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vendredi 21 février 2025

le puits au fond du jardin • la misère et la crasse des hommes…

 



 

« Tu ne peux pas être faible face à Président Poutine, ce n'est pas toi, ce n'est pas ta marque de fabrique ! ». Ce ne sont pas les paroles de la maman de Trump à son fils, mais celle d’un enfant psychopathe qui crie au monde la proximité affective qu’il s’imagine entretenir avec le Président des États Unis, qui n’a rien à foutre de ce petit minable de pacotille qui ne sait que bomber le torse qu’il n’a pas et que les Français, stupides et idiots, ont désigné pour Roi. Comment a-t-il pu oser délirer plus d’une heure, en direct sur le réseau Tic Toc, qui s’adresse aux enfants de 6 mois à 3 ans ?  Et c’est ce marmot, qui, si on ne l’arrête pas avant, va entrainer la France dans une guerre définitive qui fera regretter amèrement les deux dernières. On est bien dans un monde d’abrutis et le moteur tourne si vite que quoi qu’on fasse, il ne pourra qu’éclater avec un boum que personne n’ose imaginer.

 

Ils sont bien pires qu’abrutis les terroristes du Hamas qui n’ont jamais cessé de faire la loi avec les complicités des Émirs d’ici et là, et qui arriveront à leur fin : d’abord rayer Israël de la carte, puis l’Europe toute entière, et ce n’est pas l’enfant puérile qui nous gouverne qui va pouvoir s’y opposer. L’échange des otages avec des prisonniers est un scandale que jamais aucun parti n’aurait dû accepter, d’autant qu’il s’agit maintenant de cadavres en place de morts-vivants. Et même les cadavres sont humiliés quand on fourvoie leur identité.  Qui va mettre fin à ce massacre, le plus ignoble qu’ait connu l’humanité.  Je ne vois personne, parce que depuis la mort de Jean-Sébastien Bach, de Sigmund Freud et de David Lynch, je n’ai plus jamais rencontré un homme. Si la pensée – comme la Démocratie – avait été inventée, le monde entier pousserait la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. On est si loin des réalités, qu’il faut mieux ne plus y penser. Mais pour ma part, je ne céderai jamais : Freud où la mort éternelle sur cette terre dépourvue de toutes traces de vie. Il y avait bien trois filles nues et rieuses dans le Rhin, mais c’était avant, dans des temps lointains où la clarté n’était visible que par quelques initiés.

jeudi 20 février 2025

le puits au fond du jardin • la question…


 


 

Jour de deuil avec le retour à la maison des dépouilles de Shiri Bibas et de ses deux enfants, Kfir et Ariel. L’immonde est là et les terroristes de l'Hamas ne sont toujours pas écartelés sur la place publique et jamais ne le seront. Honte à l’homme incapable de faire respecter sa dignité.  Honte à l’homme qui soutient la chose purulente et qui, en France, siège toujours sur les sièges de l’Assemblée, sous l’œil indifférent du peuple, lâche et veule.

 

Après cela, et ce ne peut être que sans importance, comment ne pas au moins se poser la question du pourquoi et comment de l’arrivée de Ferrand à la tête du Conseil Constitutionnel et aussi se demander comment l’abjecte censure de C8 a pu se produire en France, dans ce pays dans lequel on nous rabat les oreill es avec sa liberté d’expression, alors qu’il n’est - ce pays - qu’un petit caca sorti du trou du cul de Kim Jong-Un. Un Président inoccupé à la langue agile, perverse, menteuse et dans un perpétuel déni ; une Assemblée d’inadaptés ignorants dont une partie sort des bouges des bas quartiers sans avoir eu le temps de remonter son pantalon ou de réajuster sa jupette ; un peuple naïf, soumis et maso, qui avale toutes les merdes qu’on lui fait ingurgiter sous amphétamine, voilà la France d’aujourd’hui, celle qui chute irrémédiablement dans le noir du fond de mon puits.

 

Au risque d’être répétitif – ce qui n’est pas sans rappeler Einstein on the Beach de Philippe Glass et Robert Wilson -, je réaffirme que la solution au désastre final, la seule, ne peut être que Freud, pour qui saura pousser la porte de son cabinet pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser.  C’est ainsi que Dale Cooper à ramener Laura Palmer à la maison et qu’enfin tous deux ont enfin réussi, à poser la question. L’unique…

mercredi 19 février 2025

le puits au fond du jardin • crépuscule…


 


 

Trop rigolo les minois de Guigou, Royale, Jospin, Allègre – au cimetière – et celui d’Hollande, trois rangs derrière, quand Bayrou a nommé les culpabilités dans la sombre affaire des sadiques de Bétharram.  Je ne sais pas qui à fait quoi et où est celui qu’il faut pendre après l’avoir démembré, mais je sais où mène la politique et dans quel monde des horreurs nous mènent ceux que vous avez élus.

 

Trop rigolo la table ronde des rigolos à l’Élysée, chefs de bandes organisées invités par le pire d’entre eux, l’enfant au psychisme inabouti, qui, désœuvré, tente de cour circuiter la réunion des grands qui veulent la destitution du petit flambeur minable Zelenski. La grenouille qui a voulu se faire aussi grosse que le bœuf, et qui, par jalousie maladive comme toutes les jalousies, a éclaté et éclaboussé les nénuphars de la mare au diable qui a bercée mon enfance, il y a près d’un siècle. Quand il va éclater, le monde va s’apaiser… pour un temps plus court que celui qu’il faut pour porter mon doigt dans mon nez.

 

Et puisque j’ai évoqué l’enfant et ses problèmes psychiatriques, j’espère que les Français ont compris que ses désirs ne sont pas des plaisanteries. Il s’apprête à envoyer nos enfants à l’assaut de Moscou, puis de la grande Russie pour ramener Poutine penaud et l’enfermer à Bastille, opéra ou station métro. J’ai bien peur qu’il soit déçu et que le tsar finisse par régner sur les ruines de Paris. La France est bien le pays le plus bête du monde, et le seul coupable est bien le peuple dormant et ignorant. Trouillard aussi. Il fuit Freud, le seul capable de le faire marcher sur ses deux jambes et de lui rendre la dignité dont il a oublié la signification du mot. Ce que je dis est sans importance. Mais, pour la direction prise par la France, avec l’assentiment du peuple, c’est vous qui allez payer et les larmes vont couler. J’ai bien peur que la Seine déborde et que le Rhône et le Rhin entre dans le jeu. Ce serait un sublime retour à la maison, avec ses trois filles qui veillent sur l’Or, qui, jadis, a mis fin aux règnes des dieux et des hommes.

samedi 15 février 2025

le puits au fond du jardin • dans le fond de mon puits…


 


 

Dans le bordel ambiant et croissant, il est difficile de trier et de faire un choix sur l’essentiel. Tout est important et tout est dérisoire lorsque l’on arrive au bout de siècles d’erreurs et que la vie aura été rongée insidieusement de l’intérieur sans que personne ne s’autorise à le reconnaitre. Dois-je mettre en évidence le passé de Bayrou dont tout le monde – à part les psychopathes de Médiapart – se fout ? Ou bien le scandale de la suppression de C8, atteinte gigantesque à la liberté d’expression ? Ou alors, les remous provoqués par le discours lucide de J. D. Vance, vice-président des États-Unis, et sa rencontre avec Alice Weidel candidate du parti d’extrême droite allemande ? Comme je ne sais pas, je vais insister sur cette ignominie que je ne connais pas et que je n’ai jamais vu : Garnier, Sagazan, Gims, et les autres, présentés par la pitoyable et effrayante Salamé de France Inter, des moisissures qui trainent dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin.

 

À part ça, trois otages vont être libérés et je me demande combien de temps va encore durer ce cinéma cauchemardesque où triomphent les terroristes du Hamas, alors que le monde sait que jamais les nazis n’iront jusqu’au bout de leur promesse. Il ne reste que la solution dont personne n’ose penser.

 

Si le monde pensait différemment, s’il reprenait ses études à la première page du livre du savoir, s’il redécouvrait la fondamentale d’où surgit la branche, la feuille et la fleur, s’il analysait l’écriture - plus avancée que tous les progrès de la science du XXIe siècle – de Jean Sébastien Bach et les vérités fondamentales de la thérapie psychanalytique de Sigmund Freud, la terre serait capable de tourner dans l’autre sens et les oiseaux de chanter au fond des océans. Mais non ! L’homme est borné. À la connaissance il préfère la chute dans le fond de mon puits. Et l’on s’étonne que nous en soyons là, là où on en est aujourd’hui !

jeudi 6 février 2025

le puits au fond du jardin • incapacité…



 

Sortir la France de la tarte à la crème aux champignons vénéneux dans laquelle les élus l’ont fourrée, n’est pas possible, parce que le poison coule dans toutes les veines et qu’il est trop tard pour le maitriser.  Et comme il faut toujours voir au-delà, considérant que l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi, finira par foutre le camp, qui pour lui succéder ? Je ne vois pas l’homme, ni la femme, qui aurait la capacité de dire au français : « Voilà le remède, prenez-le sans rechigner. » Le remède tient en la maxime « toujours par et pour le haut ! », dès la naissance, à l’école et dans la vie active. Il faut réhabiliter l’élitisme et en faire un modèle pour tous. Il faut prioriser le savoir et l’imagination. Il faut brûler l’arbre légendaire qui cache la forêt pour la pénétrer profondément et s’abreuver de ses richesses. Il faut mettre l’art au-dessus de la vie sans pour autant négliger les mathématiques et la physique, surtout si l’on doit s’exiler sur Mars ou sur une de ses planètes voisines. Il faut mettre hors de nuire toutes les violences avec la violence qui s’impose. L’Université de Rennes a fermé ses portes parce qu’elle a été saccagée par des voyous gauchistes, islamistes et mélenchonistes. La direction de l’Université garde le silence et sa non-intervention la rend complice. Elle n’est toujours pas en état d’arrestation. Il faut cesser de remettre au lendemain ce qui doit être fait la veille. Il faut mettre en place des juges qui jugent. Il faut que les prisons soient des prisons. Il faut que le peuple vive de son travail. Il faut cesser de rendre hommage aux morts quand on n’est pas capable de rendre hommage aux vivants.

 

Il y a des solutions au désastre actuel. Mais l’homme n’est pas en capacité de regarder pour voir. Freud pourrait l’aider. Mais voilà…


mardi 4 février 2025

le puits au fond du jardin • le noir du trou au fond de mon puits…

 



 

La sénatrice Union Centriste, Anne Billon, veut revoir la loi sur l’inceste parce que, selon elle, certains enfants sont consentants. Si le monde marche sur la tête, elle, elle ne peut pas, parce qu’elle, elle n’en a pas. Comment est-ce possible qu’une large partie du peuple vote pour ça, ou pour Boyard, le chien idiot crétin, ou pour Mélenchon, l’islamiste terroriste, ou pour l’ado psychopathe enfermé dans sa confusion qui sert, perversement, lâchement et dangereusement, de roi pour la France.  Tous ces gens détestables qui nous gouvernent ou qui le voudraient bien, sont des élus. C’est pourquoi je m’autorise le droit de me poser de sérieuses questions quant à la légitimité de l’élection. Pour ma part, cela fait plus de quarante ans que je n’ai pas glissé de morceaux de papier cul dans la fente d’une urne – et j’en suis très fier – parce que j’en vois l’épouvantable danger. Les élections n’amènent que des putréfactions qui préparent les dictatures dont jamais la France n’a été aussi proche. Après le détestable destructeur Macron, voyez-vous un soupçon d’ombre à l’horizon d’où surgirait un héros marchant dans la lumière et en sèmerait quelques graines dans les crânes vides des humains nourris à l’ignorance et au déni ? Moi, pas ! L’homme – comme l’enfant de l’Élysée – est inachevé. Jamais, de tous les temps, il n’a dépassé le stade de l’enfance qui joue au papa et à la maman, aux cowboys et aux indiens, aux soldats de plomb et aux clichés qui ne montrent sans cesse que l’arbre et jamais la forêt qu’il cache. C’est pourquoi il ne reste, pour notre dernier salut, que la porte toujours entrouverte qui s’ouvre sur le cabinet de Freud, cette porte que nous devons pousser pour rencontrer le psychanalyste qui va nous accompagner dans la recherche de notre miroir que nous devons trouver et dans lequel nous devons nous regarder, nous reconnaître, puis le traverser. Tout le reste n’est que banalités, bêtises, dénis, mensonges, perversités, auxquelles nous nous sommes s’y bien accommodés. Tans que nous ignorerions le sens, nous resterons figés et finirons par nous enfoncer dans le noir du trou au fond de mon puits au fond de mon jardin.  Et je n’irai pas vous y chercher.

dimanche 2 février 2025

le puits au fond du jardin • 49.3…

 



 

Imitant les trois mousquetairesses fort dépitées, le Premier ministre va dégainer Nothung, devant l’Assemblée, en griffonnant un habituel 49.3. Il l’a annoncé lui-même pour éviter le choc et la surprise à ceux qui ne représentent rien ni personne dans notre pseudo-démocratie. C’est derrière ce qui est derrière le derrière des choses non dites qu’il faut porter notre attention. Pourquoi la France halète-t-elle dans la marmite du crétinisme ? Seulement et simplement parce que certains cerveaux anémiés, pervers et hors-champ, de plus en plus nombreux, ont décrété et le font savoir à coups d’opinels, de massues et de kalachnikovs, que le Rassemblement National est un groupuscule terroriste d’extrême droite et que la seule politique que la France doit mener à bien, est son assassinat, alors que les terroristes se trouvent aujourd’hui à l’extrême gauche de l’Assemblée, sous la dictature de Mélenchon, avec à son bord, des Boyard, des Panot et des Bombard évadés des services psychiatriques des hôpitaux, tout ceci avec la complicité des clones des socialistes et des communistes et la bêtise crasse et ignorante des écolos. La quantité explosive des problèmes que rencontrent les Français ne les fait jamais dévier d’un pouce : à mort Le Pen ! Et, avec eux, ces crétins emmènent tout le monde dans le noir du trou du fond de mon puits au fond de mon jardin. Et moi, assis sous le frêne que Sigmund Freud à planté dans mon jardin de roses et de bleuets, je regarde tout ce monde de morts-vivants crouler irrémédiablement, alors qu’il aurait pu vivre vivant en poussant la porte du cabinet du psychanalyste pour y chercher leur miroir, pour le trouver , pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et le traverser. C’est raté. Tant pis. Il n’y aura pas de séances de rattrapage.

samedi 1 février 2025

le puits au fond du jardin • irrémédiable…

 



 

France Inter Info Culture – et même Musique quand les savants fous-ploucs de la musique  classique bougent la langue – c’est l’ignominie des envahisseurs islamo-gauchistes, auxquels j’ajoute C à vous et Quotidien des scélérats psychopathes sous la houlette des abrutis Anne-Elisabeth-Lemoine et Yann Barthès.  Ces gens-là attirent les foules comme la lumière attire les papillons, sauf qu’eux et leurs semblables, fort nombreux, s’éteignent dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où croupissent les morts-vivants qui crèvent lentement parce qu’ils ont été des vivants-morts. La fin de cette civilisation est irrémédiable et rien ni personne ne changera le cours du temps. Il y avait bien Freud, mais comme il a préconisé le miroir pour que chacun puisse se regarder, la peur s’est emparée des foules et le monde l’a rejeté. Il ne reste donc rien. Jusqu’à notre mort, nous allons donc avoir à supporter, encore et encore, les ados inaboutis, pervers et idiots qui dirigent ici et là et nous continuerons à entendre leurs odieux mensonges, leurs éternelles promesses d’où l’on ne voit jamais rien venir. Pauvres peuples qui votent, qui votent, qui votent, et qui ne savent même pas que le bulletin qu’ils glissent dans la fente de l’urne n’est qu’une petit bout de papier cul.     

jeudi 30 janvier 2025

vu à travers le tube • les têtes vides…

 

Ubaldo Oppi - Aveugles et autres figures (1922)

Hanouna , sur Europe 1, ne s’y trompe pas. En France, on marche bien sur la tête et on s’écrase au sol parce que les têtes sont irrémédiablement vides. L’algérien « influenceur » de Tik Tok (rires) Doualemn, que Rotailleau a justement expulsé et que l’Algérie a injustement réexpédié, a vu son arrêté d’expulsion suspendu par des juges de la Justice française, ce qui ne peut être qu’un acte politique téléguidé par l’extrême gauche islamique de l’Imam Mélenchon. Quand va-t-on faire le ménage dans la Justice et placer les juges devant leurs responsabilités ? Aujourd’hui, les coupables sont victimes et peuvent se vanter d’être protégés par la loi. Il faut revenir aux temps anciens où si vous voliez, on vous coupait la main, si vous violiez, on vous tranchait le pénis. Freud étant rejeté, je ne vois que la violence pour répondre à la violence, ce que l’on appelle « œil pour œil, dent pour dent ». On croule sous le tsunami des paroles indignes et sous les pseudos solutions apportées par des abrutis que des abrutis ont portés au pouvoir. Heureusement, les dictatures arrivent et les peuples soumis vont devoir marcher au pas dans leurs uniformes gris.

 

L’Algérie ne cesse de nous provoquer. Pourquoi ne faisons-nous pas de même ? Les voyous LFI terrorisent l’Assemblée. Pourquoi ne les envoie-t-on pas devant les tribunaux ? Le président n’a rien à faire. Pourquoi ne supprime-t-on pas la fonction ? Les stations et chaines publiques font de la politique. Pourquoi ne les privatise-t-on pas ? J’ai mille autres questions semblables dans ma besace. Ce sera pour une autre fois.

mercredi 29 janvier 2025

le puits au fond du jardin • freud, bach, et c’est tout…

 



 

Je ne me pardonnerai jamais d’avoir été, pendant cinq ou six décennies, un socialiste convaincu et qu’il y en ait encore quelques restes aujourd’hui, quand je vois ces pitoyables socialos trou du cul, qui vendraient leur âme à Méphisto – Faust était socialiste – pour la miette de pain revomi par mon petit canari jaune figé derrière ses barreaux. Leur alliance avec  LFI, l’ignominie jamais atteinte sur cette terre ; la morale à deux balles de la vieille Borne qui remonte les bretelles des recteurs parce que la police est venue mettre les menottes a une élève terroriste sans papiers, dans la salle de classe, devant les élèves ; Boyard, le braillard terroriste en passe de devenir maire ; le mot « submersion », mot si bien approprié dans le contexte, qui provoque des crises d’hystéries profondes à l’intérieur du parti en charpie ; l’enfant au psychisme inabouti qui sert  de roi à la France, roi sans culotte, sans pantalon, sans fonction, qui prend encore la parole, de temps à autre, pour vomir ses fantasmes d’embryon éternellement figé dans le ventre de la femme coupable.

 

Oui, j’ai longtemps pensé socialiste. Aujourd’hui, si je me tourne vers Rotailleau, Le Pen, Maréchal, Zemour et l’esprit Cnews/Europe 1, je pense et agis en fonction des deux seuls maitres qu’a connu notre civilisation fuyante. Sigmund Freud d’abord, le seul qui ait compris le fonctionnement psychique de l’humain et qui a inventé la thérapie psychanalytique pour tenter de faire comprendre que ce que voit et entend l’homme n’est pas, d’où ses traumatismes qui l’emprisonnent à vie s’il ne pousse pas la porte du cabinet du maitre pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Jean Sébastien Bach ensuite, qui par ses compositions, reflets précis de notre psychisme, décrit, dans son universalité et le résume dans « L’Art de la fugue », la primordialité de la fondamentale, celle sur laquelle tout individu devrait établir les tables de sa loi, l’équilibre, la clarté et l’éclairage du chemin qui mène de l’inconscient à la porte du conscient. Cette immense victoire permettrait de gommer à tout jamais les pièges mortels tendus par Boyard, Panot, Mélenchon, Hollande, Bayrou, Macron, Sarko, Chirac, Mitterrand, Napoléon, Louis XIV, Henri IV, François Ier, Royale, Cohen, et tant d’autres, qui ont prôné ou prônent, aujourd’hui, l’ignorance qui enrichit la cécité et la surdité du peuple de France.

mardi 28 janvier 2025

le puits au fond du jardin • le théâtre se meurt…

 



 

Molière, Racine, Feydeau et Ionesco ont déserté la scène. Le théâtre est affligeant et les abonnés ne laissent plus leur tête de lapin au vestiaire parce que montrer son vrai visage qu’est l’ignorance, est aujourd'hui la clé qui ouvre la porte du pouvoir. Rotailleau se bat à mort pour nous débarrasser de la vermine gauchiste islamique. Lombard, son collègue de la finance, une vermine gauchiarde, vante l’immigration à tout-va et même – c’est le pompon – assure que l’héritage Hollande est – comme l’immigration – une chance pour la France. Et – autre pompon – Bayrou qui, à force d’avoir le cul entre deux chaises, est tombé au fond du trou, opère, sous les yeux clos des Français, sa mue en socialo, la secte des trucs machins hideux et puants. Le grand remplacement est bien en marche, d’autant que ce pauvre Hollande manœuvre en dessous, bien caché derrière les premiers rangs avec la lâcheté qui la toujours caractérisée. Tout se passe entre lui - et en cachette - et Bayrou, et ce déchet fait tout pour retrouver le trône de l’Élysée, ce qui ne pourra que satisfaire Madame, l’actrice peu reluisante qu’il a épousée.  Deux France s’opposent violemment. Celle de la défense de son identité et celle qui se vend en petites tranches à l’ennemi. Pas de compromis possible. L’une des deux doit mourir. Et ce ne sont pas les élections dévastées par les conditionnements des pensées qui vont pouvoir régler un si vaste problème, qu’il dépasse de loin la piètre intelligence humaine. Pleurer sur l’assassinat d’un enfant de 14 ans par deux tarés de 16 ans, ne sert à rien. Les hommages posthumes et les marches blanches encore moins.  C’est avant qu’il fallait y penser et faire en sorte que le sauvage qui sort du ventre de la femme coupable, acquière suffisamment d’humanité pour ne plus avoir le temps de titiller son voisin et soit capable d’occuper son temps à modeler ses pensées de façon à se défaçonner. Freud à la solution. Lui et lui seulement. Il peut vous donner l’occasion de chercher votre miroir, de le trouver, de vous y regarder, de vous y reconnaître et de la traverser. Alors, faites ! Et ne chercher aucun prétexte pour y échapper. Non, Freud n’a pas découpé sa fille pour la manger, ni violer sa grand-mère. Il a simplement et tout bêtement analysé votre animalité et inventer une thérapie qui fait tomber votre peau de bête féroce pour endosser celle de l’humain. Ne serait-ce pas la vraie victoire de l’homme sur l’adversité ?  

samedi 18 janvier 2025

le puits au fond du jardin (bis) • david et sigmund…



 

Dale Cooper à Laura Palmer : « Je vous ramène à la maison. » Diane au siège du FBI : « Je ne suis pas moi. Je ne suis pas là. Je suis dans le bureau du shérif, à Twin Peaks ! »  Lynch, le génie, a exprimé et décrit le secret de la vie : la guerre perpétuelle entre le conscient et l’inconscient et l’aveuglement des hommes qui refusent la thérapie psychanalytique de Freud pour résoudre le problème. Aucun avenir. Aucun espoir.


le puits au fond du jardin • le lien abandonné…


Le retour à la maison de Laura Palmer

 

Trêve à Gaza. Otages – s’il en reste – libérés. Enfumages et mensonges se succèdent. Tant qu’Hamas et ses clones n’aurons pas été exterminés jusqu’au dernier, la paix ne sera qu’une illusion. Et c’est sans compter avec les milliers de terroristes qui vont sortir des geôles d’Israël qu’il va bien falloir occuper. Il n’est par l’heure des réjouissances et ce moment ne viendra jamais. L’homme est lâche. C’est sa nature. Tout aussi dramatique – dans la lâcheté – le président, le premier ministre, le gouvernement, le Parlement, les élus, le peuple de France. La chute inexorable dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin se poursuit et les mâchoires aux grandes dents affutées vont se régaler.  Et il y en a encore des millions de milliers qui n’ont pas compris Mulholland Drive , Inland Empire ou Twin Peaks Le Retour, alors que les films cités ne sont que leur l’image, celle qu’ils ignorent parce que jamais ils n’ont poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher leur miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. La solution n’est pas Mélenchon, Le Pen ou Vauquiez, la solution ne peut être que Freud, seulement Freud et rien que Freud. « Laura est l’unique ! » a dit la femme à la bûche. C’est bien pour cela que l’unique de l’unique, c’est bien Freud.


vendredi 17 janvier 2025

le puits au fond du jardin • les vivants puis les morts…

 



 

Les morts se succèdent depuis que l’on a inventé les vivants. Mais quand celui qui disparait est un homme de génie, un homme qui a su regarder, voir, écouter, entendre, et refuser toutes les ignorances, il est difficile de croire que les putes et les pitres de LFI, les caprices du roi de France, les bavardages et enfumages des élus, les guerres de Zelenski, les courbettes au Hamas, les sexes égarés, les peuples agenouillés, les crétins de France Inter, les faux-semblants qui habitent les cranes vides, aient la moindre importance. David Lynch est mort. Il était Bach et Mozart, Voltaire et Hugo, le digne successeur du grand Alfred dont ils avaient en commun une compréhension aigüe de la psychanalyse de Sigmund Freud, le seul humain qui ait disséqué les rouages complexes des psychismes. En place de citer ses films – des chefs-d'œuvres incontournables - , je préfère revoir Dale prenant Laura par la main et me répéter en boucle leur échange : « Où me conduisez-vous ? » « Je vous ramène la maison ! » Tout est dit. Tous, nous n’aspirons qu’à une seule chose, retourner à la maison, retourner d’où on vient, dans le ventre maternel duquel la femme coupable nous a éjecté violemment sans même se préoccuper de notre propre avenir et de notre propre existence.     

mardi 14 janvier 2025

le puits au fond du jardin • le surréalisme triomphant…

 



 

Comment comprendre la situation surréaliste qui montre Bayrou en confidences permanentes et intimes avec Faure, le patron des socialistes acoquinés avec les islamistes mélenchonistes et les écologistes fous à lier ? Le départ à la retraite ne devrait être accordé qu’en fonction de la pénibilité du métier. 55 ans pour les travailleurs du bâtiment et les boulangers, 90 ans pour les bureaucrates, les gratte-papiers et les joueurs d’ordinateurs, 110 ans pour les bavards de la télé, invitants et invités. Tout est dit. Tout est réglé. Si Bayrou cède d’un seul petit pouce à ces salauds de gauchios qui appellent les pires des dictatures, il est foutu. S’il ne cède pas, il est encore foutu. Bayrou n’est rien, comme ses idées et ses avis, parce qu’au centre, on tombe toujours dans le vide. Les seules solutions pour ranimer la France à deux petits doigts de la mort, c’est la fin de la compassion, la fin des circonstances atténuantes, la dépolitisation de la Justice et de l’Éducation nationale, l’égalité devant l’impôt, le savoir, la culture, l’amour inconditionnel de Molière, de Mozart, de Van Gogh, le désir de laisser ses pieds enfoncés dans la terre, aux côtés des vieux chênes centenaires, et la mise à l’arrêt définitif des fonctions de l’enfant qui sert de roi à la France. Et pour cela, accomplir le nécessaire indispensable qu’est la rencontre avec Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien que ça, les restes n’étant que détritus pour les poubelles des rues de Paris.

samedi 11 janvier 2025

le puits au fond du jardin • de la miss à la vieille dame…

 



 

Miss France n’est pas Charlie (***). Personne n’est obligé d’être Charlie. Mais, en plus de ne pas être Charlie, elle n’est rien, sinon une masse de chair qui a exposé son cul dans une vente aux esclaves sur les marchés du mercredi matin. On ne peut pas nous obliger à considérer la femme alors qu’elle vend son corps et son âme, chaque année, en direct à la télé, sous l’œil pervers de Jean-Pierre Foucaud et des millions de téléspectateurs qui ont l’occasion unique de se le rincer sans s’attirer les foudres de la censure des Émirs et des Imams et des mitoutes chatouilleuses. Quand femme saura ce qu’elle veut, homme sortira de son refuge et tentera de justifier sa présence sur terre.

 

(***) https://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/miss-france/miss-france-n-est-pas-charlie-le-journal-satirique-retorque-a-angelique-angarni-filopon-par-une-caricature-accablante-20250110

 

Chez Praud, grand amoureux de la vieille femme ridée qui a épousé le jeunot au psychisme inabouti qui sert de roi à la France, un chroniqueur a tenté d’expliquer le comportement de la dame, qui, tout récemment et par deux fois à la télé, a insulté les Français qui n’aimaient pas son gentil bambin qui lui les aime tant, en disant que leur différence d’âge était la vraie raison : maman protège son fils. Pour moi qui fréquente Freud depuis des décennies, le chroniqueur a raison, c’est la seule et véritable explication. Praud a sorti le monsieur comme un malpropre. Chez lui, on ne parle pas de ces choses malsaines et des ignominies freudiennes. Ma liste noire a inscrit un nouvel abonné.

vendredi 10 janvier 2025

le puits au fond du jardin • trump et musk, ou freud…

 



 

Le misérable influenceur algérien expulsé hier vers son pays, a fait un aller-retour express. L’Algérie ne veut pas de lui. Alors, à son retour, pourquoi ne pas l’avoir jeté dans la mer, ce qui aurait résolu tous les problèmes. Aujourd’hui, la parlote n’a plus aucun effet, les lois républicaines sont obsolètes. Il n’y a plus que la manière forte qui porte et qui peut apporter un semblant de paix. Hélas, ce n’est pas dans le pays des droits de l’homme qui n’en a plus aucun et dans le pays de cette stupide laïcité qui permet la suprématie de la pire des religions et l’invasion de marmites géantes de tarés, que les éléments vont se bonifier. La France est le pays des moins que rien qui se fait hara-kiri à tous les instants en tolérant Mélenchon et ses amis qui distillent le pire des poisons qu’est l’installation de la charia. Pourquoi ne sait-on plus se servir de ses yeux et de ses oreilles et qu’on ne sait que nier les vérités grosses comme des montagnes. Comme les Romains de l’Antiquité, les Français aiment avant tous les jeux du cirque où ils se font manger par les lions quand l’enfant et ceux qui l’ont précédé, baissent le pouce sous le hourra des foules. La misère n’est plus à nos portes. Elle est entrée dans nos maisons et nous la regardons sans que frémisse un seul de nos dix doigts de pieds. Trump et Musk devraient changer le monde, mais ce sera insuffisant. La rupture radicale avec le monde perdu que nous vivons ne peut venir que de Freud chez qui nous devons chercher notre miroir, le trouver, nous y regarder, nous y reconnaître, et le traverser. Rien que ça et rien d’autre. Les restes sont pures inventions et la concrétisation du déni qui guide les pas de l’homme.   

dimanche 5 janvier 2025

le puits au fond du jardin • à vous de voir…



 

 

Vous connaissez tous la rengaine des politiciens français : « J’ai été élu démocratiquement ! » Un. Pour être élu démocratiquement, il faudrait que la Démocratie existe. Tout le monde l’attend depuis des millénaires. En vain, puisque l’inventeur n’est toujours pas né. Deux. Les stupides pantins ont tous été élus grâce à leurs mensonges qui sont plus que vérités chez les naïfs inconscients et ignorants. Trois. Le mode électoral n’est pas garant de vérité et de caution à toutes décisions. La seule vérité intrinsèque est : « Je commande, tu obéis et tu te tais. » La discussion, l’échange et la concertation sont des faux-semblants pour faire croire à la participation. Dans ce domaine, Macron est un champion. Karajan a conduit le Philharmonique de Berlin au succès. C’est parce qu’il a été, comme Toscanini, un chef dictateur et sans concession. Et cependant, en tant que socialiste authentique – nous sommes encore deux ou trois sur la planète -, je suggère que l’on pose la première pierre pour tenter un semblant de Démocratie : les prétendants à un poste à responsabilité proposent dix sujets sur une feuille de papier. Exemple : 1. Dès mon élection, et sur 3 jours, l’armée, la police et la gendarmerie jetterons à la mer tous les étrangers et tireront sur tous ceux qui tentent de s’échapper. Et si cela n’a pas été réalisé, l’élu sera arrêté et jeté dans les cachots de la nouvelle République pour un minimum de 20 ans.  Voilà ! Chacun prend ses responsabilités. Il y aura beaucoup moins de monde au portillon et surtout beaucoup moins de cons qui rêvent de monter sur les planches. Et que l’on cesse pour toujours les campagnes électorales, qui sont vraiment du trop mauvais cinéma. Et pendant que l’on y est, que l’on cesse aussi les débats télévisés où tout tourne en rond, sans jamais répondre aux plus profonds désirs des populations. Alors que l’on est sur la fin, c’est le dernier instant qu’il nous reste pour tenter de tout recommencer et de tout construire différemment. Mais d’abord, ne pas oublier le retour à la maison, le retour dans le ventre de la femme coupable, pour se remémorer l’instant de l’éjection sur le sol boueux et pierreux qui nous aura tant fait mal. Ensuite, ne pas omettre de se précipiter cher Freud où se cache notre miroir. Ce que je propose EST la solution. À vous de voir…  


samedi 4 janvier 2025

le puits au fond du jardin • la solution…



 

Comme si Bayrou ne connaissait pas les difficultés des agriculteurs, il recule encore l’échéance en les convoquant prochainement pour s’informer. Comme toujours, on parle, on se montre à la télé, et on laisse les choses en plan. Les victimes disent vouloir marcher sur Paris. J’espère qu’ils vont le faire et y asphyxier tout ce qui semble respirer. Leur colère devrait entrainer la colère de tous les peuples et réduire à néant ceux qui s’imaginent avoir le pouvoir de nous gouverner. Le monde ne tourne pas rond parce qu’il se comporte en petit enfant capricieux, à tous les étages, et qu’il est incapable de comprendre qu’être adulte c’est être conscient que notre conscience doit toujours triompher de notre inconscient. Pour cela Freud est le seul remède, ce Freud qui rejeté par tous, par tout cet agglomérat de psychopathes dont le triomphe aura détruit la planète. Et dire qu’il y a encore des imbéciles qui cherchent des solutions, alors que la solution est sous leurs yeux et qu’il leur suffit de tendre la main.  


vendredi 3 janvier 2025

le puits au fond du jardin • le retour à la maison…

 



 

Déjà trois jours. 2025 a trois jours et ne fait en rien la différence. Les mêmes meurtres qu’en 2024, les mêmes crimes, les mêmes discours, les mêmes mensonges, les mêmes dénis. Rien ne sera plus comme avant, ont-ils tous dit. Et pourtant tout est identique, sans le déplacement de la moindre virgule, l’homme – et la femme bien évidemment – étant la tâche indélébile, la tâche noire encre, la même qui recouvre les vermines qui croupissent dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, les restes, à l’odeur sale, que quelques poètes ont distillé dans leurs vers de génie pour montrer l’illusion piteuse qui se rapporte au genre humain, le genre abruti, qui survit depuis si longtemps. Cooper a ramené Laura à la maison. Brunehilde a rendu l’or au Rhin. Notre seule vocation est le retour à la maison, dans le ventre maternel. Et pour tenter de repousser cette auguste décision, nous inventons des histoires à dormir debout qui nous détournent du chemin. Nous ne pouvons le faire éternellement et c’est pourquoi nous ne cessons de déclarer des guerres contre nous-mêmes qui sont toutes vouées à l’échec. Regardons-en face et posons-nous la question. Nous n’avons rien d’autre à faire. Notre miroir est chez Freud. C’est chez lui que nous pouvons le chercher, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est de l’autre côté que nous « sommes ». C’est de l’autre côté que la conscience du monde est nôtre C’est de l’autre côté que le mirage se dissipe et que se dévoile notre personnalité qui, comme un gant, pourra s’approprier le seul monde vivant et l’enfiler comme notre juste-au-corps. Tout est derrière. Tout est ailleurs. Et nous persistons à voir en aveugle, parce que notre regard ne veut pas percer l’horizon.