Hallucinant ! Le psychiatre David
Masson prétend qu’on peut avoir des hallucinations sans avoir de troubles psychiques.
Masson - comme beaucoup de psychiatres - doit retourner à ses études. Tout
individu plantant naturellement un couteau dans le ventre d’autrui est obligatoirement
atteint de troubles psychiques. Que lui faut-il donc de plus à Masson l’ignorant.
L’enfant qui a poignardé sa prof d’espagnol était drogué par son psychiatre qui
lui avait prescrit un médicament très dangereux pour son jeune âge, médicament
qui pouvait provoquer des hallucinations. Le psychiatre est coupable de
collaboration à un assassinat. Tout bon psychiatre sait qu’il ne peut aller au-delà
de ses connaissances et qu’il doit toujours conseiller à ses patient la
thérapie psychanalytique en parallèle à son travail d’urgentiste. L’enfant
meurtrier a été mal soigné. Il ne peut être coupable de ses actes. Et la puante
société médiatique est en passe - idem pour Palmade qui est dans la même
situation que l’enfant - de le condamner à vivre mort jusqu’à sa mort. Quand
va-t-on comprendre que tous les maux de la terre viennent du refus - par
ignorance - de chacun à opérer l’inévitable retour en arrière pour se laver, de
déforger, se défabriquer et retrouver sa condition originelle massacrée par les
sociétés, les religions, les pouvoirs, les parents et toutes les autorités. Le coupable
est celui qui se laisse prendre au piège invisible tendu par les perversités dominantes.
Les César(s) ont été égaux à eux-mêmes.
Un ou une flopée de Maîtres de Cérémonie n’a rien changé à l’affaire. Une militante
dernière rénovation a interrompu la diffusion télé. Personne n’a informé le
public de la cause de l’incident. Comme à son habitude, Debbouze a été pitoyable.
Je suis heureux de la victoire de Dominik Moll. Son « Seules les bêtes »
est un chef-d'œuvre. Après deux visions
de « La Nuit du 12 », je vais en tenter une troisième pour tenter de comprendre le pourquoi de son
intérêt.