Avant le re-reconfinement généralisé, tous les français au dodo à 18 heures. C’est ce qui nous pend au nez. Et quand on se sera bien fait chier et que la haine et la violence auront triomphé, on sera relâché dans la nature au risque d’en crever parce que plus personne n’a l’habitude de vivre libre dans la nature. Mais très vite les barreaux du cachot, les chaines aux pieds et les rats qui rongent les chairs vont refaire surface et… la roue tourne sur son même pivot et reste toujours sur place reproduisant sans cesse les mêmes images sans que quiconque ne puisse l’arrêter. À quoi tout cela peut-il bien servir puisque l’OMS a décrété que même avec le vaccin il n’y aura pas d’immunité collective en 2021. Le serpent se mort la queue. L’humain se recroqueville et périt par l’épée qui se retourne toujours vers celui qui la tient.
Il y a énormément de gros cons - autant de grosses connes - qui écrivent des livres pour se libérer et il ne se passe pas un jour sans que l’on ne découvre trois ou quatre nouveaux Victor Hugo, quatre au cinq nouvelles George Sand, deux ou trois nouveaux Alexandre Dumas, avec la différence que ces derniers n’ont strictement aucun talent ce qui assure obligatoirement leur succès mais aussi le gonflement spectaculaire de leur compte en banque. La dernière en date est Kouchner, une juriste qui se croit écrivaine. Il y en eut d’autres avant elle et il y en aura beaucoup d’autres après. Quand on veut se débarrasser d’un mal être destructeur, c’est chez Freud qu’il faut aller et non pas sur les plateaux télés pour promouvoir la merde qu’on a pondue.