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vendredi 17 janvier 2025

le puits au fond du jardin • les vivants puis les morts…

 



 

Les morts se succèdent depuis que l’on a inventé les vivants. Mais quand celui qui disparait est un homme de génie, un homme qui a su regarder, voir, écouter, entendre, et refuser toutes les ignorances, il est difficile de croire que les putes et les pitres de LFI, les caprices du roi de France, les bavardages et enfumages des élus, les guerres de Zelenski, les courbettes au Hamas, les sexes égarés, les peuples agenouillés, les crétins de France Inter, les faux-semblants qui habitent les cranes vides, aient la moindre importance. David Lynch est mort. Il était Bach et Mozart, Voltaire et Hugo, le digne successeur du grand Alfred dont ils avaient en commun une compréhension aigüe de la psychanalyse de Sigmund Freud, le seul humain qui ait disséqué les rouages complexes des psychismes. En place de citer ses films – des chefs-d'œuvres incontournables - , je préfère revoir Dale prenant Laura par la main et me répéter en boucle leur échange : « Où me conduisez-vous ? » « Je vous ramène la maison ! » Tout est dit. Tous, nous n’aspirons qu’à une seule chose, retourner à la maison, retourner d’où on vient, dans le ventre maternel duquel la femme coupable nous a éjecté violemment sans même se préoccuper de notre propre avenir et de notre propre existence.     

mardi 14 janvier 2025

le puits au fond du jardin • le surréalisme triomphant…

 



 

Comment comprendre la situation surréaliste qui montre Bayrou en confidences permanentes et intimes avec Faure, le patron des socialistes acoquinés avec les islamistes mélenchonistes et les écologistes fous à lier ? Le départ à la retraite ne devrait être accordé qu’en fonction de la pénibilité du métier. 55 ans pour les travailleurs du bâtiment et les boulangers, 90 ans pour les bureaucrates, les gratte-papiers et les joueurs d’ordinateurs, 110 ans pour les bavards de la télé, invitants et invités. Tout est dit. Tout est réglé. Si Bayrou cède d’un seul petit pouce à ces salauds de gauchios qui appellent les pires des dictatures, il est foutu. S’il ne cède pas, il est encore foutu. Bayrou n’est rien, comme ses idées et ses avis, parce qu’au centre, on tombe toujours dans le vide. Les seules solutions pour ranimer la France à deux petits doigts de la mort, c’est la fin de la compassion, la fin des circonstances atténuantes, la dépolitisation de la Justice et de l’Éducation nationale, l’égalité devant l’impôt, le savoir, la culture, l’amour inconditionnel de Molière, de Mozart, de Van Gogh, le désir de laisser ses pieds enfoncés dans la terre, aux côtés des vieux chênes centenaires, et la mise à l’arrêt définitif des fonctions de l’enfant qui sert de roi à la France. Et pour cela, accomplir le nécessaire indispensable qu’est la rencontre avec Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien que ça, les restes n’étant que détritus pour les poubelles des rues de Paris.

samedi 11 janvier 2025

le puits au fond du jardin • de la miss à la vieille dame…

 



 

Miss France n’est pas Charlie (***). Personne n’est obligé d’être Charlie. Mais, en plus de ne pas être Charlie, elle n’est rien, sinon une masse de chair qui a exposé son cul dans une vente aux esclaves sur les marchés du mercredi matin. On ne peut pas nous obliger à considérer la femme alors qu’elle vend son corps et son âme, chaque année, en direct à la télé, sous l’œil pervers de Jean-Pierre Foucaud et des millions de téléspectateurs qui ont l’occasion unique de se le rincer sans s’attirer les foudres de la censure des Émirs et des Imams et des mitoutes chatouilleuses. Quand femme saura ce qu’elle veut, homme sortira de son refuge et tentera de justifier sa présence sur terre.

 

(***) https://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/miss-france/miss-france-n-est-pas-charlie-le-journal-satirique-retorque-a-angelique-angarni-filopon-par-une-caricature-accablante-20250110

 

Chez Praud, grand amoureux de la vieille femme ridée qui a épousé le jeunot au psychisme inabouti qui sert de roi à la France, un chroniqueur a tenté d’expliquer le comportement de la dame, qui, tout récemment et par deux fois à la télé, a insulté les Français qui n’aimaient pas son gentil bambin qui lui les aime tant, en disant que leur différence d’âge était la vraie raison : maman protège son fils. Pour moi qui fréquente Freud depuis des décennies, le chroniqueur a raison, c’est la seule et véritable explication. Praud a sorti le monsieur comme un malpropre. Chez lui, on ne parle pas de ces choses malsaines et des ignominies freudiennes. Ma liste noire a inscrit un nouvel abonné.

vendredi 10 janvier 2025

le puits au fond du jardin • trump et musk, ou freud…

 



 

Le misérable influenceur algérien expulsé hier vers son pays, a fait un aller-retour express. L’Algérie ne veut pas de lui. Alors, à son retour, pourquoi ne pas l’avoir jeté dans la mer, ce qui aurait résolu tous les problèmes. Aujourd’hui, la parlote n’a plus aucun effet, les lois républicaines sont obsolètes. Il n’y a plus que la manière forte qui porte et qui peut apporter un semblant de paix. Hélas, ce n’est pas dans le pays des droits de l’homme qui n’en a plus aucun et dans le pays de cette stupide laïcité qui permet la suprématie de la pire des religions et l’invasion de marmites géantes de tarés, que les éléments vont se bonifier. La France est le pays des moins que rien qui se fait hara-kiri à tous les instants en tolérant Mélenchon et ses amis qui distillent le pire des poisons qu’est l’installation de la charia. Pourquoi ne sait-on plus se servir de ses yeux et de ses oreilles et qu’on ne sait que nier les vérités grosses comme des montagnes. Comme les Romains de l’Antiquité, les Français aiment avant tous les jeux du cirque où ils se font manger par les lions quand l’enfant et ceux qui l’ont précédé, baissent le pouce sous le hourra des foules. La misère n’est plus à nos portes. Elle est entrée dans nos maisons et nous la regardons sans que frémisse un seul de nos dix doigts de pieds. Trump et Musk devraient changer le monde, mais ce sera insuffisant. La rupture radicale avec le monde perdu que nous vivons ne peut venir que de Freud chez qui nous devons chercher notre miroir, le trouver, nous y regarder, nous y reconnaître, et le traverser. Rien que ça et rien d’autre. Les restes sont pures inventions et la concrétisation du déni qui guide les pas de l’homme.   

dimanche 5 janvier 2025

le puits au fond du jardin • à vous de voir…



 

 

Vous connaissez tous la rengaine des politiciens français : « J’ai été élu démocratiquement ! » Un. Pour être élu démocratiquement, il faudrait que la Démocratie existe. Tout le monde l’attend depuis des millénaires. En vain, puisque l’inventeur n’est toujours pas né. Deux. Les stupides pantins ont tous été élus grâce à leurs mensonges qui sont plus que vérités chez les naïfs inconscients et ignorants. Trois. Le mode électoral n’est pas garant de vérité et de caution à toutes décisions. La seule vérité intrinsèque est : « Je commande, tu obéis et tu te tais. » La discussion, l’échange et la concertation sont des faux-semblants pour faire croire à la participation. Dans ce domaine, Macron est un champion. Karajan a conduit le Philharmonique de Berlin au succès. C’est parce qu’il a été, comme Toscanini, un chef dictateur et sans concession. Et cependant, en tant que socialiste authentique – nous sommes encore deux ou trois sur la planète -, je suggère que l’on pose la première pierre pour tenter un semblant de Démocratie : les prétendants à un poste à responsabilité proposent dix sujets sur une feuille de papier. Exemple : 1. Dès mon élection, et sur 3 jours, l’armée, la police et la gendarmerie jetterons à la mer tous les étrangers et tireront sur tous ceux qui tentent de s’échapper. Et si cela n’a pas été réalisé, l’élu sera arrêté et jeté dans les cachots de la nouvelle République pour un minimum de 20 ans.  Voilà ! Chacun prend ses responsabilités. Il y aura beaucoup moins de monde au portillon et surtout beaucoup moins de cons qui rêvent de monter sur les planches. Et que l’on cesse pour toujours les campagnes électorales, qui sont vraiment du trop mauvais cinéma. Et pendant que l’on y est, que l’on cesse aussi les débats télévisés où tout tourne en rond, sans jamais répondre aux plus profonds désirs des populations. Alors que l’on est sur la fin, c’est le dernier instant qu’il nous reste pour tenter de tout recommencer et de tout construire différemment. Mais d’abord, ne pas oublier le retour à la maison, le retour dans le ventre de la femme coupable, pour se remémorer l’instant de l’éjection sur le sol boueux et pierreux qui nous aura tant fait mal. Ensuite, ne pas omettre de se précipiter cher Freud où se cache notre miroir. Ce que je propose EST la solution. À vous de voir…  


samedi 4 janvier 2025

le puits au fond du jardin • la solution…



 

Comme si Bayrou ne connaissait pas les difficultés des agriculteurs, il recule encore l’échéance en les convoquant prochainement pour s’informer. Comme toujours, on parle, on se montre à la télé, et on laisse les choses en plan. Les victimes disent vouloir marcher sur Paris. J’espère qu’ils vont le faire et y asphyxier tout ce qui semble respirer. Leur colère devrait entrainer la colère de tous les peuples et réduire à néant ceux qui s’imaginent avoir le pouvoir de nous gouverner. Le monde ne tourne pas rond parce qu’il se comporte en petit enfant capricieux, à tous les étages, et qu’il est incapable de comprendre qu’être adulte c’est être conscient que notre conscience doit toujours triompher de notre inconscient. Pour cela Freud est le seul remède, ce Freud qui rejeté par tous, par tout cet agglomérat de psychopathes dont le triomphe aura détruit la planète. Et dire qu’il y a encore des imbéciles qui cherchent des solutions, alors que la solution est sous leurs yeux et qu’il leur suffit de tendre la main.  


vendredi 3 janvier 2025

le puits au fond du jardin • le retour à la maison…

 



 

Déjà trois jours. 2025 a trois jours et ne fait en rien la différence. Les mêmes meurtres qu’en 2024, les mêmes crimes, les mêmes discours, les mêmes mensonges, les mêmes dénis. Rien ne sera plus comme avant, ont-ils tous dit. Et pourtant tout est identique, sans le déplacement de la moindre virgule, l’homme – et la femme bien évidemment – étant la tâche indélébile, la tâche noire encre, la même qui recouvre les vermines qui croupissent dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, les restes, à l’odeur sale, que quelques poètes ont distillé dans leurs vers de génie pour montrer l’illusion piteuse qui se rapporte au genre humain, le genre abruti, qui survit depuis si longtemps. Cooper a ramené Laura à la maison. Brunehilde a rendu l’or au Rhin. Notre seule vocation est le retour à la maison, dans le ventre maternel. Et pour tenter de repousser cette auguste décision, nous inventons des histoires à dormir debout qui nous détournent du chemin. Nous ne pouvons le faire éternellement et c’est pourquoi nous ne cessons de déclarer des guerres contre nous-mêmes qui sont toutes vouées à l’échec. Regardons-en face et posons-nous la question. Nous n’avons rien d’autre à faire. Notre miroir est chez Freud. C’est chez lui que nous pouvons le chercher, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est de l’autre côté que nous « sommes ». C’est de l’autre côté que la conscience du monde est nôtre C’est de l’autre côté que le mirage se dissipe et que se dévoile notre personnalité qui, comme un gant, pourra s’approprier le seul monde vivant et l’enfiler comme notre juste-au-corps. Tout est derrière. Tout est ailleurs. Et nous persistons à voir en aveugle, parce que notre regard ne veut pas percer l’horizon.  

dimanche 29 décembre 2024

le puits au fond du jardin (bis)• freud à la prison…



 

La prison, c’est la punition. La réinsertion, c’est le complément qui doit entrer en fonction à un certain stade la de peine et sous le contrôle des psys freudiens. La prison, c’est la souffrance dans un cachot noir avec un boulet de cinquante kilos au pied et ailleurs si nécessaire. Le prisonnier ne peut avoir aucun droit à la dignité puisqu’il est cage pour ne pas avoir respecté la dignité humaine : violence, viol, meurtre. Donc, ceci bien compris, il y a des milliers de places dans les prisons, car je ne vois pas ce qui empêche de mettre dix voyous dans un périmètre qui en contient trois. Et si on posait le problème autrement ? Au lieu de rabâcher toujours les mêmes litanies, et si on faisait en sorte que les prisons deviennent inutiles, en éradiquant la délinquance, grâce à la thérapie psychanalytique freudienne qui permet à l’enfant de passer au stade d’adulte. Tant que la race des adultes n’aura pas pris le dessus, rien n’avancera, rien ne pourra être résolu. J’en ai assez de ne rencontrer que des enfants sales, ignorants et mal embouchés.   

samedi 21 décembre 2024

le puits au fond du jardin • décrescendo…


 


 

L’année se termine dans une fin de civilisation où les forces vives, celles qui se sont imposées à l’insu de ceux qui croyaient que la vie était un pré d’herbe verte où les vaches s’asseyaient pour regarder passer les trains qui avaient une locomotive avec des nuages de fumées et qui se sont faits surprendre - faute d’avoir observé - par une bande de brigands accoquinés avec les hordes islamistes et les psychopathes écologistes qui réclament à grands cris une vraie dictature qu’ils verraient bien inaugurer avec pour chef suprême le Robespierre du XXI° siècle, Mélenchon. Il n’y a pas de retour en arrière possible. Il n’y a pas de retour à la maison nécessaire à notre équilibre. Le fautif est le peuple qui ne cesse de voter pour des menteurs, des voleurs, des assassins, des criminels, et qui n’en tire jamais de leçon. Qui connait encore Villon ou Baudelaire, Mozart ou Wagner, Renoir ou Picasso, Godard ou Lynch ? Les rois de France sont toujours là et toujours morts parce que les vivants ne sont plus depuis longtemps. Freud a proposé la vie. On la vite exécuté. Alors tant pis. Vous y êtes parce que vous l’avez voulu. Surtout plus de gémissements. Souffrez de souffrir en silence puisque vos souhaits ont tous été exhaussés.    

    

jeudi 19 décembre 2024

le puits au fond du jardin • il ne reste plus qu'une ou deux pages…

 



 

J’aimerais qu’on m’explique pourquoi le vieux politicard indécis, aux idées flous qui donnent le tournis et qui met trois jours à dire ce que tout en chacun dit en un demi-instant et qui est toujours content de lui, surtout qu’il s’est couronné Premier ministre sous les yeux éberlués de l’enfant qui n’a jamais eu l’habitude d’être contrarié, convie tous les partis de l’Assemblée, aujourd’hui à 14 heures, sauf LFI et RN qui représentent la quasi-moitié des français. Encore un goujat imbécile et ignorant qui ne va pas faire long feu. Et que l’on cesse de changer de gouvernement alors que la seule solution est la démission du président, l’enfant au psychisme inabouti qui préfère de loin sa vielle maman toute ridée qu’il a épousée ou qui l’a épousé. La mauvaise et laide pièce de théâtre de buvard ne finira jamais et cela parce que les spectateurs assoupis sont incapables de quitter la salle pour retrouver le soleil et l’air vivifiant de la liberté.    

 

Il est le seul responsable, l’enfant. Le chauffeur de car agressé et humilié par quelques enfants retardés parce que leurs parents sont psychopathes comme l’immense majorité des parents, est convoqué par sa direction pour être sermonné et sans doute puni, alors que le même enfant dont je parle tant, devrait lui épingler la plus rutilante des Légions d’Honneur pour service rendu à la Nation en se substituant à des parents inconscients qui manquent à toutes leurs obligations. Cette affaire est un immense scandale qui s’ajoute aux piles infinies des scandales qui jonchent nos vies et qui sont provoqués par la négligence permanente d’un enfant que vous avez voulu pour président de notre pitoyable république. Et les autres coupables sont ceux qui ont oublié la gifle, le coup de pied au cul et le fouet alors qu’il aurait été si facile de mettre Freud au centre du manège. Mais comme le monde entier tremble devant son nom, l’ignorance crade en vigueur, ne pourra se résorber et nous sommes condamnés à subir les humiliations des nouveaux terroristes de tous âges qui battent de loin les châtiments des grands inquisiteurs de l’Église catholique qui a inventé avant tout le monde les questions : l’ordinaire et puis l’extraordinaire, celle qui est un peu plus chatouilleuse.    

dimanche 15 décembre 2024

le puits au fond du jardin • siegfried et censure…


 

 

Ce qui est invraisemblable, c’est que les ministres de Barnier et Barnier lui-même ont été renvoyés dans leur foyer par les idiots inutiles de l’Assemblée et que dès le nouveau Premier ministre nommé, un vieux cheval qui mange à tous les râteliers, Rotailleau, le héros du gouvernement déchu, a été le premier et le seul a rencontré le patron de Matignon. Et voilà qu’aujourd’hui, Siegfried sera à Ajaccio pour baiser la pince de la papauté et demain à Mayotte pour tenter de trouver des solutions pour que la population décimée par Chido sorte la tête de l’eau, bien qu’elle n’ait jamais vécu à l’air libre. Je me demande pourquoi ce Rotailleau se démène autant alors qu’il vient d’être jeté comme un vulgaire paillasson. Censuré et sanctionné, il est devenu le représentant officiel du Premier ministre et de l’enfant qui se prend pour un président. Alors pourquoi pas lui ? Président et Premier ministre en même temps, lui irait comme un gant et les fanas d’Opinel, et les violeurs de vieilles dames, et les trafiquant d’amphétamines, et les disciples des islamistes, trembleraient enfin et pris de vertiges, prendraient les jambes à leur cou pour se cacher dans les forêts où les lions et les tigres pourraient se régaler à souhait. Je crois que j’ai trouvé la solution et j’espère que vous serez nombreux à me féliciter.

 

La lâcheté de Frédéric Bonnaud, directeur de la Cinémathèque de France, est sans limites. Le plouc a déprogrammé le chef-d’œuvre de Bertolucci « Le Dernier Tango à Paris » qui devait être projeté ce soir, à 20 heures, parce que des associations de nanas psychopathes ont menacé de l’émasculer s’il montrait sur l’écran blanc, Marlon Brando violer d’une manière particulière la succulente Maria Schneider. J’ai vu le film il y a plus d’un demi-siècle et je suis toujours en vie et même, je ne me porte pas trop mal pour mes prochains quatre-vingt-dix ans. Les réalités, et surtout la vue des chefs-d’œuvre, traumatisent fortement les gens de notre époque où les cerveaux sont manipulés dès leur arrivée dans le ventre de la femme coupable. La dictature des imbéciles et des ignorants – souvent imbéciles-ignorants ou ignorants-imbéciles – lézarde, corrompt, dégrade et torture la société où s’opposent bourreaux et victimes sans que personne sache pourquoi. La femme est devenue la bêtise même et l’homme le pauvre petit con qui s’extasie devant sa puérile puanteur de soi-disant révolution. Les haines se tariront, les guerres cesseront, lorsque l’homme sera enfin devenu homme et lorsque la femme sera enfin devenue femme. C’est ce qui a toujours manqué à l’humanité. Et pour réaliser ce rêve, rien de tel que de se rendre chez Freud pour y pousser la porte de son cabinet afin d’y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien d’autre. Les restes ne sont qu’inutilité.          

vendredi 13 décembre 2024

vu à travers le tube • je suis parti…

 

Depuis huit jours les radios et les télés ne cessent de nous abreuver de leurs longues plaintes poussives : « Quand donc Sa Majesté Notre Roi Bien Aimé va-t-il nommer son Premier ministre afin que la terre tourne rond alors qu’elle tourne carré depuis que des terroristes ont tranché le coup de Sa Majesté Louis XVI et celui aussi de notre douce Marie-Antoinette qui jouait si bien dans le film de Sophia Coppola ? » L’enfant, usurpateur de majestés, n’est pas si fou. Ce n’est qu’un grand psychopathe petit par l’âge qui aime faire joujou avec les connards qui ont posé son cul sur le trône. Français ! Il se joue de vous. Il vous méprise. Il vous ignore. Et comme vous ne voulez pas le voir, il vous plonge dans le désarroi en détruisant minutieusement le pays en attendant l’arrivée annoncée des islamistes qui vont vous châtier sans ménagement. L’enfant sait, depuis longtemps, qui il veut à la tête de son gouvernement et celui qu’il a choisi est sans importance puisqu’il ne lui laissera aucun pouvoir et que l’Assemblée dont il a tranché le pénis – faire un lien avec Louis et son épouse – restera impuissante dans tous les domaines. Et puisque vous ne voulez pas bouter cette verrue hors de la terre, tout espoir est consommé. Avant le régime des dictateurs, nous resteront tributaires de son immaturité et des pouvoirs exorbitants des Hautes autorités, organismes inutiles, véritables gouffres financiers, qui décident – au nom de qui et de quoi ? – de supprimer des chaînes télés et d’encourager les garçons à devenir des filles et les filles à devenir des garçons. Pauvre monde de fous que les peuples aliénés acceptent sans broncher. L’ignorance des gens de la terre conduit le monde à sa fin. Refuser Freud et ne pas s’abreuver des notes magiques d’Eurydice ou de Tristan est un signe d’embryon récalcitrant resté à jamais dans le ventre de la femme coupable. Je dis ce que pense. Après tout, ce que vous faites ne me regarde pas. Continuez vos ignominies. Moi, je suis déjà parti

mercredi 11 décembre 2024

le puits au fond du jardin • les gros rats des égouts…

 



 

Hier, à l’Élysée, s’est tenu la conférence des terroristes psychopathes qui hypnotisent les français par leur indignité, dont pas un n’a l’idée et le courage de sortir des égouts de Paris tant ils se plaisent dans la vase puante générée par les gros rats poilus d’Hidalgo, conférence sous la présidence de l’enfant qui, assis sur le carrelage rutilant du boudoir de sa maman, tend les bras pour tenter de se mettre sur ses jambes, et qui sert, dans l’instant, de roi à la France. Ceux du bout de la droite et ceux du bout de la gauche n’y était pas alors qu’ils représentent une partie non négligeable du pays, la partie essentielle sans laquelle la machine ne peut tourner. Ces ignorants invertébrés ont pris la décision de ne plus se chamailler comme les petits garçons, pendant que les petites filles jouent à la poupée, et pour cela, de rayer de leur logiciel rayé le 49.3 et la censure, et l’enfant a promis de ne pas dissoudre jusqu’à son départ qui va faire éclater des réjouissances semblables au départ de Bachar el-Assad. Le monde des Bisounours est arrivé. De l’Élysée à Matignon en passant par les Cévennes, on va se bisouter, caresser les dos et plus bas et plus hauts. Le paradis d’Adam et Eve, avant le serpent et la pomme, va devenir réalité. Enfin ! Nous y sommes ! Et parions aussi que très bientôt, grâce aux simagrées et aux foutages de gueules des imbéciles chroniques d’aujourd’hui, le futur successeur d’Henri IV, de Louis XIV et de Napoléon, sera Mélenchon 1e, un dictateur mal-embouché, un vulgaire pattier (un pattier est un chiffonnier) qui va avec l’inquisiteur Bompard et la poissonnière Panot, mettre les femmes sous voiles et les hommes sur genoux. Français réveillez-vous ! Je sais : pour cela, il faut un certain courage et un regard capable de discerner ce qu’il y a derrière l’écran. Il est fort dommage et fort préjudiciable que vous refusiez obstinément de pousser la porte du cabinet de Freud. Vous pourriez y chercher votre miroir, vous pourriez le trouver, vous pourriez vous y regarder, vous pourriez vous y reconnaître et vous pourriez même le traverser. Alors, les insanités évoquées ci-dessus ne pourraient plus être. Les équilibres seraient retrouvés et l’édifice pourrait enfin s’ériger dans la confiance mutuelle et ses rouages s’enchevêtrer. Le manège pourrait tourner jusqu’à la fin des éternités.        

lundi 9 décembre 2024

le puits au fond du jardin • successions et révolutions…



 

À Bachar Al-Assad succède Abou Mohammed al-Jolani. Après l’euphorie, la Syrie entre dans l’inconnu le plus sordide où, sans doute, l’horreur va succéder à l’horreur. Qui sait ce qui va advenir ? Bachar serait à Moscou où il est invité à la représentation de Boris au Bolchoï avec le grand Boris Christoff. Macron feint de consulter au lieu de nommer pour vite régler la dette avant que les océans n’engloutissent l’Élysée et tous les pantins qui ont nommé l’enfant. Notre Dame reste avachie au bord de la Seine sans se soucier du gouffre vertigineux dans lequel l’homme se précipite. Elle ne comprend pas que lorsque qu’il aura tout détruit et se sera détruit devant son vide, les dieux qui sévissent depuis des millénaires disparaitront faute de pensées pour les imaginer et qu’elle ne sera plus qu’un tas de pierre avant de disparaitre elle aussi. Les révolutions révolutionnent avant de révolutionner les révolutions. Le peuple attend parce qu’il est paralysé du cul et surtout parce que l’individu reste un éternel enfant devant la terreur des réalités. C’est l’individu qu’il faut soigner et obligé à aller vers l’autre monde, celui qu’il ne connait pas, celui de la liberté. Pour cela, je le dis et le redis encore, il faut pousser la porte du cabinet de Freud, y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. C’est tout. Et c’est parce que le commun est terrifié devant son miroir sans reflet que le monde en est là, là où il en est aujourd’hui et que quoiqu’il fasse et que quelle que soit l’apparition du Messie, il n’en bougera pas, l’immobilité du corps et de l’esprit étant plus confortable que le mouvement qui, quel qu’en soit le sens, change les configurations dans un effet domino. L’avenir n’est pas rose. Il n’est ni bleu ni vert non plus. Il n’est pas.   


vendredi 6 décembre 2024

le puits au fonds du jardin • l’arbre qui cache la forêt…

 



 

Quoi qu’on en pense et quoi qu’on en dise l’enfant au psychisme inachevé, psychisme qui s’est bloqué au cours de son séjour en maternelle au moment où il eut à choisir entre deux mamans, l’enfant qui sert de roi à la France, a la cote auprès du peuple des crapauds et des grenouilles français. Son intervention-minute d’hier soir à la télé, aurait dû déclencher les foudres des citoyens qui auraient dû spontanément marcher sur l’Élysée et brûler l’édifice et le lieu avec tous ses pantins. La France, dans le gouffre, mieux, dans le noir du fond de mon puits aux fond de mon jardin ou croupissent les âmes maléfiques de ceux qui ont vécus dans la confusion, serait donc dans cette situation par la faute de ceux qui ne votent pas comme le veut la convenance en macronie ? Par la faute de ceux qui rejettent l’orgueil, la perversité, le déni et les caprices du petit Emmanuel ? Par la faute de Marine Le Pen et de ses amis à qui personne n’a jamais demandé son avis ? Par la faute de la majorité des français qui survivent dans la douleur, alors que le marmot se pavane dans les cours royales avec maman en se prenant pour Louis XIV ou Napoléon ? Ça suffit ! L’individu doit partir. La Ve République doit être dissoute. La raison doit reprendre ses droits. Mais avant de reconstruire, il faut faire place nette et pour cela, chacun des citoyens, du plus petit au plus grand, du plus pauvre au plus riche, du plus fainéant au plus courageux, du plus laid au plus beau, du plus con au plus subtil, doit se remettre en question en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. L’homme vérifié et réparé pourra ainsi construire une nouvelle société où la lumière aura eu raison des zones d’ombre et de l’arbre qui cache la forêt.

jeudi 5 décembre 2024

le puits au fond du jardin • du petit doigt à l’intestin…

 



 

Le spectacle n’a pas été bon. La pièce a été surjouée. Les comédiens n’ont pas été à la hauteur. Leur impossible sincérité aura été fort ennuyeuse. Il n’y eut que trois acteurs convaincants : Le Pen, la femme violée, Ciotti le dissident et surtout Barnier mis en terre en place de Macron le félon. Cette soirée au théâtre, aura été marquée par la grande erreur de Le Pen – même si son jeu a été parfait - qui en s’alliant aux fascistes islamiques puants, a probablement – ou pas - mis fin à sa carrière. Jusqu’à maintenant c’était le bordel permanent. Maintenant, je crois que je vais bien m’amuser, surtout que l’enfant handicapé de l’Elysée, le grand coupable, ergote ses tirades de théâtre, ce soir à la télé. Quand votre vieille télé ne marche plus, vous la jetez et vous en achetez une qui répond à vos besoins, mais aussi à vos désirs. Si la Ve République se meurt – elle devrait être morte à l’heure où j’écris – c’est qu’elle a été inventée par et pour un militaire et que lui seul en connaissait le mode d’emploi. C’est aussi, parce que des voyous se sont infiltrés dans ses rouages et y ont cassé la pièce maîtresse, l’opposition implacable entre le blanc et le noir. Ils y ont mis de la couleur et cela a briser les courroies d’entrainements. Il faut jeter cette constitution avec tous ceux qui s’y sont frottés et retourner à la maison en espérant qu’elle n’aura pas explosée. Si les hypocrites, les menteurs, les charlatans, qui prétendent que la fonction présidentielle est sacrée – ce qui me fait beaucoup rire – ne veulent pas destituer l’enfant, c’est au peuple de s’en occuper, mais pas avant d’avoir mis au point la solution de remplacement pour éviter le retour de Robespierre. Il n’est pas possible de construire une nouvelle société sur des sables mouvants. C’est pourquoi je réitère : considérer l’individu comme prioritaire, en priorité, en l’aidant à pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. C’est alors que la vie pourrait bien s’ériger sur la terre, les yeux pourraient bien s’ouvrir, les oreilles se déboucher, les paroles prendre un sens et les roues dentelés s’imbriquer minutieusement dans une copulation éternelle, effrénée et pensée. Et nous n’aurions plus les spectacles affligeants de la Comédie de l’Hémicycle et ceux du Théâtre des Pantins de l’Élysée. Le plus rigolo dans tous ça, c’est qu’on laisse les français choisir, alors qu’ils ne sont toujours pas capable de comprendre que leur petit doigt n’a pas la même fonction que leur intestin.  

mardi 26 novembre 2024

le puits au fond du jardin • je le sais et je l’affirme…



 

Ce matin encore, je pourrais écrire un livre en mille tomes pour dénoncer la lâcheté, l’ignominie et l’ignorance de l’homme et ma préférence du poireau à ce pantin larvé jusque dans ses coins les plus reculés. Honte à la femme coupable qui pond des monstres et à l’homme qui l’ensemence stupidement. Qui a compris que l’enfant doit devenir homme et que pour cela il faut lui apprendre les secrets de la croissance, chose que le poireau ou la laitue savent faire intelligemment. Ce sont les enfants qui jouent avec les soldats de plomb, au papa et à la maman et au docteur. Pas les adultes. Et pourtant quelque soit mon champ de vision, je ne vois que des marmots violents et capricieux qui s’adonnent à ces jeux pervers et s’écharpent pour de vrai dans les cours de récréations jonchés par les cadavres des guerres qu’ils ne cessent de provoquer. Penser n’est plus l’usage. Agir est désuet. Les peuples d’enfants gouvernés par des enfants sont voués à l’échec. Les petits français, tous à la crèche, ne cessent de céder aux nourrissons à peine éjectés du ventre maternel, qui après avoir usurpé le pouvoir et procédé à l’élargissement des champs de ruines de leurs prédécesseurs, s’acharnent à chercher le chemin onirique et salutaire qui pourraient les ramener à la maison, le ventre de leur génitrice. Avant de mettre à mort les traitres, commençons par chercher notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Pour cela nous devons rencontrer Freud et s’approprier sa thérapie psychanalytique. Rien d’autre ne pourra sauver le monde abruti vécu par les abrutis que nous sommes. Sans doute me prenez-vous pour un fou. Oui, je le suis, mais la différence entre vous et moi, c’est que moi, je le sais et je l’affirme.  


mercredi 20 novembre 2024

vu à travers le tube • on marche sur la tête...

Il marche sur la tête. L’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France, donc qui ne sert à rien, puisqu’en France, les rois n’ont plus de tête depuis qu’elles ont été séparées de leurs corps, fait encore des siennes en insultant le successeur de Boris, le tsar actuel de l’ex-grande Russie. Il appelle à la raison le maître d’un immense territoire, lui qui règne sur un petit terrain inconstructible et qui depuis sept années interminables, le massacre de jours en jours. Il est la risée du monde entier – surtout lorsqu’il sort avec mémé aux talons aiguilles – et continue son mesquin bonhomme de chemin comme s’il se promenait dans un jeu de quilles sans règles. Il veut la guerre le marmot. Et je me demande où se trouve le bras armé qui pourrait l’arrêter avant le déclenchement du feu d’artifice. Le Sénat, qui n’est pas aussi sénile qu’on le dit, vient de le juger coupable de l’abyssale déficit de la France, avec la complicité de Borne, d’Attal et de Le Maire. Il n’y a pas que le petit qui marche sur la tête. Les Français aussi, eux qui regardent passer les trains.   

 

Mare de Pelicot et de ses aventures de romans de gare. Le tribunal des délires ferait bien de consulter Freud pour tenter de comprendre et les commentateurs feraient bien de la fermer. Nous serions plus près des réalités. Mais attention, le film n’est pas fini. Avec un superbe fondu-enchaîné, nous entrons dans la phase Palmade dont le procès commence aujourd’hui. Et là aussi, toutes les radios et télés voyeuristes, mobilisées pour satisfaire les bas instincts naturels de Madame et de Monsieur Toutlemonde nous entrainerons encore dans l’ignoble parodie des théâtres de boulevard où les recherches sont façonnées par l’ignorance des psychismes. Et puis comment ne pas terminer ce tube par Godiche Godrèche. Doillon a porté plainte contre elle pour diffamation. Merci Doillon.      


samedi 16 novembre 2024

le puits au fond du jardin • la question…


 


 

Le député islamo-gaucho-LFI, Andy Kerbrat, achetait de la drogue avec l’argent que lui concèdent les français, en piochant dans son AFM (Avance de Frais de Mandat). Alors que Marine Le Pen risque de se voir condamner à mort – mort politique – pour quelques bagatelles en usage courant, j’espère que le voyou des gauches voyous françaises, va en prendre plein la gueule et se retrouvera derrière les barreaux, boulets aux pieds et au régime strict et, pourquoi pas, avec quelques gros rats poilus de Paris, pas tout à fait repus. Je rêve bien sûr. La justice a perdu les plateaux de sa balance qui s’affolent en permanence sous les reflets de la haine des magistrats et des juges. Je préconise le robot et l’intelligence artificielle pour juger des actes des résidus du psychisme des hommes. L’irresponsabilité des gouvernants et celle des peuples, m’autorise à déclarer la race humaine comme race inférieure et la soumettre aux machines autonomes qui n’ont ni idées, ni sentiments. Pour le peu de temps qu’il me reste à vivre, je garderai en moi le souvenir d’un temps où des cerveaux éclairés illuminaient le monde. Bach, Mozart, Wagner, par exemple. Mais aussi et surtout, Freud, le grand, l’immense, l’insubmersible Sigmund Freud qui a offert au monde la solution avec sa thérapie psychanalytique. Mais le monde d’abrutis n’en veut pas. Alors, que voulez-vous que je vous dise ? Tout est sans solution puisque l’usage de la question a disparu. C’est pourquoi ceux qui partent tombent dans la question et laissent les autres sans réponse.

mardi 12 novembre 2024

le puits au fond du jardin • le triomphe des illusions…



 

Dans ce monde qui m’est étranger, qui n’est pas celui dans lequel je suis né et que je rejette viscéralement dans sa totalité, je commence à fatiguer de vivre au milieu de momies et de corps abandonnés respirant leur dernier souffle au hasard d’un sentier ou d’un cimetière abandonné. Hier, et pour me ressourcer, j’ai poussé la porte du Docteur Dayan – qui travaille même les jours fériés - pour vérifier si ce que je vois dans mon miroir est bien ce que je vois et non pas l’image imaginaire que les fées et les sorcières font apparaître aux naïfs, aux crédules et aux ignorants, dans le rétro de leur auto-robot qui pense en l’absence de toutes pensées construites par leur cerveau. Je me suis vu tel que je suis et j’ai pu me converser longuement en affinant ma compréhension. Penser, c’est lier et utiliser le lien à bon escient. Comprendre le problème, c’est le pointer du doigt et l’y poser. Ce n’est pas tergiverser en prenant les chemins qui le contournent et qui tournent sur eux-mêmes. C’est affronter les douleurs, les pénétrer et les exploser. Ces petites peines qui nous hantent chaque jour sans que nous ne sachions vraiment pourquoi, ne sont que les alertes d’une grande détresse qui nous détruit patiemment et sûrement. Le signal d’alarme est fait pour alarmer et faire bouger notre cul. Je me demande toujours pourquoi l’individu laisse sonner l’alarme sans jamais se poser de questions, sans jamais se poser la question : « Pourquoi l’alarme s’est-elle déclenchée ? » Seul votre miroir peut vous le dévoiler. C’est pourquoi vous devez pousser la porte du cabinet de Freud pour le chercher, pour le trouver, pour vous y regarder, pour vous y reconnaître et pour le traverser. Et comme rares sont ceux qui ont compris, ne vous étonnez jamais des conflits qui terrassent les mondes et des ignorances crasses de ceux à qui vous cédez vos pouvoirs par un bout de papier cul dans la fente d’une boite, par le sacrifice de votre personnalité.