Mardi 30 novembre, jour
terrifiant. Macron 1 Roi de France dédoublé en O-Macron virus ravageur et
ravageant, encore à la télé pour vivifier son image royale par un monologue
impuissant sur une dame que j’ai vue, tout petit, sur une photo en noire et
blanc, avec un bouquet de bananes en place d’un string. Monologues insignifiants
des PR qui s’imaginent déjà au pouvoir en direct à la télé face à l’innommable
Salamé. Zemmour à la télé - lui aussi - pour annoncer qu’il veut être Roi de France
alors qu’il est mort. Et comble du terrifiant, les gens qui se détestent se
sont réunis sous la bannière « Ensemble citoyens ! » pour soutenir et
faire réélire le Roi de France qui n’a pas besoin de ces marionnettes pour
poursuivre sa dictature. On remarque que dans cette (ré)union, on peut éventuellement
compter les femmes sur l’unique pouce d’une seule main. Si on ne s’enfonçait
pas de plus en plus rapidement dans la dictature, tout cela me ferait beaucoup
rire. C’est Macron 1 qui a gagné. Il sera macron 2 inévitablement. C’est
pourquoi il serait sage d’éviter cette perte de temps et d’argent qu’est la
campagne de bourrages de crânes appelée campagne électorale.
Lecornu ou plutôt Letordu est
allé à la Guadeloupe aux frais du contribuable pour annoncer à ces pauvres gens
qu’il leur envoyait 70 gendarmes et 10 membres du GIGN pour les faire marcher
au pas, en supplément de ceux déjà existants. Les guadeloupéens n’ont pas
besoin de ça, mais seulement de pouvoir boire et manger.
Un professeur, une femme, a
encore été frappée par un de ses élèves ado. C’était au lycée Montaigne. Cette
violence et cette délinquance juvéniles ne s’arrêteront jamais si on ne s’intéresse
pas aux parents coupables. Coupables d’avoir pondu alors qu’ils n’ont pas la
moindre notion de ce qu’est un enfant. Créer un élevage ça s’apprend et ce
devrait être sanctionné par un diplôme en fin d’études donnant droit à l’autorisation
d’avoir des enfants. Sans diplôme, aucun avantage social. Un mineur arrêté, les
parents devant les tribunaux.
Je vois le soleil pointer à l’horizon.
Je vais encore être obligé de baisser mes stores…