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mercredi 12 octobre 2022

anniversaire • le ténor italien, luciano pavarotti, aurait 87 ans aujourd’hui



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Luciano_Pavarotti

 



Luciano Pavarotti - Rigoletto - Ella mi fu rapita...Parmi veder le lagrime - Act II

 



Luciano Pavarotti - "Che Gelida Manina" - RARE TV BROADCAST (Paris, 3/3/1965)

 



Luciano Pavarotti Recital - Nessun Dorma | Metropolitan Opera/New York (1988)

 

 

Autres anniversaires…

https://soclassiq.com/fr/anniversaires/Histoire_de_la_musique_classique_%253A_12_octobre_(Anniversaires)/mm/10/dd/12/


lundi 10 janvier 2022

vu à travers le tube • la tristesse du mort ressuscité…

Hier, après un portrait assez déprimant de Pavarotti, Arte nous a proposé un de ces récitals passe-partout où le public - trois millions de parapluies - venu pour trépider - que le ténor chante ou pas - n’a pas eu l’air de s’ennuyer alors que c’était terriblement, affreusement triste et démoralisant. Presque une heure et demie de tubes chantés à la perfection sans la moindre émotion, d’une voix sans faille et glaciale pire qu’un glaçon - ça va généralement de pair -, c’est beaucoup trop pour moi. Si Pavarotti a été considéré comme le plus grand ténor du monde - encore aujourd’hui -, je ne peux me résoudre à le considérer ainsi - sauf, peut-être pour son Rodolfo de « La Bohème » de Karajan - et je continue à me satisfaire de mes Vanzo, Gedda, Vickers, Bergonzi, Del Monaco, Di Stefano et quelques autres (je n’oublie pas les magnifiques ténors wagnériens). Faut-il le dire. Cet homme admiré de partout, n’avait pas trouvé son chemin, pour preuve un parcours suicidaire et solitaire qu’aucun n’a voulu observer. Et c’est bien là le destin de beaucoup d’hommes qui se laissent griser ou pas dans la gloire dont la lumière est ténèbres. Je ne rajoute rien…  

 

Je ne rajoute rien non plus sur le navire qui se brise sur les flots de la mer déchainée parce que le capitaine est un enfant pas assez grand pour atteindre le gouvernail. Les marins et les passagers ont décidé qu’il fallait laisser l’enfant se débrouiller. Le soleil va peut-être revenir avant que le bateau ait coulé et que les cadavres ne soient aspirés par les poissons.


lundi 12 juillet 2021

vu à travers le tube • jeu de ballons et pavarotti massacré...

Hystérie collective : l'étrange cas du village

qui dansa... jusqu’à la mort

L’hystérie collective permanente est ce qui nous pend au nez dans les prochaines décennies. Ce genre de folie furieuse, défouloire, est la conséquence des cerveaux vides de pensées qui se vident, se vident et se vident au fil des jours, des semaines et des années. Et tout est prétexte à hystériser, de la moindre bagatelle à la catastrophe catastrophique et castratrice qui pourfend de monde pour l’anéantir. Hier, ce n’était qu’un jeu de ballons où des alcoolisés ont enfourché leur bicyclette, leur trottinette ou le manche de leur changement de vitesse pour jouir et rugir bruyamment - comme le lion en rut - après deux ou trois heures d’excitation sexuelle. Ils ont fait ça, y hier soir, sous ma fenêtre, entre 1 heure et deux heures du matin. Ils ont troué la chaussée et fendus les murs de mon immeuble. Leurs cris ont mis debout toutes les populations de la région dans un périmètre à peine imaginable. L’Italie aurait remporté une victoire sur les anglais qui n’ont pas su - ou pas pu - renouveler leur exploit de la guerre de cent ans dont notre pauvre Jeanne a fait les frais. Le progrès - c’est le nom qu’on lui donne quand on n’est pas allé à l’école - ne cesse de tourner le dos et de se déplacer en marche arrière. La bêtise, l’imbécilité et l’ignorance triomphent à chaque coin de rue et nous nous demandons s’il ne faut pas mieux mourir d’un vaccin plutôt que d’un virus. Peu importe, il faut mourir, parce que mourir, ce n’est que reproduire l’acte odieux que la femme accomplit régulièrement en pondant un zombi - un mort-vivant - sans lui demander son avis, ce qui a pour conséquence le monde, tel qu’il est, tel que nous le voyons. Pas beau. Pas beau du tout.

 

Pas beau non plus, l’horreur immonde proposée par Arte, hier à 18h10. L’hommage à Pavarotti n’a été qu’une succession de vomis indécents pour une chaîne qui se dit « culturelle » et qui s’ingénie, au fil du temps, à singer les pires des émissions de variétés. À tout bien réfléchir, il ne reste plus grand-chose à nous mettre sous la dent…