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mardi 5 mars 2024
vu à travers le tube • france-déclih, le mot composé est acté…
Beaucoup
confondent le sigle IVG au sigle TVG. C’est pourquoi je préfère le mot « avortement ».
L’enthousiasme, vu hier dans les écrans télé, va vite retomber, tout ce cirque
ne servant strictement à rien, sinon à permettre à l’enfant qui gouverne la France
de revenir, vendredi, sur la scène du théâtre des marionnettes, re-déclamer sa
tirade bien usée. Après son départ forcé, si un dictateur – Mélenchon ou Caron,
pourquoi pas ? – prend le pouvoir, qui lui empêchera de changer la constitution
et de laisser aux objets trouvés les lois sur l’avortement et sur la liberté d’expression ?
Et puis, il restera toujours la contradiction avec le serment d’Hippocrate qui
risque bien de troubler la règle du jeu. Je ne crois pas qu’à Versailles, le
corps de la femme ait été libéré. Jusqu’à nouvel ordre, c’est toujours elle qui
fabrique l’enfant et lui cède une partie de la chair de son corps. Elle sera
libérée lorsque les enfants seront virtuels, ce qui ne peut être un mal en soi.
En ce qui concerne la femme, son corps et sa chair, je ne peux m’empêcher de
mentionner l’imbécilité et la fracture psychique de Brigitte Fossey qui veut la
condamnation de Bertrand Blier parce qu’il a demandé à Depardieu et à Dewaere
de lui toucher les seins dans son film célébrissime, « Les Valseuses »,
ce que considère la dame usée comme une terrible, horrible et scandaleuse
agression sexuelle. J’éclaterais de rire si la déchéance de l’actrice ne me
peinait pas. Pauvre France puritaine qui, en peu de temps, aura effacé ses
heures de gloire dues à Sade, Voltaire, Hugo et Maupassant.
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