Mayotte est l’image de ce que la France sera dans une ou deux décennies et peut-être même avant. La suppression du droit du sol et les frontières maritimes sont un excellent début pour tenter de sauver la situation et si le macronisme était prévoyant, les mesures adoptées pour l’île devraient se déplacer dans l’instant, sur le continent. Mare de l’immigration. Mare de l’étranger qui s’introduit dans notre propriété. Mare des misères qu’ils apportent dans leurs sacs à dos, misères qui s’ajoutent à nos propres misères et qui nous vident de notre sang. Je ne supporte plus le mélange des couleurs et j’espère que les enfers engloutiront les sauvages chiottes et chiots de Mélenchien, ainsi que leurs alliés, afin que la France retrouve un peu de sérénité. C’est pourquoi je suggère que l’hommage injustifié qui devrait être rendu à Badinter, se substitut à un hommage étourdissant et lumineux à Seiji Ozawa, le musicien, le chef d’orchestre, l’homme adulte, sachant et achevé qui vient de nous quitter dans le silence assourdissant des peuples et de leurs dirigeants. C’est vers son monde qu’il faut se tourner, vers ce monde où l’on rencontre des femmes et des hommes qui ne sont qu’humanité et qui – tel Barenboïm – œuvrent en permanence pour la paix dans le monde. Comment les vivants - morts - peuvent-ils à ce point se tromper ?