Emmanuel Macron, spectateur de la colère française :
Emmanuel Macron, spectateur de la colère française :
L’enfant de l’Élysée, l’enfant au psychisme inabouti, l’enfant baratineur, l’enfant menteur, l’enfant destructeur, va mobiliser, ce soir, l’écran de TF1, pendant plus de deux heures, en embobinant Binet la porte-voix de la CGT-islamo-mélenchoniste, InShape le youtubeur, Duflot la gauchiste ONG Oxfam, Biétry en fin de vie, Saqué le journaliste, Ménard le maire de Béziers, un haltérophile, et quelques centaines de téléspectateurs naïfs et imbéciles. Je ne sais pas s’il a raison - l’enfant - de penser qu’il va pouvoir, encore une fois, enculer la France et en y réfléchissant bien, je me dis que oui : il va le faire et ce seront, plutôt, des milliers de cerveaux vides qui auront mal au derrière toute la nuit et probablement encore au cours de la journée de mercredi.
En face, sur Canal+, je suppose, Binoche la meetosienne wokiste va présenter la messe crapuleuse qui ouvre le Festival de Cannes où toute l’extrême gauche française réuni sa superbe, avec débauche de seins et de fesses et de compliments-caresses qui donne la nausée. Pouah ! Je ne serai ni là-bas ni ici. Je ne veux pas me rendre malade, et surtout, je ne veux pas rater mon feuilleton PBLVPB, qui me tient en haleine depuis plus de douze ans.
Ce matin, à 10 heures, va tomber la sentence afférente aux comportements sexuels de Gérard Depardieu, le plus grand acteur français depuis Gérard Philip. Soumis aux nocifs mouvements femellésiens, la justice sera inévitablement injuste. L’ère macroniste nous en a donné l’habitude. Peu importe. L’homme fabuleux restera dans les mémoires jusqu’à la fin des temps… si proches.
Et si j’excepte les tribulations de Trump aux pays des Émirs, il ne reste que l’affaire Kardashian, cette nana qui a reçu, à poils, dans son hôtel six étoiles, la visite d’une poignée de papis qui lui ont pris ses bijoux sans même la violer. C’est sans doute qu’elle est plus fade que sur les photos.
https://www.europe1.fr/emissions/ledito-politique/euthanasie-les-folles-logiques-dune-loi-745629
Macron et sa bande de rigolos – pas vraiment rigolos – sont partis pour Kiev, rejoindre, en train de nuit, l’homme qu’il tripote à souhait, pour organiser le guerre Europe-Russie que l’enfant, au psychisme inabouti, de l’Élysée, attend depuis si longtemps. Le guerrier des temps absurdes et modernes aura-t-il son cheval blanc sous ses fesses et son tricorne sur la tête quand un drone fera exploser ses chairs alors qu’il n’a toujours pas caché sa main cajoleuse sous la boutonnière de son veston ? Et oui, c’est bien le petit Napoléon qui s’est cassé les dents sous les remparts de Moscou et qui est rentré en France à pied, la tête baissée et l’ambition nauséabonde fracassée. Être en guerre au moment de la présidentielle, n’est-ce pas le seul moyen de rester au pouvoir, bien au chaud, sous les jupes de maman épousée, dont certains disent – des mauvaises langues – que maman est papa.
Le rodéo urbain, à Évian, a envoyé un sapeur-pompier à l’hôpital. Il est gravement blessé et je ne sais pas où en est son état vital en ce moment. Rotailleau a encore dénoncé la racaille et les terroristes juvéniles qui ont fait de l’assassinat un métier. De cette affaire, France Inter-Info a seulement souligné les propos violents et dangereux du ministre de l’Intérieur. S’il y a racailles et terroristes juvéniles, ce n’est pas la faute des réseaux sociaux, mais bien de ces radios de mécréants qui plonge le monde, avec Mélenchon, dans les ténèbres sordides de l’islamisme qui, tous les jours, marque un point. Le criminel est un jeune alcoolique drogué à qui on vient de retirer le permis de conduire. La logique est que l’individu soit mis en prison pour vingt ou trente ans, sans jugement et dans une cellule sans fenêtre, sans matelas, sans télé, sans portable, sans ordinateur, avec une minuscule ouverture qui laisse entrer les gros rats sales des égouts voisins. Mais non, à l’image du président, on est dans une époque de cajoleries intensives. D’autres imbéciles diront qu’on est humain.
De la même trempe ou de la même veine, dans le Lot, 10 000 tarés se sont installés, depuis plusieurs jours, sur un terrain agricole pour une « rave party » interdite – INTERDITE -. La drogue, l’alcool et le sexe – ce qui va de pair -, triomphent nuit et jour, au nez et à la barbe de 200 policiers qui fournissent aux délinquants les soins et la sécurité. Voilà à quoi on utilise la police, alors que son travail est de les embarquer et de les conduire dans les prisons identiques à celle du chapitre précédent. Ce laxisme, ce foutage de gueule, ne peut avoir que des répercutions, et la première est la plus logique : pourquoi obéir aux lois, puisque la désobéissance y est désormais inscrite. Parler, se rendre sur les lieux des crimes, rendre des hommages, ne sert à rien, sinon à occuper les journées des ministres. Et si tous ces minables la fermaient une fois pour toutes, et agissaient impitoyablement ? Une bonne partie des déchets humanoïdes disparaîtraient, les voies se libéreraient, et chacun pourrait déployer ses ailes en fonction de ses capacités. Ce n’est qu’un rêve. La réhabilitation de Freud n’est pas pour demain.
Inde-Pakistan, Israël-Monde – deux exemples parmi les centaines de guerres qui affligent la terre -, et cette tragédie-comique qu’est Ukraine-Russie, tragique par le sang versé par leur peuple, comique par l’humour macabre des dirigeants dont les célèbres clowns Macron et Zelenski qui se rencontrent aujourd’hui à Kiev pour dresser le plan qui va terrasser Poutine à qui on reproche d’avoir organisé un 9 mai, le défilé du 14 juillet, une puérile question de date. Depuis l’avènement de l’homme, les guerres n’ont jamais cessé, et jamais, elles ne cesseront, la paix ayant toujours été incompatible avec le psychisme fracturé du cerveau humain. Et ce n’est pas le message de paix de Léon XIV qui va changer les choses, d’autant que les guerres les plus odieuses ont été celles provoquées par les chrétiens et leur évangélisation. Dieu a créé l’homme, puis la femme – longtemps après – pour qu’il s’entretue jusqu’à extinction des feux. On n’en n’est pas loin. Que restera-t-il de son histoire ? Tout d’abord, un enchainement de constructions de plus en plus hâtives et de destructions systématiques de toutes les avancées. La terre aura été un jeu de cube donné à un enfant de deux ans qui ne cesse d’empiler et de frapper à coups de poing sa construction, dès qu’elle prend la moindre forme. Puis ensuite, la confusion des images qui régentent nos parcours. Tout n’est qu’images projetées par notre psychisme. Chacun ayant les siennes, elles ne peuvent être réalité. La réalité, c’est comme la démocratie : un leurre, un fourvoiement. Et puis, qu’y a-t-il dans l’image ? Qu’y voit-on ? Que n’y voit-on pas ? Faut-il la regarder de gauche à droite ? De haut en bas ? Et les fragments qui tombent de l’image ? Sont-ils des indices ou des caches de l’image ? Et l’image derrière l’image ? Pourquoi ne la voit-on pas ? Pourquoi toutes ces vies auront-elles passé à côté de l’image, sans y être dedans ? Pourquoi l’image s’est-elle détruite quand le faisceau de lumière du projecteur s’est éteint ? La vie s’est arrêtée parce que l’homme a toujours été dans l’incapacité de se poser les bonnes questions, et que jamais il n’est allé les chercher là où elles n’ont aucune raison d’être. Et pourtant, pendant tous ces siècles, elles ont été là, sous nos yeux, nos yeux qui regardaient ailleurs. Tout ça n’est que l’histoire du doigt et de la lune ou de l’arbre et la forêt. C’est sans importance. La femme coupable nous a fait naître pour mourir.
Freud avait deviné et proposé. Il a été jeté comme un chien. Et c’est pour cela qu’on en est là, aujourd’hui. De l’autre côté !
Pour BFMTV, la chaine terroriste-woke-macroniste, le défile d’aujourd’hui, en Russie – miroir de la manifestation du 8 mai, ici – est une grande messe patriotique en forme de cache-misère pour Poutine. Avant de s’occuper de la misère des russes, les journaleux de BFM seraient bien avisés de s’occuper de la misère des français qui ont un enfant-président psychopathe, une assemblée frappée d’impuissance, caillassée par les voyous de gauche, une immense majorité du peuple qui ne peut joindre les deux bouts, une médecine et des hôpitaux en faillite, une sécurité digne des faubourgs de Londres à la grande époque de Jack l’éventreur, une SNCF où les grèves alternent avec les retards des trains… et j’en passe. Je ne dirai jamais assez merci à Cnews, d’avoir, hier, coupé la langue au dramaturge président - venu comme chaque 8 mai, dérouler la tirade de sa pièce commémorative, sur un seul son et en mode mineur, dans le style répétitif, au pied de l’Arc de Triomphe -, coupé la langue dès 18h08, pour laisser place à l’évènement papal, et à ne jamais revenir à Paris. À Rome, la foule étant considérablement plus imposante que celle de la soirée du match PSG, et je n’ai pas vu un seul car de police, ni le moindre uniforme des forces de l’ordre. Je n’ai pas vu d’alcooliques ni de camés, et je n’ai pas vu le moindre geste déplacé. J’ai vu des visages heureux qui ont su patienter des heures avant l’apparition de leur héros, en chair et en os. Stupide gens de BFM, balayez devant votre porte avant de juger de la poussière qui repose devant celle de vos voisins. Croyants ou pas, voilà un bon sujet de réflexion.
L’homme est dans le film qui déroule son image sur l’écran. Celui qui est dedans voit celui qui est dehors et celui qui est dehors voit celui qui est dedans. D’où la confusion. Qui est dedans ? Qui est dehors ? Et qui a dessiné l’image ?
Cette nuit, aux Champs-Élysées, il n’y a pas eu que cet automobiliste psychopathe qui a foncé dans la foule, il y a eu aussi ces bandes de tarés cagoulés qui sont venus détruire les vitrines, saccager les voitures, narguer les policiers et laisser place à un champ de ruine. Quarante arrestations alors que la totalité des voyous aurait dû dormir en prison et y rester quelques années en attente de jugement. À la violence, que la France connaît depuis des décennies, il faut répondre par une violence supérieure à celle des terroristes. Rétablir les châtiments corporels et le bagne de Cayenne sont les seules solutions qui restent. Il faut cesser cette pseudo-humanité où l’on cherche, pour les pires des criminels, des circonstances atténuantes qui aggravent encore les affaires. L’exemple devrait venir d’en haut. Mais quand on voit que l’enfant qui sert de Roi, sert la main et caresse dans le dos celui qui est à l’origine des attentats du Bataclan et de la mort de Samuel Paty, on ne peut que conclure qu’il n’y a plus rien à faire et que l’homme ne peut plus justifier de son existence (voir mon puits originel de ce matin). Sa disparition sera un soulagement. Les herbes vertes pourront repousser et les animaux glousser en toute liberté. À mille reprises, j’ai proposé Freud, mais le monde imbécile n’en a rien à faire. Alors ? Oui, alors…
Hier, l’important ne fut ni les fumées du Vatican, ni le terroriste à l’Élysée, mais la chienlit assassine, dans la nuit, aux Champs-Élysées, quand un automobiliste psychopathe a foncé dans une foule compacte débridée, excitée, alcoolisée, amphétaminée, parce que onze gugus ont envoyé deux ba-balles dans une cage. Trois blessés graves. Tout ça pour ça. Comment peut-on laisser se dérouler de pareilles manifestations où la raison perd la raison et où l’alcool et autres substances restent maîtres du jeu ? Imaginez ce qui va se passer si le PSG gagne la finale ? L’homme est vraiment taré. Il y a tellement à dire sur son comportement que je ne vois plus ce qui justifie son existence. A l’homme, je préfère le poireau et la carotte qui poussent sur mon balcon, dans un vieux bocal de cornichons.
C’est bien cet après-midi que le dictateur syrien qui a succédé au dictateur el-Assad, va tomber dans les brans de l’enfant de l’Élysée qui, en raison de son inaboutissement psychique, ne peut différencier le gendarme du voleur. Que vont-ils bien pouvoir se dire dans leur nauséabonde intimité ? Le terroriste va surement repartir avec quelques millions ou milliards dans ses poches, puisque le peuple ferme les yeux devant les méfaits de celui à qui il a donné le pouvoir absolu. Triste France qui sombre chaque jour dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, dont son noir s’accentue proportionnellement à l’effondrement de son fond. Il y a 2025 ans, un sauveur est né pour sauver le monde - ce qu'il n'a pas fait - qui n’était pas pire que celui d’aujourd’hui. Aujourd’hui, il ne nous reste que Mélenchon et son armée de robots soumis avec à sa tête, la célèbre Panot, poissonnière de son état. Cette exécrable vermine va prendre le pouvoir au nez et à la barbe de naïfs et d’indécis qui disent se battre pour la démocratie, alors qu’elle n’a – la démocratie - jamais été inventée et qu’elle ne le sera jamais, parce que pour que tienne un édifice, il lui faut un socle invulnérable et un ciment de qualité pour souder toutes ses pierres empilées. La France vit dans le volatile depuis des décennies. La volaille volage n’a pas de ligne directrice. Elle va et vient au gré de ses instincts en se fracassant sur les poteaux électriques. Les élus, tous aussi minables, se succèdent indéfiniment et le monde ne garde d’eux que leur malhonnêteté et leur impuissance. Changer les tenants et les aboutissants ne peut s’accomplir en changeant les hommes. C’est l’homme qui doit changer son comportement et son mode de pensée. Et le seul moyen – le seul –, c’est de pousser la porte du cabinet de Freud, d’y chercher son miroir, de le trouver, de s’y regarder, de s’y reconnaître et de le traverser.
C’est tout.
Demain, l’enfant inabouti de l’Élysée recevra, avec fastes et caresses subtiles, le président de la Syrie, un voyou copier-coller de son célèbre prédécesseur Bachar el-Assad. Un film sera tourné par un caméraman de France-Info-Télé : « Un Terroriste à l’Élysée ». La France s’est donnée pour chef un enfant dont le psychisme est altéré, donc inabouti, et c’est pourquoi, il lui est incapable de faire les différentiations, ce qui fait qu’il confond le noir et le blanc, le bon et le mauvais, le vrai et le faux, la démocratie et la tyrannie. Les Français l’ont voulu. Ils en payent le prix. Et ce n’est pas fini. Si l’enfant qui se prend pour Napoléon, alors qu’il est incapable de mettre sa main dans son veston, quitte un jour le pouvoir - sait-on jamais ? -, il ne faut pas oublier que Mélenchon, un el-Assad puissance mille, est en embuscade et prendra tout le monde de court pour accéder au trône. Mélenchon ou Macron ce n’est pas pareil, même si c’est kif-kif. Vous allez bien vous amuser, inconscients et ignorants, que même la fureur des bottes ne peut réveiller de votre éternel sommeil. À quoi cela a-t-il bien pu servir, d’avoir tranché, jadis, la tête de votre Roi, puisque aujourd'hui vous vous retrouvez dans la même situation qu’avant. Vous avez tout gâché. Autrefois, l’homme se parait de belles perruques. Aujourd’hui, il montre son crâne chauve, plus un seul poil n’acceptant de pousser sur la crasse de son cerveau. Voilà où vous en êtes, là où vous vous êtes laissé entrainer, abuser, violer, assassiner. C’est sans doute ou peut-être que vous n’avez jamais su regarder en voyant et écouter en entendant. Selon le dernier sondage, vous plébiscitez Bardella. Moi je préfère ne pas avoir de chef et me laisser bercer par la thérapie psychanalytique de Freud, associée aux fondamentales que Bach a su si bien utiliser. « C’est mon choix ! » dirait Evelyne Thomas.
On est dimanche. Chouette ! Demain matin, j’irai chez mon Leclerc prendre mon café… non sans avoir salué ma voisine de palier !
L’enfant de l’Élysée, psychopathe avéré, n’a vraiment rien à faire, à part détourner l’attention sur les réalités de la France qu’il fracasse à longueur de journées. À l’école, on n’apprend plus rien. Au lieu de décider qu’on reviendrait aux matières premières, à l’orthographe, à Molière, au calcul mental, à l’histoire de la France, à sa géographie, aux sciences fondamentales, à l’apprentissage des arts, à l’enseignant sur l’estrade et à la discipline militaire, le pitoyable président reprend son phantasme psychotique, couteux, inutile et dangereux : la convention citoyenne où l’on tire au sort des citoyens pour donner leur avis, que la France entière connaît, sur des sujets sans intérêt. Cette fois, le pleutre veut savoir si les enfants ont trop ou pas assez de vacances et si les horaires de classes sont à leur convenance. Est-ce le sujet qui préoccupe les Français à l’heure où on se fait égorger dans la rue par des bambins qui font l’école buissonnière, à l’heure où Mélenchon et ses milices marchent sur l’Élysée, à l’heure où les médecins sont en voie de disparition, à l’heure où les hôpitaux ne font plus face, à l’heure où la police est humiliée, à l’heure où la drogue intensifie ses ravages, à l’heure où le pays est envahi par des étrangers qui veulent nous esclavagiser, à l’heure où la désinformation par les radios et les télés d’État violent les pensées, à l’heure où le désordre est installé ? Les coupables seront ceux qui vont répondre à l’appel du bébé handicapé. Leur haute trahison demandera une punition exemplaire. Pour cela, faudrait-il encore rétablir la présence du mot « punition » chez Larousse et Robert !
Journée noire, hier. Les sombres jours de la dernière guerre contre Hitler ont fait boomerang. Mélenchon/Hitler a parlé, aussi bien que son père que j’ai vu chez Charlie Chaplin dans son prophétique « Dictateur » pour l’ère assassine de Macron. L’ombre du tyran a plané sur la totalité des manifestations. Les drapeaux français se sont déchirés devant l’invasion des drapeaux étrangers, avec une large dominante pour les drapeaux palestiniens. L’odeur du sang s’est répandue sur Paris et Lyon, entre autres. Attal et les autres (Macron évidemment) ont voulu le triomphe de Mélenchon en appelant à voter pour lui aux dernières élections. La France en récolte les fruits. La dictature est en marche et rien ne pourra l’arrêter. La race des esclaves soumis mélenchonistes fait tache d’huile et bientôt nous serons tous dans le bain, au milieu des frites qui se font roussir. Il reste bien Marine, qui a repris de la vitamine, mais le rébus qu’elle se doit de résoudre pour s’approprier les clés de l’Élysée n’est pas si simple et surtout est trop truqué. Alors, pour terrasser le dragon, il reste l’union, l’union de toutes les droites pour évincer du territoire les gauches soumises au monstre. Mais il ne faut surtout pas oublier que la victoire de la raison ne pourrait être que provisoire puisque la démocratie n’a toujours pas été inventée. Seul l’homme accompli en a la capacité. Mais l’homme qui sait est rare. Il y en avait bien quelques-uns – Ronsard, Hugo, Boulez -, mais ils sont morts. Chez les vivants presque morts, il y a bien Barenboïm, mais il n’est pas français. Chez les autres, ceux qui vivent morts, je ne vois personne, mais vraiment personne, à part le vieux chien tout maigre qui passe sous mon balcon tous les matins, à la recherche d’un maître, pour se faire donner des coups de bâton. Alors, tant pis, je le redis. La vraie et seule solution est Freud, chez lequel vous pourrez chercher votre miroir, le trouver, vous y regarder, vous y reconnaître et le traverser. C’est alors, seulement, que vous naitrez et que vous pourrez commencer votre vie et la poursuivre libre, sans être obligé d’avaler les sornettes des politiques, des journalistes, des influenceurs tarés et ignorants qui piègent sans cesse votre chemin.
Un jour, il faudra bien ouvrir les yeux, déboucher les oreilles, couper les langues…
Le groupuscule d’ultragauche, La Jeune Garde, menacé de dissolution, est sauvé. Il vient d’obtenir le soutien sans faille du fondeur en larmes Mélenchon et de ses alliés socialistes, communistes et écolos. Ensemble, tous ensembles, ils vont pouvoir marcher sur l’Élysée, pendre l’enfant au psychisme inabouti et s’installer dans la salle du trône pour y officialiser la nouvelle République islamiste, guidée par la charia. Et les Français qui dorment depuis Charles Martel, vont regarder leur destin se fracasser sans même arriver à bouger le bout du petit doigt de leurs petits pieds handicapés. Et les mêmes hideuses gauches d’affirmer qu’il ne s’agit que d’un petit fait divers sans importance, comme le jour où l’escargot que ma grand-mère Florine élevait pour donner du gout à sa soupe d’orties est entré en collision avec un poids lourd de dix-huit tonnes qui a fini sa course dans le mur de son voisin Perrin ou Boiton, je ne sais plus. Mais pourquoi les enfants et petits-enfants des gaulois sont-ils si pleutres, si lâches, si peureux ? C’est sans doute Debussy qui a raison quand il évoque, dans « Les amours contrariés de Pelléas et Mélisande aux longs cheveux bouclés », un nuage de grêle asiatique qui s’est abattue sur la France à la mort du précité Martel, faisant éructer la ville de Dijon et épandre sa moutarde jusque dans les sous-sols du château du chanoine du Kir. Il ne s’agit, là aussi que d’un tout petit fait divers, qui aura tout de même changé l’humanité, les pantins en bois de frêne portant la cicatrice du glaive magique de Siegfried – fils naturel des jumeaux Sieglinde et Siegmund, eux même fille et fils de Wotan, Dieu des dieux qui descendait régulièrement, par la grande échelle, copuler avec quelques humaines - s’étant soudainement métamorphosés en des brouillons de buissons fanés se décomposant au bord des autoroutes épuisées.
Ce jour étant un jour de deuil où le français se voit interdire de faire travailler son esprit, je n’ai pu écrire que ces bribes de rêves plus vraies que toutes les réalités qu’on m’a apprises et qui se sont révélées des mensonges qui auront construit ma vie dans l’autre sens, pas celui-là, l’autre. Heureusement, depuis, je me suis déconstruit pour enfin me construire selon moi et mon moi qui n’appartient qu’à moi.
Et voilà que Mélenchon et ses chiennes et ses chiens ont passé leur après-midi à conspuer ceux qui n’ont pas rejoint leur veau d’or et leurs orgies. Et je n’évoque même pas les crasses infâmes que sont la patronne des psychopathes éco-pathologiques et celles de la CGT, sorties directement des orgiaques chiens, chiennes et veaux. Et je n’évoque même pas – non plus – le public de ses illusionnistes qui vont mettre ces criminelles au pouvoir, très bientôt, et sous les lois des dictatures de la charia ou d’autres encore plus explosives. Cessez de voir ce que vous voyez et qui n’est pas, comme la bonté et la beauté de l’homme. Vous êtes inscrits, depuis l’éternité, dans un cercle infernal qui vous interdit tous discernements et toutes différentiations, des éléments qui ne peuvent être acquis que si on vous les a appris. Et pour apprendre, il faut avoir conscience de son ignorance, ce qui n’est pas le cas des êtres vivants qui vivent morts en étant persuadés d’être vivants. Avoir conscience, c'est reconnaître être mené par le bout du nez par son inconscient et se bouger le cul pour tenter de régler cet abus de pouvoir dans les délais les plus courts possibles. Vous n’avez même pas conscience d’être humiliés et châtiés en permanence par un enfant psychopathe qui sera remplacé par d’autres enfants au psychisme inexistant. Macron est le reflet de Mélenchon qui est le reflet de Macron, qui sont tous deux les reflets de la cécité des peuples et de leurs bourreaux. Les derniers fastes des Ramsès I ou II ou III ou IV, à Rome, il y a quelques jours, la photo des deux hommes assis face à face, à deux pas du mort, les papouilles macro-zelinskiennes qu’on nous inflige chaque jour, le duel Wauquier-Rotailleau et toutes les autres simagrées indécentes, ne sont que des tâches mouvantes sur un écran blanc, qui n’existent que par la magie d’une projection de cinéma. Le réel est ailleurs. Si voulez entrer dans la forêt pour caresser l’éléphant, il vous suffit d’abattre l’arbre qui la cache, jalousement.
Le psychisme crée l’image et chacun la module et la formule différemment. L’arbre ne sera jamais arbre, mais, visions multiples caricaturées par les multitudes de formes de pensées. Aucune image n’est semblable et aucune reflète la vérité qui dans l’absolue ne peut exister. Personne ne voit la même chose et le monde est dans la confusion des sentiments puisque tous gestes ou pensées passent par l’affect qui triture et déforme l’image projetée. C’est pourquoi il faut toujours penser qu’il faut toujours penser autrement et souvent dans le sens qui se cache, bien enfui dans la mémoire du temps. Nous ne sommes pas nous. Les autres ne sont que l’image que nous projetons en nous. La réalité n'est nulle part. Elle n’est que le résultat de l’image : l’illusion. Cette nuit, j’étais en voyage avec une foule d’inconnus. On a mangé au bord des routes, assis à des tables nappées de blanc, des steaks et des harengs huilés et huileux, à cinq heures trente du matin. Puis, on a recommencé, plus loin, vers six heures trente. On a même vu un singe – ou un léopard – à quatre bras et deux têtes, qui marchait sur ses pattes arrière, comme le fond dans notre monde les hommes et les femmes qui ont perdu l’habitude de marcher comme l’animal. Mon psychisme m’a parlé. Il a chuchoté à mon oreille comment ajuster les pièces du puzzle pour composer l'image, dont le sujet n’a aucun rapport avec mon étrange histoire. Rappelez-vous une autre histoire, celle du couteau qui croyait être un pénis – voir mon puits d’hier -. Hier, justement, dans les écrans, on a vu Trump, Zelinski, un cercueil en balade et un agglomérat géant d’espèces à deux pattes. Ce n’était qu’une image dans un écran et c’était peu important. Ce qui est important, c’est que l’homme réinvente le courant qui ne passe plus entre son conscient et son inconscient. Quand le circuit fonctionnera, il verra qu’il voit autrement et qu’il ne peut pas accepter de vivre au centre d’un monde disjoncté, sans références, sans fondement. Qu’y a-t-il derrière les images ? Se poser la question, c'est déjà faire un pas de géant dans cette petite humanité supposée. Il ne reste plus qu’à continuer.
L’Algérie demande à 12 agents de l’ambassade de France de quitter son territoire sous quarante-huit heures. Paris se dit prêt à riposter. Et voilà l’erreur. Paris n’a pas à dire, mais à fermer l’ambassade d’Algérie et à renvoyer tout son beau monde dans son pays sous les vingt-quatre heures. Ce n’est que l’opération terminée que Paris pourra dire : « J’ai fermé l’ambassade d’Algérie et renvoyé tout son beau monde dans son pays. » Ce que veulent faire nos autorités doit être annoncé qu’une fois les opérations terminées, ce qui évitent de parler pour ne rien dire et d’attirer les foudres des naïfs qui persistent à croire les misères psychiques qui les gouvernent. C’est comme ce Macron bébé de l’Élysée qui ne cesse de dire qu’il va déclarer la guerre à la grande Russie d’Ivan le Terrible. Pourquoi ne pas attendre qu’il ait gagné la guerre, pendu le bel Yvan et posé son cul dans la loge tsarienne du Bolchoï pour se réjouir de la 564321ème mort de Boris, une des gloires de l’histoire de la Russie ? Il n’y aurait plus de doute. Cette fois, et pour la première fois, l’enfant n’aurait pas menti. Mais on n’en est pas là. Paris dit par-ci, Paris dit par là, et je me demande comment. Paris n’a pas de langue ni de cordes vocales. Je ne vois pas comment il pourrait dire. Paris ce n’est que le métro où l’on bourre les bestiaux et les palaces et restaurants où vivent les gros rats noirs méchants d’Hidalgo. Ce n’est pas grand-chose Paris. En vrai, ce n’est rien, sinon une verrue qui contamine la France et l’Europe, à l’aube de leur mort. Y avez-vous entendu le chant pitoyable d’Alagna-Don Carlos au Châtelet ou vu, à Bastille, le baiser de Mimi et Rodolphe étouffés dans leur casque d’astronaute ? Non ? Vous faites vraiment partie des chanceux.
Avez-vous remarqué, qu’à propos de l’affaire de Nantes, le monde entier a commenté la séquence terrifiante et que pas une seule cervelle n’a donné son avis sur les parents de l’enfant aux couteaux de bouchers qui a poignardé à mort une élève de l’établissement d’enseignement et blessé gravement trois autres élèves ? Et bien, moi, je vous le donne, mon avis. Plus que le misérable psychopathe, ce sont ses parents qui sont coupables, coupables de lâcheté et de manquements graves à leurs responsabilités. Ils ont laissé leur rejeton prendre le mauvais chemin et l’ont abandonné à ses pulsions. Ils doivent être jugés et doivent payer leurs crimes. Ce drame, habituel et presque journalier, va se reproduire incessamment et à de nombreuses reprises quoiqu’en disent les robots parleurs du pouvoir à terre. Ils n’ont pas de solutions pour réparer les crimes, qu’eux aussi ont commis pendant des décennies, pour ne pas dire pendant des siècles. Il y a pourtant une solution aux déjections purulentes de tout ce monde de psychopathes qui va de l’enfant de Nantes à Macron, Zelinski, Poutine, Trump, Mélenchon, et tous les autres, la seule, qui pourtant est rejetée par tout le monde parce que le monde est inabouti et ignorant : c’est Freud et sa thérapie psychanalytique. Chaque être de 7 à 107 ans devrait fréquenter son cabinet pour chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. Sans la construction du lien entre le conscient et l’inconscient, l’homme n’est qu’animal empaillé dont la seule capacité est de faire belle et bonne figure sur un coin de cheminée. Tous les restes sont des vastes blagues pour abrutis. Et c’est pour cela que le monde choisi les restes, puisqu’il n’est qu’un amas d’abrutis, mais aussi de crétins avachis dans ses propres excréments. Réveillez-vous pauvres gens. Il n’y a rien d’aussi humiliant que la mort dans le déshonneur.
A force de vivre dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, plus personne ne voit et fort nombreux sont ceux qui ne comprennent plus rien. Avancer vers la lumière, c’est prendre soin de soi et ne se fier qu’à soi lorsqu’on a acquis la faculté de penser par soi-même.