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mercredi 18 août 2021

vu à travers le tube • mensonges et vérités…

Peut-on laisser dire que les réseaux sociaux sont alimentés par une bande de tarés révolutionnaires qui réclament l’anarchie et comptent bien l’obtenir par la force de la baïonnette et de tout objet ressemblant ? Peut-on laisser dire que les réseaux sociaux sont le siège de tous les menteurs et qu’on ne peut qu’y lire des fake-news et des informations dirigées contre l’autorité ? Depuis plus de dix ans j’écris sur Facebook et je n’écris que ma vérité. Ma vérité vaut bien celle des autres et surtout celle du Roi de France et de ses lèches-culs. Ma vérité me dit, et je l’écris ici, que les mensonges ignobles et grossiers ne sont perpétrés que par la secte journalistique officielle qui va de TF1 à France Inter en passant par BFMTV et Europe 1 et tout ce qui est intermédiaire et sur la droite et sur la gauche. Ce sont ces pourris qu’il ne faut pas écouter, car c’est chez eux que se forment les pensées qui vont après s’exprimer par un bulletin de vote, clone parfait d’une tranche de mon papier cul. Sur Facebook on trouve de tout, mieux qu’au marché aux puces ou sans. Et ce qui est intéressant, c’est de lire, de trier et de se faire son opinion qui n’aura du poids que si elle est sincère, c’est-à-dire contraire à l’opinion des autres, dans le cas - plutôt rare - où les autres ont une opinion. Regardez ma voisine de palier. Elle m’a encore dit ce matin qu’elle avait une opinion bien tranchée et bien réelle, celle de Patrik Cohen, le Frankenstein de Babette de La Cinq. Ma pauvre voisine ne comprend toujours pas qu’avoir l’opinion d’un autre, c’est ne pas avoir d’opinion. Et ça fait 77 ans que je le lui rappelle chaque matin.


En fait, c’est terriblement compliqué, mais c’est si simple. Avoir une opinion et l’exprimer, c’est être libre, c’est avoir une pensée autonome qui ne se préoccupe pas des non-pensées de ses semblables et qui ose dire la vérité sur les comportements de ce qu’on appelle les humains. Un humain c’est une chose qui ne pense pas comme les végétaux et les animaux, parce que l’humain est censé réfléchir avant de décider et d’agir, ce qui n’est pas le cas des deux espèces précitées qui, elles, ne réfléchissent pas et ne décident pas. Elles agissent en fonction de la nature de leur système très souvent très intelligent. Et l’humain ne veut toujours pas essayer de comprendre que penser et réfléchir authentiquement en se respectant SOI-MÊME, n’est pas donné à tout le monde et qu’il doit, s’il veut avoir cette faculté, pousser la porte du cabinet de Freud, y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Sans cela, rien. Du vent. De l’illusion. Des mensonges permanents qui cachent pour toujours toutes approches de la vérité.

 

A l’aube de la mort, je réalise que j’aurais passé ma vie à citer Freud que je fréquente depuis l’âge de 16 ans, Freud avec lequel - après une longue analyse - je reste en contact permanent par l’intermédiaire d’ouvrages et œuvres majeures qui remémorent sa thérapie et permettent de rester en vie psychique donc physique. Dans ce monde qui ne correspond à rien et qui va crever par son ignorance - l’eau et le feu va faire une bouchée de ces pauvres crétins d’humains -, je ne cesse de me poser la question du pourquoi de l’existence, puisque personne ne veut regarder dans la bonne direction où pourtant le chemin qui mène à la lumière existe bien, mais reste désespérément vide.