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dimanche 11 décembre 2022

vu à travers le tube • du qatar à wang… du noir à la lumière !

Alors que le monde entier s’est installé au Qatar pour regarder un ballon qui passe de pieds en pieds, la vérité sort de la bouche de la police belge : là-bas, c’est la corruption qui règne en maître. Organisation criminelle, blanchiment d’argent, influence sur les décisions économiques et politiques du Parlement européen en versant des sommes d'argent conséquentes ou en offrant des cadeaux importants, conditions de travail et de vie de centaines de milliers de travailleurs migrants (6500 morts depuis l’attribution du Mondial en 2010). Et ces faits sont connus de tous, ce qui n’empêchera pas Micron II Roi de France d’y parader ce mercredi et de baiser - j’espère que la main - de l’Émir patron de la pègre. La FIFA, corrompue elle aussi, n’a même pas honte d’organiser une manifestation sportive dans un pays qui n’a rien à envier à la Russie qui, elle, n’a même pas eu le droit de poser sa candidature à la course pour terrasser l’invisible - hier soir - Mbappé.  

 

La pourriture écolo change de tête. Une verte succède à un vert. Tout reste vert de gris et même vert de terre. Le trop célèbre maire vert de Grenoble a chaleureusement félicité l’arrivée de la nouvelle tête verte à la tête des verts sans pieds. Je reste dans le même chapitre. Bompard a pris la tête des mélenchiens sans leur demander leur avis. À la réunion secrète, Alexis Corbière, Clémentine Autain, François Ruffin ou encore Eric Coquerel, n’ont pas été invités. Là aussi, ça s’effrite et ça chute dans le noir du trou du fond de mon puits qui débordent de purulences et de pitreries. Je vais prochainement le faire nettoyer et faire jeter tout ça au fond des océans.

 

Hier Wang était sur Mezzo avec un violoniste chevelu. Quand elle joue, je ne suis pas sûr de l’entendre. La musique passe par son regard qui illumine son visage. Avec Yuja, la musique est simple. Pourquoi tous ces profs improvisés dans les conservatoires nous la rendent donc si compliquée ? (*)

 

(*) Je peux me le permettre. J’ai dirigé un conservatoire pendant 35 ans et là-dessus… j’en connais suffisamment pour affirmer !