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dimanche 19 mai 2024

vu à travers le tube • la faux-cul…

Regardez bien la photo de mon tube de ce matin. Pour tous commentaires, je vous livre la belle réflexion de Sergioo Parolinn (un ami facebookien), réflexion d’une justesse exemplaire à laquelle je souscris pleinement et qui concerne la faux-cul godiche Gidrèche.

 

« De l’art d’essayer de relancer une carrière qui est toujours restée au niveau élémentaire. Y’a quand même un os dans l’boudin quand on voit les photos…. Je vous livre ma fille de 19 ans en pâture à Cannes en 2024. Je m’appelle JUJU et je vous ai bien U … L'hypocrisie de tout ce petit monde de l’entre soit du cinéma, encore et toujours, jamais ils ne cesseront de faire leur cinéma dans tous les sens du terme. Les fameux premiers donneurs de leçons de vie qui viennent nous flinguer presqu’exclusivement en direct en maçonne larmoyante, les supposés bourreaux qui les ont érigées en étoiles en stars... ( ah bon ) … dans une attitude oh mon dieu ouinouin très victimaire tellement compassionnelle pour ceux qui admirent ce genre de proutprouts culturellement odorants. La décadence morale côtoie souvent l'égo et l'argent pour ces êtres qui ne regardent que leur nombril ! ( Naphta ) Et après tu t’étonnes ! » (Sergioo Parolinn)

 

C’est tout pour ce matin.

samedi 24 février 2024

vu à travers le tube • la boite rouge…

Elle a été ovationnée par le GCF (Groupuscule Cinéma Français) ensardiné dans le cocon de la boite rouge de l’Olympia parisien parce qu’elle a tout dit – a-t-elle tout dit ? - sur sa vie sexuelle, en occultant l’essentiel : l’ignoble défaillance et lâcheté de ses parents. C’est à un psychanalyste freudien qu’elle aurait dû confier sa longue plainte et non à la terre entière qui a bien d’autres choses à faire que de pleurer sur le sort de Godiche Godrèche qui était Joelle Pujol dans « Potiche » d’Ozon. Et Trier s’est encore fait remarquer pour sa chute qui serait remarquable si elle pouvait s’inscrire dans la glorieuse histoire du cinéma. L’humour de ces gens n’étant pas le mien, je n’ai résisté qu’une petite demi-heure, et je me suis projeté l’admirable « Contes du hasard » d’Hamaguchi pour mieux me décrasser les neurones.  Et pendant ce temps, tout près, à quelques enjambures, venus de toute la France, les agriculteurs se positionnaient, pour la nuit, devant le Salon de l’Agriculture, pour accueillir comme il se doit, dès ce matin, l’ado au psychisme inabouti qui n’aurait pas fait tache dans la salle de l’Olympia.