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mercredi 2 juin 2021

vu à travers le tube • ô terreur !

Le mot « populisme » désigne une approche politique qui a tendance à opposer le peuple aux élites politiques, économiques ou médiatiques. Le populisme se réfère à un peuple exclu du pouvoir et non écouté par la démocratie représentative, coupée des réalités. En quoi et de quoi les populistes sont-ils coupables ? La démocratie représentative n’étant pas une démocratie, mais une dictature où tous les élus abusent de leur pouvoir, il me parait bien normal que certains - pas assez nombreux - se rebiffent et souhaitent que l’on travaille avec acharnement à l’invention de la démocratie, l'authentique. Il est curieux que la chaîne d’information continue « Cnews » fassent l’objet d’immondes critiques. Je sais bien que Praud et quelques autres sont de sinistres imbéciles - Cohen/Lemoine sur France 5 ne sont pas mieux - mais comment se fait-il alors que Ferrari officie largement sur cette chaîne, elle, qui avec son époux Capuçon - violoniste célèbre -, sont cul et chemise avec le Roi de France actuel et en place pour encore cinq ans ? Le Roi, enfant immature ou adulte non abouti, serait-il membre de la confrérie des populistes ? En plein double-campagne électorale on entend de tout et de partout, de la sous-merde à la merde tout court, sans jamais entendre une voix qui parle de l’homme, de sa pensée et de sa capacité. On ne parle que sanctions, prisons, viols, crimes, meurtres, assassinats. Et que ce soit Le Pen, Mélenchon, Shiappa, Darmanin, Macron, Morano, Bachelot et tous leurs copiés-collés, pas un seul n’ose aborder la seule question : comme inventer la démocratie pour l’égalité et le respect entre tous les habitants de notre pays ? Il y a du boulot. Et ce n’est pas en votant pour des prétendants magiciens-héros que l’on va régler quoi que ce soit. Et puis, pour voter il parait nécessaire d’être arrivé au stade adulte. Dans l’immensité du désert politique, je n’en vois toujours pas un. On me dit qu’ils se cacheraient sous le divan dans le cabinet de Freud. Et je sais qu’on me ment. Pas un seul n’oserait franchir la porte salutaire parce que tous sont terrassés par la peur. Ne sait-on jamais ? Et s’ils découvraient leur visage dans leur miroir ? Ô terreur !