En
France - en France - le pays que l’on disait le pays des droits de l’homme, le
seul pays qui a adopté la laïcité pour se gouverner et non un Dieu inventé,
comme ailleurs, le pays qui a coupé la tête de son Roi pour faire place à un
Empereur, le pays qui loge, nourrit, soigne, subventionne des migrants pour
propager la religion islamique en égorgeant les indociles, pour faire prospérer
le trafic de la drogue et faire prendre le pouvoir aux terroristes dans les quartiers
avant de le prendre à l’Élysée, la France, disais-je, comporte plus d’une moitié
de français sans ressource, une classe moyenne bientôt au seuil de la pauvreté
et quelques super-riches qui sont incapables d’aller au bout du comptage de leur
fortune, tellement celle-ci est gigantesque. Au lieu de parcourir le monde pour
montrer son beau minois et faire ses beaux discours qui ne mènent à rien, le
Roi Micron II, ado inabouti qui a épousé sa maman, ne devrait-il pas se soucier
de son pays qui n’est que problèmes et qui est la risée de toutes les pensées
construites. Je sais que ce que j’écris indiffère le monde qui préfère les
abjections d’Hanouna, de Rousseau (S) de Cohen (P) ou du monstre de conneries
Mélenchien. Le problème du monde est son ignorance et son incapacité à voir
et à entendre.
Excellente
nouvelle : Tugan Sokhiev revient à Toulouse ce
soir à la Halle aux grains pour diriger l’Orchestre national du Capitole dans
la Symphonie n°8 de Bruckner.
Directeur musical de l’Orchestre il y a quelques mois encore, il avait démissionné
de ses fonctions suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie, tout comme
du Théâtre du Bolchoï. La
Mairie de Toulouse avait par la suite précisé que la position non ambigüe
de Sokhiev par rapport à la guerre ne fermait pas de portes pour la suite. Un
concert événement donc, avant deux autres cette saison, dirigés par le chef
russe, tandis que l’orchestre lui cherche toujours un successeur. (ResMusica)