Là-bas, les pitoyables dictateurs Biden et Obama
exhortent le peuple à défendre la démocratie. Ici, les micronistes, les mélenchiens
et leurs copier-coller, crient « au loup ! » à l’élection -
brillante - de Bardella et commencent leur interminable série de coups-bas pour
faire chuter le parti le plus apprécié des français, à savoir, le Rassemblement
National - successeur du Front National - qui est sans doute le seul à dire la
vérité. Je ne vote pas pour Le Pen et ses satellites et pourtant ça me titille
parce que j’aimerais m’associer avec ces pestiférés dont on dit n’importe quoi
alors que jamais ils n’ont été au pouvoir. Les autres l’ont été et je ne vous
ferai pas un dessin pour décrire l’immonde résultat. Donc, je ne voterai pas pour
ces gens sympathiques parce que je ne suis ni un lâche ni un gros con : JE
NE VOTE PAS ! Ce qui m’évitent d’être co-responsable de cette merde qui
gouverne et ce qui m’évite de participer aux jeux des gigolos qui l’ingurgitent
et des facho-islamo-gauchistes mélenchiens qui feraient fuir tout un régiment
de fantassins napoléoniens. Y a-t-il une seule pensée pour voir ce que nous
devenons ? Nous ne sommes plus que des riens, « gouvernés » par
des riens et attaqués de toutes parts par ceux que nous avons mortifiés dans le
passé. Les esclaves colonisés des siècles passés prennent leur revanche. Ce n’est
que justice. Préparez-vous à crever puisque personne ne tente de vous défendre.
Après avoir vu et entendu deux fois l’impossible
et insupportable Beczala (applaudi à tout rompre) - Faust et Un Bal masqué -
dans la journée sur Mezzo, j’ai terminé ma nuit sur cette même chaine avec le
Tristan de Barenboïm à Berlin où les deux « amoureux » rient aux éclats
quand ils ont bu le philtre. Dans cette version, il s’agit avant tout d’une
conversation de salon divertissante. Je ne suis pas sûr que Wagner ait apprécié
la chose. A 23h50, j’ai commandé le DVD
sur Amazon. Je le recevrai ce mardi.