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jeudi 12 juin 2025

le puits au fond du jardin • ignorance et procureur…

 



 

Un procureur n’est qu’un vulgaire petit fonctionnaire et je ne vois pas pourquoi celui que j’ai vu hier à la télé se donne le droit d’affirmer qu’un enfant de 14 ans qui poignarde à mort la surveillante de son collège a un psychisme équilibré. Le malotru a déjà frappé et tenté d’étrangler. Son psychisme ne serait donc pas fracturé ? Je connais un célèbre grand psychanalyste qui affirme avec raison que le monde est peuplé de psychopathes. Sans couteau, le morveux l’est. Alors avec ! Le morveux malotru est un grand malade psychique et sa place est à l’hôpital psychiatrique pour quarante ans après vingt bonnes années au cachot noir, enchainé, boulets aux pieds, Quant à ses parents, ils doivent être mis en état d’arrestation et payer à vie pour avoir pondu un enfant alors qu’ils en ignoraient la définition. Les milliards de commentaires entendus depuis hier, tous aussi stupides et à contre-sens, n’arrangent pas les affaires d’un pays qui s’enlise de minutes en minutes dans le noir du trou du fond de mon puits. Ce n’est ni Macron ni Mélenchon votre futur dictateur islamiste aux ordres du Hamas, les autres non plus, qui vont régler les problèmes de fond. Il faut redonner à l’individu sa fonction première, celle qui possédait encore dans les premières générations, quand il n’y avait pas le TGV, pas le presse-citron, pas la charrette, pas la fourchette, mais seulement les mains et les pieds. L’homme nait méchant, mauvais, sadique et criminel. La femme aussi. C’est pourquoi la seule initiative est la désintoxication et la refabrication. Pour cela, il faut maitriser le lien entre notre conscient et notre inconscient et ne plus laisser ce dernier prendre le pas sur le premier.  C’est en poussant la porte du cabinet de Freud, qu’un début de vie supportable pourrait apparaître sur terre. Il faut se laisser guider et tendre en priorité vers la recherche de son miroir, le trouver, s'y regarder, s'y reconnaître et le traverser. C’est une longue démarche qui prend des années et de toutes les façons, toute une vie, toute votre vie. Quoique vous en pensiez, c’est la seule solution. Tous les restes ne sont que faux-semblants qui n’arrêteront jamais la chute dans le précipice qu’est mon puits dans le fond de mon jardin.

mardi 10 juin 2025

le puits au fond du jardin • la douce vie tranquille de greta et rima…

 



 

Greta et Rima ont pris les voiles pour rallier la bande de Gaza où leurs amis du Hamas font massacrer chaque jour des centaines d’enfants, de femmes, et d’hommes aussi, ce qui n’est jamais dit. Les deux misérables caricatures décérébrées voulaient reproduire l’entrée victorieuse d’Othello dans Venise et n’ont réussi qu’à se faire intercepter par l’armée israélienne, qui après leur avoir distribué quelques pains au chocolat, les ont conduites à l’aéroport de Tel-Aviv où les voilà près d’embarquer pour leur contrée respective. Elles ont eu le soutient sans faille du terroriste islamiste Mélenchon et, beaucoup plus grave, celui de son frère de sang, l’enfant au psychisme inabouti qui occupe l’Élysée et qui ne peut qu’inquiéter par ses paroles ignobles et sa cécité définitive devant les cadavres qu’il a alignés sur le sol de la France de Charles Martel. Ce sous-homme vient de préciser qu’il ne dissoudra pas l’Assemblée alors que la Constitution scélérate du vieux général lui en donne de nouveau le droit, ce qui veut dire qu’il va se dépêcher de le faire, tout simplement pour qu’en France, aussi, on parle de lui, et que son visage et ses mains baladeuses engorgent les écrans. C’est là que je ne peux que voir un peuple misérable qui siècles après siècles, s’agenouille devant les détritus de l’humanité. En France, la seule fois où il se serait révolté, ce fut le jour où il a tranché le cou de Louis XVI pour s’empresser, dès le lendemain, de le remplacer par un empereur amputé d’une main et pourvu de trois cornes sur la tête. Sortir des clichés, penser autrement, saluer la forêt et la lune en sciant le tronc de l’arbre et en sectionnant le doigt pointé, c’est ce qu’il serait nécessaire. Et pourtant, personne ne le fait parce que quelques idiots imbéciles ont dit que Freud copulait avec son chien. C’est pourtant chez lui que chaque individu peut chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. Mais pour cela, il faut trouver la porte du cabinet du maitre. Et je reconnais que pour l’immense majorité, c’est un insurmontable problème insurmontable.

samedi 7 juin 2025

le puits au fond du jardin • pensée du matin…



 

Faure, le copain de LFI, entraine les cadavres socialos dans l’abime qui est semblable au noir du fond de mon puits ou croupissent les cadavres grouillants des psychismes inaboutis. Royale – Ségolène – caresse les poils de Mélenchon pour qu’il lui offre une circonscription alors qu’elle n’est plus que le déchet d’une tranche de vie qui a crucifié le monde. L’enfant de l’Élysée, au psychisme inabouti, part pour deux jours, avec bobonne-maman, sur Le Rocher ou un prince et une princesse d’opérettes à la Lopez vont les accueillir en grandes pompes funestes et se faire bisouter et caresser par un expert qui ne peut s’empêcher d’exposer ses tares qu’aucun observateur n’ose analyser. Elles sont toutes gravement malades les têtes des pays, mais celle-là l’est davantage encore, parce qu’elle tire le rideau noir sur l’écran blanc qui l’a posée sur le trône. La tromperie est le maitre-mot de la politique et les pantins-larbins s’y laissent tous prendre. Ils votent, ils votent, ils votent, sans savoir qu’ils fabriquent la corde qui va s’enrouler autour de leur cou. Ne faire confiance à personne, appréhender la petite fille au bout du chemin, ne pas quitter le fleuve qui coule entre les deux rives, comprendre que tout n’est qu’image scannée dans l’inconscient et reproduite par notre propre canal. Vous n’êtes pas. Je suis. Je ne sais pas si je vis mort ou si je vis. Mais je sais qu’autour de moi s’organisent des fragments de mon accouchement comme tombent les ombres des feuilles mortes. Ce va et vient incessant entre mon conscient et mon inconscient m’autorise à détecter le vrai du faux de l’illusionniste qui faisait apparaitre sa dulciné parce qu’il avait besoin de la regarder, de regarder ses grands yeux noirs, le miroir qu’il était allé chercher dans la clarté de l’atelier de Freud, miroir qu’il avait trouvé, dans lequel il s’était regardé, reconnu, et qu’il avait traversé. Il avait compris que c’était de l’autre côté, sur l’autre rive, qu’était la vérité et que lorsqu’on la côtoyait, il ne fallait surtout jamais s’en éloigner. Les hommes en sont si loin qu’ils ne peuvent même pas imaginer qu’une porte peut s’ouvrir et jeter au visage le savoir et l’imagination. L’ignorance est si puissante que de retour aux sources, l’or au Rhin, les mémoires oublieront. L’oubli est pire que la mort. Bizarre ces écrevisses qui avancent dans le brouillard noir, alors qu’elles sont nées pour marcher à reculons.

 

mardi 3 juin 2025

le puits au fond du jardin • entre silence et papouille…

 



 

Après ce triste weekend où personne ne se demande comment, à un tel niveau, il est possible de marquer cinq buts et où les presses de gauche minimisent - quand elles en parlent - les dégâts humains et financiers causés par les hordes sauvages qui, à part quelques rares exceptions, se retrouvent aujourd’hui dans la rue après leurs comparutions immédiates, le sursis ayant été le maître-mot de notre Justice agonisante, après le triste weekend, disais-je, la France, enterrée dans les sous-sols depuis presque cinquante ans, est encore descendu d’un étage et peut désormais creuser le fond, elle qui sait si bien creuser sa tombe. Revenir à l’essentiel et détruire le reste : être homme ou femme, être bon ou gentil, marcher à gauche ou à droite, être dans l’eau ou sur la rive, pénétrer ou recevoir, jouer en do ou en ré, différencier ou confondre, obéir ou commander, construire ou détruire, manger ou vomir, se coucher ou se lever, trotter au pas ou au galop, chanter ou aboyer, ouvrir ou fermer, écouter ou entendre, regarder ou voir, fermer ou ouvrir, vivre ou mourir. Nous avons le choix et nous ne le savons pas, parce que les peuples cupides, ignorants et soumis, ont rejeté Freud, celui par qui nous pouvons chercher notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Et c’est la seule – la seule – solution pour mettre fin à la terreur qui embrase le monde, terreur entretenue savamment par les marmites puantes et sanglantes des mélenchonistes islamistes imbriqués d’écologistes stupides et destructeurs.

 

Le peuple français attend toujours, de Bayrou, la condamnation des horreurs de ces samedi et dimanche. Le lâche garde le silence. Il rejoint en cela le détenteur des clés de l’Élysée, qui, au moment des crimes, papouillait ardemment le qatarien protecteur du Hamas et des Frères musulmans.   

jeudi 29 mai 2025

le puits au fond du jardin • des larmes…



 

Parmi les innombrables faillites de la France agonisante, on trouve la Justice qui jamais n’aura été aussi perverse et injuste. Le meurtrier du jeune Matisse, un afghan de 16 ans qui l’a poignardé sauvagement, a été condamné à 8 ans de prison alors qu’il aurait dû écoper de la perpétuité. Excuses de minorité et de non-discernement, alors que le crime est devenu le passe-temps des mineurs et que le non-discernement est l’apanage de la société. Croyez-vous sincèrement que les français discernent lorsqu’ils vont aux urnes voter pour des malotrus de caniveaux ? Croyez-vous sincèrement que les français discernent lorsqu’ils ne se mettent pas en travers de l’ascension du terroriste islamiste Mélenchon et qu’ils ne jettent pas aux ordures Macron et sa bobonne ? Matisse a été massacré par un enfant voyou en plein discernement, avec la complicité de sa mère qui a giflé la victime à terre, agonisante. Elle est convoquée par le tribunal qui va lui donner un avertissement. La Justice , ce serait de la condamner comme sa marmaille, prison à vie, dans la nuit éternelle d’un cachot. Dans ce point de non-retour, ne pas répondre à la violence par la violence est un crime. Je connais bien un tout autre moyen. Répondre à la violence par la compassion et le soin. C'est possible. J’ai mille fois proposé Freud et la réponse a toujours été le quolibet et l’injure. Et il y a encore des imbéciles qui se plaignent de leur situation et de celle de leur pays. Pleurez pauvres gens. Vous n’aurez jamais assez de larmes pour renverser la table !


lundi 26 mai 2025

le puits au fond du jardin • des champignons vénéneux…

 


 

 

Les prétendants au poste suprême poussent comme des champignons vénéneux. Parmi eux des macronistes reniant l’enfant Macron tel Judas reniant le Christ. Être prétendant, c'est déjà être peu recommandable. Celui qui désire le pouvoir ne peut être que vil et lâche puisqu’une fois sur le trône, il va trahir ses promesses et s’enivrer de la vie de débauche de l’Élysée. Faut-il être lâche, naïf, pitoyable et stupide pour se rendre aux urnes et y glisser dans leur fente, un morceau de papier cul.  L’élection est un leurre pervers, un faux-semblant, une illusion, dans ce monde qui n’a jamais réussi à inventer la Démocratie. Je ne vote pas parce qu’il n’y a que moi qui sache ce qui est bien pour moi et qui suis en mesure de me satisfaire. Le groupe, la société, m’indiffèrent surtout quand je vois où ils en sont aujourd’hui : là où en est Macron, mais aussi Binoche, dans l’enfer de la descente dans le noir du trou au fond de mon puits. Depuis des décennies j’ai pour compagnon Sigmund Freud. Il m’a appris, comme l’a fait, dans un autre temps, mon professeur d’écriture musicale Charles Montaland, à me référer et à sublimer les fondamentales, ces fondamentales qu’ignorent les lois stupides que pondent indéfiniment les misérables politicards de tous bords et de toutes obédiences. Ce monde d’illusions consenties ne finira jamais puisque son ignorance, conduit l’homme à rejeter Freud chez qui, pourtant, tout le monde pourrait chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Hélas, il semble que c’est trop demander. Les charlatans ont encore de beaux jours devant eux.

samedi 24 mai 2025

vu à travers le tube • le puits au fond du jardin • encore et encore…


 


 

Encore réécrire ce que je vois dans mon tube, encore retranscrire les hurlements qui surgissent du noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, commence à être fatiguant. Ma voisine de palier que je vais aller saluer avant de me rendre chez mon Leclerc prendre mon café, me dit d’arrêter, me dit que je perds mon temps, me dit que les aveugles ne peuvent retrouver la vue et que les sourds ne peuvent soudain entendre. Et si elle avait raison ! Mais me priver de l’observation de notre monde d’aliénés et aliéné ne serait-ce pas me planter moi-même un poignard dans le dos ? Je vis mes dernières heures dans un monde en contradiction avec l’organisation subliminale de l’écriture d’équilibre de Jean-Sébastien Bach,  en contradiction avec l’humanité rayonnante de Wolfgang Amadeus Mozart, en contradiction avec la synthèse des évolutions heureuses de Richard Wagner dans son énigme de Tristan qui n’aimait pas Isolde, d’isolde qui n’aimait pas Tristan, et qui pourtant tous deux faisaient semblant sur des septièmes diminuées bardées d’appogiatures, de retards, et d’autres ornements, ce qui les a menés à l’endroit précis où nous sommes aujourd’hui. Ne devrait gouverner un pays que ceux qui connaissent leurs classiques, que ceux qui savent analyser et décortiquer les agrégats pour les transformer en accords posés solidement sur leurs immuables fondamentales. Ceux qui décident ne savent rien et ceux qui les désignent n’en savent pas moins. Et je ris aux éclats quand j’entends le mot « démocratie » dont pas un seul pantin connaît la définition. Par contre, je ris moins quand je vois tous ces moutons suivre les loups qui sont entrain de les précipiter dans le noir de mon célèbre puits d’où s’élèvent les plaintes des inconscients condamner à se vider de leur sang pour tous les temps qui restent avant la fin des temps. J’ai proposé Freud. Je me suis fait assassiner et pourtant je vis. Alors, réfléchissez ! Votre souffrance, douce par rapport à celle qui arrive, vous l’avez tant désiré. Qui succèdera à l’infâme Macron ? Un autre Macron inévitablement. Et puis un autre, et puis un autre. Ce sera sans fin jusqu’à ce qu’Allah et Mélenchon, et tous les autres, vous écrasent sous leurs semelles et ne laissent de vous qu’une trace de sang qui disparaitra rapidement sous la chaleur des rayons du soleil.  

mercredi 21 mai 2025

le puits au fond du jardin • les frérots font leur entrée officielle…

 



 

Alors que la France retourne sa veste et sa culotte en s’éprenant du Hamas qui la félicite – la France, ce n’est qu’un ployable enfant au psychisme inabouti et son ministre chauve des Affaires étrangères -, le rapport sur l’activité des frères musulmans aurait dû dévaster les esprits. Que nenni ! Plus de la moitié du pays est sous l’autorité des frérots et leur capacité à s’infiltrer au nez et à la barbe des naïfs, nous même tout droit à la charia. Demain, braves gens pitoyables, vous devrez vous agenouiller devant Allah sous peine de châtiments dont vous ne soupçonnez même pas l’efficacité. Et quand vous verrez bobonne sous ses voiles, violée ici et là sous vos yeux, vous penserez à vos années de peinard où vous injuriez Le Pen, Zemmour et Maréchal. Aujourd’hui, vous avez l’occasion de vous injurier pleinement. N’hésitez pas. Ça ne sert à rien, mais ça soulage. Combien de fois l’ai-je écrit ici ? Il fallait me faire confiance. Pour éviter toutes ces horreurs, il ne fallait pas voter pour tous ces misérables. Il vous suffisait de pousser la porte du cabinet de Freud pour chercher votre miroir, pour le trouver, pour vous y regarder, pour vous y reconnaître et pour le traverser. Ce n’est pas la société qu’il faut changer, mais le psychisme de l’homme. C’est vers sa fondamentale qu’il doit tendre pour retrouver ses valeurs cardinales. Avoir tranché la tête de ce pauvre Louis pour le remplacer par un empereur aura été la plus grande de votre ignominie. Je vous laisse là où vous êtes. Moi, je retourne d’où je viens, non sans passer avant chez mon Leclerc prendre mon café après avoir salué ma voisine de palier, qui ce matin est toute défaite.

lundi 19 mai 2025

le puits au fond du jardin • crasse écologique…



 

Je ne sais pas si l’attraction du jour est la victoire amplement justifiée de Rotailleau ou les insanités proférées par le terrifiant imposteur écolo Caron au sujet d’Israël et de l’Eurovision. C’est pourquoi j’opte pour sa collègue Tondelier, frappée d’une absence de cerveau et affublée d’une constance affligeante de niaiseries congénitales. Je l’ai vu, hier à midi, à la télé. Son discours creux, sans fondement, basé sur l’ignorance, la médisance, la lâcheté crasse, me conforte dans ma non-considération de la race écologique qui ne comprend que des frustrés, des morts-vivants, des lâches qui défendent la souffrance des poireaux pour ne pas voir celle des hommes et la leur, en particulier. Ils ne sont que des malades incurables qui vivent leur mort en dehors de toutes les réalités et qui veulent le triomphe des crétineries abyssales et dangereuses comme les LGBTQIA+ et la honte des couples homos et lesbiennes qui se croient autorisés à adopter, ce qui est absolument contraire à l’équilibre et à la croissance de l’enfant. Nous vivons nos héritages, une succession d’horreurs et de souffrances, auxquels s’ajoutent les coups de poignards du présent, parce que la volonté de maîtriser notre inconscient est un tabou incontournable. Et pourtant, il suffirait de pousser la porte du cabinet de Freud pour y cherche notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Mais non, l’homme préfère s’acharner sur les on-dit sans fondement et vivre mort sur le chemin mène dans le noir au fond de mon puits, au fond de mon jardin.  

 


dimanche 18 mai 2025

le puits au fond du jardin • ça descend encore…

 



 

La France entière pleure à chaud de larmes. Elle a encore perdu, comme elle perd depuis 48 ans. Ce n’est pas que les autres étaient meilleurs, avaient plus de talent, c’est que la France est la France, ce pays qui dégringole au gré des vents. Elle n’a plus ses piliers bien plantés dans le sol et se laisse balloter par les menteurs politiques, journalistes, philosophes, qui batifolent dans le déni et l’ignorance, entrainant avec eux une population amphétaminée, prête à se jeter dans le vide à la moindre injonction de Mélenchon ou Macron. La France a quitté la rive, celle où l’on pense soi, celle où l’on parle soi, celle où l’on est soi, celle où l’on fait fi des belles images et des belles paroles qui ensorcellent les esprits, celle où la pensée domine et explose les tartuffes imbéciles, celle où la vie est organisée autour de Freud dont la thérapie psychanalytique est la seule à redonner la vie à cette flopée de morts-vivants qui dorment sur le sol en respirant bruyamment. Peut-être que si Loane avait chanté la révélation de Brunehilde à Sieglinde, le peuple entier l’aurait acclamée. Le niveau de ce qu’on appelle « chanson », à l’Eurovision ou ailleurs, suit la dégradation de l’humanité qui, lentement et sûrement, descend chaque jour un peu plus dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Avant qu’il ne soit trop tard, et même s’il est déjà trop tard, penser autrement, voir ce qu’il y a derrière l’arbre, est l’unique solution. L’unique ! A vous de jouer.

dimanche 11 mai 2025

le puits au fond du jardin • dans le noir du fond de mon puits…

 



 

Macron et sa bande de rigolos – pas vraiment rigolos – sont partis pour Kiev, rejoindre, en train de nuit, l’homme qu’il tripote à souhait, pour organiser le guerre Europe-Russie que l’enfant, au psychisme inabouti, de l’Élysée, attend depuis si longtemps. Le guerrier des temps absurdes et modernes aura-t-il son cheval blanc sous ses fesses et son tricorne sur la tête quand un drone fera exploser ses chairs alors qu’il n’a toujours pas caché sa main cajoleuse sous la boutonnière de son veston ? Et oui, c’est bien le petit Napoléon qui s’est cassé les dents sous les remparts de Moscou et qui est rentré en France à pied, la tête baissée et l’ambition nauséabonde fracassée. Être en guerre au moment de la présidentielle, n’est-ce pas le seul moyen de rester au pouvoir, bien au chaud, sous les jupes de maman épousée, dont certains disent – des mauvaises langues – que maman est papa.  

 

Le rodéo urbain, à Évian, a envoyé un sapeur-pompier à l’hôpital. Il est gravement blessé et je ne sais pas où en est son état vital en ce moment. Rotailleau a encore dénoncé la racaille et les terroristes juvéniles qui ont fait de l’assassinat un métier. De cette affaire, France Inter-Info a seulement souligné les propos violents et dangereux du ministre de l’Intérieur. S’il y a racailles et terroristes juvéniles, ce n’est pas la faute des réseaux sociaux, mais bien de ces radios de mécréants qui plonge le monde, avec Mélenchon, dans les ténèbres sordides de l’islamisme qui, tous les jours, marque un point. Le criminel est un jeune alcoolique drogué à qui on vient de retirer le permis de conduire. La logique est que l’individu soit mis en prison pour vingt ou trente ans, sans jugement et dans une cellule sans fenêtre, sans matelas, sans télé, sans portable, sans ordinateur, avec une minuscule ouverture qui laisse entrer les gros rats sales des égouts voisins. Mais non, à l’image du président, on est dans une époque de cajoleries intensives.  D’autres imbéciles diront qu’on est humain.

 

De la même trempe ou de la même veine, dans le Lot, 10 000 tarés se sont installés, depuis plusieurs jours, sur un terrain agricole pour une « rave party » interdite – INTERDITE -. La drogue, l’alcool et le sexe – ce qui va de pair -, triomphent nuit et jour, au nez et à la barbe de 200 policiers qui fournissent aux délinquants les soins et la sécurité. Voilà à quoi on utilise la police, alors que son travail est de les embarquer et de les conduire dans les prisons identiques à celle du chapitre précédent. Ce laxisme, ce foutage de gueule, ne peut avoir que des répercutions, et la première est la plus logique : pourquoi obéir aux lois, puisque la désobéissance y est désormais inscrite. Parler, se rendre sur les lieux des crimes, rendre des hommages, ne sert à rien, sinon à occuper les journées des ministres. Et si tous ces minables la fermaient une fois pour toutes, et agissaient impitoyablement ? Une bonne partie des déchets humanoïdes disparaîtraient, les voies se libéreraient, et chacun pourrait déployer ses ailes en fonction de ses capacités. Ce n’est qu’un rêve. La réhabilitation de Freud n’est pas pour demain.

samedi 10 mai 2025

le puits au fond du jardin • en face des deux rives…


 


 

Inde-Pakistan, Israël-Monde – deux exemples parmi les centaines de guerres qui affligent la terre -, et cette tragédie-comique qu’est Ukraine-Russie, tragique par le sang versé par leur peuple, comique par l’humour macabre des dirigeants dont les célèbres clowns Macron et Zelenski qui se rencontrent aujourd’hui à Kiev pour dresser le plan qui va terrasser Poutine à qui on reproche d’avoir organisé un 9 mai, le défilé du 14 juillet, une puérile question de date.  Depuis l’avènement de l’homme, les guerres n’ont jamais cessé, et jamais, elles ne cesseront, la paix ayant toujours été incompatible avec le psychisme fracturé du cerveau humain. Et ce n’est pas le message de paix de Léon XIV qui va changer les choses, d’autant que les guerres les plus odieuses ont été celles provoquées par les chrétiens et leur évangélisation. Dieu a créé l’homme, puis la femme – longtemps après – pour qu’il s’entretue jusqu’à extinction des feux. On n’en n’est pas loin. Que restera-t-il de son histoire ? Tout d’abord, un enchainement de constructions de plus en plus hâtives et de destructions systématiques de toutes les avancées. La terre aura été un jeu de cube donné à un enfant de deux ans qui ne cesse d’empiler et de frapper à coups de poing sa construction, dès qu’elle prend la moindre forme. Puis ensuite, la confusion des images qui régentent nos parcours. Tout n’est qu’images projetées par notre psychisme. Chacun ayant les siennes, elles ne peuvent être réalité. La réalité, c’est comme la démocratie : un leurre, un fourvoiement. Et puis, qu’y a-t-il dans l’image ? Qu’y voit-on ? Que n’y voit-on pas ? Faut-il la regarder de gauche à droite ? De haut en bas ? Et les fragments qui tombent de l’image ? Sont-ils des indices ou des caches de l’image ? Et l’image derrière l’image ? Pourquoi ne la voit-on pas ? Pourquoi toutes ces vies auront-elles passé à côté de l’image, sans y être dedans ? Pourquoi l’image s’est-elle détruite quand le faisceau de lumière du projecteur s’est éteint ? La vie s’est arrêtée parce que l’homme a toujours été dans l’incapacité de se poser les bonnes questions, et que jamais il n’est allé les chercher là où elles n’ont aucune raison d’être. Et pourtant, pendant tous ces siècles, elles ont été là, sous nos yeux, nos yeux qui regardaient ailleurs. Tout ça n’est que l’histoire du doigt et de la lune ou de l’arbre et la forêt. C’est sans importance. La femme coupable nous a fait naître pour mourir.

 

Freud avait deviné et proposé. Il a été jeté comme un chien. Et c’est pour cela qu’on en est là, aujourd’hui. De l’autre côté !

jeudi 8 mai 2025

le puits au fond du jardin (bis) • existence (bis)…

 



 

Cette nuit, aux Champs-Élysées, il n’y a pas eu que cet automobiliste psychopathe qui a foncé dans la foule, il y a eu aussi ces bandes de tarés cagoulés qui sont venus détruire les vitrines, saccager les voitures, narguer les policiers et laisser place à un champ de ruine. Quarante arrestations alors que la totalité des voyous aurait dû dormir en prison et y rester quelques années en attente de jugement. À la violence, que la France connaît depuis des décennies, il faut répondre par une violence supérieure à celle des terroristes. Rétablir les châtiments corporels et le bagne de Cayenne sont les seules solutions qui restent. Il faut cesser cette pseudo-humanité où l’on cherche, pour les pires des criminels, des circonstances atténuantes qui aggravent encore les affaires. L’exemple devrait venir d’en haut. Mais quand on voit que l’enfant qui sert de Roi, sert la main et caresse dans le dos celui qui est à l’origine des attentats du Bataclan et de la mort de Samuel Paty, on ne peut que conclure qu’il n’y a plus rien à faire et que l’homme ne peut plus justifier de son existence (voir mon puits originel de ce matin). Sa disparition sera un soulagement. Les herbes vertes pourront repousser et les animaux glousser en toute liberté. À mille reprises, j’ai proposé Freud, mais le monde imbécile n’en a rien à faire. Alors ? Oui, alors…   

mercredi 7 mai 2025

le puits au fond du jardin • la chute infernale…

 


 

C’est bien cet après-midi que le dictateur syrien qui a succédé au dictateur el-Assad, va tomber dans les brans de l’enfant de l’Élysée qui, en raison de son inaboutissement psychique, ne peut différencier le gendarme du voleur.  Que vont-ils bien pouvoir se dire dans leur nauséabonde intimité ? Le terroriste va surement repartir avec quelques millions ou milliards dans ses poches, puisque le peuple ferme les yeux devant les méfaits de celui à qui il a donné le pouvoir absolu. Triste France qui sombre chaque jour dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, dont son noir s’accentue proportionnellement à l’effondrement de son fond. Il y a 2025 ans, un sauveur est né pour sauver le monde - ce qu'il n'a pas fait - qui n’était pas pire que celui d’aujourd’hui. Aujourd’hui, il ne nous reste que Mélenchon et son armée de robots soumis avec à sa tête, la célèbre Panot, poissonnière de son état. Cette exécrable vermine va prendre le pouvoir au nez et à la barbe de naïfs et d’indécis qui disent se battre pour la démocratie, alors qu’elle n’a – la démocratie - jamais été inventée et qu’elle ne le sera jamais, parce que pour que tienne un édifice, il lui faut un socle invulnérable et un ciment de qualité pour souder toutes ses pierres empilées. La France vit dans le volatile depuis des décennies. La volaille volage n’a pas de ligne directrice. Elle va et vient au gré de ses instincts en se fracassant sur les poteaux électriques. Les élus, tous aussi minables, se succèdent indéfiniment et le monde ne garde d’eux que leur malhonnêteté et leur impuissance. Changer les tenants et les aboutissants ne peut s’accomplir en changeant les hommes. C’est l’homme qui doit changer son comportement et son mode de pensée. Et le seul moyen – le seul –, c’est de pousser la porte du cabinet de Freud, d’y chercher son miroir, de le trouver, de s’y regarder, de s’y reconnaître et de le traverser.

 

C’est tout.


mardi 6 mai 2025

le puits au fond du jardin • c’est mon choix…


 


 

Demain, l’enfant inabouti de l’Élysée recevra, avec fastes et caresses subtiles, le président de la Syrie, un voyou copier-coller de son célèbre prédécesseur Bachar el-Assad. Un film sera tourné par un caméraman de France-Info-Télé : « Un Terroriste à l’Élysée ». La France s’est donnée pour chef un enfant dont le psychisme est altéré, donc inabouti, et c’est pourquoi, il lui est incapable de faire les différentiations, ce qui fait qu’il confond le noir et le blanc, le bon et le mauvais, le vrai et le faux, la démocratie et la tyrannie. Les Français l’ont voulu. Ils en payent le prix. Et ce n’est pas fini. Si l’enfant qui se prend pour Napoléon, alors qu’il est incapable de mettre sa main dans son veston, quitte un jour le pouvoir - sait-on jamais ? -, il ne faut pas oublier que Mélenchon, un el-Assad puissance mille, est en embuscade et prendra tout le monde de court pour accéder au trône. Mélenchon ou Macron ce n’est pas pareil, même si c’est kif-kif. Vous allez bien vous amuser, inconscients et ignorants, que même la fureur des bottes ne peut réveiller de votre éternel sommeil. À quoi cela a-t-il bien pu servir, d’avoir tranché, jadis, la tête de votre Roi, puisque aujourd'hui vous vous retrouvez dans la même situation qu’avant. Vous avez tout gâché. Autrefois, l’homme se parait de belles perruques. Aujourd’hui, il montre son crâne chauve, plus un seul poil n’acceptant de pousser sur la crasse de son cerveau. Voilà où vous en êtes, là où vous vous êtes laissé entrainer, abuser, violer, assassiner. C’est sans doute ou peut-être que vous n’avez jamais su regarder en voyant et écouter en entendant. Selon le dernier sondage, vous plébiscitez Bardella. Moi je préfère ne pas avoir de chef et me laisser bercer par la thérapie psychanalytique de Freud, associée aux fondamentales que Bach a su si bien utiliser.  « C’est mon choix ! » dirait Evelyne Thomas.

vendredi 2 mai 2025

le puits au jardin • le retour d’hitler…

 



 

Journée noire, hier. Les sombres jours de la dernière guerre contre Hitler ont fait boomerang. Mélenchon/Hitler a parlé, aussi bien que son père que j’ai vu chez Charlie Chaplin dans son prophétique « Dictateur » pour l’ère assassine de Macron. L’ombre du tyran a plané sur la totalité des manifestations. Les drapeaux français se sont déchirés devant l’invasion des drapeaux étrangers, avec une large dominante pour les drapeaux palestiniens. L’odeur du sang s’est répandue sur Paris et Lyon, entre autres. Attal et les autres (Macron évidemment) ont voulu le triomphe de Mélenchon en appelant à voter pour lui aux dernières élections. La France en récolte les fruits. La dictature est en marche et rien ne pourra l’arrêter. La race des esclaves soumis mélenchonistes fait tache d’huile et bientôt nous serons tous dans le bain, au milieu des frites qui se font roussir. Il reste bien Marine, qui a repris de la vitamine, mais le rébus qu’elle se doit de résoudre pour s’approprier les clés de l’Élysée n’est pas si simple et surtout est trop truqué. Alors, pour terrasser le dragon, il reste l’union, l’union de toutes les droites pour évincer du territoire les gauches soumises au monstre. Mais il ne faut surtout pas oublier que la victoire de la raison ne pourrait être que provisoire puisque la démocratie n’a toujours pas été inventée. Seul l’homme accompli en a la capacité. Mais l’homme qui sait est rare. Il y en avait bien quelques-uns – Ronsard, Hugo, Boulez -, mais ils sont morts. Chez les vivants presque morts, il y a bien Barenboïm, mais il n’est pas français. Chez les autres, ceux qui vivent morts, je ne vois personne, mais vraiment personne, à part le vieux chien tout maigre qui passe sous mon balcon tous les matins, à la recherche d’un maître, pour se faire donner des coups de bâton. Alors, tant pis, je le redis. La vraie et seule solution est Freud, chez lequel vous pourrez chercher votre miroir, le trouver, vous y regarder, vous y reconnaître et le traverser. C’est alors, seulement, que vous naitrez et que vous pourrez commencer votre vie et la poursuivre libre, sans être obligé d’avaler les sornettes des politiques, des journalistes, des influenceurs tarés et ignorants qui piègent sans cesse votre chemin.

 

Un jour, il faudra bien ouvrir les yeux, déboucher les oreilles, couper les langues…

jeudi 1 mai 2025

le puits au fond du jardin • mon rêve hors de moi…


 


 

Le groupuscule d’ultragauche, La Jeune Garde, menacé de dissolution, est sauvé. Il vient d’obtenir le soutien sans faille du fondeur en larmes Mélenchon et de ses alliés socialistes, communistes et écolos. Ensemble, tous ensembles, ils vont pouvoir marcher sur l’Élysée, pendre l’enfant au psychisme inabouti et s’installer dans la salle du trône pour y officialiser la nouvelle République islamiste, guidée par la charia. Et les Français qui dorment depuis Charles Martel, vont regarder leur destin se fracasser sans même arriver à bouger le bout du petit doigt de leurs petits pieds handicapés. Et les mêmes hideuses gauches d’affirmer qu’il ne s’agit que d’un petit fait divers sans importance, comme le jour où l’escargot que ma grand-mère Florine élevait pour donner du gout à sa soupe d’orties est entré en collision avec un poids lourd de dix-huit tonnes qui a fini sa course dans le mur de son voisin Perrin ou Boiton, je ne sais plus. Mais pourquoi les enfants et petits-enfants des gaulois sont-ils si pleutres, si lâches, si peureux ? C’est sans doute Debussy qui a raison quand il évoque, dans « Les amours contrariés de Pelléas et Mélisande aux longs cheveux bouclés », un nuage de grêle asiatique qui s’est abattue sur la France à la mort du précité Martel, faisant éructer la ville de Dijon et épandre sa moutarde jusque dans les sous-sols du château du chanoine du Kir. Il ne s’agit, là aussi que d’un tout petit fait divers, qui aura tout de même changé l’humanité, les pantins en bois de frêne portant la cicatrice du glaive magique de Siegfried – fils naturel des jumeaux Sieglinde et Siegmund, eux même fille et fils de Wotan, Dieu des dieux qui descendait régulièrement, par la grande échelle, copuler avec quelques humaines - s’étant soudainement métamorphosés en des brouillons de buissons fanés se décomposant au bord des autoroutes épuisées.

 

Ce jour étant un jour de deuil où le français se voit interdire de faire travailler son esprit, je n’ai pu écrire que ces bribes de rêves plus vraies que toutes les réalités qu’on m’a apprises et qui se sont révélées des mensonges qui auront construit ma vie dans l’autre sens, pas celui-là, l’autre. Heureusement, depuis, je me suis déconstruit pour enfin me construire selon moi et mon moi qui n’appartient qu’à moi.

mercredi 30 avril 2025

vu à travers le tube • et l’on perd les enfants perdus…

 Une radio d’État informe, ce matin, que la vieille IA nommée à la tête de l’État, remettait en chantier – ces derniers jours – la nocive nocivité des réseaux sociaux pour les moins de 15 ans, et que cette fois, elle prenait le taureau par les cornes pour que la jeunesse oisive n’ait plus accès à ces lieux de perditions, dès la fin de la semaine. Waouh ! Quelle prouesse ! Des tas d’organismes « indépendants » vont être créés dans la journée, pour surveiller, régulariser, vérifier, sanctionner, punir et mettre au piquet, tous contrevenants de moins de 15 ans qui auront réussi à franchir le triple mur de béton qui les sépare de ces chambres noires où l’on rencontre les fantômes des images que nous nous sommes dessinées pour tenter de survivre aux insupportables misères des pantins qui trainent leurs bouts de bois dans les sentiers qui ne mènent nulle part. Et cette scandaleuse IA - sous les ordres d’un enfant iaien psychopathe et d’un vieux radoteur qui n’a pas pris de cours de théâtre - dépense encore des milliards pour un coup de glaive ridicule dans les eaux du Rhin. Moi, j’ai la solution pour les quelques rares enfants qui ont des parents : actionner le contrôle parental, si on tolère vraiment le smartphone et l’ordinateur à la maison. Pour les autres, les innombrables orphelins, je ne peux rien. De toutes les manières, ils sont déjà perdus et seul Freud, dont ils ignorent même le nom, aurait pu. Mais voilà…   

lundi 28 avril 2025

le puits au fond du jardin • l’ombre de l’arbre…


 


 

Et voilà que Mélenchon et ses chiennes et ses chiens ont passé leur après-midi à conspuer ceux qui n’ont pas rejoint leur veau d’or et leurs orgies. Et je n’évoque même pas les crasses infâmes que sont la patronne des psychopathes éco-pathologiques et celles de la CGT, sorties directement des orgiaques chiens, chiennes et veaux. Et je n’évoque même pas – non plus – le public de ses illusionnistes qui vont mettre ces criminelles au pouvoir, très bientôt, et sous les lois des dictatures de la charia ou d’autres encore plus explosives. Cessez de voir ce que vous voyez et qui n’est pas, comme la bonté et la beauté de l’homme. Vous êtes inscrits, depuis l’éternité, dans un cercle infernal qui vous interdit tous discernements et toutes différentiations, des éléments qui ne peuvent être acquis que si on vous les a appris. Et pour apprendre, il faut avoir conscience de son ignorance, ce qui n’est pas le cas des êtres vivants qui vivent morts en étant persuadés d’être vivants. Avoir conscience, c'est reconnaître être mené par le bout du nez par son inconscient et se bouger le cul pour tenter de régler cet abus de pouvoir dans les délais les plus courts possibles. Vous n’avez même pas conscience d’être humiliés et châtiés en permanence par un enfant psychopathe qui sera remplacé par d’autres enfants au psychisme inexistant. Macron est le reflet de Mélenchon qui est le reflet de Macron, qui sont tous deux les reflets de la cécité des peuples et de leurs bourreaux. Les derniers fastes des Ramsès I ou II ou III ou IV, à Rome, il y a quelques jours, la photo des deux hommes assis face à face, à deux pas du mort, les papouilles macro-zelinskiennes qu’on nous inflige chaque jour, le duel Wauquier-Rotailleau et toutes les autres simagrées indécentes, ne sont que des tâches mouvantes sur un écran blanc, qui n’existent que par la magie d’une projection de cinéma. Le réel est ailleurs. Si voulez entrer dans la forêt pour caresser l’éléphant, il vous suffit d’abattre l’arbre qui la cache, jalousement.       

dimanche 27 avril 2025

le puits au fonds du jardin • pile et face, les différences…

 



 

Le psychisme crée l’image et chacun la module et la formule différemment. L’arbre ne sera jamais arbre, mais, visions multiples caricaturées par les multitudes de formes de pensées. Aucune image n’est semblable et aucune reflète la vérité qui dans l’absolue ne peut exister. Personne ne voit la même chose et le monde est dans la confusion des sentiments puisque tous gestes ou pensées passent par l’affect qui triture et déforme l’image projetée. C’est pourquoi il faut toujours penser qu’il faut toujours penser autrement et souvent dans le sens qui se cache, bien enfui dans la mémoire du temps. Nous ne sommes pas nous. Les autres ne sont que l’image que nous projetons en nous. La réalité n'est nulle part. Elle n’est que le résultat de l’image : l’illusion. Cette nuit, j’étais en voyage avec une foule d’inconnus. On a mangé au bord des routes, assis à des tables nappées de blanc, des steaks et des harengs huilés et huileux, à cinq heures trente du matin. Puis, on a recommencé, plus loin, vers six heures trente. On a même vu un singe – ou un léopard – à quatre bras et deux têtes, qui marchait sur ses pattes arrière, comme le fond dans notre monde les hommes et les femmes qui ont perdu l’habitude de marcher comme l’animal. Mon psychisme m’a parlé. Il a chuchoté à mon oreille comment ajuster les pièces du puzzle pour composer l'image, dont le sujet n’a aucun rapport avec mon étrange histoire. Rappelez-vous une autre histoire, celle du couteau qui croyait être un pénis – voir mon puits d’hier -. Hier, justement, dans les écrans, on a vu Trump, Zelinski, un cercueil en balade et un agglomérat géant d’espèces à deux pattes. Ce n’était qu’une image dans un écran et c’était peu important. Ce qui est important, c’est que l’homme réinvente le courant qui ne passe plus entre son conscient et son inconscient. Quand le circuit fonctionnera, il verra qu’il voit autrement et qu’il ne peut pas accepter de vivre au centre d’un monde disjoncté, sans références, sans fondement. Qu’y a-t-il derrière les images ? Se poser la question, c'est déjà faire un pas de géant dans cette petite humanité supposée. Il ne reste plus qu’à continuer.