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samedi 28 juin 2025

le puits au fond du jardin • la plume au vent...

 



 

Aujourd’hui, le monde entier ne fête pas la naissance d’Abbado, ni le décès de Furtwängler, ni l’invention de Gutenberg, ni le triomphe d’Hamlet à la Comédie française, mais la suprématie de la plume – pas de celle que je trempais dans l’encre sous l’œil avisé de mon maitre d’école, à la fin de la dernière guerre du XXe siècle, ni celle de Zizi Jeanmaire -, mais celle du rossignol ou de la  de la tourterelle, ou plutôt celle de l’oie sauvage, que les acteurs de la pièce s’enfilent bien profond dans le cul, tous nus et peints comme les sauvages des années 300 000 avant J.C. Gay pride, spectacle affligeant, désolant et indécent, auquel les parents amènent les enfants, ce qui me conforte dans ma devise à leur sujet : « TOUS COUPABLES ! » C’est chez Ubu que l’on fête la déviation des sexes et que l’on glorifie l’inaboutissement des psychismes. Les sinistres crétins qui veulent interdire les sites pornos bien cachés dans les ordinateurs, font une pub fracassante pour cette saloperie de rue, mille fois plus dangereuse pour les enfants-enfants, mais aussi pour les enfants-adultes. Quand allons-nous fêter la complémentarité homme à pénis et femme à vagin, la seule réalité sur laquelle peut se reposer une société ? Tous les restes ne sont que des verrues qui peuvent très bien se passer de publicité.

 

Le télétravail a du plomb dans l’aile. Les chefs d’entreprises se réveillent. La maison, avec l’aspirateur, le lave-linge, bobonne ou bobon et la marmaille, ne peut être un lieu de travail. Le travail est un lieu d’émancipation, de relation et de confrontation. Le retour en arrière est indispensable, même s’il ne règlera pas la déficience générale des cerveaux. Vos ancêtres ont découvert l’Amérique, l’Afrique, la Chine. C’est maintenant à vous de découvrir celui qui manque à toutes les sociétés : Freud, le grand Sigmund – à ne pas confondre avec celui du glaive magique -, celui qui a développé la thérapie psychanalytique qui, si les esprits s’ouvraient, révolutionnerait le monde.

mercredi 25 juin 2025

le puits au fond du jardin • sur l’autre rive…

 



 

Il est tunisien et en situation irrégulière. Pour obtenir des papiers, il est allé dénicher une mère de 6 (SIX) enfants et lui a promis monts et merveilles si elle lui accordait sa main. La nigaude naïve subjuguée par sa virilité débordante a dit OUI. Elle lui a même promis de lui fabriquer 5 ou 6 autres enfants afin de compléter la marmite des marmailles. Et le type rit sous cape en se voyant prendre la poudre d’escampette après l’enfilade de la bague, laissant la gourde ignorante courbée sur le tapis. Heureusement, Marlène Mourrier, la maire de Bourg-lès-Valence a les pieds bien ancrés dans le sol de France. Elle refuse de les marier pour ne pas être complice d’un mariage blanc.  Dans quelques jours les représentants de l’Injustice française vont venir la chercher, la mettre au cachot noir pour 5 ans et ôter de son compte en banque, 75 000 euros. Voilà lâches français, ce qu’est votre misérable pays qui croule, défait, dans le noir du fond de mon puits.  Quelle bonne idée j’ai eu, quand un soir d’automne, alors que le crépuscule annonçait celui des dieux et des hommes, j’ai osé me jeter dans le fleuve et nager jusqu’à l’autre rive. D’ici, je vois, je regarde, j’écoute, j’entends, et je ris devant la danse des pantins qui tentent, en vain, d’imiter celle du sacre du printemps. Les robots en planches clouées s’épuisent. Ils ne savent plus que parler et c’est bien pour cela que plus personne n’y comprend rien. Seul dans mon désert sans fin, j’ai découvert la cachette de Freud, mais aussi celle de Mozart, et aussi celle de Schubert et Wagner. Tous les trois ou quatre jours, nous déjeunons ensemble. La conversation est phrasée et nuancée. Souvent, une truite se joint à nous. Elle joue de la flûte sur le bûcher de l’anneau. Et Freud nous répète sans cesse de ne jamais oublier que ce que nous voyons, nous ne le voyons pas et que si nous sommes, c’est que nous ne sommes pas. 

mardi 24 juin 2025

le puits au fond du jardin • ignorance…

 



 

Le malade qui nous gouverne est partout. Partout en même temps. Quand il est à Munich, il est à Détroit, à Lausanne aussi, mais aussi à Tarascon. Et mes 440 écrans télés montrent son image – je le reconnais à sa coiffure LGBCTG, rasée sur les côtés au-dessus des oreilles – tout le temps, en même temps, lui qui n’est qu’une image qu’Épinal a rejeté de son album. Si on peut le reconnaître par le vide au-dessus de ses oreilles, on peut aussi le reconnaitre grâce à ses mains qui caressent tout, tout le temps et tout en même temps. C’est ainsi que Merkel a été caressée en même temps que le singe du zoo de Vincennes ainsi que le cheval blanc d’Henry IV, peint sur la paroi humide et froide des grottes de La Balme – c’est peut-être François 1e ! -. Il y eut aussi Attal qui accueillait sa main qui caressait Borne et la peau suante de Mbappé, tout en même temps. L’ado est déboulonné, tenu à distance. Il n’a plus aucune crédibilité et la France doit s’en débarrasser si elle ne veut pas continuer sa chute dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. C’est aux français de décider ce qu’ils veulent pour la France. Mais comment décider quand on n’a pas la capacité de comprendre que décider c’est agir et agir dans l’instant. Moi, je regarde et je jouis du spectacle des pantins patins. Assis sous l’olivier de l’autre rive, j’observe en jouant de mon euphonium à quatre pistons et je me plais à interpréter la « Marche des Soldats de plomb » qui incite les pantins à danser. Les planches vermoulues érigent leurs clous rouillés et la débandade finie en un tas de planches de vieux bois à bruler.

 

Après m’être bien amusé, je vais me reposer aux accents des accords de Tristan et je vais me plaire à penser que la vie pourrait être tout autre chose si la race humaine regardait, écoutait et délaissait pour toujours son abyssale ignorance.   

lundi 23 juin 2025

le puits au fond du jardin • l’autre rive…

 


 

Connaissez-vous le pays où fleurit Tristan, Brunehilde, Boccanegra, Desdémone, Pamina, Cherubino, Marguerite, Micaela, Marie, Mignon, le pays d’où je viens et qui est sur l’autre rive, celle que personne ne veut aborder par peur d’affronter le miroir de la vérité ? J’y suis resté un long temps, court et démesuré, pour me protéger des salopards terroristes islamistes de gauche que sont Salamé, Macron, Mélenchon, France Inter-Info, France Culture-Musique, Fête de la musique, communistes, socialistes, écolos écologistes, écologistes écolos, rappeurs à fromages en tous genres, PSG, Lemoine, Aphatie, auxquels s’ajoutent les restes que je ne citerai pas pour ne pas salir davantage ma page. En mettant la clé dans la serrure de la porte de mon lieu de vie, j’ai eu un frisson en pensant que j’allais retrouver l’indigeste gloubi-boulga qui ne cesse d’inciter à rentrer dans le rang des gens sans pensés, fabriqués, forgés et formatés pour être bien sages, bien polis, et bien inscrits dans les caniveaux exécrables des conventions de la bienséance, dont Macron, Mélenchon et Léon XIV, ont fait leurs tasses de thé. Avez-vous vu Barenboïm diriger Tristan ? Avez-vous entendu Meier chanter, après la mort de Tristan, la dissolution de son âme dans le tout ? Avez-vous été transportés par le sublime duo de Renata et Mario au final du premier acte d’Otello ? Il y a bien deux mondes opposés : celui de la rive et celui de l’autre rive, l’un parcouru de vivants morts, l’autre de vivants vivants.

 

En passant la porte, j’ai appris le triomphe de Trump, l’homme qui décide et frappe là où il faut. Et j’ai vu la mine défaite de Macron, l’enfant serpillière au psychisme inabouti, qui va d’échec en échec, avec sa suite en haillons. Si cette chose n’est pas boutée à coups de pieds dans le cul, la France ne se remettra jamais de ses caprices scandaleux et de ceux d’Hollande le triste sire, mais aussi de ceux de François 1e, le coureur de jupons et de Napoléon, le va-t-en-guerre aux trois cornes et à la main cachée. Le monde est celui d’Ubu, de l’absurde et du mensonge. Les lignes sont cassées. Les écrans blancs laissent échapper les formes mouvantes en noir et en couleurs. Les barrières sont tombées. Le soleil va bientôt enflammer la terre. Comme la saucisse, nous allons tous griller. Chouette !    

jeudi 12 juin 2025

le puits au fond du jardin • ignorance et procureur…

 



 

Un procureur n’est qu’un vulgaire petit fonctionnaire et je ne vois pas pourquoi celui que j’ai vu hier à la télé se donne le droit d’affirmer qu’un enfant de 14 ans qui poignarde à mort la surveillante de son collège a un psychisme équilibré. Le malotru a déjà frappé et tenté d’étrangler. Son psychisme ne serait donc pas fracturé ? Je connais un célèbre grand psychanalyste qui affirme avec raison que le monde est peuplé de psychopathes. Sans couteau, le morveux l’est. Alors avec ! Le morveux malotru est un grand malade psychique et sa place est à l’hôpital psychiatrique pour quarante ans après vingt bonnes années au cachot noir, enchainé, boulets aux pieds, Quant à ses parents, ils doivent être mis en état d’arrestation et payer à vie pour avoir pondu un enfant alors qu’ils en ignoraient la définition. Les milliards de commentaires entendus depuis hier, tous aussi stupides et à contre-sens, n’arrangent pas les affaires d’un pays qui s’enlise de minutes en minutes dans le noir du trou du fond de mon puits. Ce n’est ni Macron ni Mélenchon votre futur dictateur islamiste aux ordres du Hamas, les autres non plus, qui vont régler les problèmes de fond. Il faut redonner à l’individu sa fonction première, celle qui possédait encore dans les premières générations, quand il n’y avait pas le TGV, pas le presse-citron, pas la charrette, pas la fourchette, mais seulement les mains et les pieds. L’homme nait méchant, mauvais, sadique et criminel. La femme aussi. C’est pourquoi la seule initiative est la désintoxication et la refabrication. Pour cela, il faut maitriser le lien entre notre conscient et notre inconscient et ne plus laisser ce dernier prendre le pas sur le premier.  C’est en poussant la porte du cabinet de Freud, qu’un début de vie supportable pourrait apparaître sur terre. Il faut se laisser guider et tendre en priorité vers la recherche de son miroir, le trouver, s'y regarder, s'y reconnaître et le traverser. C’est une longue démarche qui prend des années et de toutes les façons, toute une vie, toute votre vie. Quoique vous en pensiez, c’est la seule solution. Tous les restes ne sont que faux-semblants qui n’arrêteront jamais la chute dans le précipice qu’est mon puits dans le fond de mon jardin.

mardi 10 juin 2025

le puits au fond du jardin • la douce vie tranquille de greta et rima…

 



 

Greta et Rima ont pris les voiles pour rallier la bande de Gaza où leurs amis du Hamas font massacrer chaque jour des centaines d’enfants, de femmes, et d’hommes aussi, ce qui n’est jamais dit. Les deux misérables caricatures décérébrées voulaient reproduire l’entrée victorieuse d’Othello dans Venise et n’ont réussi qu’à se faire intercepter par l’armée israélienne, qui après leur avoir distribué quelques pains au chocolat, les ont conduites à l’aéroport de Tel-Aviv où les voilà près d’embarquer pour leur contrée respective. Elles ont eu le soutient sans faille du terroriste islamiste Mélenchon et, beaucoup plus grave, celui de son frère de sang, l’enfant au psychisme inabouti qui occupe l’Élysée et qui ne peut qu’inquiéter par ses paroles ignobles et sa cécité définitive devant les cadavres qu’il a alignés sur le sol de la France de Charles Martel. Ce sous-homme vient de préciser qu’il ne dissoudra pas l’Assemblée alors que la Constitution scélérate du vieux général lui en donne de nouveau le droit, ce qui veut dire qu’il va se dépêcher de le faire, tout simplement pour qu’en France, aussi, on parle de lui, et que son visage et ses mains baladeuses engorgent les écrans. C’est là que je ne peux que voir un peuple misérable qui siècles après siècles, s’agenouille devant les détritus de l’humanité. En France, la seule fois où il se serait révolté, ce fut le jour où il a tranché le cou de Louis XVI pour s’empresser, dès le lendemain, de le remplacer par un empereur amputé d’une main et pourvu de trois cornes sur la tête. Sortir des clichés, penser autrement, saluer la forêt et la lune en sciant le tronc de l’arbre et en sectionnant le doigt pointé, c’est ce qu’il serait nécessaire. Et pourtant, personne ne le fait parce que quelques idiots imbéciles ont dit que Freud copulait avec son chien. C’est pourtant chez lui que chaque individu peut chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. Mais pour cela, il faut trouver la porte du cabinet du maitre. Et je reconnais que pour l’immense majorité, c’est un insurmontable problème insurmontable.

lundi 9 juin 2025

le puits au fond du jardin • dans le noir de son fond…


 


 

En fait, l’enfant de l’Élysée est un super produit LFI, un pervers égal à Mélenchon, Bompart et Panot, réunis, un embryon déconnecté de toutes réalités. Le voilà à la tête des écolos, des fous furieux qui prétendent conquérir les tempêtes, les canicules, les glaces éternelles. La terre n’a pas besoin de minuscules pantins ridicules désarticulés pour gérer sa grandeur et sa puissance. Quand la terre rendra l’âme, les stupides humains auront disparu depuis des milliards d’années et sans doute beaucoup plus. Et quand on voit l’enfant immature au psychisme inachevé avoir la prétention de dompter la nature alors qu’il n’est pas capable de maîtriser une dizaine de gamins voyous qui cassent tout sur les Champs-Élysées, on croit rêver tout éveiller. Misérable personnage qui vit chichement aux frais du contribuable, qui aura passé sa vie publique chez ses amis voisins ou plus lointains et ne sera jamais privé de les caresser et de les bisouter à volonté. La perversité du gugus est grande, si grande que l’œil du brave ne la voit pas.  C’est pourquoi il lui est si facile de mentir et de manœuvrer, tout à son aise, les populations. Le jeunot veut posséder le monde. Il va monter de plus en plus haut et sa chute n’en sera que plus admirable. Quand elle l’aura précipité dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin et que j’entendrai ses cris insoutenables, je ne bougerai pas le petit doigt. Lui et moi, étendu sur l’herbe verte des belles nuits d’été, nous contemplerons la lune, cet astre magique qui aura passionné tant de poètes de génie. C’est sur elle qu’Elle, a rencontré Pierrot.

samedi 7 juin 2025

le puits au fond du jardin • pensée du matin…



 

Faure, le copain de LFI, entraine les cadavres socialos dans l’abime qui est semblable au noir du fond de mon puits ou croupissent les cadavres grouillants des psychismes inaboutis. Royale – Ségolène – caresse les poils de Mélenchon pour qu’il lui offre une circonscription alors qu’elle n’est plus que le déchet d’une tranche de vie qui a crucifié le monde. L’enfant de l’Élysée, au psychisme inabouti, part pour deux jours, avec bobonne-maman, sur Le Rocher ou un prince et une princesse d’opérettes à la Lopez vont les accueillir en grandes pompes funestes et se faire bisouter et caresser par un expert qui ne peut s’empêcher d’exposer ses tares qu’aucun observateur n’ose analyser. Elles sont toutes gravement malades les têtes des pays, mais celle-là l’est davantage encore, parce qu’elle tire le rideau noir sur l’écran blanc qui l’a posée sur le trône. La tromperie est le maitre-mot de la politique et les pantins-larbins s’y laissent tous prendre. Ils votent, ils votent, ils votent, sans savoir qu’ils fabriquent la corde qui va s’enrouler autour de leur cou. Ne faire confiance à personne, appréhender la petite fille au bout du chemin, ne pas quitter le fleuve qui coule entre les deux rives, comprendre que tout n’est qu’image scannée dans l’inconscient et reproduite par notre propre canal. Vous n’êtes pas. Je suis. Je ne sais pas si je vis mort ou si je vis. Mais je sais qu’autour de moi s’organisent des fragments de mon accouchement comme tombent les ombres des feuilles mortes. Ce va et vient incessant entre mon conscient et mon inconscient m’autorise à détecter le vrai du faux de l’illusionniste qui faisait apparaitre sa dulciné parce qu’il avait besoin de la regarder, de regarder ses grands yeux noirs, le miroir qu’il était allé chercher dans la clarté de l’atelier de Freud, miroir qu’il avait trouvé, dans lequel il s’était regardé, reconnu, et qu’il avait traversé. Il avait compris que c’était de l’autre côté, sur l’autre rive, qu’était la vérité et que lorsqu’on la côtoyait, il ne fallait surtout jamais s’en éloigner. Les hommes en sont si loin qu’ils ne peuvent même pas imaginer qu’une porte peut s’ouvrir et jeter au visage le savoir et l’imagination. L’ignorance est si puissante que de retour aux sources, l’or au Rhin, les mémoires oublieront. L’oubli est pire que la mort. Bizarre ces écrevisses qui avancent dans le brouillard noir, alors qu’elles sont nées pour marcher à reculons.

 

mardi 3 juin 2025

le puits au fond du jardin • entre silence et papouille…

 



 

Après ce triste weekend où personne ne se demande comment, à un tel niveau, il est possible de marquer cinq buts et où les presses de gauche minimisent - quand elles en parlent - les dégâts humains et financiers causés par les hordes sauvages qui, à part quelques rares exceptions, se retrouvent aujourd’hui dans la rue après leurs comparutions immédiates, le sursis ayant été le maître-mot de notre Justice agonisante, après le triste weekend, disais-je, la France, enterrée dans les sous-sols depuis presque cinquante ans, est encore descendu d’un étage et peut désormais creuser le fond, elle qui sait si bien creuser sa tombe. Revenir à l’essentiel et détruire le reste : être homme ou femme, être bon ou gentil, marcher à gauche ou à droite, être dans l’eau ou sur la rive, pénétrer ou recevoir, jouer en do ou en ré, différencier ou confondre, obéir ou commander, construire ou détruire, manger ou vomir, se coucher ou se lever, trotter au pas ou au galop, chanter ou aboyer, ouvrir ou fermer, écouter ou entendre, regarder ou voir, fermer ou ouvrir, vivre ou mourir. Nous avons le choix et nous ne le savons pas, parce que les peuples cupides, ignorants et soumis, ont rejeté Freud, celui par qui nous pouvons chercher notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Et c’est la seule – la seule – solution pour mettre fin à la terreur qui embrase le monde, terreur entretenue savamment par les marmites puantes et sanglantes des mélenchonistes islamistes imbriqués d’écologistes stupides et destructeurs.

 

Le peuple français attend toujours, de Bayrou, la condamnation des horreurs de ces samedi et dimanche. Le lâche garde le silence. Il rejoint en cela le détenteur des clés de l’Élysée, qui, au moment des crimes, papouillait ardemment le qatarien protecteur du Hamas et des Frères musulmans.   

vendredi 30 mai 2025

le puits au fond de mon jardin • dans le noir du fond…



 

Déjà cinq jours qu’il est parti dans les pays asiatiques. Hier, un ministre avouait qu’il ne savait pas quand il reviendrait, qu’il ne s’avait pas s’il reviendrait. Il est si bien là-bas, débarrassé des emmerdeurs, des conspirateurs, des complotistes, qui ne supportent plus son oisiveté, sa négligence, son laisser-aller et sa violence envers sa pauvre mère qui pourtant fait tout pour le cacher sous ses jupettes, entre deux tétés. Moi aussi, je ne supporte plus cet enfant au psychisme inachevé qui s’offre d’interminables balades avec l’argent de mes impôts. On nous le dit, on nous le répète sans cesse. La France est dans le gouffre. Les milliards de milliards que constituent sa dette font de nous la risée du monde et nous allons nous retrouver plus miséreux que les peuples de la grande Russie sous le règne du tsar Ivan le Terrible ou ceux de la Guinée Équatoriale sous la présidence de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. J’ai relu toute l’histoire de la France et aussi toutes celles des mondes. Le coup d’État, ça existe. N’est-ce pas le moment de le mettre en branle, avant que nous ne choyons brutalement dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où nous aurons tout loisir pour réfléchir à notre connerie, parce que, de cet endroit, jamais personne n’est sorti.  

 

jeudi 29 mai 2025

le puits au fond du jardin • des larmes…



 

Parmi les innombrables faillites de la France agonisante, on trouve la Justice qui jamais n’aura été aussi perverse et injuste. Le meurtrier du jeune Matisse, un afghan de 16 ans qui l’a poignardé sauvagement, a été condamné à 8 ans de prison alors qu’il aurait dû écoper de la perpétuité. Excuses de minorité et de non-discernement, alors que le crime est devenu le passe-temps des mineurs et que le non-discernement est l’apanage de la société. Croyez-vous sincèrement que les français discernent lorsqu’ils vont aux urnes voter pour des malotrus de caniveaux ? Croyez-vous sincèrement que les français discernent lorsqu’ils ne se mettent pas en travers de l’ascension du terroriste islamiste Mélenchon et qu’ils ne jettent pas aux ordures Macron et sa bobonne ? Matisse a été massacré par un enfant voyou en plein discernement, avec la complicité de sa mère qui a giflé la victime à terre, agonisante. Elle est convoquée par le tribunal qui va lui donner un avertissement. La Justice , ce serait de la condamner comme sa marmaille, prison à vie, dans la nuit éternelle d’un cachot. Dans ce point de non-retour, ne pas répondre à la violence par la violence est un crime. Je connais bien un tout autre moyen. Répondre à la violence par la compassion et le soin. C'est possible. J’ai mille fois proposé Freud et la réponse a toujours été le quolibet et l’injure. Et il y a encore des imbéciles qui se plaignent de leur situation et de celle de leur pays. Pleurez pauvres gens. Vous n’aurez jamais assez de larmes pour renverser la table !


lundi 26 mai 2025

le puits au fond du jardin • des champignons vénéneux…

 


 

 

Les prétendants au poste suprême poussent comme des champignons vénéneux. Parmi eux des macronistes reniant l’enfant Macron tel Judas reniant le Christ. Être prétendant, c'est déjà être peu recommandable. Celui qui désire le pouvoir ne peut être que vil et lâche puisqu’une fois sur le trône, il va trahir ses promesses et s’enivrer de la vie de débauche de l’Élysée. Faut-il être lâche, naïf, pitoyable et stupide pour se rendre aux urnes et y glisser dans leur fente, un morceau de papier cul.  L’élection est un leurre pervers, un faux-semblant, une illusion, dans ce monde qui n’a jamais réussi à inventer la Démocratie. Je ne vote pas parce qu’il n’y a que moi qui sache ce qui est bien pour moi et qui suis en mesure de me satisfaire. Le groupe, la société, m’indiffèrent surtout quand je vois où ils en sont aujourd’hui : là où en est Macron, mais aussi Binoche, dans l’enfer de la descente dans le noir du trou au fond de mon puits. Depuis des décennies j’ai pour compagnon Sigmund Freud. Il m’a appris, comme l’a fait, dans un autre temps, mon professeur d’écriture musicale Charles Montaland, à me référer et à sublimer les fondamentales, ces fondamentales qu’ignorent les lois stupides que pondent indéfiniment les misérables politicards de tous bords et de toutes obédiences. Ce monde d’illusions consenties ne finira jamais puisque son ignorance, conduit l’homme à rejeter Freud chez qui, pourtant, tout le monde pourrait chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Hélas, il semble que c’est trop demander. Les charlatans ont encore de beaux jours devant eux.

dimanche 25 mai 2025

le puits au fond du jardin • sous les palmiers…

 

Je ne sais pas si Binoche était voilée. Mon écran est resté noir devant cette étrangeté politisée. C’est ma voisine de palier, celle que je vais saluer chaque matin, qui m’a donné le résultat du concours :

 

Palme d’or : Raymond Bernard pour « Les Misérables »

Palme d’argent : Luis Bunuel pour « Les fantômes de la liberté »

Palme de Bronze : Jean Cocteau pour « Orphée »

Palme du meilleur acteur : Christopher Walken pour son rôle de Jonnny Smith dans « Dead Zone » de David Cronenberg

Palme de la meilleure actrice : Jacqueline Pagnol pour son rôle de Manon dans « Manon des sources » de Marcel Pagnol

 

Étonnant ce vire-voltage très à la mode ! Pour moi, le palmarès me convient. Je n’ai joué aucun rôle dans la décision des juges. Juré craché !

samedi 24 mai 2025

vu à travers le tube • le puits au fond du jardin • encore et encore…


 


 

Encore réécrire ce que je vois dans mon tube, encore retranscrire les hurlements qui surgissent du noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, commence à être fatiguant. Ma voisine de palier que je vais aller saluer avant de me rendre chez mon Leclerc prendre mon café, me dit d’arrêter, me dit que je perds mon temps, me dit que les aveugles ne peuvent retrouver la vue et que les sourds ne peuvent soudain entendre. Et si elle avait raison ! Mais me priver de l’observation de notre monde d’aliénés et aliéné ne serait-ce pas me planter moi-même un poignard dans le dos ? Je vis mes dernières heures dans un monde en contradiction avec l’organisation subliminale de l’écriture d’équilibre de Jean-Sébastien Bach,  en contradiction avec l’humanité rayonnante de Wolfgang Amadeus Mozart, en contradiction avec la synthèse des évolutions heureuses de Richard Wagner dans son énigme de Tristan qui n’aimait pas Isolde, d’isolde qui n’aimait pas Tristan, et qui pourtant tous deux faisaient semblant sur des septièmes diminuées bardées d’appogiatures, de retards, et d’autres ornements, ce qui les a menés à l’endroit précis où nous sommes aujourd’hui. Ne devrait gouverner un pays que ceux qui connaissent leurs classiques, que ceux qui savent analyser et décortiquer les agrégats pour les transformer en accords posés solidement sur leurs immuables fondamentales. Ceux qui décident ne savent rien et ceux qui les désignent n’en savent pas moins. Et je ris aux éclats quand j’entends le mot « démocratie » dont pas un seul pantin connaît la définition. Par contre, je ris moins quand je vois tous ces moutons suivre les loups qui sont entrain de les précipiter dans le noir de mon célèbre puits d’où s’élèvent les plaintes des inconscients condamner à se vider de leur sang pour tous les temps qui restent avant la fin des temps. J’ai proposé Freud. Je me suis fait assassiner et pourtant je vis. Alors, réfléchissez ! Votre souffrance, douce par rapport à celle qui arrive, vous l’avez tant désiré. Qui succèdera à l’infâme Macron ? Un autre Macron inévitablement. Et puis un autre, et puis un autre. Ce sera sans fin jusqu’à ce qu’Allah et Mélenchon, et tous les autres, vous écrasent sous leurs semelles et ne laissent de vous qu’une trace de sang qui disparaitra rapidement sous la chaleur des rayons du soleil.  

mercredi 21 mai 2025

le puits au fond du jardin • les frérots font leur entrée officielle…

 



 

Alors que la France retourne sa veste et sa culotte en s’éprenant du Hamas qui la félicite – la France, ce n’est qu’un ployable enfant au psychisme inabouti et son ministre chauve des Affaires étrangères -, le rapport sur l’activité des frères musulmans aurait dû dévaster les esprits. Que nenni ! Plus de la moitié du pays est sous l’autorité des frérots et leur capacité à s’infiltrer au nez et à la barbe des naïfs, nous même tout droit à la charia. Demain, braves gens pitoyables, vous devrez vous agenouiller devant Allah sous peine de châtiments dont vous ne soupçonnez même pas l’efficacité. Et quand vous verrez bobonne sous ses voiles, violée ici et là sous vos yeux, vous penserez à vos années de peinard où vous injuriez Le Pen, Zemmour et Maréchal. Aujourd’hui, vous avez l’occasion de vous injurier pleinement. N’hésitez pas. Ça ne sert à rien, mais ça soulage. Combien de fois l’ai-je écrit ici ? Il fallait me faire confiance. Pour éviter toutes ces horreurs, il ne fallait pas voter pour tous ces misérables. Il vous suffisait de pousser la porte du cabinet de Freud pour chercher votre miroir, pour le trouver, pour vous y regarder, pour vous y reconnaître et pour le traverser. Ce n’est pas la société qu’il faut changer, mais le psychisme de l’homme. C’est vers sa fondamentale qu’il doit tendre pour retrouver ses valeurs cardinales. Avoir tranché la tête de ce pauvre Louis pour le remplacer par un empereur aura été la plus grande de votre ignominie. Je vous laisse là où vous êtes. Moi, je retourne d’où je viens, non sans passer avant chez mon Leclerc prendre mon café après avoir salué ma voisine de palier, qui ce matin est toute défaite.

lundi 19 mai 2025

le puits au fond du jardin • crasse écologique…



 

Je ne sais pas si l’attraction du jour est la victoire amplement justifiée de Rotailleau ou les insanités proférées par le terrifiant imposteur écolo Caron au sujet d’Israël et de l’Eurovision. C’est pourquoi j’opte pour sa collègue Tondelier, frappée d’une absence de cerveau et affublée d’une constance affligeante de niaiseries congénitales. Je l’ai vu, hier à midi, à la télé. Son discours creux, sans fondement, basé sur l’ignorance, la médisance, la lâcheté crasse, me conforte dans ma non-considération de la race écologique qui ne comprend que des frustrés, des morts-vivants, des lâches qui défendent la souffrance des poireaux pour ne pas voir celle des hommes et la leur, en particulier. Ils ne sont que des malades incurables qui vivent leur mort en dehors de toutes les réalités et qui veulent le triomphe des crétineries abyssales et dangereuses comme les LGBTQIA+ et la honte des couples homos et lesbiennes qui se croient autorisés à adopter, ce qui est absolument contraire à l’équilibre et à la croissance de l’enfant. Nous vivons nos héritages, une succession d’horreurs et de souffrances, auxquels s’ajoutent les coups de poignards du présent, parce que la volonté de maîtriser notre inconscient est un tabou incontournable. Et pourtant, il suffirait de pousser la porte du cabinet de Freud pour y cherche notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Mais non, l’homme préfère s’acharner sur les on-dit sans fondement et vivre mort sur le chemin mène dans le noir au fond de mon puits, au fond de mon jardin.  

 


dimanche 18 mai 2025

le puits au fond du jardin • ça descend encore…

 



 

La France entière pleure à chaud de larmes. Elle a encore perdu, comme elle perd depuis 48 ans. Ce n’est pas que les autres étaient meilleurs, avaient plus de talent, c’est que la France est la France, ce pays qui dégringole au gré des vents. Elle n’a plus ses piliers bien plantés dans le sol et se laisse balloter par les menteurs politiques, journalistes, philosophes, qui batifolent dans le déni et l’ignorance, entrainant avec eux une population amphétaminée, prête à se jeter dans le vide à la moindre injonction de Mélenchon ou Macron. La France a quitté la rive, celle où l’on pense soi, celle où l’on parle soi, celle où l’on est soi, celle où l’on fait fi des belles images et des belles paroles qui ensorcellent les esprits, celle où la pensée domine et explose les tartuffes imbéciles, celle où la vie est organisée autour de Freud dont la thérapie psychanalytique est la seule à redonner la vie à cette flopée de morts-vivants qui dorment sur le sol en respirant bruyamment. Peut-être que si Loane avait chanté la révélation de Brunehilde à Sieglinde, le peuple entier l’aurait acclamée. Le niveau de ce qu’on appelle « chanson », à l’Eurovision ou ailleurs, suit la dégradation de l’humanité qui, lentement et sûrement, descend chaque jour un peu plus dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Avant qu’il ne soit trop tard, et même s’il est déjà trop tard, penser autrement, voir ce qu’il y a derrière l’arbre, est l’unique solution. L’unique ! A vous de jouer.

lundi 12 mai 2025

le puits au fond du jardin • la mort entre à l’assemblée…

 



 

La descente, dans le noir au fond de mon puits, se poursuit. L’euthanasie va être officialisée, le droit à la mise à mort de tous les corps meurtris et de tous les corps en trop, va être inscrit dans la loi. «Lorsqu’une société, une civilisation, un pays en vient à légaliser l’euthanasie, il perd à mes yeux tout droit au respect.»  (Michel Houellebecq). Ce sera la fin des vieux et des inactifs. Ce n’est pas la France que veulent les Français. C’est celle des élus, ces ignorants pervers qui vivent loin du peuple et qui ne cesse de le détruire. Mais il est vrai que c’est bien le peuple, ou plutôt sa partie négative, qui a les a désignés et leur a donné les pouvoirs monstrueux, dont ils abusent. La machine est détraquée.  La politique n’est plus que réminiscence. Les pensées ont figé leurs images qui n’attendent que leur destruction. Le mot « fin » va s’inscrire sur l’écran blanc qui se déchire. Écoutez l’édito de  Vincent Trémolet de Villers  de ce matin sur Europe 1 :

 

https://www.europe1.fr/emissions/ledito-politique/euthanasie-les-folles-logiques-dune-loi-745629

dimanche 11 mai 2025

le puits au fond du jardin • dans le noir du fond de mon puits…

 



 

Macron et sa bande de rigolos – pas vraiment rigolos – sont partis pour Kiev, rejoindre, en train de nuit, l’homme qu’il tripote à souhait, pour organiser le guerre Europe-Russie que l’enfant, au psychisme inabouti, de l’Élysée, attend depuis si longtemps. Le guerrier des temps absurdes et modernes aura-t-il son cheval blanc sous ses fesses et son tricorne sur la tête quand un drone fera exploser ses chairs alors qu’il n’a toujours pas caché sa main cajoleuse sous la boutonnière de son veston ? Et oui, c’est bien le petit Napoléon qui s’est cassé les dents sous les remparts de Moscou et qui est rentré en France à pied, la tête baissée et l’ambition nauséabonde fracassée. Être en guerre au moment de la présidentielle, n’est-ce pas le seul moyen de rester au pouvoir, bien au chaud, sous les jupes de maman épousée, dont certains disent – des mauvaises langues – que maman est papa.  

 

Le rodéo urbain, à Évian, a envoyé un sapeur-pompier à l’hôpital. Il est gravement blessé et je ne sais pas où en est son état vital en ce moment. Rotailleau a encore dénoncé la racaille et les terroristes juvéniles qui ont fait de l’assassinat un métier. De cette affaire, France Inter-Info a seulement souligné les propos violents et dangereux du ministre de l’Intérieur. S’il y a racailles et terroristes juvéniles, ce n’est pas la faute des réseaux sociaux, mais bien de ces radios de mécréants qui plonge le monde, avec Mélenchon, dans les ténèbres sordides de l’islamisme qui, tous les jours, marque un point. Le criminel est un jeune alcoolique drogué à qui on vient de retirer le permis de conduire. La logique est que l’individu soit mis en prison pour vingt ou trente ans, sans jugement et dans une cellule sans fenêtre, sans matelas, sans télé, sans portable, sans ordinateur, avec une minuscule ouverture qui laisse entrer les gros rats sales des égouts voisins. Mais non, à l’image du président, on est dans une époque de cajoleries intensives.  D’autres imbéciles diront qu’on est humain.

 

De la même trempe ou de la même veine, dans le Lot, 10 000 tarés se sont installés, depuis plusieurs jours, sur un terrain agricole pour une « rave party » interdite – INTERDITE -. La drogue, l’alcool et le sexe – ce qui va de pair -, triomphent nuit et jour, au nez et à la barbe de 200 policiers qui fournissent aux délinquants les soins et la sécurité. Voilà à quoi on utilise la police, alors que son travail est de les embarquer et de les conduire dans les prisons identiques à celle du chapitre précédent. Ce laxisme, ce foutage de gueule, ne peut avoir que des répercutions, et la première est la plus logique : pourquoi obéir aux lois, puisque la désobéissance y est désormais inscrite. Parler, se rendre sur les lieux des crimes, rendre des hommages, ne sert à rien, sinon à occuper les journées des ministres. Et si tous ces minables la fermaient une fois pour toutes, et agissaient impitoyablement ? Une bonne partie des déchets humanoïdes disparaîtraient, les voies se libéreraient, et chacun pourrait déployer ses ailes en fonction de ses capacités. Ce n’est qu’un rêve. La réhabilitation de Freud n’est pas pour demain.

samedi 10 mai 2025

le puits au fond du jardin • en face des deux rives…


 


 

Inde-Pakistan, Israël-Monde – deux exemples parmi les centaines de guerres qui affligent la terre -, et cette tragédie-comique qu’est Ukraine-Russie, tragique par le sang versé par leur peuple, comique par l’humour macabre des dirigeants dont les célèbres clowns Macron et Zelenski qui se rencontrent aujourd’hui à Kiev pour dresser le plan qui va terrasser Poutine à qui on reproche d’avoir organisé un 9 mai, le défilé du 14 juillet, une puérile question de date.  Depuis l’avènement de l’homme, les guerres n’ont jamais cessé, et jamais, elles ne cesseront, la paix ayant toujours été incompatible avec le psychisme fracturé du cerveau humain. Et ce n’est pas le message de paix de Léon XIV qui va changer les choses, d’autant que les guerres les plus odieuses ont été celles provoquées par les chrétiens et leur évangélisation. Dieu a créé l’homme, puis la femme – longtemps après – pour qu’il s’entretue jusqu’à extinction des feux. On n’en n’est pas loin. Que restera-t-il de son histoire ? Tout d’abord, un enchainement de constructions de plus en plus hâtives et de destructions systématiques de toutes les avancées. La terre aura été un jeu de cube donné à un enfant de deux ans qui ne cesse d’empiler et de frapper à coups de poing sa construction, dès qu’elle prend la moindre forme. Puis ensuite, la confusion des images qui régentent nos parcours. Tout n’est qu’images projetées par notre psychisme. Chacun ayant les siennes, elles ne peuvent être réalité. La réalité, c’est comme la démocratie : un leurre, un fourvoiement. Et puis, qu’y a-t-il dans l’image ? Qu’y voit-on ? Que n’y voit-on pas ? Faut-il la regarder de gauche à droite ? De haut en bas ? Et les fragments qui tombent de l’image ? Sont-ils des indices ou des caches de l’image ? Et l’image derrière l’image ? Pourquoi ne la voit-on pas ? Pourquoi toutes ces vies auront-elles passé à côté de l’image, sans y être dedans ? Pourquoi l’image s’est-elle détruite quand le faisceau de lumière du projecteur s’est éteint ? La vie s’est arrêtée parce que l’homme a toujours été dans l’incapacité de se poser les bonnes questions, et que jamais il n’est allé les chercher là où elles n’ont aucune raison d’être. Et pourtant, pendant tous ces siècles, elles ont été là, sous nos yeux, nos yeux qui regardaient ailleurs. Tout ça n’est que l’histoire du doigt et de la lune ou de l’arbre et la forêt. C’est sans importance. La femme coupable nous a fait naître pour mourir.

 

Freud avait deviné et proposé. Il a été jeté comme un chien. Et c’est pour cela qu’on en est là, aujourd’hui. De l’autre côté !