Boris Vallaud est un député SOCIALISTE. Mensonge : depuis bientôt un demi-siècle, il n’y a plus de parti socialiste en France et il ne reste qu’un adhérent, moi, moi qui le suis depuis 80 ans et qui le restera jusque dans ma tombe. Vallaud est un imposteur et un délateur. S’ennuyant profondément - comme tous les ignorants - il crée des conflits - comme les chiots et chiottes de Mélen-chien - et les fait grossir à vue d’œil comme dans le conte fantastique de la Grenouille et du Bœuf écrit en vers par le célèbre et grand homme, Jean de La Fontaine. Vous n’allez pas en revenir. Vallaud a vu - de ses propres yeux - Eric Zemmour, un honnête citoyen qui n’a jamais écrasé une mouche, dans la foule des gens qui sont venus s’amuser aux Fêtes de Bayonne où, selon ses dires, on pouvait compter cinquante nationalités différentes. Que faisait donc, ici, cet impudent qui veut nous débarrasser - avec juste raison - des étrangers qui violent nos femmes et même nos hommes, et même nos femmes qui sont des hommes comme nos hommes qui sont des femmes, dans cette paisible et champêtre réunion de mélange de races qui s’entrelacent jusqu’à l’extase ? Il ne faisait rien. Il venait se distraire un petit moment, comme moi quand je vais prendre mon café chez mon Leclerc. Vallaud, une vermine élue par ses pairs, doit aller à l’école pour apprendre à effacer son ignorance et, parallèlement, doit pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser pour (re)générer son psychisme fracassé qui en fait un zombie en état de charpie. La France est gouvernée par des copier-coller de Vallaud, lui-même copier-coller de toutes les oppositions. Là, je tourne en rond, probablement parce que le cercle de la vie est une roue dentelée qui tourne sans fin. Seul Freud aurait pu l’arrêter et la modifier profondément. Mais voilà ! L’ignorance l’a condamné au bûcher.