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dimanche 11 mai 2025

le puits au fond du jardin • dans le noir du fond de mon puits…

 



 

Macron et sa bande de rigolos – pas vraiment rigolos – sont partis pour Kiev, rejoindre, en train de nuit, l’homme qu’il tripote à souhait, pour organiser le guerre Europe-Russie que l’enfant, au psychisme inabouti, de l’Élysée, attend depuis si longtemps. Le guerrier des temps absurdes et modernes aura-t-il son cheval blanc sous ses fesses et son tricorne sur la tête quand un drone fera exploser ses chairs alors qu’il n’a toujours pas caché sa main cajoleuse sous la boutonnière de son veston ? Et oui, c’est bien le petit Napoléon qui s’est cassé les dents sous les remparts de Moscou et qui est rentré en France à pied, la tête baissée et l’ambition nauséabonde fracassée. Être en guerre au moment de la présidentielle, n’est-ce pas le seul moyen de rester au pouvoir, bien au chaud, sous les jupes de maman épousée, dont certains disent – des mauvaises langues – que maman est papa.  

 

Le rodéo urbain, à Évian, a envoyé un sapeur-pompier à l’hôpital. Il est gravement blessé et je ne sais pas où en est son état vital en ce moment. Rotailleau a encore dénoncé la racaille et les terroristes juvéniles qui ont fait de l’assassinat un métier. De cette affaire, France Inter-Info a seulement souligné les propos violents et dangereux du ministre de l’Intérieur. S’il y a racailles et terroristes juvéniles, ce n’est pas la faute des réseaux sociaux, mais bien de ces radios de mécréants qui plonge le monde, avec Mélenchon, dans les ténèbres sordides de l’islamisme qui, tous les jours, marque un point. Le criminel est un jeune alcoolique drogué à qui on vient de retirer le permis de conduire. La logique est que l’individu soit mis en prison pour vingt ou trente ans, sans jugement et dans une cellule sans fenêtre, sans matelas, sans télé, sans portable, sans ordinateur, avec une minuscule ouverture qui laisse entrer les gros rats sales des égouts voisins. Mais non, à l’image du président, on est dans une époque de cajoleries intensives.  D’autres imbéciles diront qu’on est humain.

 

De la même trempe ou de la même veine, dans le Lot, 10 000 tarés se sont installés, depuis plusieurs jours, sur un terrain agricole pour une « rave party » interdite – INTERDITE -. La drogue, l’alcool et le sexe – ce qui va de pair -, triomphent nuit et jour, au nez et à la barbe de 200 policiers qui fournissent aux délinquants les soins et la sécurité. Voilà à quoi on utilise la police, alors que son travail est de les embarquer et de les conduire dans les prisons identiques à celle du chapitre précédent. Ce laxisme, ce foutage de gueule, ne peut avoir que des répercutions, et la première est la plus logique : pourquoi obéir aux lois, puisque la désobéissance y est désormais inscrite. Parler, se rendre sur les lieux des crimes, rendre des hommages, ne sert à rien, sinon à occuper les journées des ministres. Et si tous ces minables la fermaient une fois pour toutes, et agissaient impitoyablement ? Une bonne partie des déchets humanoïdes disparaîtraient, les voies se libéreraient, et chacun pourrait déployer ses ailes en fonction de ses capacités. Ce n’est qu’un rêve. La réhabilitation de Freud n’est pas pour demain.

samedi 10 mai 2025

le puits au fond du jardin • en face des deux rives…


 


 

Inde-Pakistan, Israël-Monde – deux exemples parmi les centaines de guerres qui affligent la terre -, et cette tragédie-comique qu’est Ukraine-Russie, tragique par le sang versé par leur peuple, comique par l’humour macabre des dirigeants dont les célèbres clowns Macron et Zelenski qui se rencontrent aujourd’hui à Kiev pour dresser le plan qui va terrasser Poutine à qui on reproche d’avoir organisé un 9 mai, le défilé du 14 juillet, une puérile question de date.  Depuis l’avènement de l’homme, les guerres n’ont jamais cessé, et jamais, elles ne cesseront, la paix ayant toujours été incompatible avec le psychisme fracturé du cerveau humain. Et ce n’est pas le message de paix de Léon XIV qui va changer les choses, d’autant que les guerres les plus odieuses ont été celles provoquées par les chrétiens et leur évangélisation. Dieu a créé l’homme, puis la femme – longtemps après – pour qu’il s’entretue jusqu’à extinction des feux. On n’en n’est pas loin. Que restera-t-il de son histoire ? Tout d’abord, un enchainement de constructions de plus en plus hâtives et de destructions systématiques de toutes les avancées. La terre aura été un jeu de cube donné à un enfant de deux ans qui ne cesse d’empiler et de frapper à coups de poing sa construction, dès qu’elle prend la moindre forme. Puis ensuite, la confusion des images qui régentent nos parcours. Tout n’est qu’images projetées par notre psychisme. Chacun ayant les siennes, elles ne peuvent être réalité. La réalité, c’est comme la démocratie : un leurre, un fourvoiement. Et puis, qu’y a-t-il dans l’image ? Qu’y voit-on ? Que n’y voit-on pas ? Faut-il la regarder de gauche à droite ? De haut en bas ? Et les fragments qui tombent de l’image ? Sont-ils des indices ou des caches de l’image ? Et l’image derrière l’image ? Pourquoi ne la voit-on pas ? Pourquoi toutes ces vies auront-elles passé à côté de l’image, sans y être dedans ? Pourquoi l’image s’est-elle détruite quand le faisceau de lumière du projecteur s’est éteint ? La vie s’est arrêtée parce que l’homme a toujours été dans l’incapacité de se poser les bonnes questions, et que jamais il n’est allé les chercher là où elles n’ont aucune raison d’être. Et pourtant, pendant tous ces siècles, elles ont été là, sous nos yeux, nos yeux qui regardaient ailleurs. Tout ça n’est que l’histoire du doigt et de la lune ou de l’arbre et la forêt. C’est sans importance. La femme coupable nous a fait naître pour mourir.

 

Freud avait deviné et proposé. Il a été jeté comme un chien. Et c’est pour cela qu’on en est là, aujourd’hui. De l’autre côté !

jeudi 8 mai 2025

le puits au fond du jardin (bis) • existence (bis)…

 



 

Cette nuit, aux Champs-Élysées, il n’y a pas eu que cet automobiliste psychopathe qui a foncé dans la foule, il y a eu aussi ces bandes de tarés cagoulés qui sont venus détruire les vitrines, saccager les voitures, narguer les policiers et laisser place à un champ de ruine. Quarante arrestations alors que la totalité des voyous aurait dû dormir en prison et y rester quelques années en attente de jugement. À la violence, que la France connaît depuis des décennies, il faut répondre par une violence supérieure à celle des terroristes. Rétablir les châtiments corporels et le bagne de Cayenne sont les seules solutions qui restent. Il faut cesser cette pseudo-humanité où l’on cherche, pour les pires des criminels, des circonstances atténuantes qui aggravent encore les affaires. L’exemple devrait venir d’en haut. Mais quand on voit que l’enfant qui sert de Roi, sert la main et caresse dans le dos celui qui est à l’origine des attentats du Bataclan et de la mort de Samuel Paty, on ne peut que conclure qu’il n’y a plus rien à faire et que l’homme ne peut plus justifier de son existence (voir mon puits originel de ce matin). Sa disparition sera un soulagement. Les herbes vertes pourront repousser et les animaux glousser en toute liberté. À mille reprises, j’ai proposé Freud, mais le monde imbécile n’en a rien à faire. Alors ? Oui, alors…   

mercredi 7 mai 2025

le puits au fond du jardin • la chute infernale…

 


 

C’est bien cet après-midi que le dictateur syrien qui a succédé au dictateur el-Assad, va tomber dans les brans de l’enfant de l’Élysée qui, en raison de son inaboutissement psychique, ne peut différencier le gendarme du voleur.  Que vont-ils bien pouvoir se dire dans leur nauséabonde intimité ? Le terroriste va surement repartir avec quelques millions ou milliards dans ses poches, puisque le peuple ferme les yeux devant les méfaits de celui à qui il a donné le pouvoir absolu. Triste France qui sombre chaque jour dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, dont son noir s’accentue proportionnellement à l’effondrement de son fond. Il y a 2025 ans, un sauveur est né pour sauver le monde - ce qu'il n'a pas fait - qui n’était pas pire que celui d’aujourd’hui. Aujourd’hui, il ne nous reste que Mélenchon et son armée de robots soumis avec à sa tête, la célèbre Panot, poissonnière de son état. Cette exécrable vermine va prendre le pouvoir au nez et à la barbe de naïfs et d’indécis qui disent se battre pour la démocratie, alors qu’elle n’a – la démocratie - jamais été inventée et qu’elle ne le sera jamais, parce que pour que tienne un édifice, il lui faut un socle invulnérable et un ciment de qualité pour souder toutes ses pierres empilées. La France vit dans le volatile depuis des décennies. La volaille volage n’a pas de ligne directrice. Elle va et vient au gré de ses instincts en se fracassant sur les poteaux électriques. Les élus, tous aussi minables, se succèdent indéfiniment et le monde ne garde d’eux que leur malhonnêteté et leur impuissance. Changer les tenants et les aboutissants ne peut s’accomplir en changeant les hommes. C’est l’homme qui doit changer son comportement et son mode de pensée. Et le seul moyen – le seul –, c’est de pousser la porte du cabinet de Freud, d’y chercher son miroir, de le trouver, de s’y regarder, de s’y reconnaître et de le traverser.

 

C’est tout.


mardi 6 mai 2025

le puits au fond du jardin • c’est mon choix…


 


 

Demain, l’enfant inabouti de l’Élysée recevra, avec fastes et caresses subtiles, le président de la Syrie, un voyou copier-coller de son célèbre prédécesseur Bachar el-Assad. Un film sera tourné par un caméraman de France-Info-Télé : « Un Terroriste à l’Élysée ». La France s’est donnée pour chef un enfant dont le psychisme est altéré, donc inabouti, et c’est pourquoi, il lui est incapable de faire les différentiations, ce qui fait qu’il confond le noir et le blanc, le bon et le mauvais, le vrai et le faux, la démocratie et la tyrannie. Les Français l’ont voulu. Ils en payent le prix. Et ce n’est pas fini. Si l’enfant qui se prend pour Napoléon, alors qu’il est incapable de mettre sa main dans son veston, quitte un jour le pouvoir - sait-on jamais ? -, il ne faut pas oublier que Mélenchon, un el-Assad puissance mille, est en embuscade et prendra tout le monde de court pour accéder au trône. Mélenchon ou Macron ce n’est pas pareil, même si c’est kif-kif. Vous allez bien vous amuser, inconscients et ignorants, que même la fureur des bottes ne peut réveiller de votre éternel sommeil. À quoi cela a-t-il bien pu servir, d’avoir tranché, jadis, la tête de votre Roi, puisque aujourd'hui vous vous retrouvez dans la même situation qu’avant. Vous avez tout gâché. Autrefois, l’homme se parait de belles perruques. Aujourd’hui, il montre son crâne chauve, plus un seul poil n’acceptant de pousser sur la crasse de son cerveau. Voilà où vous en êtes, là où vous vous êtes laissé entrainer, abuser, violer, assassiner. C’est sans doute ou peut-être que vous n’avez jamais su regarder en voyant et écouter en entendant. Selon le dernier sondage, vous plébiscitez Bardella. Moi je préfère ne pas avoir de chef et me laisser bercer par la thérapie psychanalytique de Freud, associée aux fondamentales que Bach a su si bien utiliser.  « C’est mon choix ! » dirait Evelyne Thomas.

vendredi 2 mai 2025

le puits au jardin • le retour d’hitler…

 



 

Journée noire, hier. Les sombres jours de la dernière guerre contre Hitler ont fait boomerang. Mélenchon/Hitler a parlé, aussi bien que son père que j’ai vu chez Charlie Chaplin dans son prophétique « Dictateur » pour l’ère assassine de Macron. L’ombre du tyran a plané sur la totalité des manifestations. Les drapeaux français se sont déchirés devant l’invasion des drapeaux étrangers, avec une large dominante pour les drapeaux palestiniens. L’odeur du sang s’est répandue sur Paris et Lyon, entre autres. Attal et les autres (Macron évidemment) ont voulu le triomphe de Mélenchon en appelant à voter pour lui aux dernières élections. La France en récolte les fruits. La dictature est en marche et rien ne pourra l’arrêter. La race des esclaves soumis mélenchonistes fait tache d’huile et bientôt nous serons tous dans le bain, au milieu des frites qui se font roussir. Il reste bien Marine, qui a repris de la vitamine, mais le rébus qu’elle se doit de résoudre pour s’approprier les clés de l’Élysée n’est pas si simple et surtout est trop truqué. Alors, pour terrasser le dragon, il reste l’union, l’union de toutes les droites pour évincer du territoire les gauches soumises au monstre. Mais il ne faut surtout pas oublier que la victoire de la raison ne pourrait être que provisoire puisque la démocratie n’a toujours pas été inventée. Seul l’homme accompli en a la capacité. Mais l’homme qui sait est rare. Il y en avait bien quelques-uns – Ronsard, Hugo, Boulez -, mais ils sont morts. Chez les vivants presque morts, il y a bien Barenboïm, mais il n’est pas français. Chez les autres, ceux qui vivent morts, je ne vois personne, mais vraiment personne, à part le vieux chien tout maigre qui passe sous mon balcon tous les matins, à la recherche d’un maître, pour se faire donner des coups de bâton. Alors, tant pis, je le redis. La vraie et seule solution est Freud, chez lequel vous pourrez chercher votre miroir, le trouver, vous y regarder, vous y reconnaître et le traverser. C’est alors, seulement, que vous naitrez et que vous pourrez commencer votre vie et la poursuivre libre, sans être obligé d’avaler les sornettes des politiques, des journalistes, des influenceurs tarés et ignorants qui piègent sans cesse votre chemin.

 

Un jour, il faudra bien ouvrir les yeux, déboucher les oreilles, couper les langues…

jeudi 1 mai 2025

le puits au fond du jardin • mon rêve hors de moi…


 


 

Le groupuscule d’ultragauche, La Jeune Garde, menacé de dissolution, est sauvé. Il vient d’obtenir le soutien sans faille du fondeur en larmes Mélenchon et de ses alliés socialistes, communistes et écolos. Ensemble, tous ensembles, ils vont pouvoir marcher sur l’Élysée, pendre l’enfant au psychisme inabouti et s’installer dans la salle du trône pour y officialiser la nouvelle République islamiste, guidée par la charia. Et les Français qui dorment depuis Charles Martel, vont regarder leur destin se fracasser sans même arriver à bouger le bout du petit doigt de leurs petits pieds handicapés. Et les mêmes hideuses gauches d’affirmer qu’il ne s’agit que d’un petit fait divers sans importance, comme le jour où l’escargot que ma grand-mère Florine élevait pour donner du gout à sa soupe d’orties est entré en collision avec un poids lourd de dix-huit tonnes qui a fini sa course dans le mur de son voisin Perrin ou Boiton, je ne sais plus. Mais pourquoi les enfants et petits-enfants des gaulois sont-ils si pleutres, si lâches, si peureux ? C’est sans doute Debussy qui a raison quand il évoque, dans « Les amours contrariés de Pelléas et Mélisande aux longs cheveux bouclés », un nuage de grêle asiatique qui s’est abattue sur la France à la mort du précité Martel, faisant éructer la ville de Dijon et épandre sa moutarde jusque dans les sous-sols du château du chanoine du Kir. Il ne s’agit, là aussi que d’un tout petit fait divers, qui aura tout de même changé l’humanité, les pantins en bois de frêne portant la cicatrice du glaive magique de Siegfried – fils naturel des jumeaux Sieglinde et Siegmund, eux même fille et fils de Wotan, Dieu des dieux qui descendait régulièrement, par la grande échelle, copuler avec quelques humaines - s’étant soudainement métamorphosés en des brouillons de buissons fanés se décomposant au bord des autoroutes épuisées.

 

Ce jour étant un jour de deuil où le français se voit interdire de faire travailler son esprit, je n’ai pu écrire que ces bribes de rêves plus vraies que toutes les réalités qu’on m’a apprises et qui se sont révélées des mensonges qui auront construit ma vie dans l’autre sens, pas celui-là, l’autre. Heureusement, depuis, je me suis déconstruit pour enfin me construire selon moi et mon moi qui n’appartient qu’à moi.

mercredi 30 avril 2025

vu à travers le tube • et l’on perd les enfants perdus…

 Une radio d’État informe, ce matin, que la vieille IA nommée à la tête de l’État, remettait en chantier – ces derniers jours – la nocive nocivité des réseaux sociaux pour les moins de 15 ans, et que cette fois, elle prenait le taureau par les cornes pour que la jeunesse oisive n’ait plus accès à ces lieux de perditions, dès la fin de la semaine. Waouh ! Quelle prouesse ! Des tas d’organismes « indépendants » vont être créés dans la journée, pour surveiller, régulariser, vérifier, sanctionner, punir et mettre au piquet, tous contrevenants de moins de 15 ans qui auront réussi à franchir le triple mur de béton qui les sépare de ces chambres noires où l’on rencontre les fantômes des images que nous nous sommes dessinées pour tenter de survivre aux insupportables misères des pantins qui trainent leurs bouts de bois dans les sentiers qui ne mènent nulle part. Et cette scandaleuse IA - sous les ordres d’un enfant iaien psychopathe et d’un vieux radoteur qui n’a pas pris de cours de théâtre - dépense encore des milliards pour un coup de glaive ridicule dans les eaux du Rhin. Moi, j’ai la solution pour les quelques rares enfants qui ont des parents : actionner le contrôle parental, si on tolère vraiment le smartphone et l’ordinateur à la maison. Pour les autres, les innombrables orphelins, je ne peux rien. De toutes les manières, ils sont déjà perdus et seul Freud, dont ils ignorent même le nom, aurait pu. Mais voilà…   

lundi 28 avril 2025

le puits au fond du jardin • l’ombre de l’arbre…


 


 

Et voilà que Mélenchon et ses chiennes et ses chiens ont passé leur après-midi à conspuer ceux qui n’ont pas rejoint leur veau d’or et leurs orgies. Et je n’évoque même pas les crasses infâmes que sont la patronne des psychopathes éco-pathologiques et celles de la CGT, sorties directement des orgiaques chiens, chiennes et veaux. Et je n’évoque même pas – non plus – le public de ses illusionnistes qui vont mettre ces criminelles au pouvoir, très bientôt, et sous les lois des dictatures de la charia ou d’autres encore plus explosives. Cessez de voir ce que vous voyez et qui n’est pas, comme la bonté et la beauté de l’homme. Vous êtes inscrits, depuis l’éternité, dans un cercle infernal qui vous interdit tous discernements et toutes différentiations, des éléments qui ne peuvent être acquis que si on vous les a appris. Et pour apprendre, il faut avoir conscience de son ignorance, ce qui n’est pas le cas des êtres vivants qui vivent morts en étant persuadés d’être vivants. Avoir conscience, c'est reconnaître être mené par le bout du nez par son inconscient et se bouger le cul pour tenter de régler cet abus de pouvoir dans les délais les plus courts possibles. Vous n’avez même pas conscience d’être humiliés et châtiés en permanence par un enfant psychopathe qui sera remplacé par d’autres enfants au psychisme inexistant. Macron est le reflet de Mélenchon qui est le reflet de Macron, qui sont tous deux les reflets de la cécité des peuples et de leurs bourreaux. Les derniers fastes des Ramsès I ou II ou III ou IV, à Rome, il y a quelques jours, la photo des deux hommes assis face à face, à deux pas du mort, les papouilles macro-zelinskiennes qu’on nous inflige chaque jour, le duel Wauquier-Rotailleau et toutes les autres simagrées indécentes, ne sont que des tâches mouvantes sur un écran blanc, qui n’existent que par la magie d’une projection de cinéma. Le réel est ailleurs. Si voulez entrer dans la forêt pour caresser l’éléphant, il vous suffit d’abattre l’arbre qui la cache, jalousement.       

dimanche 27 avril 2025

le puits au fonds du jardin • pile et face, les différences…

 



 

Le psychisme crée l’image et chacun la module et la formule différemment. L’arbre ne sera jamais arbre, mais, visions multiples caricaturées par les multitudes de formes de pensées. Aucune image n’est semblable et aucune reflète la vérité qui dans l’absolue ne peut exister. Personne ne voit la même chose et le monde est dans la confusion des sentiments puisque tous gestes ou pensées passent par l’affect qui triture et déforme l’image projetée. C’est pourquoi il faut toujours penser qu’il faut toujours penser autrement et souvent dans le sens qui se cache, bien enfui dans la mémoire du temps. Nous ne sommes pas nous. Les autres ne sont que l’image que nous projetons en nous. La réalité n'est nulle part. Elle n’est que le résultat de l’image : l’illusion. Cette nuit, j’étais en voyage avec une foule d’inconnus. On a mangé au bord des routes, assis à des tables nappées de blanc, des steaks et des harengs huilés et huileux, à cinq heures trente du matin. Puis, on a recommencé, plus loin, vers six heures trente. On a même vu un singe – ou un léopard – à quatre bras et deux têtes, qui marchait sur ses pattes arrière, comme le fond dans notre monde les hommes et les femmes qui ont perdu l’habitude de marcher comme l’animal. Mon psychisme m’a parlé. Il a chuchoté à mon oreille comment ajuster les pièces du puzzle pour composer l'image, dont le sujet n’a aucun rapport avec mon étrange histoire. Rappelez-vous une autre histoire, celle du couteau qui croyait être un pénis – voir mon puits d’hier -. Hier, justement, dans les écrans, on a vu Trump, Zelinski, un cercueil en balade et un agglomérat géant d’espèces à deux pattes. Ce n’était qu’une image dans un écran et c’était peu important. Ce qui est important, c’est que l’homme réinvente le courant qui ne passe plus entre son conscient et son inconscient. Quand le circuit fonctionnera, il verra qu’il voit autrement et qu’il ne peut pas accepter de vivre au centre d’un monde disjoncté, sans références, sans fondement. Qu’y a-t-il derrière les images ? Se poser la question, c'est déjà faire un pas de géant dans cette petite humanité supposée. Il ne reste plus qu’à continuer.  

samedi 26 avril 2025

le puits au fond du jardin • autour de l’ado au couteau…

 



 

18h21. Cnews commente encore – et en dépits du bon sens – le meurtre de Nantes. Tout y est dit sauf l'analyse sérieuse, qui devrait prévaloir et dominer tous ces débats pervers, indigestes et inutiles. L’ado avait une relation fusionnelle avec sa mère. Au sein de son lycée, il ne parlait qu’à une seule personne, une jeune étudiante dont on ignore les sentiments qu’il éprouvait pour elle… mais on peut s’en douter. Son psychisme inabouti et fracassé n’a pas fait les différences. L’envi de la prendre et de la posséder éternellement s’est soudain manifester violemment. Le couteau a fait office de pénis et il s’est déchainé sur celle dont il ne voulait plus se séparer.  Il était soigné, dit sa mère aveugle et ignorante. Il consultait des animateurs de MJC, ce qui ne parait pas très sérieux. La dangerosité de l’ado était évidente, et personne n’a eu l’idée de l’envoyer chez Freud. Je rappelle au monde entier que la psychanalyse n’a jamais été conçue pour les chiens, ni pour les plantes vertes.

vendredi 25 avril 2025

le puits au fond du jardin • à force d’être dans le noir de son fond, on n’y voit plus rien…


 


 

Avez-vous remarqué, qu’à propos de l’affaire de Nantes, le monde entier a commenté la séquence terrifiante et que pas une seule cervelle n’a donné son avis sur les parents de l’enfant aux couteaux de bouchers qui a poignardé à mort une élève de l’établissement d’enseignement et blessé gravement trois autres élèves ? Et bien, moi, je vous le donne, mon avis. Plus que le misérable psychopathe, ce sont ses parents qui sont coupables, coupables de lâcheté et de manquements graves à leurs responsabilités. Ils ont laissé leur rejeton prendre le mauvais chemin et l’ont abandonné à ses pulsions. Ils doivent être jugés et doivent payer leurs crimes. Ce drame, habituel et presque journalier, va se reproduire incessamment et à de nombreuses reprises quoiqu’en disent les robots parleurs du pouvoir à terre. Ils n’ont pas de solutions pour réparer les crimes, qu’eux aussi ont commis pendant des décennies, pour ne pas dire pendant des siècles. Il y a pourtant une solution aux déjections purulentes de tout ce monde de psychopathes qui va de l’enfant de Nantes à Macron, Zelinski, Poutine, Trump, Mélenchon, et tous les autres, la seule, qui pourtant est rejetée par tout le monde parce que le monde est inabouti et ignorant : c’est Freud et sa thérapie psychanalytique. Chaque être de 7 à 107 ans devrait fréquenter son cabinet pour chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. Sans la construction du lien entre le conscient et l’inconscient, l’homme n’est qu’animal empaillé dont la seule capacité est de faire belle et bonne figure sur un coin de cheminée. Tous les restes sont des vastes blagues pour abrutis. Et c’est pour cela que le monde choisi les restes, puisqu’il n’est qu’un amas d’abrutis, mais aussi de crétins avachis dans ses propres excréments. Réveillez-vous pauvres gens. Il n’y a rien d’aussi humiliant que la mort dans le déshonneur.

 

A force de vivre dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, plus personne ne voit et fort nombreux sont ceux qui ne comprennent plus rien. Avancer vers la lumière, c’est prendre soin de soi et ne se fier qu’à soi lorsqu’on a acquis la faculté de penser par soi-même.   

mardi 22 avril 2025

le puits au fond du jardin • des pantins et des moutons…

 



 

Je retiendrai de François, le pape qui mobilise toutes les radios et les télés parce qu’il a choisi de quitter la vie, son « non » implacable à l’avortement et à l‘euthanasie. On ne peut lui reprocher le respect des lois de sa religion dont il est le représentant. Son dieu n’a-t-il pas dit « tu ne tueras point » ? Avorter, quel qu’en soit le moment, n’est-ce pas supprimer une vie ? Légaliser l’euthanasie, n’est-ce pas se débarrasser légalement d’un être inutile, de vider les EHPAD et de libérer des lits à l’hôpital ? La vie était vie quand la médecine ne pratiquait que la saignée. Depuis qu’elle se mêle de notre santé, la médecine repousse la mort et créée le déséquilibre entre les générations. Les vieux ne meurent plus. Les jeunes ne naissent plus. Une société de mourant ne peut que mourir. Et si on retournait à la maison en laissant faire la nature ? La mort et la vie sont intimement liées. L’une est le reflet de l’autre qui ne peut être que le reflet de l’une. Depuis la création des mondes, la vie reste inaboutie. Le temps de l’adulte n’est jamais atteint, sauf rares, très rares, exceptions – Freud, Mozart, Molière, Lynch – et ne reste que l’enfant qui ne sait jouer qu’aux soldats de plomb en s’imaginant gagner ses défaites. L’illusion perverse reste maître et même les yeux écarquillés n’y voient que du feu. Freud a pourtant tout expliqué. Mais rien n’y fait. Quelques ignorants ont dit qu’il fallait le jeter à la poubelle. Et le monde suit. C’est bien un problème de moutons qui entraîne les pantins à ficelles vers l’inexorable fin.

lundi 21 avril 2025

le puits au fond du jardin • freud et boulez…

 



 

L’Académie du Festival de Lucerne fut les années heureuses où les jeunes musiciens talentueux, soucieux de toujours mieux maitriser les éléments sonores qui les accompagneront toute leur vie, venaient voir, écouter et tenter le voyage mystérieux et infini que Pierre Boulez, le mythe, leur offrait chaque année, avec une simplicité et une clarté qui ouvrent les portes des fondamentales évidentes qui conduisent le monde et dont peu ont la connaissance. Ici, les rythmes impossibles, les sonorités déconcertantes, prennent l’allure d’une comptine que chantonnait les civilisations antiques à leurs enfants qui étaient alors des enfants sages. L’Académie, c’est la confrontation d’un vieillard d’un autre siècle et d’une jeunesse qui a une passion pour colonne vertébrale. Pierre Boulez le dit lui-même : « Ils sont formidables, mais la rencontre n’est pas simple et la confidence est difficile. Ils sont fragiles parce qu’ils n’osent pas. Ils n’osent pas me poser les bonnes questions, de peur que ma réponse détruise leur édifice, alors que jamais je n’autoriserai la moindre destruction. Ils sont avides de savoir, mais leur manque d’audace les paralyse et ce n’est que prudemment qu’ils consentent à entrer dans le jeu que je leur propose : la liberté d’être et d’agir. C’est pourquoi, je les retrouve ici, à Lucerne, chaque année, et chaque année, je les sens pénétrer le cercle des hommes libres, d’une manière de plus en plus accentuée. Que ce soient mes œuvres, Stravinski ou Stockhausen, ils entrent dans les moindres recoins, y dénichent la note qui s’est effacée ou celle qui a trop vibrée et je me contente de leur dire et de leur monter que la musique, quelque soit sont origine, n’est pas une démonstration bruyamment publicitaire, mais l’action de lever un voile sur une émotion mystérieuse et discrète qui sort de notre intime pour rencontrer l’autre et faire un bout de chemin avec lui, la main dans la main. »  Pierre Boulez aura mis le doigt sur le problème actuel qu’est l’incompréhension entre les générations, qui se détériore à grande vitesse, d’autant que les générations sont de plus en plus rapprochées et qu’il n’est pas rare qu’elles aillent du grand-père aux arrières petits-enfants. Écouter et regarder ce moment privilégier, le décortiquer et en comprendre tous les sens, permettrait sans doute de jeter au rebut les monstres inconsistants de la politique, du journalisme et de la chronique. Penser autrement est le secret du rebondissement de l’homme qui n’a jamais su penser, donc vivre. Freud doit être heureux de voir qu’il a un successeur digne de sa pensée. S’il a su analyser magistralement les comportements des psychismes, Boulez a su analyser, non moins magistralement, les composantes des masses sonores, et l’œuvre des deux hommes restera à tout jamais dans l’histoire de l’humanité.

mardi 15 avril 2025

le puits au fond du jardin • misère…

 



 

La dette abyssale de la France doit être remboursée par ceux qui l’ont faite et non par les Français qui y sont totalement étrangers. Les coupables, voleurs et tricheurs, sont les élus des municipalités, des conseils départementaux et régionaux, les parlementaires, les ministres et les présidents de la dites République pseudo-démocratique française. Ils ont dépensé sans compter. Qu’ils payent de leur propre poche, maintenant. Et ce n’est pas en déremboursant les appareils auditifs et dentaires, en supprimant les transports sanitaires, en construisant des prisons en papier mâché, en accueillant au son des clairons les hordes sauvages des voisins islamistes et africains, en baissant le niveau plus bas que terre de l’Éducation dû à l’ignorance des enseignants, en supprimant les trains non surbondés et en doublant de prix de l’horodateur, que la dette va diminuer. Ces imbéciles malhonnêtes doivent s’attaquer aux tricheurs de toutes espèces et particulièrement à ceux qui connaissent les moyens de détourner l’argent des autres ou d’en gagner sans travailler. Le monde de l’informatique est favorable aux tricheurs, qui, sans masques ni armes, peuvent dévaliser les banques les plus sécurisées, en quelques secondes et sans prendre le moindre risque. La réduction de la dette commence par l’éducation parentale qui est de plus grand désastre du moment avec l’ignorance indécrottable du citoyen, incapable de distinguer la porte qui ouvre sur le chemin de la connaissance. Macron, Napoléon ou Charles V, c’est kifkif. Ça ne vaut rien et ça ne sert à rien. L’homme utile, le seul, c’est Freud, celui qui est capable d’ouvrir vos yeux et de déboucher vos oreilles. Celui qui vous fera trouver votre miroir, celui qui vous montrera comment vous y regarder et vous y reconnaître, celui qui vous permettra de le traverser. Freud ou rien. Je suis désolé que vous ayez choisi le rien. Personne ne peut plus rien pour vous. Vous avez choisi la misère. Assumez !          

lundi 14 avril 2025

le puits au fonf du jardin • c’est raté…

 



 

C’est horrible la guerre en Ukraine. C’est horrible et même Trump le dit. Si cette guerre était si horrible, il y a bien longtemps qu’elle ne serait plus. Mais si elle n’était plus, à quoi Zelenski occuperait-il son temps ? Et puis, le but d’une guerre, n’est-ce pas d’être horrible ? Avez-vous déjà vu des guerres qui ne soient pas horribles ? Et, bien que le monde entier le sache, il ne cesse de se faire la guerre depuis qu’il est monde et les guerres ne cesseront que lorsqu’il n’y aura plus un seul être vivant.  L’homme ne supporte pas l’homme et ne l’a jamais supporté. C’est ainsi et personne ne peut rien y faire, sauf Freud que le monde rejette en raison de la profonde ignorance crasse de ses habitants. Alors, vous le monde, cessez de geindre et acceptez que les femmes soient violées et que vous soyez terrassé par les armes de ceux que vous terrassez. Et ne venez pas me dire que si une voix, une seule, s’élevait violemment contre ce massacre perpétuel, la paix ne pourrait pas s’installer sur cette terre déglinguée. Mais, alors, comment feriez-vous, pour satisfaire vos bas instincts ? Les innombrables jeux vidéo, où l’on joue à tuer, sont bien l’image de votre plaisir conscient ou inconscient. L’homme n’est qu’une bête sauvage avide de sang. Je suis étonné que vous ne le sachiez pas. Les guerres, comme les meurtres, ne vont pas cesser. Bien au contraire, ils vont s’intensifier jusqu’au boum final. Et pourtant, Freud était là, dans son cabinet, prêt à vous écouter pour vous aider à changer le monde. C’est raté !

dimanche 13 avril 2025

le puits au fond du jardin • freud en place du rien…


 


 

Peu de gens dans la rue pour défendre l’État de droit. L’État de droit, c’est comme l’indépendance de la Justice, ça mérite une sérieuse révision. Mais, pire que les institutions, ce qui devrait être revu de fond en comble, c’est le fonctionnement de la pensée de l’abruti qu’est l’homme, en revisitant scrupuleusement le cordon qui lie son conscient à son inconscient, cordon qui n’est jamais arrivé à fonctionner, à jouer son rôle de modérateur, rôle indispensable à l’équilibre psychique de l’humain concerné. On est un monde de psychopathes, a dit très justement un célèbre psychanalyste, disciple inconditionnel de Sigmund Freud. La folie ambiante qui règle toutes nos horloges laisse les pantins au bout des ficelles, complètement indifférents. Leur indigne ignorance les empêche de réaliser que la ficelle est usée et que lorsqu’elle va casser, le bois vermoulu de leur corps va se briser. Ils seront morts sans savoir qu’ils auraient pu réaliser leurs rêves s’ils avaient su que vivre, c’est seulement remplir le vide du crâne qui lui sert de tête. Les pantins à ficelles n’auront connu que le vide intérieur à l’intérieur du vide de la galaxie. Les guerres incessantes, les violences politiques, les rivalités humaines, les injures entre sexes, les sexes déviés, les ruées sur les autoroutes, les vacances épuisantes, les trains en retard ou en grève, la femme coupable qui ne cesse de pondre la marmaille qui n’a rien demandé, l’illusion qui cache les vérités, l’adulte sans maturité, font de l’existence un gloubi-boulga ou l’individu nait mort-noyé. Il n’y a aucune existence dans cette existence et le monde n’est qu’un semblant d’ombres dans l’écran blanc du cinéma. Il est dommage que personne ne ressente le besoin de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. Oui, il est dommage que l’homme préfère s’agiter dans sa propre merde plutôt que de tenter de rejoindre les grands espaces californiens ou ceux où les vaches paissent et rotent dans les prés, en regardant les trains, quand Sud-rail les laisse passer.

samedi 12 avril 2025

le puits au fond du jardin • loup, où es-tu ?

 



 

Une joggeuse a encore disparue et toutes les radios et télés de maudire cette saloperie d’homme qui s’en prend à des femmes innocentes qui vont transpirer dans les coins sombres et reculés des forêts, à la recherche du loup pour le plaisir de le braver.  Je sais, la femme est libre d’aller où elle veut, de faire ce qu’elle veut, de dire ce qu’elle veut, bref, libre de montrer au monde qu’elle est libre et qu’elle a vaincu la liberté de l’homme qui a toujours été l’imbécile de service qui se laisse entrainer dans les phantasmes de Sade – un philosophe du XVIIIe siècle – et qui ne sait comment s’en sortir. Les femmes adeptes du jogging devraient toujours courir à deux. Ce serait mieux. Mais que dis-je là ? La femme est un être fort et invincible et n’a pas besoin de mes conseils pour faire face aux aléas de ce monde en détresse qui croule sans cesse dans le noir du fond de mon puits, et qui pourtant, cessera sa chute suite aux bombes atomiques que les chefs abrutis vont déclencher, ou suite à l’invasion des barbares islamiques qui vont contraindre les femmes à disparaître sous le voile et contraindre les hommes à supplier Allah. Je suis peut-être un peu trop pessimiste. La joggeuse est peut-être tout simplement partie avec son amant ou sa maîtresse, ou les deux. Peut-être aussi a-t-elle voulu disparaître pour ne plus subir la connerie des pantins qui vivent sur cette terre ? Comment savoir ? L’homme – la femme, idem – est imprévisible. Son immense ignorance peut le conduire sur tous les chemins, même ceux qui débouchent sur l’enfer de Méphisto où les diablotins brulent les corps vivants des humains. De fait, ce fait divers n’est qu’un fait divers parmi les innombrables – et beaucoup plus – faits divers. Et l’homme, qui, comme l’enfant de l’Élysée, n’est qu’un tas d’os et de chairs non aboutis, ne peut rien n’y faire. Pour cela, il faudrait qu’il atteigne le stade adulte, aboutissement du psychisme, chose rarement rencontrée. Freud attend toujours. La salle d’attente de son cabinet reste désespérément vide.     

lundi 7 avril 2025

le puits au fond du jardin • crime contre l’humanité…

 


 

 

 

Ce matin, sur Europe 1, Vincent Trémolet de Villers l’a dit mieux que moi : « En France, la grande déglingue démocratique… », et son discours est édifiant et terrifiant. J’ajoute à ses propos, criant de vérités, ma petite différence qu’est le mot « démocratie » que je n’ai point lu ni vu depuis que je suis né, les rois, de Vercingétorix à Macron, en passant par François 1e, Louis XIV, Napoléon ou De Gaule, ayant toujours fait semblant. Hier, les salopards LFI et la pourriture de la Macronie, ont réuni quelques stupides imbéciles pour vomir sur Marine Le Pen, une victime du système pourtant à terre et agonisant. Si j’ajoute à ce tableau dégoulinant la visite de la mine patibulaire de Barrot à Sa Majesté le Roi du Maroc qui l’a contraint à s’asseoir sur un coin de chaise pour mieux l’humilier, on voit, sans difficultés, que le pays continue sa plongée dans les sables mouvants et que rien ni personne ne le sortira de cet inconfort qui mène à la mort. Cessons les débats et les réunions. Fermons-là pour un bon bout de temps et prenons le taureau par les cornes, de suite, immédiatement, en écrasant sans remord, sans compassion, tous ceux qui placent des pièges à cons sur le chemin de la résurrection. Intéressons-nous à l’individu et à son psychisme exclusivement en lui conseillant de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. C’est la solution. La seule, quoique vous en pensiez. Retarder cette échéance pourrait bien être considérée comme un crime contre l’humanité.   


dimanche 6 avril 2025

le puits au fond du jardin • le vieux bayrou…



 

Le vieux Bayrou, le cul éternellement entre deux chaises, toujours à quatre pattes après son éjection fatale du ventre de la femme coupable, parle, parle, parle, lentement certes, pour dire du rien, du vent, de l’insignifiant. Et ces dernières paroles, avant qu’il n’y ait d’autres paroles, sont cette attaque en traitre contre Le Pen : « Il n’est ni sain, ni souhaitable de manifester contre une décision de justice ! » En France – et ailleurs – qu’y a-t-il de plus injuste que la justice ? Pourquoi ne pourrait-on pas se révolter contre la décision d’une juge qui, on le sait maintenant, est sympathisante et peut-être adhérente, à nombre de mouvements de gauche, cette gauche devenue fasciste, violente, islamiste et étrangère aux réalités. La justice est injuste. Les lois sont injustes. Les élections sont injustes. La vie est injuste. L’homme est injuste dans son combat contre l’injustice qui est un combat tronqué, seul moyen d’accéder au pouvoir pour se transformer en un sinistre gourou dépourvu de toutes pensées. Je conclus ce puits avec la conclusion de mon puits d’hier qui est passé inaperçu comme tous les puits précédents et aussi les tubes : « L’homme n’est pas libre. Il est conditionné, façonné, malaxé, trituré par ses néfastes origines dont il n’est que le penaud reflet, avec son inconsistance, son ignorance, sa lâcheté, sa vanité et son vide sidéral. Et, là encore, il ne lui vient même pas l’idée d’en changer. Il persiste à vivre dans son rêve dont il n’est même pas sûr qu’il soit le rêveur. Dans sa léthargie naturelle, il regarde ce qu’il ne voit pas, écoute ce qu’il n’entend pas, et agit, plongé dans le fond de son canapé, les yeux fermés. Mais bon sang – j’évite bon dieu – qu’attend-il pour se donner le plus magistral des coups de pieds au cul ? Pourquoi ne court-il pas pousser la porte du cabinet de Freud – ou d’un de ses fidèles disciples – pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser ? De l’autre côté, le monde est autre. De l’autre côté, l’homme pense, voit et entend. De l’autre côté, l’homme est homme, ce qui est difficile à imaginer quand on passe toute une vie du côté où le monde est agglutiné dans un monde qui est un échec permanent. »