Depuis quelques semaines on mutile les chevaux et la litanie des pleurs inonde la terre mourante par le poignard de Corne à Virus et par la connerie des hommes. Si des hommes mutilent, c’est qu’eux-mêmes ont été mutilés. Si des hommes font le mal, c’est que sur eux-mêmes le mal est tombé. Si l’homme est aussi mauvais, c’est que le monde dans lequel on l’a propulsé sans raison est encore plus mauvais que lui. Tout n’est que reproduction. Et si l’on veut que le mal cesse, il faut changer le monde, il faut penser autrement. Il faut changer les priorités. Et ce ne sont pas vos politicards, vos moralistes, vos héros de papier cul, qui vont changer quoi que ce soit. Seuls ceux qui auront fréquenté assidument le cabinet de Freud seront capables de proposer des solutions déterminantes et positives pour tout à chacun. Freud est en avance - très en avance - sur les neurosciences. Très bientôt, elles vont rejoindre les certitudes du père de la psychanalyse. Elles sont actuellement sur le bon chemin. Il faut donc espérer que les politiques désuètes de notre époque - et des époques précédentes - tiendront compte de cette avancée qui sera certainement la plus grande révolution que le monde ait connue.