185 pays se sont réunis à Genève pour mettre fin à la pollution plastique, et patatras, ce petit monde oisif et mesquin a échoué. Je suis content parce que je viens tout juste de m’acheter un euphonium en plastique qui ne pollue pas plus que mon poêle à charbon. Quand va-t-on cesser de tourner la tête de l’autre côté et de s’occuper de choses sérieuses : ce maire communiste, lâche et peureux, qui a annulé la projection du film « Barbie » - le pire des navets, mais ce n’est pas une raison – sous la pression d’une bande de petits cons terroristes islamistes ; cet olivier qui a été scié dans la nuit de mercredi à jeudi, parce qu’il rendait symboliquement hommage à Ilan Halimi, un jeune juif assassiné en 2006 ; ces crimes permanents contre les juifs par les hordes sauvages islamistes qui sont en train de prendre possession du pays, avec la bénédiction et l’aide de la hargne de Mélenchon et de ses verrues et par le silence et les mots qui tuent de l’enfant psychopathe de l’Élysée qui fait office de roi et France et de Grand Inquisiteur, en même temps. L’enfant, tout bronzé, s’agite dans un fort du Var pour mieux s’imaginer gouverner le monde alors qu’il ne sait toujours pas de quel côté diriger son impuissance chronique. La France est si malade que sa population est frappée d’inertie et se métamorphose en vers de terre pour mieux cacher sa honte sous la terre, dans les tunnels qu’elle creuse sans répits. On en est là aujourd’hui, brisés, cassés, déglingués, vidés. Et dans ce cercle infini où nous nous mordons la queue, personne ne peut nous sauver. Wotan a été capable de rendre l’Or au Rhin et de briser la malédiction. Seul Freud à ce pouvoir. Cependant, je le supplie de s’abstenir. Vous l’avez trop maltraité.