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vendredi 23 février 2024

vu à travers le tube • les trancheuses de zizis…

Je me demande si, ce soir, je vais laisser le petit monde squelettique putréfié du cinéma violer mon écran télé, d’autant qu’on m’annonce sans ménagement la présence de Godiche Godrèche qui, sur la scène de l’Olympia, va venir donner la recette du découpage du pénis qui est très à la mode dans les esprits torturés de ce début du XXIe siècle. Et, on me dit aussi, qu’elle ne sera pas la seule à vomir sur les mâles avec lesquels elle entretient un déni de désirs que seul Freud pourrait analyser. Ç’aurait dû être la soirée de la magie du cinéma et ce ne sera que la soirée de la honte, d’autant que la médiocre Trier va encore recevoir quelques babioles césariènes qui marquent trop souvent le déclin du 7e Art. Ces réunions sectaires devraient être bannies à jamais, leurs membres n’étant en aucun cas représentatifs du cinéma de Murneau, de Dreyer, de Clouzot, de Bergman et de quelques autres. Bref ! Soirée de merde !

 

L’ignoble ado au psychisme inabouti, que les lois scélérates de la Constitution du militaire à la retraite a mis au pouvoir suprême, n’a pas hésité à agresser et à humilier les agriculteurs en colère, en décrétant un débat au Salon de l’agriculture en présence des terroristes écolos Les Soulèvements de la Terre que son ministre de l’Intérieur a voulu faire justement interdire. Que comprendre de l’attitude de l’ado attardé, sinon qu’une fois encore, il tente de fracturer le peuple pour gouverner à son aise. Cet enfant, comme le terroriste iman Mahjoub Mahjoubi, expulsé hier, doit être bouté hors de nos frontières avec interdiction de retour. Et tant pis si sa maman verse toutes les larmes de son corps.

 

Hier soir, sur OCS Géants, j’ai revu « Scènes de la vie conjugale » d’Ingmar Bergman (1973). Chef-d’œuvre absolu dans lequel le couple homme-femme est traité dans sa totale complexité et qui nous fait quitter les chemins boueux, pierreux et épineux des trancheuses de zizis, dont l’attitude relève de la psychiatrie.