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vendredi 17 janvier 2025

le puits au fond du jardin • les vivants puis les morts…

 



 

Les morts se succèdent depuis que l’on a inventé les vivants. Mais quand celui qui disparait est un homme de génie, un homme qui a su regarder, voir, écouter, entendre, et refuser toutes les ignorances, il est difficile de croire que les putes et les pitres de LFI, les caprices du roi de France, les bavardages et enfumages des élus, les guerres de Zelenski, les courbettes au Hamas, les sexes égarés, les peuples agenouillés, les crétins de France Inter, les faux-semblants qui habitent les cranes vides, aient la moindre importance. David Lynch est mort. Il était Bach et Mozart, Voltaire et Hugo, le digne successeur du grand Alfred dont ils avaient en commun une compréhension aigüe de la psychanalyse de Sigmund Freud, le seul humain qui ait disséqué les rouages complexes des psychismes. En place de citer ses films – des chefs-d'œuvres incontournables - , je préfère revoir Dale prenant Laura par la main et me répéter en boucle leur échange : « Où me conduisez-vous ? » « Je vous ramène la maison ! » Tout est dit. Tous, nous n’aspirons qu’à une seule chose, retourner à la maison, retourner d’où on vient, dans le ventre maternel duquel la femme coupable nous a éjecté violemment sans même se préoccuper de notre propre avenir et de notre propre existence.     

mardi 14 janvier 2025

le puits au fond du jardin • le surréalisme triomphant…

 



 

Comment comprendre la situation surréaliste qui montre Bayrou en confidences permanentes et intimes avec Faure, le patron des socialistes acoquinés avec les islamistes mélenchonistes et les écologistes fous à lier ? Le départ à la retraite ne devrait être accordé qu’en fonction de la pénibilité du métier. 55 ans pour les travailleurs du bâtiment et les boulangers, 90 ans pour les bureaucrates, les gratte-papiers et les joueurs d’ordinateurs, 110 ans pour les bavards de la télé, invitants et invités. Tout est dit. Tout est réglé. Si Bayrou cède d’un seul petit pouce à ces salauds de gauchios qui appellent les pires des dictatures, il est foutu. S’il ne cède pas, il est encore foutu. Bayrou n’est rien, comme ses idées et ses avis, parce qu’au centre, on tombe toujours dans le vide. Les seules solutions pour ranimer la France à deux petits doigts de la mort, c’est la fin de la compassion, la fin des circonstances atténuantes, la dépolitisation de la Justice et de l’Éducation nationale, l’égalité devant l’impôt, le savoir, la culture, l’amour inconditionnel de Molière, de Mozart, de Van Gogh, le désir de laisser ses pieds enfoncés dans la terre, aux côtés des vieux chênes centenaires, et la mise à l’arrêt définitif des fonctions de l’enfant qui sert de roi à la France. Et pour cela, accomplir le nécessaire indispensable qu’est la rencontre avec Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien que ça, les restes n’étant que détritus pour les poubelles des rues de Paris.

dimanche 12 janvier 2025

le puits au fond du jardin • rousseau(s), les restes et l’ignominie…


 

 

Hier, BFMTV recevait pour la 432ᵉ fois Sandrine Rousseau qui n’est ni la mère, ni la sœur, ni la fille de Jean-Jacques, un écri-philo-musicien qui a abandonné ses cinq enfants à l’hospice. Je ne suis pas sûr que la chaîne batte France Inter, la radio des potaches de la posture. Los Angeles brûle, Mayotte retrouve l’œil du cyclone et l’Algérie dénonce la France qui la titille. Bayrou s’apprête à prononcer son discours de politique générale avec l’abolissement de la réforme des retraites pour satisfaire les saloperies de socialos ou son renforcement pour satisfaire les droites incapables d’unir leurs avis. Aujourd’hui, pour l’opinion, restent deux hommes sur notre sol, Le Pen mort, métamorphose progressive de la statue de pierre du Commandeur, et Rotailleau, chevalier sans peur et sans reproche à qui on a confisqué son épée. C’est peu et pas grand-chose. La lâcheté de tous est la dominante d’un mineur chopinesque qui nous entraîne dans les méandres des bas-fonds qui conduisent irrémédiablement dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Même pas une âme décente pour relever le défi.   

 

Alexia T. sur Allociné : J'ai dû me forcer pour la regarder, à part les 2 ou 3 premiers épisodes de la saison 1 - à la rigueur - tout le reste est d'un ennui, d'une vulgarité et d'une nullité comme j'ai rarement vu. Si on souhaite voir une série sur la thématique des "pourritures", un "House of Cards" par exemple est mille fois plus intéressant et bien mené que cette daube sans nom : dans "Succession" le scénario, les acteurs et les dialogues sont tout simplement minables, je ne comprends donc absolument pas que cette série soit ainsi encensée (ou alors, il y a une série géniale qui porte le même nom et on ne parle pas de la même). Finalement : une véritable parodie, mais non intentionnelle (je n'ai même pas ne serait-ce que souri à un seul instant, car aucun humour, sauf si on aime la beaufitude) une succession, oui… de clichés aberrants et de médiocrité qui est carrément une insulte à l'intelligence du public. À fuir…

 

 

Alexia T. dit vrai. Mais, moi, je serais plus méchant. Nul et à fuir est encore trop gentil pour cette grosse merde indigne.

samedi 11 janvier 2025

le puits au fond du jardin • de la miss à la vieille dame…

 



 

Miss France n’est pas Charlie (***). Personne n’est obligé d’être Charlie. Mais, en plus de ne pas être Charlie, elle n’est rien, sinon une masse de chair qui a exposé son cul dans une vente aux esclaves sur les marchés du mercredi matin. On ne peut pas nous obliger à considérer la femme alors qu’elle vend son corps et son âme, chaque année, en direct à la télé, sous l’œil pervers de Jean-Pierre Foucaud et des millions de téléspectateurs qui ont l’occasion unique de se le rincer sans s’attirer les foudres de la censure des Émirs et des Imams et des mitoutes chatouilleuses. Quand femme saura ce qu’elle veut, homme sortira de son refuge et tentera de justifier sa présence sur terre.

 

(***) https://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/miss-france/miss-france-n-est-pas-charlie-le-journal-satirique-retorque-a-angelique-angarni-filopon-par-une-caricature-accablante-20250110

 

Chez Praud, grand amoureux de la vieille femme ridée qui a épousé le jeunot au psychisme inabouti qui sert de roi à la France, un chroniqueur a tenté d’expliquer le comportement de la dame, qui, tout récemment et par deux fois à la télé, a insulté les Français qui n’aimaient pas son gentil bambin qui lui les aime tant, en disant que leur différence d’âge était la vraie raison : maman protège son fils. Pour moi qui fréquente Freud depuis des décennies, le chroniqueur a raison, c’est la seule et véritable explication. Praud a sorti le monsieur comme un malpropre. Chez lui, on ne parle pas de ces choses malsaines et des ignominies freudiennes. Ma liste noire a inscrit un nouvel abonné.

vendredi 10 janvier 2025

le puits au fond du jardin • trump et musk, ou freud…

 



 

Le misérable influenceur algérien expulsé hier vers son pays, a fait un aller-retour express. L’Algérie ne veut pas de lui. Alors, à son retour, pourquoi ne pas l’avoir jeté dans la mer, ce qui aurait résolu tous les problèmes. Aujourd’hui, la parlote n’a plus aucun effet, les lois républicaines sont obsolètes. Il n’y a plus que la manière forte qui porte et qui peut apporter un semblant de paix. Hélas, ce n’est pas dans le pays des droits de l’homme qui n’en a plus aucun et dans le pays de cette stupide laïcité qui permet la suprématie de la pire des religions et l’invasion de marmites géantes de tarés, que les éléments vont se bonifier. La France est le pays des moins que rien qui se fait hara-kiri à tous les instants en tolérant Mélenchon et ses amis qui distillent le pire des poisons qu’est l’installation de la charia. Pourquoi ne sait-on plus se servir de ses yeux et de ses oreilles et qu’on ne sait que nier les vérités grosses comme des montagnes. Comme les Romains de l’Antiquité, les Français aiment avant tous les jeux du cirque où ils se font manger par les lions quand l’enfant et ceux qui l’ont précédé, baissent le pouce sous le hourra des foules. La misère n’est plus à nos portes. Elle est entrée dans nos maisons et nous la regardons sans que frémisse un seul de nos dix doigts de pieds. Trump et Musk devraient changer le monde, mais ce sera insuffisant. La rupture radicale avec le monde perdu que nous vivons ne peut venir que de Freud chez qui nous devons chercher notre miroir, le trouver, nous y regarder, nous y reconnaître, et le traverser. Rien que ça et rien d’autre. Les restes sont pures inventions et la concrétisation du déni qui guide les pas de l’homme.   

dimanche 5 janvier 2025

le puits au fond du jardin • à vous de voir…



 

 

Vous connaissez tous la rengaine des politiciens français : « J’ai été élu démocratiquement ! » Un. Pour être élu démocratiquement, il faudrait que la Démocratie existe. Tout le monde l’attend depuis des millénaires. En vain, puisque l’inventeur n’est toujours pas né. Deux. Les stupides pantins ont tous été élus grâce à leurs mensonges qui sont plus que vérités chez les naïfs inconscients et ignorants. Trois. Le mode électoral n’est pas garant de vérité et de caution à toutes décisions. La seule vérité intrinsèque est : « Je commande, tu obéis et tu te tais. » La discussion, l’échange et la concertation sont des faux-semblants pour faire croire à la participation. Dans ce domaine, Macron est un champion. Karajan a conduit le Philharmonique de Berlin au succès. C’est parce qu’il a été, comme Toscanini, un chef dictateur et sans concession. Et cependant, en tant que socialiste authentique – nous sommes encore deux ou trois sur la planète -, je suggère que l’on pose la première pierre pour tenter un semblant de Démocratie : les prétendants à un poste à responsabilité proposent dix sujets sur une feuille de papier. Exemple : 1. Dès mon élection, et sur 3 jours, l’armée, la police et la gendarmerie jetterons à la mer tous les étrangers et tireront sur tous ceux qui tentent de s’échapper. Et si cela n’a pas été réalisé, l’élu sera arrêté et jeté dans les cachots de la nouvelle République pour un minimum de 20 ans.  Voilà ! Chacun prend ses responsabilités. Il y aura beaucoup moins de monde au portillon et surtout beaucoup moins de cons qui rêvent de monter sur les planches. Et que l’on cesse pour toujours les campagnes électorales, qui sont vraiment du trop mauvais cinéma. Et pendant que l’on y est, que l’on cesse aussi les débats télévisés où tout tourne en rond, sans jamais répondre aux plus profonds désirs des populations. Alors que l’on est sur la fin, c’est le dernier instant qu’il nous reste pour tenter de tout recommencer et de tout construire différemment. Mais d’abord, ne pas oublier le retour à la maison, le retour dans le ventre de la femme coupable, pour se remémorer l’instant de l’éjection sur le sol boueux et pierreux qui nous aura tant fait mal. Ensuite, ne pas omettre de se précipiter cher Freud où se cache notre miroir. Ce que je propose EST la solution. À vous de voir…  


samedi 4 janvier 2025

le puits au fond du jardin • la solution…



 

Comme si Bayrou ne connaissait pas les difficultés des agriculteurs, il recule encore l’échéance en les convoquant prochainement pour s’informer. Comme toujours, on parle, on se montre à la télé, et on laisse les choses en plan. Les victimes disent vouloir marcher sur Paris. J’espère qu’ils vont le faire et y asphyxier tout ce qui semble respirer. Leur colère devrait entrainer la colère de tous les peuples et réduire à néant ceux qui s’imaginent avoir le pouvoir de nous gouverner. Le monde ne tourne pas rond parce qu’il se comporte en petit enfant capricieux, à tous les étages, et qu’il est incapable de comprendre qu’être adulte c’est être conscient que notre conscience doit toujours triompher de notre inconscient. Pour cela Freud est le seul remède, ce Freud qui rejeté par tous, par tout cet agglomérat de psychopathes dont le triomphe aura détruit la planète. Et dire qu’il y a encore des imbéciles qui cherchent des solutions, alors que la solution est sous leurs yeux et qu’il leur suffit de tendre la main.  


vendredi 3 janvier 2025

le puits au fond du jardin • le retour à la maison…

 



 

Déjà trois jours. 2025 a trois jours et ne fait en rien la différence. Les mêmes meurtres qu’en 2024, les mêmes crimes, les mêmes discours, les mêmes mensonges, les mêmes dénis. Rien ne sera plus comme avant, ont-ils tous dit. Et pourtant tout est identique, sans le déplacement de la moindre virgule, l’homme – et la femme bien évidemment – étant la tâche indélébile, la tâche noire encre, la même qui recouvre les vermines qui croupissent dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, les restes, à l’odeur sale, que quelques poètes ont distillé dans leurs vers de génie pour montrer l’illusion piteuse qui se rapporte au genre humain, le genre abruti, qui survit depuis si longtemps. Cooper a ramené Laura à la maison. Brunehilde a rendu l’or au Rhin. Notre seule vocation est le retour à la maison, dans le ventre maternel. Et pour tenter de repousser cette auguste décision, nous inventons des histoires à dormir debout qui nous détournent du chemin. Nous ne pouvons le faire éternellement et c’est pourquoi nous ne cessons de déclarer des guerres contre nous-mêmes qui sont toutes vouées à l’échec. Regardons-en face et posons-nous la question. Nous n’avons rien d’autre à faire. Notre miroir est chez Freud. C’est chez lui que nous pouvons le chercher, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est de l’autre côté que nous « sommes ». C’est de l’autre côté que la conscience du monde est nôtre C’est de l’autre côté que le mirage se dissipe et que se dévoile notre personnalité qui, comme un gant, pourra s’approprier le seul monde vivant et l’enfiler comme notre juste-au-corps. Tout est derrière. Tout est ailleurs. Et nous persistons à voir en aveugle, parce que notre regard ne veut pas percer l’horizon.  

dimanche 29 décembre 2024

le puits au fond du jardin (bis)• freud à la prison…



 

La prison, c’est la punition. La réinsertion, c’est le complément qui doit entrer en fonction à un certain stade la de peine et sous le contrôle des psys freudiens. La prison, c’est la souffrance dans un cachot noir avec un boulet de cinquante kilos au pied et ailleurs si nécessaire. Le prisonnier ne peut avoir aucun droit à la dignité puisqu’il est cage pour ne pas avoir respecté la dignité humaine : violence, viol, meurtre. Donc, ceci bien compris, il y a des milliers de places dans les prisons, car je ne vois pas ce qui empêche de mettre dix voyous dans un périmètre qui en contient trois. Et si on posait le problème autrement ? Au lieu de rabâcher toujours les mêmes litanies, et si on faisait en sorte que les prisons deviennent inutiles, en éradiquant la délinquance, grâce à la thérapie psychanalytique freudienne qui permet à l’enfant de passer au stade d’adulte. Tant que la race des adultes n’aura pas pris le dessus, rien n’avancera, rien ne pourra être résolu. J’en ai assez de ne rencontrer que des enfants sales, ignorants et mal embouchés.   

le puits au fond du jardin • la véritable histoire de la chèvre de monsieur seguin…

 



 

Sur un plateau fromage, on n’y voit que des fromages de toutes les couleurs et de toutes les odeurs, ce qui n’est pas forcément très agréable. Sur les plateaux télés, on y verra bientôt plus que des femmes de toutes les couleurs et de toutes les idées. Il suffit de regarder l’écran et d’écouter le poste pour constater que la femme s’amplifie et que l’homme se réduit. Elle était la seule à avoir le pouvoir de fabriquer la marmaille et donc de s’inscrire dans la race supérieure. Demain, elle sera au sommet de tous les pouvoirs et régnera sans pitié sur le peu de restes qu’il restera de l’homme. On a commencé par inverser les sexes, les mélanger, les dénaturer, et maintenant, ce superbe gloubi-boulga va obéir, sans broncher, à l’unisexe IA. Le monde ne peut obéir à deux intelligences antagonistes. Il faudra bien choisir. C’est la plus élaborée, la plus musclée, la plus performante qui va gagner.  C’est pourquoi, très bientôt, en place des vaches qui regardent passer les trains, les prés seront saturés de petits bonshommes et de petites bonnes femmes, attachés pas le coup à un piquet et qui brouteront pour écouler le temps, sous l’œil attentif de Monsieur Seguin.

samedi 28 décembre 2024

le puits au fond du jardin • les prisons et freud…

 



 

On (ré)apprend donc que les occupants des prisons de France – lieux où l’on enferme les méchants pour les punir – ont reçu – comme chaque année - leurs cadeaux de Noël, le père Noël usant de tous les moyens illégaux pour faire parvenir ses colis en mains quasi propres, au moyen de drones et d’une armée de complicités, sous les yeux indifférents des gardiens qui disent être impuissants, alors qu’ils sont chargés de surveiller et de botter le cul  des récalcitrants lorsque cela devient indispensable. Ainsi, cette année, c’est plus 150 drones qui ont déversé en une demi-journée, dans la cour de récréation d’une de nos prisons, multiples paquets de cigarettes, de sachets de poudres blanches, des centaines d’opinels toutes tailles, des fusils à canons sciés, des mitraillettes de la vieille Gestapo, des kalachnikovs derniers modèles, des smartphones Android, et quelques autres objets inoffensifs mais indispensables au confort des pensionnaires de leur hôtel 4 étoiles. Et l’autorité pénitentiaire ne pourrait rien faire contre cette racaille ? Et les ministres de l’Intérieur et de la Justice, et le Roi de France, ILS FONT QUOI ? Et si on transformait les prisons en cachots noirs et plein de rats et qu’on remettait en vigueur les boulets de cinquante kilos aux pieds des récalcitrants ? Et si les promenades ne faisaient plus partie du programme ? Et si les repas n’étaient plus que de l’eau sale et du pain sec comme Borne ? Il faut savoir ce que l’on veut. On ne peut pas être dedans et dehors. Et si on vidait les prisons des étrangers et de tous ceux qui n’ont pas commis de violences physiques ? Les délits financiers devraient être punis par des amendes plus grosses que le bœuf de la fable et qui iraient directement dans la poche de ceux qui ont été lésés et de ceux qui travaillent pour une bouchée de pain. Et si on faisait en sorte que l’homme fasse grandir l’enfant handicapé qui vit en lui ? Et si on construisait un monde d’adultes conscients et responsables ? Il est vrai que c’est difficile puisque Freud est considéré comme un moins que rien qui a couché avec sa mère ou sa sœur, je ne sais plus, mais c’est pareil. Le maître de la psychanalyse est pourtant notre seul sauveur. Si seulement le monde entier poussait la porte de son cabinet pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser, les choses changeraient si vite que tous les politiques et les obsédés du pouvoir, se retrouveraient au chômage pour l’éternité. C’est si beau et si juste que personne ne veut tenter l’aventure. Il est vrai que tous ces héros des viols et des guerres ont une trouille bleue d’un petit bonhomme inoffensif qui a inventé un thérapie toute simple et d’une efficacité redoutable pour vivre notre vie et ne pas la vivre mort comme c’est le cas de la quasi-totalité des êtres, aujourd’hui.    

samedi 21 décembre 2024

le puits au fond du jardin • décrescendo…


 


 

L’année se termine dans une fin de civilisation où les forces vives, celles qui se sont imposées à l’insu de ceux qui croyaient que la vie était un pré d’herbe verte où les vaches s’asseyaient pour regarder passer les trains qui avaient une locomotive avec des nuages de fumées et qui se sont faits surprendre - faute d’avoir observé - par une bande de brigands accoquinés avec les hordes islamistes et les psychopathes écologistes qui réclament à grands cris une vraie dictature qu’ils verraient bien inaugurer avec pour chef suprême le Robespierre du XXI° siècle, Mélenchon. Il n’y a pas de retour en arrière possible. Il n’y a pas de retour à la maison nécessaire à notre équilibre. Le fautif est le peuple qui ne cesse de voter pour des menteurs, des voleurs, des assassins, des criminels, et qui n’en tire jamais de leçon. Qui connait encore Villon ou Baudelaire, Mozart ou Wagner, Renoir ou Picasso, Godard ou Lynch ? Les rois de France sont toujours là et toujours morts parce que les vivants ne sont plus depuis longtemps. Freud a proposé la vie. On la vite exécuté. Alors tant pis. Vous y êtes parce que vous l’avez voulu. Surtout plus de gémissements. Souffrez de souffrir en silence puisque vos souhaits ont tous été exhaussés.    

    

jeudi 19 décembre 2024

le puits au fond du jardin • il ne reste plus qu'une ou deux pages…

 



 

J’aimerais qu’on m’explique pourquoi le vieux politicard indécis, aux idées flous qui donnent le tournis et qui met trois jours à dire ce que tout en chacun dit en un demi-instant et qui est toujours content de lui, surtout qu’il s’est couronné Premier ministre sous les yeux éberlués de l’enfant qui n’a jamais eu l’habitude d’être contrarié, convie tous les partis de l’Assemblée, aujourd’hui à 14 heures, sauf LFI et RN qui représentent la quasi-moitié des français. Encore un goujat imbécile et ignorant qui ne va pas faire long feu. Et que l’on cesse de changer de gouvernement alors que la seule solution est la démission du président, l’enfant au psychisme inabouti qui préfère de loin sa vielle maman toute ridée qu’il a épousée ou qui l’a épousé. La mauvaise et laide pièce de théâtre de buvard ne finira jamais et cela parce que les spectateurs assoupis sont incapables de quitter la salle pour retrouver le soleil et l’air vivifiant de la liberté.    

 

Il est le seul responsable, l’enfant. Le chauffeur de car agressé et humilié par quelques enfants retardés parce que leurs parents sont psychopathes comme l’immense majorité des parents, est convoqué par sa direction pour être sermonné et sans doute puni, alors que le même enfant dont je parle tant, devrait lui épingler la plus rutilante des Légions d’Honneur pour service rendu à la Nation en se substituant à des parents inconscients qui manquent à toutes leurs obligations. Cette affaire est un immense scandale qui s’ajoute aux piles infinies des scandales qui jonchent nos vies et qui sont provoqués par la négligence permanente d’un enfant que vous avez voulu pour président de notre pitoyable république. Et les autres coupables sont ceux qui ont oublié la gifle, le coup de pied au cul et le fouet alors qu’il aurait été si facile de mettre Freud au centre du manège. Mais comme le monde entier tremble devant son nom, l’ignorance crade en vigueur, ne pourra se résorber et nous sommes condamnés à subir les humiliations des nouveaux terroristes de tous âges qui battent de loin les châtiments des grands inquisiteurs de l’Église catholique qui a inventé avant tout le monde les questions : l’ordinaire et puis l’extraordinaire, celle qui est un peu plus chatouilleuse.    

dimanche 15 décembre 2024

le puits au fond du jardin • siegfried et censure…


 

 

Ce qui est invraisemblable, c’est que les ministres de Barnier et Barnier lui-même ont été renvoyés dans leur foyer par les idiots inutiles de l’Assemblée et que dès le nouveau Premier ministre nommé, un vieux cheval qui mange à tous les râteliers, Rotailleau, le héros du gouvernement déchu, a été le premier et le seul a rencontré le patron de Matignon. Et voilà qu’aujourd’hui, Siegfried sera à Ajaccio pour baiser la pince de la papauté et demain à Mayotte pour tenter de trouver des solutions pour que la population décimée par Chido sorte la tête de l’eau, bien qu’elle n’ait jamais vécu à l’air libre. Je me demande pourquoi ce Rotailleau se démène autant alors qu’il vient d’être jeté comme un vulgaire paillasson. Censuré et sanctionné, il est devenu le représentant officiel du Premier ministre et de l’enfant qui se prend pour un président. Alors pourquoi pas lui ? Président et Premier ministre en même temps, lui irait comme un gant et les fanas d’Opinel, et les violeurs de vieilles dames, et les trafiquant d’amphétamines, et les disciples des islamistes, trembleraient enfin et pris de vertiges, prendraient les jambes à leur cou pour se cacher dans les forêts où les lions et les tigres pourraient se régaler à souhait. Je crois que j’ai trouvé la solution et j’espère que vous serez nombreux à me féliciter.

 

La lâcheté de Frédéric Bonnaud, directeur de la Cinémathèque de France, est sans limites. Le plouc a déprogrammé le chef-d’œuvre de Bertolucci « Le Dernier Tango à Paris » qui devait être projeté ce soir, à 20 heures, parce que des associations de nanas psychopathes ont menacé de l’émasculer s’il montrait sur l’écran blanc, Marlon Brando violer d’une manière particulière la succulente Maria Schneider. J’ai vu le film il y a plus d’un demi-siècle et je suis toujours en vie et même, je ne me porte pas trop mal pour mes prochains quatre-vingt-dix ans. Les réalités, et surtout la vue des chefs-d’œuvre, traumatisent fortement les gens de notre époque où les cerveaux sont manipulés dès leur arrivée dans le ventre de la femme coupable. La dictature des imbéciles et des ignorants – souvent imbéciles-ignorants ou ignorants-imbéciles – lézarde, corrompt, dégrade et torture la société où s’opposent bourreaux et victimes sans que personne sache pourquoi. La femme est devenue la bêtise même et l’homme le pauvre petit con qui s’extasie devant sa puérile puanteur de soi-disant révolution. Les haines se tariront, les guerres cesseront, lorsque l’homme sera enfin devenu homme et lorsque la femme sera enfin devenue femme. C’est ce qui a toujours manqué à l’humanité. Et pour réaliser ce rêve, rien de tel que de se rendre chez Freud pour y pousser la porte de son cabinet afin d’y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien d’autre. Les restes ne sont qu’inutilité.          

mercredi 11 décembre 2024

le puits au fond du jardin • les gros rats des égouts…

 



 

Hier, à l’Élysée, s’est tenu la conférence des terroristes psychopathes qui hypnotisent les français par leur indignité, dont pas un n’a l’idée et le courage de sortir des égouts de Paris tant ils se plaisent dans la vase puante générée par les gros rats poilus d’Hidalgo, conférence sous la présidence de l’enfant qui, assis sur le carrelage rutilant du boudoir de sa maman, tend les bras pour tenter de se mettre sur ses jambes, et qui sert, dans l’instant, de roi à la France. Ceux du bout de la droite et ceux du bout de la gauche n’y était pas alors qu’ils représentent une partie non négligeable du pays, la partie essentielle sans laquelle la machine ne peut tourner. Ces ignorants invertébrés ont pris la décision de ne plus se chamailler comme les petits garçons, pendant que les petites filles jouent à la poupée, et pour cela, de rayer de leur logiciel rayé le 49.3 et la censure, et l’enfant a promis de ne pas dissoudre jusqu’à son départ qui va faire éclater des réjouissances semblables au départ de Bachar el-Assad. Le monde des Bisounours est arrivé. De l’Élysée à Matignon en passant par les Cévennes, on va se bisouter, caresser les dos et plus bas et plus hauts. Le paradis d’Adam et Eve, avant le serpent et la pomme, va devenir réalité. Enfin ! Nous y sommes ! Et parions aussi que très bientôt, grâce aux simagrées et aux foutages de gueules des imbéciles chroniques d’aujourd’hui, le futur successeur d’Henri IV, de Louis XIV et de Napoléon, sera Mélenchon 1e, un dictateur mal-embouché, un vulgaire pattier (un pattier est un chiffonnier) qui va avec l’inquisiteur Bompard et la poissonnière Panot, mettre les femmes sous voiles et les hommes sur genoux. Français réveillez-vous ! Je sais : pour cela, il faut un certain courage et un regard capable de discerner ce qu’il y a derrière l’écran. Il est fort dommage et fort préjudiciable que vous refusiez obstinément de pousser la porte du cabinet de Freud. Vous pourriez y chercher votre miroir, vous pourriez le trouver, vous pourriez vous y regarder, vous pourriez vous y reconnaître et vous pourriez même le traverser. Alors, les insanités évoquées ci-dessus ne pourraient plus être. Les équilibres seraient retrouvés et l’édifice pourrait enfin s’ériger dans la confiance mutuelle et ses rouages s’enchevêtrer. Le manège pourrait tourner jusqu’à la fin des éternités.        

lundi 9 décembre 2024

le puits au fond du jardin • successions et révolutions…



 

À Bachar Al-Assad succède Abou Mohammed al-Jolani. Après l’euphorie, la Syrie entre dans l’inconnu le plus sordide où, sans doute, l’horreur va succéder à l’horreur. Qui sait ce qui va advenir ? Bachar serait à Moscou où il est invité à la représentation de Boris au Bolchoï avec le grand Boris Christoff. Macron feint de consulter au lieu de nommer pour vite régler la dette avant que les océans n’engloutissent l’Élysée et tous les pantins qui ont nommé l’enfant. Notre Dame reste avachie au bord de la Seine sans se soucier du gouffre vertigineux dans lequel l’homme se précipite. Elle ne comprend pas que lorsque qu’il aura tout détruit et se sera détruit devant son vide, les dieux qui sévissent depuis des millénaires disparaitront faute de pensées pour les imaginer et qu’elle ne sera plus qu’un tas de pierre avant de disparaitre elle aussi. Les révolutions révolutionnent avant de révolutionner les révolutions. Le peuple attend parce qu’il est paralysé du cul et surtout parce que l’individu reste un éternel enfant devant la terreur des réalités. C’est l’individu qu’il faut soigner et obligé à aller vers l’autre monde, celui qu’il ne connait pas, celui de la liberté. Pour cela, je le dis et le redis encore, il faut pousser la porte du cabinet de Freud, y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. C’est tout. Et c’est parce que le commun est terrifié devant son miroir sans reflet que le monde en est là, là où il en est aujourd’hui et que quoiqu’il fasse et que quelle que soit l’apparition du Messie, il n’en bougera pas, l’immobilité du corps et de l’esprit étant plus confortable que le mouvement qui, quel qu’en soit le sens, change les configurations dans un effet domino. L’avenir n’est pas rose. Il n’est ni bleu ni vert non plus. Il n’est pas.   


dimanche 8 décembre 2024

le puits au fond du jardin • le temps des « musiciens »…

 



 

Il semblerait que les organistes de Notre Dame n’aient pas fait l’unanimité. Je rappelle qu’ils n’ont joué ni des œuvres de Jean-Sébastien Bach, ni de Charles-Marie Vidor, ni d’Olivier Messiaen, mais des improvisations improvisées sur le mode du temps actuel, sans ossatures, sans formes définies, sans liens entre les plans, sans fondamentales et absentes de tout sens musical et de toutes marques de génies. Pour parler – écrire – simple et clair, ils ont joué n’importe quoi. L’improvisation est un art à part entière qui s’apprend et se peaufine au fil du temps. Bof ! Ils n’ont fait que participer à l’ambiance générale marquée par le tout en même temps, une cérémonie vulgaire et païenne où Dieu aura été le grand absent. Même l’archevêque de Paris Laurent Ulrich avait opté pour une tenue de carnaval, une tenue dessinée par un styliste français peu inspiré, un certain Jean-Charles de Casttelbajac. Si les murs de la cathédrale ont été embellis, ce n’est pas le cas des pensées et des psychismes humains qui à force de grisonner vont bien finir noir, dans le plus beau des noirs du fond de mon puits.

 

PS : même les Capuçon se sont fait asphyxier par l’air ambiant. Leur Haendel « arrangé » était aussi pitoyable que leur lecture de la partition.

vendredi 6 décembre 2024

le puits au fonds du jardin • l’arbre qui cache la forêt…

 



 

Quoi qu’on en pense et quoi qu’on en dise l’enfant au psychisme inachevé, psychisme qui s’est bloqué au cours de son séjour en maternelle au moment où il eut à choisir entre deux mamans, l’enfant qui sert de roi à la France, a la cote auprès du peuple des crapauds et des grenouilles français. Son intervention-minute d’hier soir à la télé, aurait dû déclencher les foudres des citoyens qui auraient dû spontanément marcher sur l’Élysée et brûler l’édifice et le lieu avec tous ses pantins. La France, dans le gouffre, mieux, dans le noir du fond de mon puits aux fond de mon jardin ou croupissent les âmes maléfiques de ceux qui ont vécus dans la confusion, serait donc dans cette situation par la faute de ceux qui ne votent pas comme le veut la convenance en macronie ? Par la faute de ceux qui rejettent l’orgueil, la perversité, le déni et les caprices du petit Emmanuel ? Par la faute de Marine Le Pen et de ses amis à qui personne n’a jamais demandé son avis ? Par la faute de la majorité des français qui survivent dans la douleur, alors que le marmot se pavane dans les cours royales avec maman en se prenant pour Louis XIV ou Napoléon ? Ça suffit ! L’individu doit partir. La Ve République doit être dissoute. La raison doit reprendre ses droits. Mais avant de reconstruire, il faut faire place nette et pour cela, chacun des citoyens, du plus petit au plus grand, du plus pauvre au plus riche, du plus fainéant au plus courageux, du plus laid au plus beau, du plus con au plus subtil, doit se remettre en question en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. L’homme vérifié et réparé pourra ainsi construire une nouvelle société où la lumière aura eu raison des zones d’ombre et de l’arbre qui cache la forêt.

jeudi 5 décembre 2024

le puits au fond du jardin • du petit doigt à l’intestin…

 



 

Le spectacle n’a pas été bon. La pièce a été surjouée. Les comédiens n’ont pas été à la hauteur. Leur impossible sincérité aura été fort ennuyeuse. Il n’y eut que trois acteurs convaincants : Le Pen, la femme violée, Ciotti le dissident et surtout Barnier mis en terre en place de Macron le félon. Cette soirée au théâtre, aura été marquée par la grande erreur de Le Pen – même si son jeu a été parfait - qui en s’alliant aux fascistes islamiques puants, a probablement – ou pas - mis fin à sa carrière. Jusqu’à maintenant c’était le bordel permanent. Maintenant, je crois que je vais bien m’amuser, surtout que l’enfant handicapé de l’Elysée, le grand coupable, ergote ses tirades de théâtre, ce soir à la télé. Quand votre vieille télé ne marche plus, vous la jetez et vous en achetez une qui répond à vos besoins, mais aussi à vos désirs. Si la Ve République se meurt – elle devrait être morte à l’heure où j’écris – c’est qu’elle a été inventée par et pour un militaire et que lui seul en connaissait le mode d’emploi. C’est aussi, parce que des voyous se sont infiltrés dans ses rouages et y ont cassé la pièce maîtresse, l’opposition implacable entre le blanc et le noir. Ils y ont mis de la couleur et cela a briser les courroies d’entrainements. Il faut jeter cette constitution avec tous ceux qui s’y sont frottés et retourner à la maison en espérant qu’elle n’aura pas explosée. Si les hypocrites, les menteurs, les charlatans, qui prétendent que la fonction présidentielle est sacrée – ce qui me fait beaucoup rire – ne veulent pas destituer l’enfant, c’est au peuple de s’en occuper, mais pas avant d’avoir mis au point la solution de remplacement pour éviter le retour de Robespierre. Il n’est pas possible de construire une nouvelle société sur des sables mouvants. C’est pourquoi je réitère : considérer l’individu comme prioritaire, en priorité, en l’aidant à pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. C’est alors que la vie pourrait bien s’ériger sur la terre, les yeux pourraient bien s’ouvrir, les oreilles se déboucher, les paroles prendre un sens et les roues dentelés s’imbriquer minutieusement dans une copulation éternelle, effrénée et pensée. Et nous n’aurions plus les spectacles affligeants de la Comédie de l’Hémicycle et ceux du Théâtre des Pantins de l’Élysée. Le plus rigolo dans tous ça, c’est qu’on laisse les français choisir, alors qu’ils ne sont toujours pas capable de comprendre que leur petit doigt n’a pas la même fonction que leur intestin.  

mardi 3 décembre 2024

le puits au fond du jardin • méfiance !


 


 

En votant la motion de censure des terroristes LFI gaucho-islamistes qui fera chuter Barnier, Le Pen, qui a tout fait pour normaliser son parti qui est pourtant tout aussi (in)convenable que les autres partis, se décrédibilise et accélère la chute de la France dans le noir du trou de mon puits au fond de mon jardin, France qui n’a pas encore touché le fond mais qui n’en n’est plus très loin. Marine va passer pour la coupable aux yeux des pantins alors qu’elle aurait pu, en s’abstenant, renforcer son crédit et, pourquoi pas, accéder à la fonction suprême, fonction qui n’est plus qu’une illusion pour elle et le RN, désormais. Alors que la France n’a plus de guide, les pitoyables crapauds baveux qui peuplent l’hémicycle viennent de donner le coup de grâce aux illusions que se faisaient encore quelques français naïfs et innocents. Leur roi se balade au Qatar en paradant parmi les dictateurs, avant les grandes réjouissances de Notre Dame. Il se fiche éperdument des ruines dont il a couvert la France, d’autant que sa vieille maman ridée qui l’a dépucelé et qu’il a épousée, a déclaré aux postes et aux télés, que les français ne méritaient pas son enfant chéri au psychisme inabouti. Il ne semble pas que ces français soient conscients de la situation. Cet enfant qui a tous les pouvoirs et qui laisse son égo s’égarer dans l’ultime perversion, cet enfant qui trompe son monde et qui brûle tout ce qu’il touche, cet enfant qui s’écoute parler dans son monde imaginaire, cet enfant inadapté qui aura bloqué les derniers rouages de la société, c’est lui le coupable et lui seul. Maintenant, il ne nous reste qu’à attendre le nouveau messie, le dictateur tant attendu, qui va balayer d’un revers de main les récalcitrants. Mélenchon est en embuscade. Méfiance !