vu à travers le tube • anatomie de la chute d’hayer et quelques autres friandises…

L’Europe, personne n’en veut, mais tout le monde suit le courant. L’Europe était le sujet du combat de boxe – vu à la télé et en direct - arbitré par le farouche et incorruptible Duhamel fin de série, qui opposait le lieutenant de Marine à la soumise de l’enfant. Ce n’est pas qu’il a couru plus vite, c’est qu’elle ne savait pas que pour courir, il faut bouger les jambes. Il a gagné par KO avant même la fin du premier round.

 

Toujours hier soir et toujours à la télé, un autre combat, beaucoup plus violent, se déroulait ailleurs. Jean Messiha, promu tout récemment sur la liste de Marion Maréchal et dont l’épouse était en salle d’accouchement, a dû affronter une farouche, une effrontée, une excitée femme voilée venue faire la promotion de son linceul. Elle a failli s’étouffer quand Jean lui a demandé pourquoi elle était venue en studio, déguisée en Bédouin du XIIIe siècle. Moi, aussi, je me le suis demandé et je rends hommage à Jean pour cette pertinente question.

 

La lâcheté obsessionnelle du couple régnant, Macron/Attal, qui a déclaré à plusieurs reprises, en direct à la télé, que plus jamais une université ne serait occupée, produit ses effets. Les occupations prolifèrent. Et aucune force publique ne procède aux arrestations et aux punitions sauvagement punitives des terroristes en herbes qui exigent l’exécution totale des israéliens et la suppression de leur territoire. Quand va-t-on décimer cette racaille et en profiter pour  mettre hors d’état de nuire Mélenchien, ses chiottes et ses chiots, de dangereux personnages qui pourraient bien se retrouver à la tête de la France pour enfin  instaurer leur dictature kimjongunième et certainement encore plus efficace ?

vu à travers le tube • scandale, misère et déchéance…

Pendant près de deux heures, en direct à la télé, un procureur a disséqué l’intimité d’un alcoolique drogué qui dit avoir acheté une arme au supermarché pour se tirer une balle dans l’estomac, sans la tirer parce qu’il ne le voulait pas et qu’il a tiré quand même en pensant qu’il n’y avait pas de balles dans le barillet, alors qu’il y en avait et qu’il le savait, toute cette farce macabre pour retenir une femme qu’il dit aimer et qui en a marre de vivre avec un soulard qui ne cesse de dépasser les bornes. Ailleurs, pendant deux heures, l’enfant qui règne totalitairement sur la France et dont le psychisme est altéré, a abondamment mu sa langue pour dire et redire encore que sans lui l’Europe est morte – à ce sujet, il n’a pas eu une seule pensée pour la France –, qu’il sait, contrairement à tous les autres, qu’il agit en permanence et que si ça ne se voit pas et que si ça ne se sait pas, c’est que les français sont des sauvages qui refusent de voir l’immensité de son génie , comparable seulement à celui de Zeus le Dieu des dieux avant qu’il ne soit Wotan. On en reste sans voix, surtout quand on voit comment l’illustre gamin réduit le citoyen en un plat d’insectes grillés avec sa pincée de romarin. Si j’ajoute que les islamo-gauchos occupent encore Science-po et que la police renonce à les déloger, il n’est nullement besoin que je disserte sur l’état végétatif de la France moribonde et de sa prochaine disparition dans la mélasse puante de l’Europe islamiste, voulue par l’enfant que des cerveaux dévastés ont propulsé à l’Élysée. Moi, je m’en vais. Le crépuscule me happe. Je vous laisse dans votre misère et votre déchéance. Après tout, vous l’avez bien cherché.    

vu à travers le tube • drapeau, prison, zorro et de niro…

Les dé-putes, qui travaillent naturellement en chambre, ont donc voté l’obligation du drapeau européen sur la façade des mairies, allant ainsi, une fois encore, contre la volonté du peuple qui n’a rien à foutre de l’Europe agonisante dans son tombeau vermoulu. Il l’avait déjà fait savoir par un référendum que les petits chefs de l’époque se sont empressés d’ignorer. Le peuple reste décidément le dindon de la farce. C’est son choix puisqu’il ne cesse de voter pour les malotrus esclavagistes, qu’ils soient de droite, de gauche ou de rien.

 

La contrôleuse a dit que dans les prisons, la vie était insupportable. Elle n’a pas donné son avis sur la vie hors des prisons. Et la logique veut que ce soit là qu’un avis est indispensable. Il parait qu’il y a des rats et des puces et qu’il y a trop de monde dans les salons. Mais, en compensation, les pensionnaires de l’hôtel sont nourris et logés gratis, ont la télé, leur smartphone et la drogue pour ceux qui peuvent se la payer. Il parait même que le commerce du sexe est intense. Alors !

 

La Zarra - l’épouse de Le Zorro, probablement - a dit que c’était fait, que c’était cousu de fils blancs, qu’elle avait gagné le fameux concours Eurovision de la chansionette. Je n’ai pas compris si cette dame fantasmait, si elle avait un problème de psychisme ou si elle connaissait les résultats à l’avance. Peu importe, cette merde - le concours - a si peu d’importance !

 

À 79 ans, De Niro vient d’avoir un enfant. Pauvre De Niro. Il est vrai qu’à son âge…

vu à travers le tube • le gloubi-boulga de la négation du monde…

Ils sont quand même bizarres ces troupeaux de cons bariolés de votants et d’élus illégitimes. La France et l’Allemagne, copines comme cochonnes depuis l’armistice et liées intimement et plus, par cette fameuse arlésienne qu’est l’Europe, se trahissent, chacune de leur côté. Après être entrée dans le nucléaire, puis sortie, puis réentrée, la France voit l’Allemagne, sa pacsée, fermer - hier - ses trois dernières centrales et fonctionner au charbon, aux éoliennes, aux panneaux photovoltaïques et dit bien se porter. Et nous, enfants de la Révolution de 1789 qui avons tranché la tête de notre Roi et de sa Marie-Antoinette comme un saucisson de Lyon, nous sommes le cul entre deux chaises, attendant le bon vouloir giratoire du jeunot ado immature qui nous fait marcher à coups de fouet et qui, vu la position plutôt favorable, nous encule à répétitions. Mais nous sommes contents. Heureux même. Pas encore sortis des vacances d’hiver, nous entrons dans les vacances de Pâques, auxquelles vont s’ajouter les congés des 1^e et 8 mai, ceux du lundi de Pentecôte et du jeudi de l'Ascension, pour entrer sans délais dans les vacances d’été. Désormais, les français ont toute légitimité pour se poser la question : « Quels sont les jours de l’année où les enfants vont à l’école ? » Moi qui vais tous les matins prendre mon café chez mon Leclerc, je ne vois que des enfants qui font la queue aux caisses et qui piaillent comme dans la basse-cour de ma grand-mère Florine.

 

Rien n’arrête le misérable enfant et sa borne soumise. La France fracassée, ils vont s’en débarrasser à la déchèterie. Nous sommes, chacun, réduit à une œuvre d’art compressée dont personne ne peut distinguer la moindre distinguation et condamné à nous taire définitivement, notre langue étant écrasée et dispersée dans le gloubi-boulga de la négation du monde.