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vendredi 15 août 2025

le puits au fond du jardin • freud ne viendra pas…

 



 

185 pays se sont réunis à Genève pour mettre fin à la pollution plastique, et patatras, ce petit monde oisif et mesquin a échoué. Je suis content parce que je viens tout juste de m’acheter un euphonium en plastique qui ne pollue pas plus que mon poêle à charbon. Quand va-t-on cesser de tourner la tête de l’autre côté et de s’occuper de choses sérieuses : ce maire communiste, lâche et peureux, qui a annulé la projection du film « Barbie » - le pire des navets, mais ce n’est pas une raison – sous la pression d’une bande de petits cons terroristes islamistes ; cet olivier qui a été scié dans la nuit de mercredi à jeudi, parce qu’il rendait symboliquement hommage à Ilan Halimi, un jeune juif assassiné en 2006 ; ces crimes permanents contre les juifs par les hordes sauvages islamistes qui sont en train de prendre possession du pays, avec la bénédiction et l’aide de la hargne de Mélenchon et de ses verrues et par le silence et les mots qui tuent de l’enfant psychopathe de l’Élysée qui fait office de roi et France et de Grand Inquisiteur, en même temps. L’enfant, tout bronzé, s’agite dans un fort du Var pour mieux s’imaginer gouverner le monde alors qu’il ne sait toujours pas de quel côté diriger son impuissance chronique. La France est si malade que sa population est frappée d’inertie et se métamorphose en vers de terre pour mieux cacher sa honte sous la terre, dans les tunnels qu’elle creuse sans répits. On en est là aujourd’hui, brisés, cassés, déglingués, vidés. Et dans ce cercle infini où nous nous mordons la queue, personne ne peut nous sauver. Wotan a été capable de rendre l’Or au Rhin et de briser la malédiction. Seul Freud à ce pouvoir. Cependant, je le supplie de s’abstenir. Vous l’avez trop maltraité.

mercredi 13 août 2025

le puits au fond du jardin • à reculons…


 


 

Aujourd’hui ne va pas mieux qu’hier et demain sera pire qu’aujourd’hui. La descente dans le noir du fond de mon puits est continue et ne cessera que lorsqu’elle aura atteint le néant. La cervelle humaine, exposée sur l’étal du boucher, moisit, sent mauvais, se rapetisse et se désintègre et la boutique reste vide sous les yeux effarés de la femme du boucher qui ne joue plus comme chez Pagnol. De ce monde stupide et hideux qui touche le crépuscule, il restera, pour les quelques mémoires vives, Freud évidemment, Molière sûrement, Bach probablement, Hitchcock peut-être. C’est beaucoup pour les quelques milliers d’années que l’homme aura vécu mort-vivant sur cette terre, sans jamais comprendre qu’il était dans l’incapacité de comprendre quoi que ce soit, notamment qu’il était homme. Après que Dieu eut créé l’homme, il a créé la femme, quand il a vu que sa créature s’ennuyait ferme et risquait la dépression. Il a fait une telle erreur qu’il aurait mieux fait de se casser les deux jambes en tombant de son ciel. L’idiot a persisté et voilà où nous en sommes. La vieillesse, c’est la marche à reculons pour retourner à la maison dans le ventre maternel. Ce soir, à l’opéra de Lyon, je joue la 6e trompette dans l’Elektra de Richard Strauss, sous la direction de l’immense Richard Kraus. Cela avait été inoubliable et cela se reproduit dans mon cercle de lumière.

samedi 26 juillet 2025

le puits au fond du jardin • dans le miroir…

 



 

Il était au bas de l’échelle, au bas de celle que je laisse dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin pour ceux qui s’accrochent encore aux barreaux alors qu’ils savent que tout est fini. Cette fois, il a été terrassé par son arrogance maladive et il est tombé dans la mare des corps décomposés qui grouille des sursauts des minables psychopathes qui ont détruit les rouages du monde pour mieux le maitriser, sans y parvenir. L’enfant de l’Élysée au psychisme inabouti vient de rejoindre ses nouveaux amis, Mélenchon, Caron, Panot, Kéké, les terroristes islamistes de l’Assemblée et la grande famille du Hamas qui l’ont chaudement félicité et même plébiscité. L’enfant et sa maman épousée n’ont plus de soucis à se faire. Après leurs dix années sur le trône de France, ils vont pouvoir s’asseoir sur le trône de la honte, celui des terroristes de Gaza, et ils seront enfin à leur place. Tout soutien à l’enfant est la marque d’une totale déchéance, d’un effondrement psychique, d’une injure à l’homme lucide, équitable et fier de son reflet dans le miroir, celui qu’il aura réussi à traverser.

jeudi 24 juillet 2025

le puits au fond du jardin • coquelicots…

 



 

C’est la zizanie en Ukraine. Le peuple se révolte contre son clown. C’est la zizanie au sein du gouvernement français. Rotailleau prédit la mort de la macronie dont les toutous soumis s’étranglent de colère. Quand l’enfant aura été chassé, les toutous tourneront sur eux-mêmes en reniflant les vapeurs perdues de leurs illusions, puis s’éteindront dans les buissons pour passer aux oubliettes. Je ne suis pas sûr que ces dix ans de mensonges terrifiants réveillent le peuple dont la vocation est de toujours suivre le plus brillant, le plus voyant, le plus caressant, le plus étonnant, le plus charmant, celui dont le masque est le plus attirant. Et pourtant, il devrait savoir, que derrière le masque se cache toujours l’autre versant. L’inconvénient est qu’en politique, on ne trouve que des enfants qui passent leur vie à jouer avec des poupées Barbie, des poupons sans pénis, des soldats de plomb à cheval ou en missile, des miniatures à (télé)commander, des trains nains qui tournent en rond, des masques de Zorro et leur épée hors du fourreau. Leur ignorance ne leur permet pas de voir qu’ils sont petits et si petits, que la marche vers le monde des adultes est si haute qu’elle leur est inaccessible. Regarder n’est pas voir. Ceux qui voient se trouvent face à un monde politique pitoyable, fait de petits cons qui bombent le torse et montre le muscle, alors qu’ils sont plats comme la planche vermoulue qui ferme le poulailler derrière ma maison. Changer le monde, c’est changer les esprits. Jamais la politique n’y parviendra. Ce n’est pas grave puisqu’il a passé la lisière de l’agonie. Mais, tout de même, si les consciences des conscients avaient poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher leur miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser, le soleil aurait, à son lever, saupoudré ses rayons sur les champs des rouges coquelicots tapissant la surface de la terre.  

lundi 21 juillet 2025

le puits au fond du jardin • oser…


 


 

Ce matin, dans tous les postes – même ceux des increvables gauchos – on ne discutaillait pas des guerres en Ukraine et à Gaza, on affirmait les faits. La France entière est atteinte par les invasions des terroristes voyous dont la jeunesse – 10, 11, 12, 13, 14 ans – a pris la tête, et joue habilement du couteau, du mortier, et parfois de la mitraillette, pour soumettre leurs ainés et laisser place aux hiérarchies des cartels, des fanas de l’islamisme punitif, des hordes de hors-la-loi, qui tous ont déjà gagné la partie, puisque la France est dirigée par des lavettes rampantes que les votants ont choisies. Vous y croyez à la prison haute-sécurité de Darmanin ? Est-ce de la haute sécurité une prison avec une cour de récréation et des surveillants qui font déjà dans leur froc ? « Ils » sont plus fort que toutes les polices et toutes les armées du monde, plus malins, plus intelligents, plus respectueux de leurs convictions. Ce sont des gagnants. Croyez-vous que l’enfant immature, au psychisme inabouti, qui se cache sous les jupes de sa maman épousée, et qui dirige la France, a envie de faire face aux héros du nouveau monde, le monde que vous avez voulu, celui que vous avez créé en glissant un morceau de papier cul dans la fente d’une boite à chaussure ? Vous n’êtes que des gamins qui suivent les héros de papier et qui finiront un jour ou l’autre, allongés sur les bords des chemins boueux qui mènent à mon jardin. Encore un petit effort et vous atteindrez mon puits dont le noir du fond grouille dans un bruit assourdissant des pantins de toutes sortent, ceux qui n’ont pas osé vivre.

lundi 14 juillet 2025

le puits au fond du jardin • les grands hommes…

 



 

Les grands hommes sont ceux qui ont compris les comportements humains, les psychismes de leurs contemporains et de leurs anciens. Ceux qui imaginent des stratégies guerrières et qui collectionnent les breloques à uniformes, ceux qui ont fait les grandes écoles pour concevoir des lois qui remplissent leurs portefeuilles et ligotent les peuples, ceux qui débitent des discours sans fin qui s’ouvrent sur des vides sans fonds, ne sont pas grands. Ils ne sont rien. Peu sont. On ne trouve que des exceptions. Je peux en citer deux ou trois qui, en une vie, auraient pu faire avancer l’humanité de plusieurs siècles, s’ils avaient été écoutés. Freud, le maître absolu, d’abord ; Hitchcock, Lynch et Gilligan, au cinéma ; Euripide, Molière et Shakespeare au théâtre ; Mozart, Verdi et Wagner à l’opéra ; Beethoven, Schubert et Mahler au concert ; Furtwängler, Wang et Hannigan pour l’interprétation, la Mythologie, le contenant qui les englobe tous. Depuis la plus ancienne des civilisations, l’homme est toujours passé à côté. Il a toujours regardé l’autre rive avec une envie démesurée. Jamais il n’a osé franchir le fleuve. C’est pourquoi il périclite et se défait lentement dans sa chute effrayante dans le noir du fond de mon puits, au fond de mon jardin.

jeudi 10 juillet 2025

le puits au fond du jardin • le temps des illusionnistes…


 


Pour accéder au Paradis, il faut chercher une longue échelle, la trouver, la positionner dans la bonne direction et la monter échelon par échelon en faisant bien attention où l’on pose les pieds car le chemin est long, très long. Depuis l’invention de la publicité et l’intensification de la bêtise, on a mis dans la tête des gens que le temps long était une invention des vieilles générations et que tout pouvait s’accomplir ou s’acquérir en peu de temps. C’est ainsi qu’aujourd’hui, on peut maigrir en trois jours, éradiquer une dépression nerveuse en une semaine, jouer de la trompette en dix leçons, faire disparaitre la tour Eiffel en un dixième de secondes, les illusionnistes ayant pris les manettes des choses de la vie depuis que la compétence a abandonné tous ses postes à responsabilités. Les décideurs ne vont plus à l’école, ne lisent plus les grands auteurs, n’écoutent plus les grands compositeurs, ne réfléchissent plus avec les grands philosophes antiques, ne comprennent plus le latin et le grec, n’ont aucune idée du contenu de la thérapie psychanalytique, comblent leurs handicaps démesurés par des moyens informatiques qui les abêtissent de jour en jour, sans que cela alerte qui que ce soit. Notre histoire marche à reculons nous rapetisse sans discontinuité, et nous devenons de minuscules insectes nocifs, voués à finir écrasés sous la goutte de pluie qui tombe parfois en été. Qui sommes-nous ? Pourquoi sommes-nous ? Savons-nous si nous sommes ? Commençons par répondre à cette dernière question, ni par oui et ni par non ! Quels liens Freud a-t-il tissé pour savoir qu’il était Freud ?

vendredi 4 juillet 2025

le puits au fond du jardin • sur le sentier du déclin…


 


 

L’enfant de l’Élysée vit dans les retranchements de son psychisme lézardé. Il continue de parler alors que personne ne l’entend et continue de caresser alors que sa main tactile n’a plus de ressenti, ce qui laisse les corps figés en absence de sensibilité. Un seul pouvoir lui reste, celui de dissoudre encore l’Assemblée, dans quatre jours. Ce serait marrant et rigolo. Le foutoir est tel sur tous les bancs, que personne ne peut savoir si cela déclencherait les foudres de Wotan ou le renouveau du printemps qui deviendrait éternel. Les postes et les écrans d’État ont dit, ce matin, qu’hier, le président – quel mot étrange inadapté – était entré dans une grande colère et avait foudroyé de son éclair, Rotailleau et Bayrou. Le premier parce qu’il sortait de temps à autre de la case de l’Intérieur, le second parce qu’il ne sévissait pas auprès de ses troupes qui en prenaient un peu trop à l’aise avec la sagesse et la clairvoyance de l’ombre de Jupiter, qui a toujours tenu à ressembler à Tebboune, le dictateur algérien, dont il vante les mérites à chaque discours et dans chaque village qu’il visite, pour dire qu’il est bien là, lui. C’est la dissolution du président qu’il faut entreprendre et en urgence. Il faut se débarrasser de ce gamin voyou qui a déchiqueté la France et qui la laisse gémir, à terre, au bord du caniveau. Et il ne faut surtout pas le remplacer. La suppression de la fonction serait un bain de jouvence et allégerait le déficit de la France de plus de la moitié. Il faut cesser de voter, chaque bout de papier cul glissé dans la fente de l’urne n’étant que le résultat d’un bourrage de crâne. J’ose affirmer qu’il faut aller chez Freud chercher le point précis où nait la source, et replacer l’individu dans le contexte de la pensée humaine dont la fonction est de créer le lien. Freud ou rien.  J’ai choisi Freud il y aura bientôt un siècle. Et puisque vous choisissez « rien », je vous dis « bonne route » sur le sentier du déclin, de la misère, de la souffrance et de la bêtise crasse que constituent votre ignorance et votre humiliation.

samedi 28 juin 2025

le puits au fond du jardin • la plume au vent...

 



 

Aujourd’hui, le monde entier ne fête pas la naissance d’Abbado, ni le décès de Furtwängler, ni l’invention de Gutenberg, ni le triomphe d’Hamlet à la Comédie française, mais la suprématie de la plume – pas de celle que je trempais dans l’encre sous l’œil avisé de mon maitre d’école, à la fin de la dernière guerre du XXe siècle, ni celle de Zizi Jeanmaire -, mais celle du rossignol ou de la  de la tourterelle, ou plutôt celle de l’oie sauvage, que les acteurs de la pièce s’enfilent bien profond dans le cul, tous nus et peints comme les sauvages des années 300 000 avant J.C. Gay pride, spectacle affligeant, désolant et indécent, auquel les parents amènent les enfants, ce qui me conforte dans ma devise à leur sujet : « TOUS COUPABLES ! » C’est chez Ubu que l’on fête la déviation des sexes et que l’on glorifie l’inaboutissement des psychismes. Les sinistres crétins qui veulent interdire les sites pornos bien cachés dans les ordinateurs, font une pub fracassante pour cette saloperie de rue, mille fois plus dangereuse pour les enfants-enfants, mais aussi pour les enfants-adultes. Quand allons-nous fêter la complémentarité homme à pénis et femme à vagin, la seule réalité sur laquelle peut se reposer une société ? Tous les restes ne sont que des verrues qui peuvent très bien se passer de publicité.

 

Le télétravail a du plomb dans l’aile. Les chefs d’entreprises se réveillent. La maison, avec l’aspirateur, le lave-linge, bobonne ou bobon et la marmaille, ne peut être un lieu de travail. Le travail est un lieu d’émancipation, de relation et de confrontation. Le retour en arrière est indispensable, même s’il ne règlera pas la déficience générale des cerveaux. Vos ancêtres ont découvert l’Amérique, l’Afrique, la Chine. C’est maintenant à vous de découvrir celui qui manque à toutes les sociétés : Freud, le grand Sigmund – à ne pas confondre avec celui du glaive magique -, celui qui a développé la thérapie psychanalytique qui, si les esprits s’ouvraient, révolutionnerait le monde.

mercredi 25 juin 2025

le puits au fond du jardin • sur l’autre rive…

 



 

Il est tunisien et en situation irrégulière. Pour obtenir des papiers, il est allé dénicher une mère de 6 (SIX) enfants et lui a promis monts et merveilles si elle lui accordait sa main. La nigaude naïve subjuguée par sa virilité débordante a dit OUI. Elle lui a même promis de lui fabriquer 5 ou 6 autres enfants afin de compléter la marmite des marmailles. Et le type rit sous cape en se voyant prendre la poudre d’escampette après l’enfilade de la bague, laissant la gourde ignorante courbée sur le tapis. Heureusement, Marlène Mourrier, la maire de Bourg-lès-Valence a les pieds bien ancrés dans le sol de France. Elle refuse de les marier pour ne pas être complice d’un mariage blanc.  Dans quelques jours les représentants de l’Injustice française vont venir la chercher, la mettre au cachot noir pour 5 ans et ôter de son compte en banque, 75 000 euros. Voilà lâches français, ce qu’est votre misérable pays qui croule, défait, dans le noir du fond de mon puits.  Quelle bonne idée j’ai eu, quand un soir d’automne, alors que le crépuscule annonçait celui des dieux et des hommes, j’ai osé me jeter dans le fleuve et nager jusqu’à l’autre rive. D’ici, je vois, je regarde, j’écoute, j’entends, et je ris devant la danse des pantins qui tentent, en vain, d’imiter celle du sacre du printemps. Les robots en planches clouées s’épuisent. Ils ne savent plus que parler et c’est bien pour cela que plus personne n’y comprend rien. Seul dans mon désert sans fin, j’ai découvert la cachette de Freud, mais aussi celle de Mozart, et aussi celle de Schubert et Wagner. Tous les trois ou quatre jours, nous déjeunons ensemble. La conversation est phrasée et nuancée. Souvent, une truite se joint à nous. Elle joue de la flûte sur le bûcher de l’anneau. Et Freud nous répète sans cesse de ne jamais oublier que ce que nous voyons, nous ne le voyons pas et que si nous sommes, c’est que nous ne sommes pas. 

mardi 24 juin 2025

le puits au fond du jardin • ignorance…

 



 

Le malade qui nous gouverne est partout. Partout en même temps. Quand il est à Munich, il est à Détroit, à Lausanne aussi, mais aussi à Tarascon. Et mes 440 écrans télés montrent son image – je le reconnais à sa coiffure LGBCTG, rasée sur les côtés au-dessus des oreilles – tout le temps, en même temps, lui qui n’est qu’une image qu’Épinal a rejeté de son album. Si on peut le reconnaître par le vide au-dessus de ses oreilles, on peut aussi le reconnaitre grâce à ses mains qui caressent tout, tout le temps et tout en même temps. C’est ainsi que Merkel a été caressée en même temps que le singe du zoo de Vincennes ainsi que le cheval blanc d’Henry IV, peint sur la paroi humide et froide des grottes de La Balme – c’est peut-être François 1e ! -. Il y eut aussi Attal qui accueillait sa main qui caressait Borne et la peau suante de Mbappé, tout en même temps. L’ado est déboulonné, tenu à distance. Il n’a plus aucune crédibilité et la France doit s’en débarrasser si elle ne veut pas continuer sa chute dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. C’est aux français de décider ce qu’ils veulent pour la France. Mais comment décider quand on n’a pas la capacité de comprendre que décider c’est agir et agir dans l’instant. Moi, je regarde et je jouis du spectacle des pantins patins. Assis sous l’olivier de l’autre rive, j’observe en jouant de mon euphonium à quatre pistons et je me plais à interpréter la « Marche des Soldats de plomb » qui incite les pantins à danser. Les planches vermoulues érigent leurs clous rouillés et la débandade finie en un tas de planches de vieux bois à bruler.

 

Après m’être bien amusé, je vais me reposer aux accents des accords de Tristan et je vais me plaire à penser que la vie pourrait être tout autre chose si la race humaine regardait, écoutait et délaissait pour toujours son abyssale ignorance.   

lundi 23 juin 2025

le puits au fond du jardin • l’autre rive…

 


 

Connaissez-vous le pays où fleurit Tristan, Brunehilde, Boccanegra, Desdémone, Pamina, Cherubino, Marguerite, Micaela, Marie, Mignon, le pays d’où je viens et qui est sur l’autre rive, celle que personne ne veut aborder par peur d’affronter le miroir de la vérité ? J’y suis resté un long temps, court et démesuré, pour me protéger des salopards terroristes islamistes de gauche que sont Salamé, Macron, Mélenchon, France Inter-Info, France Culture-Musique, Fête de la musique, communistes, socialistes, écolos écologistes, écologistes écolos, rappeurs à fromages en tous genres, PSG, Lemoine, Aphatie, auxquels s’ajoutent les restes que je ne citerai pas pour ne pas salir davantage ma page. En mettant la clé dans la serrure de la porte de mon lieu de vie, j’ai eu un frisson en pensant que j’allais retrouver l’indigeste gloubi-boulga qui ne cesse d’inciter à rentrer dans le rang des gens sans pensés, fabriqués, forgés et formatés pour être bien sages, bien polis, et bien inscrits dans les caniveaux exécrables des conventions de la bienséance, dont Macron, Mélenchon et Léon XIV, ont fait leurs tasses de thé. Avez-vous vu Barenboïm diriger Tristan ? Avez-vous entendu Meier chanter, après la mort de Tristan, la dissolution de son âme dans le tout ? Avez-vous été transportés par le sublime duo de Renata et Mario au final du premier acte d’Otello ? Il y a bien deux mondes opposés : celui de la rive et celui de l’autre rive, l’un parcouru de vivants morts, l’autre de vivants vivants.

 

En passant la porte, j’ai appris le triomphe de Trump, l’homme qui décide et frappe là où il faut. Et j’ai vu la mine défaite de Macron, l’enfant serpillière au psychisme inabouti, qui va d’échec en échec, avec sa suite en haillons. Si cette chose n’est pas boutée à coups de pieds dans le cul, la France ne se remettra jamais de ses caprices scandaleux et de ceux d’Hollande le triste sire, mais aussi de ceux de François 1e, le coureur de jupons et de Napoléon, le va-t-en-guerre aux trois cornes et à la main cachée. Le monde est celui d’Ubu, de l’absurde et du mensonge. Les lignes sont cassées. Les écrans blancs laissent échapper les formes mouvantes en noir et en couleurs. Les barrières sont tombées. Le soleil va bientôt enflammer la terre. Comme la saucisse, nous allons tous griller. Chouette !    

jeudi 12 juin 2025

le puits au fond du jardin • ignorance et procureur…

 



 

Un procureur n’est qu’un vulgaire petit fonctionnaire et je ne vois pas pourquoi celui que j’ai vu hier à la télé se donne le droit d’affirmer qu’un enfant de 14 ans qui poignarde à mort la surveillante de son collège a un psychisme équilibré. Le malotru a déjà frappé et tenté d’étrangler. Son psychisme ne serait donc pas fracturé ? Je connais un célèbre grand psychanalyste qui affirme avec raison que le monde est peuplé de psychopathes. Sans couteau, le morveux l’est. Alors avec ! Le morveux malotru est un grand malade psychique et sa place est à l’hôpital psychiatrique pour quarante ans après vingt bonnes années au cachot noir, enchainé, boulets aux pieds, Quant à ses parents, ils doivent être mis en état d’arrestation et payer à vie pour avoir pondu un enfant alors qu’ils en ignoraient la définition. Les milliards de commentaires entendus depuis hier, tous aussi stupides et à contre-sens, n’arrangent pas les affaires d’un pays qui s’enlise de minutes en minutes dans le noir du trou du fond de mon puits. Ce n’est ni Macron ni Mélenchon votre futur dictateur islamiste aux ordres du Hamas, les autres non plus, qui vont régler les problèmes de fond. Il faut redonner à l’individu sa fonction première, celle qui possédait encore dans les premières générations, quand il n’y avait pas le TGV, pas le presse-citron, pas la charrette, pas la fourchette, mais seulement les mains et les pieds. L’homme nait méchant, mauvais, sadique et criminel. La femme aussi. C’est pourquoi la seule initiative est la désintoxication et la refabrication. Pour cela, il faut maitriser le lien entre notre conscient et notre inconscient et ne plus laisser ce dernier prendre le pas sur le premier.  C’est en poussant la porte du cabinet de Freud, qu’un début de vie supportable pourrait apparaître sur terre. Il faut se laisser guider et tendre en priorité vers la recherche de son miroir, le trouver, s'y regarder, s'y reconnaître et le traverser. C’est une longue démarche qui prend des années et de toutes les façons, toute une vie, toute votre vie. Quoique vous en pensiez, c’est la seule solution. Tous les restes ne sont que faux-semblants qui n’arrêteront jamais la chute dans le précipice qu’est mon puits dans le fond de mon jardin.

mardi 10 juin 2025

le puits au fond du jardin • la douce vie tranquille de greta et rima…

 



 

Greta et Rima ont pris les voiles pour rallier la bande de Gaza où leurs amis du Hamas font massacrer chaque jour des centaines d’enfants, de femmes, et d’hommes aussi, ce qui n’est jamais dit. Les deux misérables caricatures décérébrées voulaient reproduire l’entrée victorieuse d’Othello dans Venise et n’ont réussi qu’à se faire intercepter par l’armée israélienne, qui après leur avoir distribué quelques pains au chocolat, les ont conduites à l’aéroport de Tel-Aviv où les voilà près d’embarquer pour leur contrée respective. Elles ont eu le soutient sans faille du terroriste islamiste Mélenchon et, beaucoup plus grave, celui de son frère de sang, l’enfant au psychisme inabouti qui occupe l’Élysée et qui ne peut qu’inquiéter par ses paroles ignobles et sa cécité définitive devant les cadavres qu’il a alignés sur le sol de la France de Charles Martel. Ce sous-homme vient de préciser qu’il ne dissoudra pas l’Assemblée alors que la Constitution scélérate du vieux général lui en donne de nouveau le droit, ce qui veut dire qu’il va se dépêcher de le faire, tout simplement pour qu’en France, aussi, on parle de lui, et que son visage et ses mains baladeuses engorgent les écrans. C’est là que je ne peux que voir un peuple misérable qui siècles après siècles, s’agenouille devant les détritus de l’humanité. En France, la seule fois où il se serait révolté, ce fut le jour où il a tranché le cou de Louis XVI pour s’empresser, dès le lendemain, de le remplacer par un empereur amputé d’une main et pourvu de trois cornes sur la tête. Sortir des clichés, penser autrement, saluer la forêt et la lune en sciant le tronc de l’arbre et en sectionnant le doigt pointé, c’est ce qu’il serait nécessaire. Et pourtant, personne ne le fait parce que quelques idiots imbéciles ont dit que Freud copulait avec son chien. C’est pourtant chez lui que chaque individu peut chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. Mais pour cela, il faut trouver la porte du cabinet du maitre. Et je reconnais que pour l’immense majorité, c’est un insurmontable problème insurmontable.

lundi 9 juin 2025

le puits au fond du jardin • dans le noir de son fond…


 


 

En fait, l’enfant de l’Élysée est un super produit LFI, un pervers égal à Mélenchon, Bompart et Panot, réunis, un embryon déconnecté de toutes réalités. Le voilà à la tête des écolos, des fous furieux qui prétendent conquérir les tempêtes, les canicules, les glaces éternelles. La terre n’a pas besoin de minuscules pantins ridicules désarticulés pour gérer sa grandeur et sa puissance. Quand la terre rendra l’âme, les stupides humains auront disparu depuis des milliards d’années et sans doute beaucoup plus. Et quand on voit l’enfant immature au psychisme inachevé avoir la prétention de dompter la nature alors qu’il n’est pas capable de maîtriser une dizaine de gamins voyous qui cassent tout sur les Champs-Élysées, on croit rêver tout éveiller. Misérable personnage qui vit chichement aux frais du contribuable, qui aura passé sa vie publique chez ses amis voisins ou plus lointains et ne sera jamais privé de les caresser et de les bisouter à volonté. La perversité du gugus est grande, si grande que l’œil du brave ne la voit pas.  C’est pourquoi il lui est si facile de mentir et de manœuvrer, tout à son aise, les populations. Le jeunot veut posséder le monde. Il va monter de plus en plus haut et sa chute n’en sera que plus admirable. Quand elle l’aura précipité dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin et que j’entendrai ses cris insoutenables, je ne bougerai pas le petit doigt. Lui et moi, étendu sur l’herbe verte des belles nuits d’été, nous contemplerons la lune, cet astre magique qui aura passionné tant de poètes de génie. C’est sur elle qu’Elle, a rencontré Pierrot.

samedi 7 juin 2025

le puits au fond du jardin • pensée du matin…



 

Faure, le copain de LFI, entraine les cadavres socialos dans l’abime qui est semblable au noir du fond de mon puits ou croupissent les cadavres grouillants des psychismes inaboutis. Royale – Ségolène – caresse les poils de Mélenchon pour qu’il lui offre une circonscription alors qu’elle n’est plus que le déchet d’une tranche de vie qui a crucifié le monde. L’enfant de l’Élysée, au psychisme inabouti, part pour deux jours, avec bobonne-maman, sur Le Rocher ou un prince et une princesse d’opérettes à la Lopez vont les accueillir en grandes pompes funestes et se faire bisouter et caresser par un expert qui ne peut s’empêcher d’exposer ses tares qu’aucun observateur n’ose analyser. Elles sont toutes gravement malades les têtes des pays, mais celle-là l’est davantage encore, parce qu’elle tire le rideau noir sur l’écran blanc qui l’a posée sur le trône. La tromperie est le maitre-mot de la politique et les pantins-larbins s’y laissent tous prendre. Ils votent, ils votent, ils votent, sans savoir qu’ils fabriquent la corde qui va s’enrouler autour de leur cou. Ne faire confiance à personne, appréhender la petite fille au bout du chemin, ne pas quitter le fleuve qui coule entre les deux rives, comprendre que tout n’est qu’image scannée dans l’inconscient et reproduite par notre propre canal. Vous n’êtes pas. Je suis. Je ne sais pas si je vis mort ou si je vis. Mais je sais qu’autour de moi s’organisent des fragments de mon accouchement comme tombent les ombres des feuilles mortes. Ce va et vient incessant entre mon conscient et mon inconscient m’autorise à détecter le vrai du faux de l’illusionniste qui faisait apparaitre sa dulciné parce qu’il avait besoin de la regarder, de regarder ses grands yeux noirs, le miroir qu’il était allé chercher dans la clarté de l’atelier de Freud, miroir qu’il avait trouvé, dans lequel il s’était regardé, reconnu, et qu’il avait traversé. Il avait compris que c’était de l’autre côté, sur l’autre rive, qu’était la vérité et que lorsqu’on la côtoyait, il ne fallait surtout jamais s’en éloigner. Les hommes en sont si loin qu’ils ne peuvent même pas imaginer qu’une porte peut s’ouvrir et jeter au visage le savoir et l’imagination. L’ignorance est si puissante que de retour aux sources, l’or au Rhin, les mémoires oublieront. L’oubli est pire que la mort. Bizarre ces écrevisses qui avancent dans le brouillard noir, alors qu’elles sont nées pour marcher à reculons.

 

mardi 3 juin 2025

le puits au fond du jardin • entre silence et papouille…

 



 

Après ce triste weekend où personne ne se demande comment, à un tel niveau, il est possible de marquer cinq buts et où les presses de gauche minimisent - quand elles en parlent - les dégâts humains et financiers causés par les hordes sauvages qui, à part quelques rares exceptions, se retrouvent aujourd’hui dans la rue après leurs comparutions immédiates, le sursis ayant été le maître-mot de notre Justice agonisante, après le triste weekend, disais-je, la France, enterrée dans les sous-sols depuis presque cinquante ans, est encore descendu d’un étage et peut désormais creuser le fond, elle qui sait si bien creuser sa tombe. Revenir à l’essentiel et détruire le reste : être homme ou femme, être bon ou gentil, marcher à gauche ou à droite, être dans l’eau ou sur la rive, pénétrer ou recevoir, jouer en do ou en ré, différencier ou confondre, obéir ou commander, construire ou détruire, manger ou vomir, se coucher ou se lever, trotter au pas ou au galop, chanter ou aboyer, ouvrir ou fermer, écouter ou entendre, regarder ou voir, fermer ou ouvrir, vivre ou mourir. Nous avons le choix et nous ne le savons pas, parce que les peuples cupides, ignorants et soumis, ont rejeté Freud, celui par qui nous pouvons chercher notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Et c’est la seule – la seule – solution pour mettre fin à la terreur qui embrase le monde, terreur entretenue savamment par les marmites puantes et sanglantes des mélenchonistes islamistes imbriqués d’écologistes stupides et destructeurs.

 

Le peuple français attend toujours, de Bayrou, la condamnation des horreurs de ces samedi et dimanche. Le lâche garde le silence. Il rejoint en cela le détenteur des clés de l’Élysée, qui, au moment des crimes, papouillait ardemment le qatarien protecteur du Hamas et des Frères musulmans.   

vendredi 30 mai 2025

le puits au fond de mon jardin • dans le noir du fond…



 

Déjà cinq jours qu’il est parti dans les pays asiatiques. Hier, un ministre avouait qu’il ne savait pas quand il reviendrait, qu’il ne s’avait pas s’il reviendrait. Il est si bien là-bas, débarrassé des emmerdeurs, des conspirateurs, des complotistes, qui ne supportent plus son oisiveté, sa négligence, son laisser-aller et sa violence envers sa pauvre mère qui pourtant fait tout pour le cacher sous ses jupettes, entre deux tétés. Moi aussi, je ne supporte plus cet enfant au psychisme inachevé qui s’offre d’interminables balades avec l’argent de mes impôts. On nous le dit, on nous le répète sans cesse. La France est dans le gouffre. Les milliards de milliards que constituent sa dette font de nous la risée du monde et nous allons nous retrouver plus miséreux que les peuples de la grande Russie sous le règne du tsar Ivan le Terrible ou ceux de la Guinée Équatoriale sous la présidence de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. J’ai relu toute l’histoire de la France et aussi toutes celles des mondes. Le coup d’État, ça existe. N’est-ce pas le moment de le mettre en branle, avant que nous ne choyons brutalement dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où nous aurons tout loisir pour réfléchir à notre connerie, parce que, de cet endroit, jamais personne n’est sorti.  

 

jeudi 29 mai 2025

le puits au fond du jardin • des larmes…



 

Parmi les innombrables faillites de la France agonisante, on trouve la Justice qui jamais n’aura été aussi perverse et injuste. Le meurtrier du jeune Matisse, un afghan de 16 ans qui l’a poignardé sauvagement, a été condamné à 8 ans de prison alors qu’il aurait dû écoper de la perpétuité. Excuses de minorité et de non-discernement, alors que le crime est devenu le passe-temps des mineurs et que le non-discernement est l’apanage de la société. Croyez-vous sincèrement que les français discernent lorsqu’ils vont aux urnes voter pour des malotrus de caniveaux ? Croyez-vous sincèrement que les français discernent lorsqu’ils ne se mettent pas en travers de l’ascension du terroriste islamiste Mélenchon et qu’ils ne jettent pas aux ordures Macron et sa bobonne ? Matisse a été massacré par un enfant voyou en plein discernement, avec la complicité de sa mère qui a giflé la victime à terre, agonisante. Elle est convoquée par le tribunal qui va lui donner un avertissement. La Justice , ce serait de la condamner comme sa marmaille, prison à vie, dans la nuit éternelle d’un cachot. Dans ce point de non-retour, ne pas répondre à la violence par la violence est un crime. Je connais bien un tout autre moyen. Répondre à la violence par la compassion et le soin. C'est possible. J’ai mille fois proposé Freud et la réponse a toujours été le quolibet et l’injure. Et il y a encore des imbéciles qui se plaignent de leur situation et de celle de leur pays. Pleurez pauvres gens. Vous n’aurez jamais assez de larmes pour renverser la table !


lundi 26 mai 2025

le puits au fond du jardin • des champignons vénéneux…

 


 

 

Les prétendants au poste suprême poussent comme des champignons vénéneux. Parmi eux des macronistes reniant l’enfant Macron tel Judas reniant le Christ. Être prétendant, c'est déjà être peu recommandable. Celui qui désire le pouvoir ne peut être que vil et lâche puisqu’une fois sur le trône, il va trahir ses promesses et s’enivrer de la vie de débauche de l’Élysée. Faut-il être lâche, naïf, pitoyable et stupide pour se rendre aux urnes et y glisser dans leur fente, un morceau de papier cul.  L’élection est un leurre pervers, un faux-semblant, une illusion, dans ce monde qui n’a jamais réussi à inventer la Démocratie. Je ne vote pas parce qu’il n’y a que moi qui sache ce qui est bien pour moi et qui suis en mesure de me satisfaire. Le groupe, la société, m’indiffèrent surtout quand je vois où ils en sont aujourd’hui : là où en est Macron, mais aussi Binoche, dans l’enfer de la descente dans le noir du trou au fond de mon puits. Depuis des décennies j’ai pour compagnon Sigmund Freud. Il m’a appris, comme l’a fait, dans un autre temps, mon professeur d’écriture musicale Charles Montaland, à me référer et à sublimer les fondamentales, ces fondamentales qu’ignorent les lois stupides que pondent indéfiniment les misérables politicards de tous bords et de toutes obédiences. Ce monde d’illusions consenties ne finira jamais puisque son ignorance, conduit l’homme à rejeter Freud chez qui, pourtant, tout le monde pourrait chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Hélas, il semble que c’est trop demander. Les charlatans ont encore de beaux jours devant eux.