« Dimanche, aucune voix ne devra manquer à la République ! » a dit le Roi de France au pied d’un avion. Et bien si, Sir, il manquera la mienne puisque la mienne s’est tue il y a plus de 30 ans. Vos prédécesseurs, comme vous et vos multiples marmites de godillots, l’ont fait taire à jamais par leurs mensonges perpétuels, par leur perversité ravageuse, par leur ignorance stupéfiante, par leur conscience refoulée, par leurs jeux de dupes indécents qui fascinent certains et terrassent les autres tellement plus nombreux. Comme les Henri, les Louis, les Charles d’antan, comme De Gaulle et ses successeurs, vous me donnez envie de vomir et de vous flanquer une volée de bois vert qui restera dans les annales de l’Histoire de la France, comme sont restés dans notre souvenir collectif, le tranchage de la tête du Roi Louis et de sa douce et tendre Marie-Antoinette. J’espère de tout mon cœur que la saloperie de dictateur Mélenchon va vous en faire voir de toutes les couleurs et que ni vous, ni la France ne s’en remettra. Elle ne mérite que le pire des malheurs. Moi, je m’en vais. La Mort m’a déjà appelé. Je ne m’y opposerai pas. Enfin, elle va m’offrir la Liberté et me débarrasser de tous ces cadavres puants qui ont jonché mon existence
Selon une élue centriste anonyme, le Monstre au marteau-piqueur déchainé – aujourd’hui Godillot-Ministre des Solidarités – aurait tenté sur elle, sur son propre corps, des choses inavouables que jamais au grand jamais je n’oserais écrire ici. Lisez le torchon plein de merde « Médiapart ». Lui, il a le courage des héros légendaires. Il ose tout, même écrire des saloperies. Ce qui est très rigolo dans cette affaire qui ressemble étrangement à des marmites géantes d’autres affaires, c’est que plein de dames sur cette terre, se retrouvent souvent dans des chambres d’hôtels où des appartements privés, seules avec un homme à des heures où elles devraient être au dodo avec leur si bon et si gentil mari, et que l’homme bien sous tous rapports se transforme soudain en horrible loup-garou poilu et comme tous bons loups-garous qui se respectent, saute sur la gentille dame convenable, la détrousse comme cela se faisait à la cour de François 1e – spécialiste des détrousseurs de jupons – et accompli son devoir de loup-garou jusqu’à extinction de la pleine lune. Je connais tout ça. Entre 1960 et 1968, j’ai fréquenté tous les cinémas lyonnais où on ne plaisantait jamais dans les écrans. J’ai beaucoup appris.