vu à travers le tube • entre indépendance ou soumission, il faut choisir…

Nous devons, nous, peuple français, accepter de payer le prix de la liberté, ordonne le va-t-en-guerre adolescent inabouti Roi de France par la volonté d’à peine 10% des français. Comment peut-on avoir en soi – et l’exprimer devant toutes les télés – un tel degré d’imbécilité. La liberté n’a pas de prix et celui qui veut nous la vendre est un charlatan. Les charlatans doivent être mis hors d’état de nuire. Français, il est temps de bouger votre cul. Je serais Météo-France, je cesserais de donner gracieusement mes pronostics et je fermerais boutique. L’entreprise va se retrouver chaque jour devant les tribunaux parce qu’elle aura omis de prévoir l’imprévisible. Je n’ai jamais cru que la pluie, le vent, et tout ce qui titille notre confort, informaient Météo-France de ses intentions. Ma grand-mère, que j’ai connue en 1944, regardait le ciel, mouillait son doigt, scrutait ses plants de pommes de terre ou de choux verts et nous disait exactement le temps à venir dans l’heure ou dans les jours prochains. Jamais elle ne s’est trompée. Elle ne pouvait savoir si Météo-France existait, car elle a toujours refusé d’avoir la radio, la télé, le smartphone et même l'ordinateur. Elle se contentait de lire « Les Allobroges » pour avoir les dernières nouvelles du parti communiste. Ma grand-mère était un être humain, chose périmée aujourd’hui. Non seulement nous devons payer pour la guerre en Ukraine entretenue par le couple Zelinski-Macron et leurs complices européens et américains, mais aussi, depuis peu, pour la Corse qui aurait un léger différent avec les éléments naturels et qui réclame son indépendance depuis l’avènement du fils de la vierge. On ne nous prendrait pas pour des cons ? Il faut qu’elle choisisse : l’indépendance ou la soumission !

vu à travers le tube • dire… ne pas dire…

L’information est restée discrète… voir secrète. J’ai un peu la trouille, mais je vous la donne. La Corse s’enfonce dans les eaux bleues claires de Mère Méditerranée sous les coups du tonnerre, des pluies diluviennes, des ouragans et typhons. Alors qu’on ne parle que de Mélenchien et de sa bande haineuse ou du Roi de France toujours enforté à Brégrancon avec bobonne, les radios et télés mentionnent sur le bout des lèvres la catastrophe qui, plus que faire disparaître l’île, fait disparaître définitivement le fantôme de l’ado inabouti Bonaparte qui s’est métamorphosé, seul, en Napoléon, empereur sanguinaire comme les îles qui prolongent la banlieue de sa ville natale. Et, cerise sur la tarte aux pommes, Météo-France est attaquée de toute part parce qu’elle n’a pas su protéger cette partie du monde, invisible à plus de 2000 mètres d’attitude. Et comme les tempêtes, les inondations, les canicules et sécheresses vont désormais se succéder à une cadence de plus en plus infernale, qui va-t-on montrer du doigt devant ces futures marmites géantes de morts ? Twitter m’accuse d’être haineux. Il m’a restreint ( ?) parce que j’ai écrit que l'homosexualité n'est pas contre-nature, mais un non-aboutissement du psychisme. Ce n’est pas de moi, mais de Freud. C’est lui que Twitter doit restreindre s’il ne peut supporter la vérité. Il pleut. Le ciel est sombre de toutes parts. Mais Météo-France annonce le soleil pour cet après-midi. Alors, je vous quitte sans oublier de vous rappeler que la porte du cabinet de Freud vous est ouverte, que vous pouvez y pénétrer, y chercher votre miroir, le trouver, vous y regarder, vous y reconnaître et le traverser…  Et vous verrez : ce sera gagné !