorgement de la droite et de la gauche en même temps, les deux piliers d’un semblant de vie démocratique alors que nous sommes sous le régime de la monarchie. Puis Covid est arrivé avec son régime totalitaire et tous ses satellites dictatoriaux. On a découvert que, depuis leur création, les EHPAD n’étaient que des mouroirs pour vieux encombrants et tout récemment que les prisons étaient un lieu de divertissement très rigolo, ce qui a fait redoubler la vigueur de la racaille qui, voulant en profiter, redouble de violence avec une impertinence rarement égalée. Puis la météo est entrée dans le jeu et commence un long – très long – processus d’élimination devant lequel personne ne peut trouver de solution. Et cerise sur le baba au rhum - et non sur la tarte aux pommes, comme la semaine dernière - une guerre en Ukraine nous tombe du ciel alors que nous ne sommes pas concernés, ce qui arrange bien les affaires du Roi fatigué puisqu’il va pouvoir très prochainement décréter l’état d’urgence et décider de tout sans que quiconque - même pas Mélenchien - ne puisse contester. Enfin, l’ado inabouti qui a épousé sa maman, va réaliser son rêve : être en même temps - et officiellement - Napoléon et Ivan le Terrible. Je ne peux conclure ce chapitre sans oser vous dire tout de go : « Français, réveillez-vous ! » Encore des mots écrits dans le vide qui ne servent absolument à rien, car jamais personne n’a réussi à réveiller cette population qui collectionne les héros en carton-pâte et dont on bourre la tête des enfants des écoles.
Le PSG a écrasé Lille qui a disparu de la carte. C’est la troisième ville en trois semaines. Je croyais que l’on mettait les délinquants - ici, les criminels - sous les verrous où l’on rigole tant. Je serais le maire de cette ville - où des prochaines écrabouillées -, je ne donnerais plus un centime de subvention à mon club de foot tant que les règles n’auront pas changé. En ligue 1, comme à tous les niveaux, chaque équipe devrait avoir un budget identique sous peine d’exclusion. Et puis, je serais « les français », je ne tolèrerai pas que le propriétaire du club ne soit pas de notre nationalité. Le PSG est une honte, la honte de l’esclavage au Quatar, doublée de la honte de la surabondance du fric pour des petits cons qui tapent dans un ballon.