Affichage des articles dont le libellé est freud. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est freud. Afficher tous les articles

lundi 27 octobre 2025

le puits au fond du jardin • flamme…

 



 

En Argentine, la gauche l’a eu dans le baba. D’autres diraient « dans le cul ». La seule question est de savoir pourquoi les Argentins sont-ils plus intelligents que nous, eux qui n’ont pas connu le roi Soleil ni l’empereur à la main dans le veston, et qui ne connaissent pas l’horreur d’avoir pour protecteur une petite vermine et sa maman concubine, épousée. Chez nous, la gauche tient le pouvoir par le nez pour ne pas dire par la partie rondelette, parfois boursoufflée. Le moindre faux pas du cornu et c’est foutu, l’Assemblée vole en éclat où alors le gouvernement fait place au suivant comme à son habitude, ou alors, encore, le monarque à terre se balance dans la Seine pendant qu’Hidalgo prend son bain contre les berges. Cette dernière solution est probablement la plus efficace puisqu’elle débarrasserait la France d’un tas de grabats qui empêche la circulation depuis huit ans. Mais rien de tout cela se passera, parce que le français n’est pas un monument de courage, contrairement à Richard Wagner qui a mis vingt ans pour construire son « Ring » qui conte la création de la vie, son apogée et son déclin, jusqu’au crépuscule des dieux et des hommes et son après plus rien. Détournez votre regard sur ces touts que vous ne voyez pas et tentez de fixer le petit bout de flamme qui s’agite et désigne, sortant du corps du petit enfant mort, tout près du poteau électrique maléfique qui porte vos centres nerveux torturés par l’inconscient qui vous habite et que vous devriez dissoudre en traversant le miroir si vous aviez poussé la porte du cabinet de Freud. Hélas, nous n’en sommes pas là. Rien ne semble vouloir perturber ce monde immobile qui stagne sur les eux croupies des étangs que la nuit efface du tableau.

dimanche 26 octobre 2025

le puits au fond du jardin • une méchante caricature de la famille addams sur les bancs de l’assemblée…

 


 

On ne joue plus à la belote, aux dames ou aux petits chevaux. On ne joue plus qu’à la course à la médiocrité, à la course aux mensonges, à la course au déni, à la course à la perversité. Et nos enfants députés jouent – quand on les autorise à sortir de leur berceau – à la déconstruction de leur jeu de construction que leurs parents avaient patiemment érigé pièce par pièce. Le jeu de dupe finira par jeu de massacre, mais au moins, ils auront joué et brisé le peuple déjà à terre depuis longtemps. Et, au XXIe siècle, il y a encore des décérébrés qui vont voter pour se faire lyncher, humilier et dépouiller. Le masochisme a encore de longs jours devant lui. Puisque personne ne veut voir et entendre, puisque personne ne veut de Freud et de sa thérapie psychanalytique, seule solution au cancer de l’humanité, il ne reste que le retour à la dictature d’Ivan le Terrible où chacun sera ficelé comme un saucisson de Lyon, aux ordres de Maitre Charcutier qui le découpera en rondelles ou en petits carrés. Il est là le destin de l’homme qui n’aura jamais su que la vie n’est que pensées sorties d’un inconscient maléfique qui aurait pu être maitrisé par le conscient psychique que l’homme ignorant n’a jamais voulu explorer. L’être humain est la verrue de l’humanité, c’est pourquoi il faut vite s’en débarrasser pour faire place nette aux herbes vertes et aux roses des prés. Je rêve de mon retour dans les déserts d’Albuquerque où n’existe que le lever et le coucher du soleil sans madame de Pompadour, et où les espaces infinis déploient majestueusement la grandeur et la beauté de l’univers qui n’a que mépris pour ces petits trucs idiots qui déambulent sur la terre, incapables de voir leur ignoble stupide stupidité.

dimanche 19 octobre 2025

le puits au fond du jardin • impuissance humaine…

Alfred Hitchcock, Psychose (1960)


 

Là-bas, de l’autre côté de l’Atlantique, ils sont tout aussi tarés. Des milliers selon, des millions selon d’autres, sont dans la rue pour contester la dictature de leur roi que la France aimerait tant récupérer. Ils ont la chance d’avoir pour maitre un homme avec des couilles, contrairement au Français qui ont un truc mal embouché, inabouti et sans sexe qui caresse les corps et porte à son bras une vieille verrue toute ridée. De quoi se plaignent-ils les cowboys fanés issus des représentations sur écrans géants des images de John Ford ? Connaissent-ils le pays où l’on y trouve une Démocratie ? Tous les peuples sont soumis à ceux qu’ils ont élus où à ceux qui prennent le pouvoir pour satisfaire leurs pulsions morbides et leurs désirs incestueux. La Démocratie n’a jamais existé et n’existera jamais, l’homme ayant le besoin viscéral d’un chef suprême dictatorial afin de se laisser guider. Regarder l’homme des cavernes. Il avait tellement peur du tonnerre et des éclairs qu’il s’est inventé des dieux autoritaires qui faisaient d’eux tout ce qu’ils voulaient. C’est ainsi que Wotan, le dieu des dieux, a provoqué la chute des siens et la chute des hommes dans son sublime « Ring ». Depuis Adam, sa pomme et son Eve, aucune société n’a fonctionné, parce que l’homme individu solitaire, ne fonctionne pas, lui non plus. Pour accéder à la liberté qu’exige la Démocratie, il faut que l’homme entretienne son psychisme comme il entretient son automobile. Il doit aller régulièrement au garage pour améliorer son fonctionnement. Et pour lui, ce n’est ni chez Citroën ou chez Peugeot, mais chez Freud, dans son cabinet, pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. S’il ne le fait pas, il finira en vieux tas de ferrailles à la casse et sera compressé comme une boite à sardine pour finir en statue de métal dans un musée californien. Au lieu de tourner le regard et de fustiger ceux qu’il met au pouvoir, l’homme ne ferait-il pas mieux de se regarder dans son miroir et de chercher ce qui ne va pas ?

 

Hier soir, sur TCM Cinéma, « Psychose » d’Alfred Hitchcock. Le maitre de la psychanalyse freudienne a encore donné un cours magistral. Après lui, il ne reste que David Lynch (Blue Velvet, Mulholland Drive, Inland Empire, Twin Peaks)  et Vince Gilligan (Breaking Bad, Better call Saul)).

 

jeudi 16 octobre 2025

le puits au fond du jardin • le retour à la maison…

 



 

Quand un président envoie un hélicoptère, en Corse, pour déboulonner une statue de la vierge qui sommeillait au bout d’un chemin depuis plus de 2000 ans, quand un président envoie ses militaires pour exfiltrer le dictateur de Madagascar alors qu’il meurt de trouille en pensant mettre les pieds sur le sol algérien pour libérer Boualem Sansal, quand un président remet son pays entre les mains des rampants fadasses invisibles Hollande/Lecornu, quand un président dépouille les malades et les vieillards pour assurer ses fins de mois dans le luxe du pouvoir, on comprend que la France ne soit plus qu’un vaste champ de ruine. Et si j’ajoute les successions de trahisons et reniements de toutes parts, comme la vielle perverse Borne qui jette son bébé dans l’eau de vaisselle, Wauquiez qui cède aux sirènes prostituées des socialos, Rotailleau qui n’appelle pas à la censure du gouvernement voyou, je pense que vous comprenez que rien ne peut être sauver dans le tragique parcours fracassé dans lequel nous nous sommes enfermés. Il faut recomposer, redessiner, reformater l’homme pour lui redonner son aspect originel, celui qui était en vogue quand il croquait la pomme et se promenait, le dimanche, en tirant bobonne par les cheveux. Le retour à la maison est indispensable, mieux, vital. Pour cela, il est indispensable de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher votre miroir, pour le trouver, pour vous y regarder, pour vous y reconnaitre et pour le traverser. Indispensable ai-je dis ? Oui, indispensable !    

dimanche 12 octobre 2025

le puits au fond du jardin • le noir triomphe dans la grande clarté…

 



 

C’est de la bouche de X (AuBonTouiteFrançais) que sort la triste vérité : « Quand tu veux absolument entrer dans l’histoire, mais que celle-ci te claque la porte au nez et ferme à triple tour, parce qu’avec ta moumoute, ton petit costume étriqué et ton baratin commercial, tu ressembles plus à un vendeur d’aspirateurs qu’à un personnage historique… ». X évoque la fuite en Égypte de Macron qui laisse une fois encore le destin de la France entre les mains de son larbin robot sur le point de démissionner. Gaza ? Les otages ne sont toujours pas libérés. Le Hamas refuse de rendre les armes et tout ce petit monde insignifiant annonce la paix en Orient alors que les sachants savent que les lendemains déchantent. Et la guerre en France ? Guerre intérieure entre ceux -ci, ceux-là et les non si et les non là, guerre des pouvoirs incapables d’en avoir, guerre des lâches qui regardent leurs viscères au milieu des villes et des forêts torturés par les flammes, guerre des corps sans tête qui n’osent pas se regarder dans le miroir. Et, aussi, guerre des fanatiques de la charia et de leurs complices mélenchonistes et des gauches et des écolos, qui transforment la France en une colonie afghane sans que personne sourcille. Triste visage de l’homme au regard hagard qui crie son désespoir en chutant dans le noir du fond de mon puits, chute infinie, puisque puits sans fond qui voue l’homme imbécile à l’oubli. Et c’est mieux ainsi puisqu’il n’aura jamais voulu comprendre son image qui est la seule réalité de la représentation. « Homme, réveille-toi, lève-toi et regarde ton miroir. Cherche l’invisible faille qui te laissera le passage pour rejoindre l’autre côté. Te rencontrer enfin est le seul moyen pour effacer le passé de l’ignorant qui aura détruit tous les riens qui se sont succédés depuis l’éternité. » Freud avait tout dit. Les marionnettes l’ont brûlé.

dimanche 5 octobre 2025

le puits au fond du jardin • la lame qui pénètre…

 



 

L’enfant psychopathe de l’Élysée a fait un caca nerveux. Il s’est soudain souvenu qu’il était chef de la France et que le Premier ministre qu’il avait nommé avait un peu trop tendance à se prélasser devant le bocal où tourne indéfiniment en rond le poisson qu’il tient en laisse. Il a poussé – l’enfant – un cri sauvage, a réveillé le ministre et lui a donné l’ordre impérial de former un gouvernement avant ce soir minuit sous peine de voir son carrosse doré se transformer en citrouille et autres condiments et de devoir rentrer à pied à la maison, chez bobonne ou chez maman – c’est kifkif -. Si l’accusé de l’enfant prend tant son temps et si longtemps, c’est que pendant ce temps, il est toujours Premier ministre. Il a très bien compris que dès que tout sera officialisé, la censure va lui tomber au coin du nez et qu’il devra porter un gros pansement qui va le défigurer.

 

Hier, sur Cnews, les chroniqueurs ont abordé le problème que posent les enfants des crèches qui portent des couteaux pour égorger, dans la rue, les vielles mémés et autres spécimens de ce genre, plus âgés, plus jeunes, de l’autre sexe aussi et tout aussi souvent. Ils ont débattu sur l’importance de la lame et non du manche, que la marmaille de 2025 confond avec le coup de poing d’antan dont on se servait pour régler nos litiges naissants. Pas un seul des débatteurs n’a fait surgir la fondamentale du sujet. Si nos enfants sont si prompts à poignarder les corps, c'est qu’ils éprouvent l’impérieux désir de la pénétration et qu’ils se lâchent en substituant la lame à leur pénis ignorant et défaillant. Comme pour tous les aléas de la vie, nous sommes devant une affaire de sexe, ce sexe qui dirige tous nos actes, toutes nos pensées, parce que tout est pénétration et réception. Les trous sont faits pour être remplis et comblés. Recevoir, c’est être pénétré. Donner, c’est pénétrer. Ainsi va la loi de la nature. Les politiques devraient être nourris de Freud. Les autres aussi. On quitterait ainsi un monde factice qui n’a aucun moteur pour avancer. Les lois sont des suites de mots sans aucun sens qui étouffent les consciences qui ne demandent qu’à s’ériger pour pénétrer le monde et transformer les vivants morts en vivants vivants.  Nous n’en sommes pas là. Freud est toujours rejeté, voir ignoré. Et je ne vois pas ce qui pourrait changer. Nous vivons en déséquilibre sur une crête, alors que, plus bas, une vallée verte ensoleillée nous attend depuis une éternité. Seule la connaissance peut nous y précipité. Il suffit pour cela de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher notre miroir, pour le trouver, pour nous y regarder, pour nous y reconnaître et pour le traverser.

vendredi 3 octobre 2025

le puits au fond du jardin • le théâtre des représentations…


 


 

Écrire un tube ou un puits chaque matin, demande de faire des choix. L’actualité politique devenant un si vaste champ de bataille où les vivants morts se substituent aux morts vivants dans la plus grande indifférence, qu’il m’est de plus en plus difficile de faire un tri. Dois-je répéter la gigantesque lâcheté de l’enfant psychopathe de l’Élysée qui a abandonné la France pour guerroyer dans des contrées invincibles alors qu’il ne sait même pas comme sortir son glaive du fourreau ? Dois-je décrire le tableau pittoresque et ubuesque de Rima Hassan dans son canot pneumatique et à rames qui vient de se faire arrêter par l’armée israélienne qui va la renvoyer chez sa maman ? Dois-je encore exprimer ma fureur quand j’apprends que la crasse qui compose l’Assemblée nationale a reconduit le voyou islamiste Coquerel à la tête de la commission des Finances ? Dois-je répéter inlassablement que Boualem Sansal n’a toujours pas été libéré et qu’il va mourir en prison, sous l’œil indifférent du pitoyable gamin que les Français ont posé sur le trône des François et des Louis ? Dois-je rappeler que l’Algérie humilie la France quotidiennement et que l’Élysée et ses corrompus répètent sans cesse qu’ils maitrisent la situation, du fond de leur cachette, au fond de la benne à ordure ? Dois-je encore affirmer que les pitres pourris socialos et écolos ont déjà signé le pacte inévitable avec les terroristes de LFI pour gagner les élections ? Dois-je redire avec force que rien ne changera tant que l’individu n’aura pas le courage de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s'y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser ? Le problème, c'est l’homme qui ne sait même pas qui il est et comment fonctionne son psychisme. Le problème, c'est que cette stupidité sur patte s’imagine voir, entendre et savoir, alors qu’il n’est que la représentation de lui-même qui se représente des représentations. Le réel ne surgit que de la plongée répétitive dans les méandres complexes de l’inconscient.

jeudi 2 octobre 2025

le puits au fond du jardin • des dieux, des couleurs et freud…


 

 

L’enfant psychopathe de l’Élysée, soumis aux caprices de l’Algérie et qui œuvre vigoureusement pour déclencher une guerre contre la Russie, l’enfant détesté de toutes parts même – et surtout – par ses soutiens les plus fervents, aurait décidé, après le renvoi imminent de Lecornu chez bobonne, de ne pas dissoudre l’Assemblée ni de s’auto-dissoudre, mais de ne rien faire et de laisser le gouvernement renversé en place jusqu’à la fin de son mandat. Ainsi la France serait gouvernée par des démissionnaires, des gens qui n’ont plus de fonctions et qui feraient comme si, afin de régler les affaires courantes. Ainsi l’Assemblée ne pourrait plus censurer et sanctionner le gouvernement puisqu’il n’y en aurait pas.  Et Ubu Roi pourrait vaquer en paix à ses projets de guerre et de conseils auprès de ceux qui se rient de lui.

 

Si le monde étrange et virtuel dans lequel nous vivons désormais ne provoque aucune réaction, c’est que les vivants-morts – les vivants-vivants sont une espèce extrêmement rare – ne sont plus que des robots sur pattes qui se meuvent et pensent en fonction de leur programmation par les robots supérieurs. Ils ont perdu Platon, Nietzsche, Kant, Aristote, Socrate et n’ont jamais voulu serrer la main de Freud parce que c’est par ce geste que la statue du Commandeur a précipité Don Juan dans les enfers. Et dans ce monde kafkaien et crétin, voilà qu’une université française a voté l’abolition des termes Pâques, Toussaint et Noël lorsqu’ils désignent les vacances annuelles et traditionnelles. Ces petites vermines minables d’universitaires ne savent toujours pas que se couper de ses racines, c'est renoncer à vivre, même à vivre mort. Si j’étais Zeus ou Wotan – je préférerais Wotan pour revivre le Ring – je reprogrammerais ma création de l’homme pour que ses descendances naissent tous dans le cabiner de Freud afin d’entrer d’emblée dans la vie vivante, pensante et agissante. Si Freud était présent dans les pensées, du noir et blanc, on passerait très vite aux vraies couleurs, du Bleu Klein à l’Outrenoir Soulages, en passant par le Vert Véronèse, le Bleu Majorelle, le Brun Van Dyck et le Bleu Nattier.

lundi 15 septembre 2025

le puits au fond du jardin • la mutation des sexes…


 


 

Vu sur X, 8h13 : ALERTE INFO | Selon François Hollande, le RN n'est pas dans l'arc républicain, mais LFI, oui, et elle se comporte comme un authentique Parti républicain. Rappel : Hollande a été élu député avec les voix du NFP, et a un taux de présence de 9% à l’Assemblée, il figure au 499 rang des plus présents. Voilà la preuve que si Freud n’était pas rejeté, il n’y aurait pas ce genre de pantin à l’Assemblée et que des milliers de psychopathes ne lui auraient pas posé le cul sur le trône de l’Élysée. Freud, vous dis-je ! Freud, vous connaissez ? Situation idem en Espagne, où d’autres psychopathes, des espagnols, des terroristes islamistes palestiniens du Hamas ont empêché le Tour des Cyclistes d’avoir une fin.  Ce sont les mêmes qui interdisent au magnifique chef d’orchestre Lahav Shani de diriger l’Orchestre Philharmonique de Munich, tout simplement parce qu’il est Israélien. La France est entrée dans la mouvance et son peuple avachi se contente de regarder la pompe électrique qui raidit son pénis qui s’apprête à pénétrer les vides des autoroutes. Décidément, la mutation des sexes n’est pas une réussite.

samedi 13 septembre 2025

le puits au fond du jardin • les hontes s’empilent et triomphent


 

 

Les putains de merde de CFDT, CGT et Unsa ont fait retirer l’examen des projets de décrets visant à restreindre l’accès à l’Aide Médicale d’État pour les étrangers en situation irrégulière, ce qui implique, une fois encore, la domination des gauches immatures, ignorantes, stupides et imbéciles au dernier degré. Alors que Fitch dégrade la note de la France en raison de ses finances exsangues, nous, pauvres cons de Français, allons donc continuer à nous saigner aux quatre veines pour les soins médicaux d’étrangers clandestins, alors que nous devrions les jeter aux requins de l’Atlantique ou de la Méditerranée. Charité bien ordonnée commence par soi-même, et cela tout le monde l’a oublié. Générations à venir et générations actives, vous allez tous crever sous la serpette des races venues d’ailleurs, à commencer par le Hamas que prise tant votre président. Et c’est tant mieux puisque vous l’avez bien cherché. Moi, ils n’auront pas le temps de me capturer. J’aurais déjà pris ma barque à rames et mon euphonium à quatre pistons pour rejoindre l’autre rive, celle où les couleurs dansent dans les écrans qui frissonnent sous les vents des différentiations que vous aurez méprisées toute votre vie de fantoches morts. Si vous souhaitez savoir ce que veut dire ce que j’écris, poussez la porte du cabinet de Freud. Votre miroir vous attend.

lundi 8 septembre 2025

le puits au fond du jardin • euripide et sophocle…


 


 

Les postes et les écrans sont unanimes, même si Europe1 et Cnews le disent différemment et justement. Aujourd’hui est le grand jour, celui où la France et ses mirlitons entrent pompeusement, et par la grande porte dans le chaos, par la disparition – sous nos yeux – du ministre-chef et la poursuite hypnotique de la promenade de l’enfant, qui tourne en rond depuis si longtemps dans les écuries de l’Élysée. Pas de quoi fouetter une chatte puisque la situation reste inchangée depuis le règne de Robespierre, magnifié par le petit Napoléon corse amputé d’une main, la droite sur les photos. Il ne s’agit que d’un non-évènement destiné à occuper notre temps et à cacher les dragons, les vampires et les monstres qui gouvernent les pensées des milliards de terrestres qui ont oublié ou qui n’ont jamais su que leur cervelle n’était pas destinée à chatouiller les poêles à frire, mais à distinguer les différences pour trouver le passage qui mène à la vie. La pseudo-démocratie, c’est l’horreur. Sortir la France de la fosse à excréments, ce n’est pas échanger des idées qui mènent aux chamailleries qui créent les meurtres, c’est choisir un guide unique et bienveillant qui nous aidera à ouvrir les portes sur les océans de lumières qui mènent au crépuscule, notre destin commun. Moi, je choisis Freud et si vous voulez savoir pourquoi, reportez-vous à mes puits antérieurs. Ils parlent, tous, aussi vrais que ceux d’Euripide et Sophocle.

samedi 6 septembre 2025

le puits au fond du jardin • le retour du jour sans fin…

 



 

Le journaleux gaucho Thomas Legrand (France Inter, France Télévisions) a été suspendu pour ses complots contre Rachida Dati. J’attends la suspension de son complice Patrick Cohen, pour les mêmes raisons, et dans la foulée, celle de l’ignoble pitre Jean-Michel Aphatie. Rotailleau se bat bec et ongles contre les vermines qui nous submergent alors qu’il doit faire face à son collègue Wauquiez qui veut s’allier aux socialos dont les cadavres sont rongés par les lumbricidés, embranchement des annélides. Et tout ce monde fait comme si, lundi au soir, ils n’auront pas perdu tous les pouvoirs qu’ils n’ont jamais eu et que – dit-on – le pays majoritairement à droite va être gouverné par la pire des gauches même si les gauches sont pires par nature quand elles ne sont pas terroristes et islamistes, ce qui est encore pire que le pire. Va-t-on encore longtemps laisser l’enfant psychopathe, cachée sous les jupes de son épousemaman, torturer la France et les Français anémiques ? La solution : destituer le Président, dissoudre l’Assemblée, revisiter la Constitution ou la changer, supprimer l’État de droit, emprisonner les juges en fonction, faire respecter la loi, briser l’Éducation nationale, privatiser Radio France et France Télévisions, fermer les frontières et quitter l’Europe dans l’urgence. Je n’ai pas la place – ni le temps – pour écrire les autres points salutaires mais sensibles pour les cerveaux vides. Mon modèle de société est l’orchestre symphonique de très haut niveau. Les musiciens votent à bulletin secret pour désigner leur chef, un chef aimant et aimé, imaginatif et créatif. Tout le monde suit, participe et exclu le vilain petit canard, s’il s’avérait qu’il y en ait un qui se soit glissé parmi les pupitres. Les salaires sont décents. La communauté est heureuse. Tous nagent et voguent parmi les beautés magiques des sons, et après le labeur positif, chacun s’adonne à ses passions intimes. Il y a peut-être et sans doute d’autres solutions. Mais pour les exposer et les mettre en pratique, il faut savoir penser autrement. Penser autrement n’est possible qu’en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser.  C’est cela ou l’éternel retour du jour sans fin.

vendredi 29 août 2025

le puits au fond du jardin • le vieux bayrou…

 

 
 


 

 

 

 

 


 

Ce matin, c’est à propos de Bayrou que j’ai envie de ferrailler. La dette de la France n’est due qu’à ses élus depuis De Gaulle, et exclusivement à cette secte, minable et misérable, qui ne s’est jamais renouvelée, sur plus de 50 ans. La droite et la gauche ont marché vers le désastre, la main dans la main.  Elle est due à cet entre-soi minuscule qui a vampirisé l’Élysée et le Parlement pour toujours mieux mépriser le peuple, sans doute avec juste raison puisque c’est le peuple qui l’a mis au pouvoir. Je le dis depuis des décennies : « Voter, c’est désigné son bourreau ! » Et personne ne peut contester que je ne me sois pas trompé. Et voilà que le vieux Bayrou s’attaque aux retraités, aux vieux, à moi. L’outrage est insultant. J’ai payé toute ma vie active des sommes faramineuses pour que les jeunes financent ma retraite. Où est passé mon argent ? Pourquoi aujourd’hui devrais-je recommencer à payer pour les nouvelles générations ? Au lieu de viser mon argent, ne pourraient-elles pas penser à travailler ? Il y a des milliers d’emplois non pourvus. Il n’y a rien de déshonorant à remplir le lave-vaisselle du bistrot du coin et aussi, d’y brancher le robot-aspirateur ! Pour redresser les finances de la France, il faut revenir aux 40 heures, à la semaine de 6 jours et aux 15 jours de vacances annuelles. Il faut cesser d’être un peuple d’enfants. Pour cela, il faut se détacher du cordon pourtant coupé et respecter son propre psychisme en lui permettant de faire ses gammes tous les jours et toute la vie. Freud est là pour aider tout le monde. Il faut pousser la porte de son cabinet pour y chercher notre miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser.  C’est la seule condition pour ne pas choir dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où croupissent les entités des mondes et qui ne cessent d’attendre…

mercredi 20 août 2025

le puits au fond du jardin • au secours freud !


 


 

Nétanyahou a raison. L’enfant psychopathe de l’Élysée nourrit bien la haine contre les juifs avec son intention de reconnaître l’État de Palestine subordonné aux terroristes du Hamas avec de nombreuses complicités dont le Qatar, Panot, Bompart, Mélenchon, France Inter, France Infos, France Culture et même France Musique (soyons généreux). Quand donc les Français vont-ils sortir de leur ignoble léthargie. Ne voient-ils pas que ce ne sont pas les chars russes qui sillonnent notre pays, mais le fouet et le gibet des islamistes, de leurs comparses LFI et de toutes les racailles qui peuplent l’autre côté de la Méditerranée ? Si le danger d’une invasion poutinienne est invraisemblable, le danger de la charia et de toutes les tortures des questions ordinaires et extraordinaires si chères aux cathos, sont déjà sur notre sol et le roi Ubu tourne le regard. La France doit se débarrasser de cet objet non volant identifié : un fœtus à la grimace morbide et à la main baladeuse qui ne respire que sous les jupes de sa maman. Il relève de la psychiatrie et surtout d’une prise en charge urgente par Freud. Et c’est bien parce que vous rejetez ce même Freud, que nous vivons dans un monde d’enfants handicapés, gouvernés par des avortons qui biberonnent aux commandes, alors qu’ils n’ont que du vide dans la cavité de leur crâne.

vendredi 15 août 2025

le puits au fond du jardin • freud ne viendra pas…

 



 

185 pays se sont réunis à Genève pour mettre fin à la pollution plastique, et patatras, ce petit monde oisif et mesquin a échoué. Je suis content parce que je viens tout juste de m’acheter un euphonium en plastique qui ne pollue pas plus que mon poêle à charbon. Quand va-t-on cesser de tourner la tête de l’autre côté et de s’occuper de choses sérieuses : ce maire communiste, lâche et peureux, qui a annulé la projection du film « Barbie » - le pire des navets, mais ce n’est pas une raison – sous la pression d’une bande de petits cons terroristes islamistes ; cet olivier qui a été scié dans la nuit de mercredi à jeudi, parce qu’il rendait symboliquement hommage à Ilan Halimi, un jeune juif assassiné en 2006 ; ces crimes permanents contre les juifs par les hordes sauvages islamistes qui sont en train de prendre possession du pays, avec la bénédiction et l’aide de la hargne de Mélenchon et de ses verrues et par le silence et les mots qui tuent de l’enfant psychopathe de l’Élysée qui fait office de roi et France et de Grand Inquisiteur, en même temps. L’enfant, tout bronzé, s’agite dans un fort du Var pour mieux s’imaginer gouverner le monde alors qu’il ne sait toujours pas de quel côté diriger son impuissance chronique. La France est si malade que sa population est frappée d’inertie et se métamorphose en vers de terre pour mieux cacher sa honte sous la terre, dans les tunnels qu’elle creuse sans répits. On en est là aujourd’hui, brisés, cassés, déglingués, vidés. Et dans ce cercle infini où nous nous mordons la queue, personne ne peut nous sauver. Wotan a été capable de rendre l’Or au Rhin et de briser la malédiction. Seul Freud à ce pouvoir. Cependant, je le supplie de s’abstenir. Vous l’avez trop maltraité.

mercredi 13 août 2025

le puits au fond du jardin • à reculons…


 


 

Aujourd’hui ne va pas mieux qu’hier et demain sera pire qu’aujourd’hui. La descente dans le noir du fond de mon puits est continue et ne cessera que lorsqu’elle aura atteint le néant. La cervelle humaine, exposée sur l’étal du boucher, moisit, sent mauvais, se rapetisse et se désintègre et la boutique reste vide sous les yeux effarés de la femme du boucher qui ne joue plus comme chez Pagnol. De ce monde stupide et hideux qui touche le crépuscule, il restera, pour les quelques mémoires vives, Freud évidemment, Molière sûrement, Bach probablement, Hitchcock peut-être. C’est beaucoup pour les quelques milliers d’années que l’homme aura vécu mort-vivant sur cette terre, sans jamais comprendre qu’il était dans l’incapacité de comprendre quoi que ce soit, notamment qu’il était homme. Après que Dieu eut créé l’homme, il a créé la femme, quand il a vu que sa créature s’ennuyait ferme et risquait la dépression. Il a fait une telle erreur qu’il aurait mieux fait de se casser les deux jambes en tombant de son ciel. L’idiot a persisté et voilà où nous en sommes. La vieillesse, c’est la marche à reculons pour retourner à la maison dans le ventre maternel. Ce soir, à l’opéra de Lyon, je joue la 6e trompette dans l’Elektra de Richard Strauss, sous la direction de l’immense Richard Kraus. Cela avait été inoubliable et cela se reproduit dans mon cercle de lumière.

mardi 29 juillet 2025

vu à travers le tube • de macbeth à athéna…

 

C’est chez Macbeth et sa Lady que Trump a posé ses valises, le temps d’enculer Ursula et toute l’Europe, entre deux parties de golf. L’enfant Macron inachevé n’a même pas réagi. C’est peut-être qu’il est trop occupé à jouer à touche-touche avec Hamas, son nouveau compagnon de jeu de la bobine - https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeu_de_la_bobine -, où que la honte l’a propulsé sous les jupes de maman épousée pour se cacher des méchants qui veulent le bouter. Si les Anglais tirent leur épingle du jeu, c’est qu’ils se sont retirés de cette association farfelue de pays qui méprise les peuples et le bon sens. La désunion fait la force. C’est dans un petit chez-soi que l’on peut dominer le monde.

 

Les tarés qui sont partis pour Gaza en barque à rames ont été arrêtés par l’armée israélienne. Et comme ils ne sont pas contents, ils font la grève de la faim. Maintenant, ils sont contents. Ils vont mourir en héros après que leur ventre a crié famine.

 

Un vieux cheval et une vieille jument, sur le retour, s’écharpent à Paris, pour des législatives anticipées. Barnier et Dati ont beaucoup vécu, beaucoup dit de mensonges, et pourtant ils ne savent toujours pas que leurs chamailleries les mènent à l’échec. Paris et la France, c’est kifkif. La première a été défaite par Hidalgo, la seconde par Macron. Pour les ramener à la vie, ce n’est ni un homme, ni une femme qu’il faudrait, les deux étant des modèles parfaits de psychopathes en fin de psychopathies, mais un Dieu, un vrai, un Dieu ou une Déesse de la mythologie antique, comme Athéna, déesse de l'intelligence, de l'habileté, de la stratégie guerrière, de l'artisanat et de la sagesse. Quand l’humanité a échoué pitoyablement, il n’y a plus que les dieux anciens qui sont capables de relever le défi. Il y a bien Freud, un homme, un vrai, plus puissant que ces dieux d’illusions profondément convaincants. Mais rien que le fait d’évoquer son nom me vaudrait le gibet. Alors je me tais et je vous laisse dans votre ignorance.

samedi 26 juillet 2025

le puits au fond du jardin • dans le miroir…

 



 

Il était au bas de l’échelle, au bas de celle que je laisse dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin pour ceux qui s’accrochent encore aux barreaux alors qu’ils savent que tout est fini. Cette fois, il a été terrassé par son arrogance maladive et il est tombé dans la mare des corps décomposés qui grouille des sursauts des minables psychopathes qui ont détruit les rouages du monde pour mieux le maitriser, sans y parvenir. L’enfant de l’Élysée au psychisme inabouti vient de rejoindre ses nouveaux amis, Mélenchon, Caron, Panot, Kéké, les terroristes islamistes de l’Assemblée et la grande famille du Hamas qui l’ont chaudement félicité et même plébiscité. L’enfant et sa maman épousée n’ont plus de soucis à se faire. Après leurs dix années sur le trône de France, ils vont pouvoir s’asseoir sur le trône de la honte, celui des terroristes de Gaza, et ils seront enfin à leur place. Tout soutien à l’enfant est la marque d’une totale déchéance, d’un effondrement psychique, d’une injure à l’homme lucide, équitable et fier de son reflet dans le miroir, celui qu’il aura réussi à traverser.

vendredi 25 juillet 2025

vu à travers le tube • coup de folie dans la nuit, à l’élysée…

L’enfant de l’Élysée, psychopathe avéré, a été pris de convulsions cérébrales dans la nuit et dans son délire a immédiatement Xé – twitté – sa décision irrévocable de s’allier à l'Hamas et aussi à Rima Hassan, Panot, Caron et Mélenchon afin d’aider la Palestine hamassienne à poursuivre et à achever ses réjouissances du 7 octobre, afin de rayer définitivement de la carte l’État d’Israël. Et le voyou a le culot de déclarer qu’il joue au justicier terroriste au nom de la France, alors que ni l’Assemblée, ni le Sénat, ni les ministres, ni le peuple ont été consultés et qu’ils apprennent ce caprice dans la nuit, par le canal des médias. Seuls l'Hamas et les gauches puantes se réjouissent et crient très justement victoire. Allons-nous vraiment continuer encore longtemps ainsi ? Quand allons-nous nous décider à nous débarrasser de l’enfant sans limites et extrêmement dangereux ? Il aura tout saccagé, tout brisé. Il aura laissé la France dépecée. Et, sans l’ombre d’un doute, l’ado poursuit son chemin dans les avions et les télés, sous l’œil vitreux des Français inertes et vides de toutes pensées. Un psychopathe président, un gouvernement absent, une Assemblée menottée, un peuple amphétaminé, que reste-t-il ? Il y avait bien Freud, mais il a été rejeté, les miroirs reflétant les reflets des réalités étant trop dangereux. Alors attendons les dates fatidiques. Il y a plein de Kim Jong-un derrière les arbres qui cachent les forêts. Et pour plus de compréhension, je vous livre l'édito d'Europe 1, de ce matin. Il dit tout ce que l'on doit comprendre :

https://www.europe1.fr/emissions/ledito-politique/emmanuel-macron-reconnait-la-palestine-la-prime-aux-terroristes-765241?dmplayersource=share-send


jeudi 24 juillet 2025

le puits au fond du jardin • coquelicots…

 



 

C’est la zizanie en Ukraine. Le peuple se révolte contre son clown. C’est la zizanie au sein du gouvernement français. Rotailleau prédit la mort de la macronie dont les toutous soumis s’étranglent de colère. Quand l’enfant aura été chassé, les toutous tourneront sur eux-mêmes en reniflant les vapeurs perdues de leurs illusions, puis s’éteindront dans les buissons pour passer aux oubliettes. Je ne suis pas sûr que ces dix ans de mensonges terrifiants réveillent le peuple dont la vocation est de toujours suivre le plus brillant, le plus voyant, le plus caressant, le plus étonnant, le plus charmant, celui dont le masque est le plus attirant. Et pourtant, il devrait savoir, que derrière le masque se cache toujours l’autre versant. L’inconvénient est qu’en politique, on ne trouve que des enfants qui passent leur vie à jouer avec des poupées Barbie, des poupons sans pénis, des soldats de plomb à cheval ou en missile, des miniatures à (télé)commander, des trains nains qui tournent en rond, des masques de Zorro et leur épée hors du fourreau. Leur ignorance ne leur permet pas de voir qu’ils sont petits et si petits, que la marche vers le monde des adultes est si haute qu’elle leur est inaccessible. Regarder n’est pas voir. Ceux qui voient se trouvent face à un monde politique pitoyable, fait de petits cons qui bombent le torse et montre le muscle, alors qu’ils sont plats comme la planche vermoulue qui ferme le poulailler derrière ma maison. Changer le monde, c’est changer les esprits. Jamais la politique n’y parviendra. Ce n’est pas grave puisqu’il a passé la lisière de l’agonie. Mais, tout de même, si les consciences des conscients avaient poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher leur miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser, le soleil aurait, à son lever, saupoudré ses rayons sur les champs des rouges coquelicots tapissant la surface de la terre.