Affichage des articles dont le libellé est freud. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est freud. Afficher tous les articles

mardi 29 juillet 2025

vu à travers le tube • de macbeth à athéna…

 

C’est chez Macbeth et sa Lady que Trump a posé ses valises, le temps d’enculer Ursula et toute l’Europe, entre deux parties de golf. L’enfant Macron inachevé n’a même pas réagi. C’est peut-être qu’il est trop occupé à jouer à touche-touche avec Hamas, son nouveau compagnon de jeu de la bobine - https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeu_de_la_bobine -, où que la honte l’a propulsé sous les jupes de maman épousée pour se cacher des méchants qui veulent le bouter. Si les Anglais tirent leur épingle du jeu, c’est qu’ils se sont retirés de cette association farfelue de pays qui méprise les peuples et le bon sens. La désunion fait la force. C’est dans un petit chez-soi que l’on peut dominer le monde.

 

Les tarés qui sont partis pour Gaza en barque à rames ont été arrêtés par l’armée israélienne. Et comme ils ne sont pas contents, ils font la grève de la faim. Maintenant, ils sont contents. Ils vont mourir en héros après que leur ventre a crié famine.

 

Un vieux cheval et une vieille jument, sur le retour, s’écharpent à Paris, pour des législatives anticipées. Barnier et Dati ont beaucoup vécu, beaucoup dit de mensonges, et pourtant ils ne savent toujours pas que leurs chamailleries les mènent à l’échec. Paris et la France, c’est kifkif. La première a été défaite par Hidalgo, la seconde par Macron. Pour les ramener à la vie, ce n’est ni un homme, ni une femme qu’il faudrait, les deux étant des modèles parfaits de psychopathes en fin de psychopathies, mais un Dieu, un vrai, un Dieu ou une Déesse de la mythologie antique, comme Athéna, déesse de l'intelligence, de l'habileté, de la stratégie guerrière, de l'artisanat et de la sagesse. Quand l’humanité a échoué pitoyablement, il n’y a plus que les dieux anciens qui sont capables de relever le défi. Il y a bien Freud, un homme, un vrai, plus puissant que ces dieux d’illusions profondément convaincants. Mais rien que le fait d’évoquer son nom me vaudrait le gibet. Alors je me tais et je vous laisse dans votre ignorance.

samedi 26 juillet 2025

le puits au fond du jardin • dans le miroir…

 



 

Il était au bas de l’échelle, au bas de celle que je laisse dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin pour ceux qui s’accrochent encore aux barreaux alors qu’ils savent que tout est fini. Cette fois, il a été terrassé par son arrogance maladive et il est tombé dans la mare des corps décomposés qui grouille des sursauts des minables psychopathes qui ont détruit les rouages du monde pour mieux le maitriser, sans y parvenir. L’enfant de l’Élysée au psychisme inabouti vient de rejoindre ses nouveaux amis, Mélenchon, Caron, Panot, Kéké, les terroristes islamistes de l’Assemblée et la grande famille du Hamas qui l’ont chaudement félicité et même plébiscité. L’enfant et sa maman épousée n’ont plus de soucis à se faire. Après leurs dix années sur le trône de France, ils vont pouvoir s’asseoir sur le trône de la honte, celui des terroristes de Gaza, et ils seront enfin à leur place. Tout soutien à l’enfant est la marque d’une totale déchéance, d’un effondrement psychique, d’une injure à l’homme lucide, équitable et fier de son reflet dans le miroir, celui qu’il aura réussi à traverser.

vendredi 25 juillet 2025

vu à travers le tube • coup de folie dans la nuit, à l’élysée…

L’enfant de l’Élysée, psychopathe avéré, a été pris de convulsions cérébrales dans la nuit et dans son délire a immédiatement Xé – twitté – sa décision irrévocable de s’allier à l'Hamas et aussi à Rima Hassan, Panot, Caron et Mélenchon afin d’aider la Palestine hamassienne à poursuivre et à achever ses réjouissances du 7 octobre, afin de rayer définitivement de la carte l’État d’Israël. Et le voyou a le culot de déclarer qu’il joue au justicier terroriste au nom de la France, alors que ni l’Assemblée, ni le Sénat, ni les ministres, ni le peuple ont été consultés et qu’ils apprennent ce caprice dans la nuit, par le canal des médias. Seuls l'Hamas et les gauches puantes se réjouissent et crient très justement victoire. Allons-nous vraiment continuer encore longtemps ainsi ? Quand allons-nous nous décider à nous débarrasser de l’enfant sans limites et extrêmement dangereux ? Il aura tout saccagé, tout brisé. Il aura laissé la France dépecée. Et, sans l’ombre d’un doute, l’ado poursuit son chemin dans les avions et les télés, sous l’œil vitreux des Français inertes et vides de toutes pensées. Un psychopathe président, un gouvernement absent, une Assemblée menottée, un peuple amphétaminé, que reste-t-il ? Il y avait bien Freud, mais il a été rejeté, les miroirs reflétant les reflets des réalités étant trop dangereux. Alors attendons les dates fatidiques. Il y a plein de Kim Jong-un derrière les arbres qui cachent les forêts. Et pour plus de compréhension, je vous livre l'édito d'Europe 1, de ce matin. Il dit tout ce que l'on doit comprendre :

https://www.europe1.fr/emissions/ledito-politique/emmanuel-macron-reconnait-la-palestine-la-prime-aux-terroristes-765241?dmplayersource=share-send


jeudi 24 juillet 2025

le puits au fond du jardin • coquelicots…

 



 

C’est la zizanie en Ukraine. Le peuple se révolte contre son clown. C’est la zizanie au sein du gouvernement français. Rotailleau prédit la mort de la macronie dont les toutous soumis s’étranglent de colère. Quand l’enfant aura été chassé, les toutous tourneront sur eux-mêmes en reniflant les vapeurs perdues de leurs illusions, puis s’éteindront dans les buissons pour passer aux oubliettes. Je ne suis pas sûr que ces dix ans de mensonges terrifiants réveillent le peuple dont la vocation est de toujours suivre le plus brillant, le plus voyant, le plus caressant, le plus étonnant, le plus charmant, celui dont le masque est le plus attirant. Et pourtant, il devrait savoir, que derrière le masque se cache toujours l’autre versant. L’inconvénient est qu’en politique, on ne trouve que des enfants qui passent leur vie à jouer avec des poupées Barbie, des poupons sans pénis, des soldats de plomb à cheval ou en missile, des miniatures à (télé)commander, des trains nains qui tournent en rond, des masques de Zorro et leur épée hors du fourreau. Leur ignorance ne leur permet pas de voir qu’ils sont petits et si petits, que la marche vers le monde des adultes est si haute qu’elle leur est inaccessible. Regarder n’est pas voir. Ceux qui voient se trouvent face à un monde politique pitoyable, fait de petits cons qui bombent le torse et montre le muscle, alors qu’ils sont plats comme la planche vermoulue qui ferme le poulailler derrière ma maison. Changer le monde, c’est changer les esprits. Jamais la politique n’y parviendra. Ce n’est pas grave puisqu’il a passé la lisière de l’agonie. Mais, tout de même, si les consciences des conscients avaient poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher leur miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser, le soleil aurait, à son lever, saupoudré ses rayons sur les champs des rouges coquelicots tapissant la surface de la terre.  

mercredi 16 juillet 2025

vu à travers le tube • après l’exposé…

 

Le constat est clair. Nous sommes foutus. Les milliards de milliards de dettes que Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron, le dernier en date et le pire, nous ont et auront laissé, ne nous permettront jamais de rejoindre la rive et nous allons crever. Je rends justice à Bayrou d’avoir osé. À travers son inventaire hallucinant, ce sont tous les présidents, tous les premiers ministres et leurs subordonnés, de la Ve République qui sont mis sur les bancs de l’accusation et qui, selon les lois de la nature, devrait payer, payer encore jusqu’à la dernière goute de leur sang, Il a proposé. Il aurait dû imposer. Ce n’est pas que je sois d’accord avec toutes les mesures annoncées, mais je crois de plus en plus qu’un chef, c’est fait pour cheffer et que la concertation n’est qu’un jeu de dupe dont il ne ressort que les bâtards handicapés. Il n’a pas eu beaucoup de soutien. Je n’ai pas entendu son camp contrer les vociférations des oppositions. Il est seul et sera renvoyé à Pau à la rentrée. Vous pouvez donc oublier son discours-fleuve et partir tranquillement dans les bouchons des autoroutes trop étroites et trop courtes pour absorber ces milliards de boites en fer dans lesquels s’allongent les sardines en attendant de rejoindre les assiettes. Si je ne peux cautionner son attaque en règle contre les malades et les retraités, je lui rends grâce d’avoir suggéré la suppression de deux jours de congés, même s’il aurait dû tous les supprimer. Il a raison. Le mois de mai, avec ses ponts inadmissibles, est un mois néfaste pour l’économie et pour la santé mentale. J’aurais sans doute ajouté – si j’avais été Premier ministre – le retour aux 40 heures de travail hebdomadaires. Il n’y a plus de locomotives à vapeur ni de charrues derrière les bœufs. Rassurez-vous. Je ne suis pas Premier ministre. Je crois aussi qu’il faudrait mettre au travail partiel, dès 18 ans, les étudiants de longue durée. Entrer dans la vie active à 28 ou 30 ans est une erreur psychologique et un manque à gagner pour la France. Pour en finir, je condamne les propos de l’opposition qui demande la démission de Bayrou. La seule démission qui pourrait éventuellement sauver le pays, c’est celle de l’enfant président. Qui après ? Je ne vois que Freud. Mais il refusera. Il est trop occupé.

lundi 14 juillet 2025

le puits au fond du jardin • les grands hommes…

 



 

Les grands hommes sont ceux qui ont compris les comportements humains, les psychismes de leurs contemporains et de leurs anciens. Ceux qui imaginent des stratégies guerrières et qui collectionnent les breloques à uniformes, ceux qui ont fait les grandes écoles pour concevoir des lois qui remplissent leurs portefeuilles et ligotent les peuples, ceux qui débitent des discours sans fin qui s’ouvrent sur des vides sans fonds, ne sont pas grands. Ils ne sont rien. Peu sont. On ne trouve que des exceptions. Je peux en citer deux ou trois qui, en une vie, auraient pu faire avancer l’humanité de plusieurs siècles, s’ils avaient été écoutés. Freud, le maître absolu, d’abord ; Hitchcock, Lynch et Gilligan, au cinéma ; Euripide, Molière et Shakespeare au théâtre ; Mozart, Verdi et Wagner à l’opéra ; Beethoven, Schubert et Mahler au concert ; Furtwängler, Wang et Hannigan pour l’interprétation, la Mythologie, le contenant qui les englobe tous. Depuis la plus ancienne des civilisations, l’homme est toujours passé à côté. Il a toujours regardé l’autre rive avec une envie démesurée. Jamais il n’a osé franchir le fleuve. C’est pourquoi il périclite et se défait lentement dans sa chute effrayante dans le noir du fond de mon puits, au fond de mon jardin.

jeudi 10 juillet 2025

le puits au fond du jardin • le temps des illusionnistes…


 


Pour accéder au Paradis, il faut chercher une longue échelle, la trouver, la positionner dans la bonne direction et la monter échelon par échelon en faisant bien attention où l’on pose les pieds car le chemin est long, très long. Depuis l’invention de la publicité et l’intensification de la bêtise, on a mis dans la tête des gens que le temps long était une invention des vieilles générations et que tout pouvait s’accomplir ou s’acquérir en peu de temps. C’est ainsi qu’aujourd’hui, on peut maigrir en trois jours, éradiquer une dépression nerveuse en une semaine, jouer de la trompette en dix leçons, faire disparaitre la tour Eiffel en un dixième de secondes, les illusionnistes ayant pris les manettes des choses de la vie depuis que la compétence a abandonné tous ses postes à responsabilités. Les décideurs ne vont plus à l’école, ne lisent plus les grands auteurs, n’écoutent plus les grands compositeurs, ne réfléchissent plus avec les grands philosophes antiques, ne comprennent plus le latin et le grec, n’ont aucune idée du contenu de la thérapie psychanalytique, comblent leurs handicaps démesurés par des moyens informatiques qui les abêtissent de jour en jour, sans que cela alerte qui que ce soit. Notre histoire marche à reculons nous rapetisse sans discontinuité, et nous devenons de minuscules insectes nocifs, voués à finir écrasés sous la goutte de pluie qui tombe parfois en été. Qui sommes-nous ? Pourquoi sommes-nous ? Savons-nous si nous sommes ? Commençons par répondre à cette dernière question, ni par oui et ni par non ! Quels liens Freud a-t-il tissé pour savoir qu’il était Freud ?

vendredi 4 juillet 2025

le puits au fond du jardin • sur le sentier du déclin…


 


 

L’enfant de l’Élysée vit dans les retranchements de son psychisme lézardé. Il continue de parler alors que personne ne l’entend et continue de caresser alors que sa main tactile n’a plus de ressenti, ce qui laisse les corps figés en absence de sensibilité. Un seul pouvoir lui reste, celui de dissoudre encore l’Assemblée, dans quatre jours. Ce serait marrant et rigolo. Le foutoir est tel sur tous les bancs, que personne ne peut savoir si cela déclencherait les foudres de Wotan ou le renouveau du printemps qui deviendrait éternel. Les postes et les écrans d’État ont dit, ce matin, qu’hier, le président – quel mot étrange inadapté – était entré dans une grande colère et avait foudroyé de son éclair, Rotailleau et Bayrou. Le premier parce qu’il sortait de temps à autre de la case de l’Intérieur, le second parce qu’il ne sévissait pas auprès de ses troupes qui en prenaient un peu trop à l’aise avec la sagesse et la clairvoyance de l’ombre de Jupiter, qui a toujours tenu à ressembler à Tebboune, le dictateur algérien, dont il vante les mérites à chaque discours et dans chaque village qu’il visite, pour dire qu’il est bien là, lui. C’est la dissolution du président qu’il faut entreprendre et en urgence. Il faut se débarrasser de ce gamin voyou qui a déchiqueté la France et qui la laisse gémir, à terre, au bord du caniveau. Et il ne faut surtout pas le remplacer. La suppression de la fonction serait un bain de jouvence et allégerait le déficit de la France de plus de la moitié. Il faut cesser de voter, chaque bout de papier cul glissé dans la fente de l’urne n’étant que le résultat d’un bourrage de crâne. J’ose affirmer qu’il faut aller chez Freud chercher le point précis où nait la source, et replacer l’individu dans le contexte de la pensée humaine dont la fonction est de créer le lien. Freud ou rien.  J’ai choisi Freud il y aura bientôt un siècle. Et puisque vous choisissez « rien », je vous dis « bonne route » sur le sentier du déclin, de la misère, de la souffrance et de la bêtise crasse que constituent votre ignorance et votre humiliation.

samedi 28 juin 2025

le puits au fond du jardin • la plume au vent...

 



 

Aujourd’hui, le monde entier ne fête pas la naissance d’Abbado, ni le décès de Furtwängler, ni l’invention de Gutenberg, ni le triomphe d’Hamlet à la Comédie française, mais la suprématie de la plume – pas de celle que je trempais dans l’encre sous l’œil avisé de mon maitre d’école, à la fin de la dernière guerre du XXe siècle, ni celle de Zizi Jeanmaire -, mais celle du rossignol ou de la  de la tourterelle, ou plutôt celle de l’oie sauvage, que les acteurs de la pièce s’enfilent bien profond dans le cul, tous nus et peints comme les sauvages des années 300 000 avant J.C. Gay pride, spectacle affligeant, désolant et indécent, auquel les parents amènent les enfants, ce qui me conforte dans ma devise à leur sujet : « TOUS COUPABLES ! » C’est chez Ubu que l’on fête la déviation des sexes et que l’on glorifie l’inaboutissement des psychismes. Les sinistres crétins qui veulent interdire les sites pornos bien cachés dans les ordinateurs, font une pub fracassante pour cette saloperie de rue, mille fois plus dangereuse pour les enfants-enfants, mais aussi pour les enfants-adultes. Quand allons-nous fêter la complémentarité homme à pénis et femme à vagin, la seule réalité sur laquelle peut se reposer une société ? Tous les restes ne sont que des verrues qui peuvent très bien se passer de publicité.

 

Le télétravail a du plomb dans l’aile. Les chefs d’entreprises se réveillent. La maison, avec l’aspirateur, le lave-linge, bobonne ou bobon et la marmaille, ne peut être un lieu de travail. Le travail est un lieu d’émancipation, de relation et de confrontation. Le retour en arrière est indispensable, même s’il ne règlera pas la déficience générale des cerveaux. Vos ancêtres ont découvert l’Amérique, l’Afrique, la Chine. C’est maintenant à vous de découvrir celui qui manque à toutes les sociétés : Freud, le grand Sigmund – à ne pas confondre avec celui du glaive magique -, celui qui a développé la thérapie psychanalytique qui, si les esprits s’ouvraient, révolutionnerait le monde.

mercredi 25 juin 2025

le puits au fond du jardin • sur l’autre rive…

 



 

Il est tunisien et en situation irrégulière. Pour obtenir des papiers, il est allé dénicher une mère de 6 (SIX) enfants et lui a promis monts et merveilles si elle lui accordait sa main. La nigaude naïve subjuguée par sa virilité débordante a dit OUI. Elle lui a même promis de lui fabriquer 5 ou 6 autres enfants afin de compléter la marmite des marmailles. Et le type rit sous cape en se voyant prendre la poudre d’escampette après l’enfilade de la bague, laissant la gourde ignorante courbée sur le tapis. Heureusement, Marlène Mourrier, la maire de Bourg-lès-Valence a les pieds bien ancrés dans le sol de France. Elle refuse de les marier pour ne pas être complice d’un mariage blanc.  Dans quelques jours les représentants de l’Injustice française vont venir la chercher, la mettre au cachot noir pour 5 ans et ôter de son compte en banque, 75 000 euros. Voilà lâches français, ce qu’est votre misérable pays qui croule, défait, dans le noir du fond de mon puits.  Quelle bonne idée j’ai eu, quand un soir d’automne, alors que le crépuscule annonçait celui des dieux et des hommes, j’ai osé me jeter dans le fleuve et nager jusqu’à l’autre rive. D’ici, je vois, je regarde, j’écoute, j’entends, et je ris devant la danse des pantins qui tentent, en vain, d’imiter celle du sacre du printemps. Les robots en planches clouées s’épuisent. Ils ne savent plus que parler et c’est bien pour cela que plus personne n’y comprend rien. Seul dans mon désert sans fin, j’ai découvert la cachette de Freud, mais aussi celle de Mozart, et aussi celle de Schubert et Wagner. Tous les trois ou quatre jours, nous déjeunons ensemble. La conversation est phrasée et nuancée. Souvent, une truite se joint à nous. Elle joue de la flûte sur le bûcher de l’anneau. Et Freud nous répète sans cesse de ne jamais oublier que ce que nous voyons, nous ne le voyons pas et que si nous sommes, c’est que nous ne sommes pas. 

jeudi 12 juin 2025

le puits au fond du jardin • ignorance et procureur…

 



 

Un procureur n’est qu’un vulgaire petit fonctionnaire et je ne vois pas pourquoi celui que j’ai vu hier à la télé se donne le droit d’affirmer qu’un enfant de 14 ans qui poignarde à mort la surveillante de son collège a un psychisme équilibré. Le malotru a déjà frappé et tenté d’étrangler. Son psychisme ne serait donc pas fracturé ? Je connais un célèbre grand psychanalyste qui affirme avec raison que le monde est peuplé de psychopathes. Sans couteau, le morveux l’est. Alors avec ! Le morveux malotru est un grand malade psychique et sa place est à l’hôpital psychiatrique pour quarante ans après vingt bonnes années au cachot noir, enchainé, boulets aux pieds, Quant à ses parents, ils doivent être mis en état d’arrestation et payer à vie pour avoir pondu un enfant alors qu’ils en ignoraient la définition. Les milliards de commentaires entendus depuis hier, tous aussi stupides et à contre-sens, n’arrangent pas les affaires d’un pays qui s’enlise de minutes en minutes dans le noir du trou du fond de mon puits. Ce n’est ni Macron ni Mélenchon votre futur dictateur islamiste aux ordres du Hamas, les autres non plus, qui vont régler les problèmes de fond. Il faut redonner à l’individu sa fonction première, celle qui possédait encore dans les premières générations, quand il n’y avait pas le TGV, pas le presse-citron, pas la charrette, pas la fourchette, mais seulement les mains et les pieds. L’homme nait méchant, mauvais, sadique et criminel. La femme aussi. C’est pourquoi la seule initiative est la désintoxication et la refabrication. Pour cela, il faut maitriser le lien entre notre conscient et notre inconscient et ne plus laisser ce dernier prendre le pas sur le premier.  C’est en poussant la porte du cabinet de Freud, qu’un début de vie supportable pourrait apparaître sur terre. Il faut se laisser guider et tendre en priorité vers la recherche de son miroir, le trouver, s'y regarder, s'y reconnaître et le traverser. C’est une longue démarche qui prend des années et de toutes les façons, toute une vie, toute votre vie. Quoique vous en pensiez, c’est la seule solution. Tous les restes ne sont que faux-semblants qui n’arrêteront jamais la chute dans le précipice qu’est mon puits dans le fond de mon jardin.

mardi 10 juin 2025

le puits au fond du jardin • la douce vie tranquille de greta et rima…

 



 

Greta et Rima ont pris les voiles pour rallier la bande de Gaza où leurs amis du Hamas font massacrer chaque jour des centaines d’enfants, de femmes, et d’hommes aussi, ce qui n’est jamais dit. Les deux misérables caricatures décérébrées voulaient reproduire l’entrée victorieuse d’Othello dans Venise et n’ont réussi qu’à se faire intercepter par l’armée israélienne, qui après leur avoir distribué quelques pains au chocolat, les ont conduites à l’aéroport de Tel-Aviv où les voilà près d’embarquer pour leur contrée respective. Elles ont eu le soutient sans faille du terroriste islamiste Mélenchon et, beaucoup plus grave, celui de son frère de sang, l’enfant au psychisme inabouti qui occupe l’Élysée et qui ne peut qu’inquiéter par ses paroles ignobles et sa cécité définitive devant les cadavres qu’il a alignés sur le sol de la France de Charles Martel. Ce sous-homme vient de préciser qu’il ne dissoudra pas l’Assemblée alors que la Constitution scélérate du vieux général lui en donne de nouveau le droit, ce qui veut dire qu’il va se dépêcher de le faire, tout simplement pour qu’en France, aussi, on parle de lui, et que son visage et ses mains baladeuses engorgent les écrans. C’est là que je ne peux que voir un peuple misérable qui siècles après siècles, s’agenouille devant les détritus de l’humanité. En France, la seule fois où il se serait révolté, ce fut le jour où il a tranché le cou de Louis XVI pour s’empresser, dès le lendemain, de le remplacer par un empereur amputé d’une main et pourvu de trois cornes sur la tête. Sortir des clichés, penser autrement, saluer la forêt et la lune en sciant le tronc de l’arbre et en sectionnant le doigt pointé, c’est ce qu’il serait nécessaire. Et pourtant, personne ne le fait parce que quelques idiots imbéciles ont dit que Freud copulait avec son chien. C’est pourtant chez lui que chaque individu peut chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. Mais pour cela, il faut trouver la porte du cabinet du maitre. Et je reconnais que pour l’immense majorité, c’est un insurmontable problème insurmontable.

samedi 7 juin 2025

le puits au fond du jardin • pensée du matin…



 

Faure, le copain de LFI, entraine les cadavres socialos dans l’abime qui est semblable au noir du fond de mon puits ou croupissent les cadavres grouillants des psychismes inaboutis. Royale – Ségolène – caresse les poils de Mélenchon pour qu’il lui offre une circonscription alors qu’elle n’est plus que le déchet d’une tranche de vie qui a crucifié le monde. L’enfant de l’Élysée, au psychisme inabouti, part pour deux jours, avec bobonne-maman, sur Le Rocher ou un prince et une princesse d’opérettes à la Lopez vont les accueillir en grandes pompes funestes et se faire bisouter et caresser par un expert qui ne peut s’empêcher d’exposer ses tares qu’aucun observateur n’ose analyser. Elles sont toutes gravement malades les têtes des pays, mais celle-là l’est davantage encore, parce qu’elle tire le rideau noir sur l’écran blanc qui l’a posée sur le trône. La tromperie est le maitre-mot de la politique et les pantins-larbins s’y laissent tous prendre. Ils votent, ils votent, ils votent, sans savoir qu’ils fabriquent la corde qui va s’enrouler autour de leur cou. Ne faire confiance à personne, appréhender la petite fille au bout du chemin, ne pas quitter le fleuve qui coule entre les deux rives, comprendre que tout n’est qu’image scannée dans l’inconscient et reproduite par notre propre canal. Vous n’êtes pas. Je suis. Je ne sais pas si je vis mort ou si je vis. Mais je sais qu’autour de moi s’organisent des fragments de mon accouchement comme tombent les ombres des feuilles mortes. Ce va et vient incessant entre mon conscient et mon inconscient m’autorise à détecter le vrai du faux de l’illusionniste qui faisait apparaitre sa dulciné parce qu’il avait besoin de la regarder, de regarder ses grands yeux noirs, le miroir qu’il était allé chercher dans la clarté de l’atelier de Freud, miroir qu’il avait trouvé, dans lequel il s’était regardé, reconnu, et qu’il avait traversé. Il avait compris que c’était de l’autre côté, sur l’autre rive, qu’était la vérité et que lorsqu’on la côtoyait, il ne fallait surtout jamais s’en éloigner. Les hommes en sont si loin qu’ils ne peuvent même pas imaginer qu’une porte peut s’ouvrir et jeter au visage le savoir et l’imagination. L’ignorance est si puissante que de retour aux sources, l’or au Rhin, les mémoires oublieront. L’oubli est pire que la mort. Bizarre ces écrevisses qui avancent dans le brouillard noir, alors qu’elles sont nées pour marcher à reculons.

 

mardi 3 juin 2025

le puits au fond du jardin • entre silence et papouille…

 



 

Après ce triste weekend où personne ne se demande comment, à un tel niveau, il est possible de marquer cinq buts et où les presses de gauche minimisent - quand elles en parlent - les dégâts humains et financiers causés par les hordes sauvages qui, à part quelques rares exceptions, se retrouvent aujourd’hui dans la rue après leurs comparutions immédiates, le sursis ayant été le maître-mot de notre Justice agonisante, après le triste weekend, disais-je, la France, enterrée dans les sous-sols depuis presque cinquante ans, est encore descendu d’un étage et peut désormais creuser le fond, elle qui sait si bien creuser sa tombe. Revenir à l’essentiel et détruire le reste : être homme ou femme, être bon ou gentil, marcher à gauche ou à droite, être dans l’eau ou sur la rive, pénétrer ou recevoir, jouer en do ou en ré, différencier ou confondre, obéir ou commander, construire ou détruire, manger ou vomir, se coucher ou se lever, trotter au pas ou au galop, chanter ou aboyer, ouvrir ou fermer, écouter ou entendre, regarder ou voir, fermer ou ouvrir, vivre ou mourir. Nous avons le choix et nous ne le savons pas, parce que les peuples cupides, ignorants et soumis, ont rejeté Freud, celui par qui nous pouvons chercher notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Et c’est la seule – la seule – solution pour mettre fin à la terreur qui embrase le monde, terreur entretenue savamment par les marmites puantes et sanglantes des mélenchonistes islamistes imbriqués d’écologistes stupides et destructeurs.

 

Le peuple français attend toujours, de Bayrou, la condamnation des horreurs de ces samedi et dimanche. Le lâche garde le silence. Il rejoint en cela le détenteur des clés de l’Élysée, qui, au moment des crimes, papouillait ardemment le qatarien protecteur du Hamas et des Frères musulmans.   

jeudi 29 mai 2025

le puits au fond du jardin • des larmes…



 

Parmi les innombrables faillites de la France agonisante, on trouve la Justice qui jamais n’aura été aussi perverse et injuste. Le meurtrier du jeune Matisse, un afghan de 16 ans qui l’a poignardé sauvagement, a été condamné à 8 ans de prison alors qu’il aurait dû écoper de la perpétuité. Excuses de minorité et de non-discernement, alors que le crime est devenu le passe-temps des mineurs et que le non-discernement est l’apanage de la société. Croyez-vous sincèrement que les français discernent lorsqu’ils vont aux urnes voter pour des malotrus de caniveaux ? Croyez-vous sincèrement que les français discernent lorsqu’ils ne se mettent pas en travers de l’ascension du terroriste islamiste Mélenchon et qu’ils ne jettent pas aux ordures Macron et sa bobonne ? Matisse a été massacré par un enfant voyou en plein discernement, avec la complicité de sa mère qui a giflé la victime à terre, agonisante. Elle est convoquée par le tribunal qui va lui donner un avertissement. La Justice , ce serait de la condamner comme sa marmaille, prison à vie, dans la nuit éternelle d’un cachot. Dans ce point de non-retour, ne pas répondre à la violence par la violence est un crime. Je connais bien un tout autre moyen. Répondre à la violence par la compassion et le soin. C'est possible. J’ai mille fois proposé Freud et la réponse a toujours été le quolibet et l’injure. Et il y a encore des imbéciles qui se plaignent de leur situation et de celle de leur pays. Pleurez pauvres gens. Vous n’aurez jamais assez de larmes pour renverser la table !


lundi 26 mai 2025

le puits au fond du jardin • des champignons vénéneux…

 


 

 

Les prétendants au poste suprême poussent comme des champignons vénéneux. Parmi eux des macronistes reniant l’enfant Macron tel Judas reniant le Christ. Être prétendant, c'est déjà être peu recommandable. Celui qui désire le pouvoir ne peut être que vil et lâche puisqu’une fois sur le trône, il va trahir ses promesses et s’enivrer de la vie de débauche de l’Élysée. Faut-il être lâche, naïf, pitoyable et stupide pour se rendre aux urnes et y glisser dans leur fente, un morceau de papier cul.  L’élection est un leurre pervers, un faux-semblant, une illusion, dans ce monde qui n’a jamais réussi à inventer la Démocratie. Je ne vote pas parce qu’il n’y a que moi qui sache ce qui est bien pour moi et qui suis en mesure de me satisfaire. Le groupe, la société, m’indiffèrent surtout quand je vois où ils en sont aujourd’hui : là où en est Macron, mais aussi Binoche, dans l’enfer de la descente dans le noir du trou au fond de mon puits. Depuis des décennies j’ai pour compagnon Sigmund Freud. Il m’a appris, comme l’a fait, dans un autre temps, mon professeur d’écriture musicale Charles Montaland, à me référer et à sublimer les fondamentales, ces fondamentales qu’ignorent les lois stupides que pondent indéfiniment les misérables politicards de tous bords et de toutes obédiences. Ce monde d’illusions consenties ne finira jamais puisque son ignorance, conduit l’homme à rejeter Freud chez qui, pourtant, tout le monde pourrait chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Hélas, il semble que c’est trop demander. Les charlatans ont encore de beaux jours devant eux.

samedi 24 mai 2025

vu à travers le tube • le puits au fond du jardin • encore et encore…


 


 

Encore réécrire ce que je vois dans mon tube, encore retranscrire les hurlements qui surgissent du noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, commence à être fatiguant. Ma voisine de palier que je vais aller saluer avant de me rendre chez mon Leclerc prendre mon café, me dit d’arrêter, me dit que je perds mon temps, me dit que les aveugles ne peuvent retrouver la vue et que les sourds ne peuvent soudain entendre. Et si elle avait raison ! Mais me priver de l’observation de notre monde d’aliénés et aliéné ne serait-ce pas me planter moi-même un poignard dans le dos ? Je vis mes dernières heures dans un monde en contradiction avec l’organisation subliminale de l’écriture d’équilibre de Jean-Sébastien Bach,  en contradiction avec l’humanité rayonnante de Wolfgang Amadeus Mozart, en contradiction avec la synthèse des évolutions heureuses de Richard Wagner dans son énigme de Tristan qui n’aimait pas Isolde, d’isolde qui n’aimait pas Tristan, et qui pourtant tous deux faisaient semblant sur des septièmes diminuées bardées d’appogiatures, de retards, et d’autres ornements, ce qui les a menés à l’endroit précis où nous sommes aujourd’hui. Ne devrait gouverner un pays que ceux qui connaissent leurs classiques, que ceux qui savent analyser et décortiquer les agrégats pour les transformer en accords posés solidement sur leurs immuables fondamentales. Ceux qui décident ne savent rien et ceux qui les désignent n’en savent pas moins. Et je ris aux éclats quand j’entends le mot « démocratie » dont pas un seul pantin connaît la définition. Par contre, je ris moins quand je vois tous ces moutons suivre les loups qui sont entrain de les précipiter dans le noir de mon célèbre puits d’où s’élèvent les plaintes des inconscients condamner à se vider de leur sang pour tous les temps qui restent avant la fin des temps. J’ai proposé Freud. Je me suis fait assassiner et pourtant je vis. Alors, réfléchissez ! Votre souffrance, douce par rapport à celle qui arrive, vous l’avez tant désiré. Qui succèdera à l’infâme Macron ? Un autre Macron inévitablement. Et puis un autre, et puis un autre. Ce sera sans fin jusqu’à ce qu’Allah et Mélenchon, et tous les autres, vous écrasent sous leurs semelles et ne laissent de vous qu’une trace de sang qui disparaitra rapidement sous la chaleur des rayons du soleil.  

mercredi 21 mai 2025

le puits au fond du jardin • les frérots font leur entrée officielle…

 



 

Alors que la France retourne sa veste et sa culotte en s’éprenant du Hamas qui la félicite – la France, ce n’est qu’un ployable enfant au psychisme inabouti et son ministre chauve des Affaires étrangères -, le rapport sur l’activité des frères musulmans aurait dû dévaster les esprits. Que nenni ! Plus de la moitié du pays est sous l’autorité des frérots et leur capacité à s’infiltrer au nez et à la barbe des naïfs, nous même tout droit à la charia. Demain, braves gens pitoyables, vous devrez vous agenouiller devant Allah sous peine de châtiments dont vous ne soupçonnez même pas l’efficacité. Et quand vous verrez bobonne sous ses voiles, violée ici et là sous vos yeux, vous penserez à vos années de peinard où vous injuriez Le Pen, Zemmour et Maréchal. Aujourd’hui, vous avez l’occasion de vous injurier pleinement. N’hésitez pas. Ça ne sert à rien, mais ça soulage. Combien de fois l’ai-je écrit ici ? Il fallait me faire confiance. Pour éviter toutes ces horreurs, il ne fallait pas voter pour tous ces misérables. Il vous suffisait de pousser la porte du cabinet de Freud pour chercher votre miroir, pour le trouver, pour vous y regarder, pour vous y reconnaître et pour le traverser. Ce n’est pas la société qu’il faut changer, mais le psychisme de l’homme. C’est vers sa fondamentale qu’il doit tendre pour retrouver ses valeurs cardinales. Avoir tranché la tête de ce pauvre Louis pour le remplacer par un empereur aura été la plus grande de votre ignominie. Je vous laisse là où vous êtes. Moi, je retourne d’où je viens, non sans passer avant chez mon Leclerc prendre mon café après avoir salué ma voisine de palier, qui ce matin est toute défaite.

lundi 19 mai 2025

le puits au fond du jardin • crasse écologique…



 

Je ne sais pas si l’attraction du jour est la victoire amplement justifiée de Rotailleau ou les insanités proférées par le terrifiant imposteur écolo Caron au sujet d’Israël et de l’Eurovision. C’est pourquoi j’opte pour sa collègue Tondelier, frappée d’une absence de cerveau et affublée d’une constance affligeante de niaiseries congénitales. Je l’ai vu, hier à midi, à la télé. Son discours creux, sans fondement, basé sur l’ignorance, la médisance, la lâcheté crasse, me conforte dans ma non-considération de la race écologique qui ne comprend que des frustrés, des morts-vivants, des lâches qui défendent la souffrance des poireaux pour ne pas voir celle des hommes et la leur, en particulier. Ils ne sont que des malades incurables qui vivent leur mort en dehors de toutes les réalités et qui veulent le triomphe des crétineries abyssales et dangereuses comme les LGBTQIA+ et la honte des couples homos et lesbiennes qui se croient autorisés à adopter, ce qui est absolument contraire à l’équilibre et à la croissance de l’enfant. Nous vivons nos héritages, une succession d’horreurs et de souffrances, auxquels s’ajoutent les coups de poignards du présent, parce que la volonté de maîtriser notre inconscient est un tabou incontournable. Et pourtant, il suffirait de pousser la porte du cabinet de Freud pour y cherche notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Mais non, l’homme préfère s’acharner sur les on-dit sans fondement et vivre mort sur le chemin mène dans le noir au fond de mon puits, au fond de mon jardin.  

 


dimanche 18 mai 2025

le puits au fond du jardin • ça descend encore…

 



 

La France entière pleure à chaud de larmes. Elle a encore perdu, comme elle perd depuis 48 ans. Ce n’est pas que les autres étaient meilleurs, avaient plus de talent, c’est que la France est la France, ce pays qui dégringole au gré des vents. Elle n’a plus ses piliers bien plantés dans le sol et se laisse balloter par les menteurs politiques, journalistes, philosophes, qui batifolent dans le déni et l’ignorance, entrainant avec eux une population amphétaminée, prête à se jeter dans le vide à la moindre injonction de Mélenchon ou Macron. La France a quitté la rive, celle où l’on pense soi, celle où l’on parle soi, celle où l’on est soi, celle où l’on fait fi des belles images et des belles paroles qui ensorcellent les esprits, celle où la pensée domine et explose les tartuffes imbéciles, celle où la vie est organisée autour de Freud dont la thérapie psychanalytique est la seule à redonner la vie à cette flopée de morts-vivants qui dorment sur le sol en respirant bruyamment. Peut-être que si Loane avait chanté la révélation de Brunehilde à Sieglinde, le peuple entier l’aurait acclamée. Le niveau de ce qu’on appelle « chanson », à l’Eurovision ou ailleurs, suit la dégradation de l’humanité qui, lentement et sûrement, descend chaque jour un peu plus dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Avant qu’il ne soit trop tard, et même s’il est déjà trop tard, penser autrement, voir ce qu’il y a derrière l’arbre, est l’unique solution. L’unique ! A vous de jouer.