Jamais la ministre Oudéa-Castera n’aurait dû répondre au journaliste qui lui demandait pourquoi elle avait mis ses enfants dans une école privée et catholique. Si elle connaissait bien les règles de son métier, elle aurait répondu au pervers scribouillard : « Cela ne vous regarde pas Monsieur. Il s’agit de ma vie privée. Je donne à mes enfants l’éducation que je veux. Je suis ministre depuis 3 jours et vous commencez déjà à me casser les pieds. Allez-vous faire foutre ! ». Jamais je n’aurais pensé qu’un jour, avec mes 80 ans d’existence, je défendrais un quelconque membre d’un quelconque gouvernement. Je hais ces gens, viscéralement, qu’ils soient à droite, à gauche, au centre, aux extrêmes, en haut, en bas, devant ou derrière. Et les puants journaleux – de tous bords aussi – m’exaspèrent par leur lâcheté exemplaire et leurs impudeurs à ne cesser de donner des leçons. Plus rien ne fonctionne dans le monde et ces énergumènes sont aussi coupables que les politiques et que les peuples ignorants. Et ce n’est pas l’ado Roi fracturé et son gouvernement modèle Star Academy tous terrains, qui va changer quoi que ce soit. On me dit qu’Attal le premier de la Bande, ne sait toujours pas où est son bureau. Depuis sa nomination, il parcourt les bistrots de France pour boire un coup avec les habitués. Une fois, il est allé dans une cour de récrée pour faire du mégaphone et faire hurler la marmaille qui croyait qu’il était un chanteur pop-rock. Star Academy ou Disney Land ?