
Les enfants
ne sont pas sages parce que les parents sont des enfants. La haine d’Israël, le
soutien à Zelenski le corrompu, la sournoiserie entre Dati et Barnier, les « Je
vous salue Marie » adressés à Panot et Rousseau, la complaisance perverse vis-à-vis
de Mélenchon le frérot des Jim-Kong, la non arrestation de Macron pour
trahison, l’impossibilité de couper l’arbre et de sectionner le doigt qui
interdit de lever le rideau qui cache la forêt et la lune, sont le faits d’enfants
éjectés depuis peu des ventres des femmes coupables, d’enfants qui sont
toujours enfants en fin de vie, d’enfants vivants morts pour ne pas être des
morts-vivants, d’enfants se croyant héros de bandes dessinées ou de contes de fées,
sans savoir qu’ils ne sont pas, parce que les enfants qui leur ont donné la vie
n’ont jamais su où était l’entrée du chemin qui mène sur l’autre rive. Le monde
des enfants ignorants et méchants touche à sa fin. Plus que quelques guerres,
quelques milliers de meurtres et de viols, plus que quelques tonnes de marmites
de mensonges et le crépuscule des dieux et des enfants - Wagner avait suggéré « homme »
- surgira du fond des océans. Et le monde s’arrêtera et l’autre – un autre pas
meilleur - commencera.
Ah si l’enfant
avait voulu rencontrer Freud ! Les enfants vivants morts vivraient et
deviendraient des hommes.