MIla avait dit sur Instagram : «Je déteste la religion, le Coran est une religion de haine, l’islam c’est de la merde. Je dis ce que je pense. » Sont seul tort est de ne pas avoir ajouté que toutes les religions - la catholique notamment - sont à placer dans la même marmite, parce que toutes sont des mensonges sectaires voulant imposer un Dieu - chacune le leur - un serial-killer qui n’a aucune existence, aucune réalité et qui provoque depuis les débuts du monde des guerres sans fin que moi j’appellerais les guerres des gros cons. Que de morts, que de viols, que d’humiliations, au nom d’une simple religion ! D’après certains bestiaux non aboutis, Mila aurait blasphémé. Si quelqu’un sait ce que veut dire le mot blasphème, je suis preneur. Blasphème : « Parole qui outrage la divinité, la religion, le sacré, et, par extension une personne ou une chose considérée comme quasi sacrée. » selon Google. Et comme je ne connais aucune divinité - cette chose n’existe pas sur cette terre -, le mot cité n’a aucune existence donc ne peut être tenu pour injure ou compliment. Mila est victime de cinglés psychiques. Ils doivent être jugés pour fixer de nombre d’années qu’ils doivent passer en hôpitaux psychiatriques, quatre, cinq, six décennies ou jusqu’à ce que la mort s'ensuive. Tout doit être fait pour que la courageuse Mila se reconstruise en espérant que son avocat lui donnera le bon conseil : pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le rencontrer, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser.
Où sont passées les pourfendeuses de la gente féminine comme les stupides MeTooBalanceTonPorcÉgorgeTonHommeEtCeluiDesAutres ? Mila la courageuse n’est-elle pas digne d’être défendue ?