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lundi 20 février 2023

bu à travers le tibe • le silence et la mort...

Macron, Biden, Zelensky, Poutine et tous les autres, sans exception, seulement des images de nourrissons pendus aux seins de leurs mamans qui biberonnent et biberonnent en jouant à la guerre avec des armes bourrées de balles pas à blanc. Et les peuples cocaïnés ou cristallisées qui sont incapables de sortir de leur léthargie. Et l’homme qui, depuis qu’il est homme, ne sait même pas qu’il doit réparer son psychisme lézardé, fracturé, écrabouillé, pour vivre vivre et non vivre mort. Terre de tristesse. Monde de déni. Tout cela n’est qu’un rêve dont personne ne peut sortir. Délation ! Un homme a dénoncé Palmade pour détention d’images pédopornographiques. Délation d’un mort crade pour enfoncer le mort en fin de vie. Et il y a encore des femmes sadiques qui pondent des enfants. Enfants pour en faire quoi dans un paysage nocturne où rien ne peut être fait. IA. L’intelligence artificielle est en train de remplacer toute cette merde. Le monde va obéir aux lois arbitraires. L’homme qui n’est pas homme va devenir plus pierre que la pierre. Le froid sera glacial dans un monde statufié.  Le silence. La mort…      


mercredi 25 janvier 2023

vu à travers le tube • mars, vénus et lune…

Et je t’arme et je t’arme et je t’arme et voilà que Zelensky croule sous les armes qu’il va utiliser pour exploser Poutine et sa Russie maléfique qui depuis Boris Godounov et Ivan le terrible veulent s’approprier tous les autres mondes où vivent les gentils. Je pourrais tous les citer. La France et son ado boutonneux chatoyant Micron, la Corée du Nord et son bon gros vivant Kim Jong-un, les États Unis et son merveilleux papy Bidon, la Turquie et son légendaire doux caméléon Erdogan, Israël et le joyeux sadique Netanyahou. Et tous les autres ! Et l’explosion définitive qui va libérer l’univers n’est pas pour un jour prochain, mais bien pour demain. Ça me réchauffe le cœur. Si vous n’avez pas écouté Francis Huster ce matin, c’est une faute. Lui, il ne réclame que Molière, Bach, Renoir, Rodin et quelques confrères. Seuls ces pensées élaborées et réalistes peuvent faire tourner la terre, selon Francis. Et, en y ajoutant Freud, je suis entièrement d’accord avec lui. On en est si loin, qu’il faut mieux se résoudre à la conclusion de l’ignorance crade des mondes : boum !

 

Le Haut Conseil à l’égalité entre l’homme et la femme (trop rigolo !) vient de sortir sa brochure, un ramassis de craderies, de poissonneries, de merdiqueries, de saloperies et de tous les mots qu’il faut inventer pour une pareille horreur. Les perpétuelles guerres de religions et de territoires ne suffisant pas au malheur des mondes, voilà qu’on met en place la guerre entre l’homme et la femme parce que les rapports entre les deux sexes différents seraient inégaux. Waouh ! Je ne vois pas comment on peut faire la comparaison. L’un a un bâton. L’une à une caverne. Le but est d’introduire le bâton dans la caverne pour reproduire ce qui se reproduira à l’infini. Et puis, si la femme ne veut pas ouvrir sa caverne, elle peut toujours la fermer à clé et balancer le four à micro-ondes à la tête de celui qui voudrait l’ouvrir de force, à moins qu’elle ait une arme à feu et qu’elle lui explose le bâton comme Poutine va exploser la terre. En attendant, et pour changer de ces balivernes, et si la femme cessait toutes activités - sexuelles et diverses - tant que son salaire ne sera pas égale à celui de l’homme, ce qui est pourtant la chose la plus naturelle du monde. Ce combat est un faux combat. Tant que l’un comme l’autre n’auront pas cherchés, trouvés et traversés leur miroir, tout restera en l’état. Si on lit bien ce rapport destiné à exterminer l’homme, on pourrait penser que l’homme vient de Mars, la femme de Vénus et que le Haut Conseil est tombé de Lune.      

lundi 23 janvier 2023

le puits au fond du jardin • #metoo a perdu… chouette !



 

« Le sexisme ne recule pas en France. Au contraire, certaines de ses manifestations les plus violentes s’aggravent et les jeunes générations sont les plus touchées », écrit le HCE qui note que  cinq ans après #MeToo », la « société française reste sexiste dans toutes les sphères » : publique, privée, professionnelle, médiatique(ouest-frence.fr). Et le sexisme ne reculera pas tant que des imbéciles tarées - genre #MeTooBamanceTonPorc et les multiples associations féminines qui réclament le tranchage du bâton de l’homme - existeront et détruiront le genre humain qui n’est que celui de l’homme qui pénètre et de la femme si reçoit. Et comme il y a mille manières de pénétrer et mille manières de recevoir, ce n’est ni aux politiques, ni aux religions, ni aux associations d’inaboutis, ni à la morale judéo-chrétienne de s’occuper de ces questions, mais à celle qui met l’homme et la femme face à eux-mêmes, celle qui démêle de vrai du faux, celle qui donne les moyens à l’être humain d’acquérir sa liberté sans aucun préjugé : la psychanalyse, la thérapie de Sigmund Freud. Elle seule peut résoudre les problèmes relationnels entre les deux sexes et faire avancer les pensées pour un psychisme construit. Je ne cesse de me répéter et je n’intéresse personne. Peu importe. Je m’en fous. Restez dans votre merde. Votez avec votre papier-cul. Ne voyez-vous donc pas, que tout cela ne marche pas ?         


mercredi 4 janvier 2023

vu à travers le tube • gravissime…

Ceci n’est pas une intox : le maire de la ville de Pantin, au nom de la sacro-sacrée-sainte égalité entre les hommes et les femmes, a décidé de rebaptiser sa ville sous le nom de Pantine qui est le féminin de Pantin. Le maire socialo est bien un pantin, un morceau de bois mort qui est né sans pensée et que des abrutis sans pensée - non plus - ont mis au pouvoir. Le socialo s’est fait avaler par les écolos. Déjà qu’il était un faussaire - il y a bien longtemps qu’il n’y a plus de socialistes -, il est maintenant un faux écolo-socialo inutile et nuisible. Dire qu’il doit y avoir égalité entre l’homme est la femme, c’est dire qu’il doit y avoir égalité entre une cuillère à café et un tournevis. Comment comparer ces deux êtres qui n’ont rien en commun et qui n’ont pas les mêmes fonctions ? L’une à un trou, l’autre un bâton. L’une fabrique la vie, l’autre déclenche le processus. Leur association est presque toujours un échec contrairement aux apparences, échec dans les comportements, échec dans les sentiments, échec dans leur capacité à élever la marmaille qu’ils ont inévitablement. Pourquoi les presses en tous genres relatent-elles, plusieurs fois par jours, le drame des femmes battues, violées et assassinées par leur mari ou leur amant, et jamais le drame des hommes - plus nombreux qu’on ne le croit - harcelés, maltraités, méprisés et assassinés perfidement par leur épouse, qui ont rarement le courage de la balancer du 8e étage de leur immeuble ? Les différents abyssaux qui séparent l’homme de la femme ne peuvent se traiter par la presse ou par la loi, mais par la construction de la pensée qui ne peut être assurée que par Freud dont les protagonistes seraient bien avisés de pousser la porte se son cabinet pour y chercher leur miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est simple comme le noir d’une nuit sans lune qui se reflète dans la rivière.  

vendredi 25 novembre 2022

vu à travers le tube • le théâtre de l’hémicycle et le roman de l’homme et de la femme…

Mais pourquoi donc les français réclament tant de bâtons pour se faire bastonner ? Kéké, une députée française, défend ardemment un multirécidiviste islamique, et sa famille mélenchienne guidée par Rousseau et Obono - deux tarées intarissables - la défend ardemment aussi. Les terroristes sont devenus des héros et les taureaux des vaches sacrées. La bêtise devrait avoir des limites, à moins que dans ce nouveau monde, ce soit elle qui triomphe de tout. Les cerveaux fêlés sont si nombreux que les penseurs vont devoir aller se cacher s’ils ne veulent pas finir en potages écolos au milieu des mouches grillées et des mandibules frites.

 

Mais pourquoi donc les femmes réclament tant de bâtons pour se faire bastonner ? Aujourd’hui c’est la Sainte Catherine, la fête des Catherinettes qui sont des jeunes vierges de moins de 25 ans qui n’ont jamais connu le plaisir de la copulation avec un homme. Aujourd’hui, elles vont défiler dans la rue, accoutrer de vêtements sexy moyenâgeux, espérant être remarquées et enlevées par un beau mâle qui mettra fin, avant minuit, à leur terrible condition de solitude sexuelle. Et dès demain matin, elles iront porter plainte parce que le prince charmant ne ressemblait pas à celui qui a baisé Blanche-Neige pour la réveiller de sa léthargie chronique..

 

Si la Comédie Française a été - pendant plusieurs siècles - le plus beau et le plus sérieux théâtre de France, depuis quelques décennies et surtout depuis le sacre de Micron II, elle a été détrônée par le Théâtre de l’Hémicycle, où là, la comédie tourne au tragique et le tragique au théâtre de Guignol ou des Trois Baudets. Jamais spectacle ne fut plus violent, inattendu, surréaliste et complètement étranger à la vie des pauvres gens qui couvrent 99% de la surface du pays en ruine. On s’y insulte comme des charretiers surdosés, on s’y regarde comme des sorcières sur un mont chauve, on y hurle comme dans les chambres de tortures des questions ordinaires et extraordinaires des cathos, on y joue la mise à mort des idées et du bon sens. On y joue à la fin du monde pour que le monde devienne une fin.

 

Quatennens est accusé de tous les maux et personne ne pipe mot sur les agissements de celle qui le traine dans la boue après lui avoir dit « épouse-moi nom amour, mon chéri, mon Adrien à moi et fais-moi une marmaille… » Quatennens est un gros con. Il a fait comme tous les hommes et comme moi : il a été pris au piège et il est tombé dans le trou !       

mardi 15 novembre 2022

vu à travers le tube • dans mon puits…

Zelensly accuse la Russie d’avoir détruit toutes ses infrastructures cruciales. Il est con ou quoi, ce type ? On fait la guerre ou on ne la fait pas. Si la guerre n’est pas faite pour détruire, à quoi sert-elle ? Nous sommes 8 milliards de connards débiles sur cette terre. Qui va oser dire ça suffit et stériliser toutes les femmes et couper tous les pendentifs serpents à sonnette des hommes ? Désolé pour les grincheux salopards, mais Mai 68 avait ouvert les portes de la liberté. Depuis 83 nous sombrons. Les lois s’empilent et s’empilent sur celles déjà empilées et nous nous dirigeons vers les pires des dictatures, dictatures islamiques et dictatures écologiques. L’homme n’a plus d’importance. Il a perdu tous sens.  Il n’est plus que vide dans le vide sidéral des pensées. Il ne comprend toujours pas qu’il n’est qu’une pensée - quand il pense - qui lui donne le reflet d’une image et que l’autre - ce reflet - n’existe pas. L’homme a été créé par le cinéma bien avant que celui-ci existe. Il a toujours été un mouvement, un contour, dans un écran blanc sur lequel il crée des mouvements dans les limites des frontières de sa surface plane. Il ne peut s'en échapper. S’il le tente, il disparaît à tout jamais. L’homme n’est qu’un psychisme mal habillé d’un corps clownesque. Seul son psychisme doit être préservé et contrôlé en permanence. C’est pourquoi, en lieu et place de la tisane ou du Doliprane, il doit régulièrement consulter Freud pour qu’il l’aide à chercher son miroir, à le trouver, à s’y regarder, à s’y reconnaître et à le traverser. Des milliers d’années après son entrée en scène, l’homme n’a toujours rien compris et continu de jouer la mauvaise pièce du plus mauvais auteur : celle qui l’entraine dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, puits que mon arrière-grand-père avait construit au milieu des coquelicots.    

dimanche 24 juillet 2022

le puits au fond du jardin • l’origine du monde…



 

On ne voit plus qu’elles à la télé, les femmes qui, comme les hommes célèbres et payés abondamment jusqu’à saturation, tapent dans un ballon pour les championnats footballistiques des mondes. Elles sont en shorts de couleurs et en plan élargi, on ne voit pas la différence. Je sais pourtant, je l’ai appris, et j’en ai fait les frais quand j’ai grandi, que la femme est différente de l’homme, très différente et très difficile à vivre. Bref, sur un terrain de foot, elles sont semblables aux mâles, peut-être parce qu’elles ont opéré la grande mutation. Et je peux confirmer tout ce casse-tête parce que je viens de lire que les mêmes que les footballeuses viennent de prendre leur vélo pour faire leur Tour de France qui vient de voir sa première étape se dérouler aujourd’hui. Progressivement, elles s’installent, prennent la place de l’homme qui est en train de se faire voler son identité et qui, par la force des choses, va finir dans le noir du fond du trou de mon puits au fond de mon jardin. Tant pis pour elles. Elles n’auront plus le bonheur de tripoter le pendulaire masculin, mais je sais que dans leur immense et très immense majorité, elles peuvent très bien vivre sans avoir à se préoccuper de cet objet insignifiant. Le monde change. Au début, on a dit que Dieu avait créé le monde, puis que l’homme n’était qu’un singe savant, puis tout un tas de choses stupides, mais fortes pour lui permettre de croire exister. L’homme déjà mort va disparaître. Et la femme aussi, quoiqu’elle fasse et quoiqu’elle dise. Tout ça pour ça ! Ridicule cette expulsion de la marmaille par l’origine du monde !  


mardi 19 juillet 2022

le puits au fond du jardin • encore une affaire de trous…

 



 

Grâce aux progrès incommensurables que l’homme a fait – à la sueur de son front – depuis qu’il habitait les cavernes, grâce à ses innombrables jouets-gadgets, il vient de découvrir un trou, un trou noir, un trou noir en sommeil, donc d’un nouveau type. Et voilà que tous les écrans télés du monde crient au génie parce que – sans doute – ce trou d’une extrême rareté qui ressemble étrangement à un trou parce que ce n’est qu’un trou, va apporter à l’homme un avenir radieux juste au moment où son crépuscule a pris sa vitesse de croisière. Moi, depuis des années, j’ai un trou noir dans le fond de mon puits au fond de mon jardin. Je le visite tous les matins, juste avant de papoter avec ma voisine de palier et d’aller prendre mon café chez Leclerc. Et dans le noir du trou de mon puits au fond de mon jardin, je n’y vois que grouillement, que mélasse, que puanteur. J’y vois le désastre de l’humanité. J’y vois l’homme tel qu’il est et non comme il se plait à se montrer, lui qui est menteur, pervers, ignorant et qui ne connaît que le déni. Des cons de sachants ont trouvé un trou alors que le seul trou d’importance est l’origine du monde et qu’il est rouge. Et ce trou récemment découvert a bien peu d’importance par rapport au trou originel à qui je rends un hommage appuyé parce que désormais la marmaille ne sortira plus de celui-ci, mais de la pipette du pharmacien. Comment peut-on s’intéresser à un trou que jamais personne ne pénètrera alors que sur cette terre fracassée, le feu grille les vivants comme des côtes de porcs avant que l’eau ne vienne les engloutir à jamais. La fin de l’homme ne sera qu’un soulagement pour l’univers. Il n’a jamais compris que sa pensée ne pouvait agir que si elle était alimentée. Freud en a donné le mode d’emploi. L’homme ignorant a décapité le penseur. L’enfer, c’est bien l’homme.  

mercredi 15 décembre 2021

vu à travers le tube • laure eude ou les contes immoraux de walerian borowczyk…

« J'ai suivi Poivre, bêtement, comme une bête qui va à l'abattoir. Dans la chambre d'hôtel, Poivre a sorti son sexe qu'il a frotté contre le lit. » raconte Laure Eude, 23 ans.  « Non, je ne suis pas là pour ça. Je vous rencontre dans la perspective d'obtenir un stage. Ma future belle-mère a acheté votre dernier livre. Vous donnez l'image d'un homme romantique. Pourquoi vous conduisez-vous comme ça ? » lui a-t-elle dit. « Je me suis alors retrouvée allongée sans culotte et sans pantalon, comme Rika Zaraï, sur le lit avec PDDA au-dessus de moi. J'ai eu le sentiment de me liquéfier pendant qu’il me pénétrait sans préservatif. Mon corps était là et j’étais ailleurs. Tout a duré trois minutes. Il ne m’avait même pas dit bonjour: J'avais la sensation d'avoir suivi le loup et que le loup m'avait mangé. Tout était ma faute. » conclue Laure Eude - nom d’emprunt probablement - en répondant aux questions de Closer, le journal des potins qui racontent les potins des gens désœuvrés. Ceci s’est passé il y a 36 ans et c’est ce matin que soudain Laure Eude s’est dit: Et si j’allais raconter un conte immoral à Closer, cette cochonnerie me prendrait peut-être comme stagiaire ! »

 

Je mentionne cet exemple - il y en a des milliers d’autres et plus - pour bien faire comprendre aux hommes que la femme est un animal dangereux et qu’il faut mieux éviter tous contacts avec cette chose. Le danger est grandissant surtout depuis que l’hilarant écolo Jadot a dit qu’il fallait croire avant tout aux rumeurs et porter plainte devant la justice bien avant que celle-ci ne prenne forme. Messieurs, vous n’êtes plus. Votre pendulaire qu’on appelle aussi bâton parfois de Maréchal mais aussi pinette s’il est minuscule, est condamné à la guillotine pour être tranché en place publique et recueilli dans un seau pour nourrir les chiennes affamées.

 

Triste histoire que cette fin de l’humanité parce que l’homme - la femme est dans le mot - refuse de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. L’homme - la femme est dans le mot - est né et vit dans l’ignorance aussi sombre  que le noir au fond de mon puits au fond de mon jardin et n’a même pas l’idée qu’il pourrait changer sa vie, changer sa forme de pensée, pour enfin changer le monde. Tant pis !  


mercredi 17 mars 2021

vu à travers le tube (bis) • et une de plus…


Je l’apprends à l’instant et j’en suis consterné. La chanteuse et actrice Demi Lovato - 28 ans - révèle avoir été violée à 15 ans alors qu’elle tournait pour Disney Channel - la chaîne où Mickey et son tonton Piscou violent les comédiennes - et que - cerise sur le gâteau - la souris et le canard - entre deux viols - l’ont obligée à les suivre toute la journée et même la nuit qui a suivi la journée mouvementée et que c’est ce jour et cette nuit qu’elle a perdu sa virginité. Oui, je suis consterné qu’une fille innocente et naïve ou psychopathe bien corsée se fasse violer par une souris et un canard toute une journée et toute une nuit et qu’elle se croit obligée de raconter sa vie à la populace qui, comme moi, n’en a rien à foutre. Si vraiment elle a été affectée, c’est chez le psy freudien qu’elle doit se rendre et foutre la paix aux gens qui ont d’autres chats à fouetter. Les monstres sortent des urnes et des ventres des femmes.      

vu à travers le tube • dames porcel, maillet et autres…

Je ne suis pas particulièrement attiré par PPD’A, ni par le journaliste, ni par l’homme que je ne connais pas, ayant seulement vu et entendu son image dans un écran télé. Des milliers de femmes lui ont écrit, lui ont envoyé des photos suggestives, l’ont harcelé dans la rue et même couché devant sa porte. Aujourd’hui, nouvelles mœurs obligent - elles sont de plus en plus nombreuses à prétendre avoir été violées par l’homme dont elles rêvaient de coucher pour copuler. Elles sont de plus en plus nombreuses à raconter leur vie avec leur héros d'un temps dans les radios et télés, elles sont de plus en plus nombreuses à écrire des livres - comme si elles étaient écrivaines - et à tourner des films - comme si elles étaient cinéastes - pour crier au monde leur désespoir face à un mal de vivre que seule la psychanalyse peut déceler et atténuer sinon guérir et sûrement pas l’opinion publique ou un juge de justice. Dames Porcel, Maillet et autres persistent dans leur ignorance en ignorant qu’elles sont ignorantes quant aux fondamentales des humains. PPD’A et les milliards d’autres monstres - dont je fais partie de la famille - sont nés de la femme coupable de les avoir éjectés violemment de leur ventre où ils étaient si bien et de ne pas leur avoir demandé s’ils souhaitaient entrer dans la vie, cette vie de tarés-fêlés qui se tarent et se fêlent depuis les débuts du monde. Je ne suis en aucun cas coupable d’être sur cette terre que je méprise profondément et je ne suis en aucun cas coupable de mes actes parce qu’ils sont conditionnés par la femme qui a usurpé ma volonté en me pondant comme un vulgaire morceau de chair à boucher. Quant à cette mode absurde qui consiste à vouloir « libérer » la femme, comment comprendre cette naïveté quand on sait qu’on n’a toujours pas réussi à définir le mot « liberté ». Les femmes seraient donc prisonnières et les hommes libres ? Je ne suis pas sûr que vivre sur des fantasmes perfides et destructeurs soient acceptables. Aucun être n’est libre sauf… celui qui a poussé la porte du cabinet de Freud et qui toute sa vie s’est confronté à son propre soi, s’est fait analyser dans les profondeurs des noirs sans fin de leur inconscient. Penser, ça s’apprend toute la vie, mais pas avec n’importe qui.


 

   


mardi 17 novembre 2020

vu à travers le tube • la courbe montante descend inversement proportionnellement à la courbe droite des sexes opposés…

Et voilà qu’en quelques minutes Corne à Virus a viré dans l’autre sens - courbe ascendante passant en courbe descendante - et qu’une flopée de vaccins destinés à tuer la Corne et surtout le vacciné, va être, dans quelques heures, mise sur le marché. Et pendant ce temps, toujours pas de ciné, toujours pas d’opéra, toujours pas de bistrot pour prendre mon café, toujours pas d’hôtel et de restaurant pour fuir quelques jours mon appartement qui commence à me sortir par la tête. Hier, je n’ai pas pu m’acheter des souliers - ma dernière paire est toute trouée - le magasin étant fermé. Par contre j’ai pu acheter - la porte d’à côté - quatre litres de vin, trois bouteilles de whisky et deux litres de pastis. Ça ne remplace pas le confort de mes pieds mais au moins, ça me fait oublier qu’une femme a eu l’indécence de m’expulser de son ventre pour me mettre dans ce monde d’ignobles gros cons dont je suis obligé de supporter les âneries et les divagations. Heureusement je suis à l’aube de la mort et c’est un superbe espoir.

 

Les violences conjugales ont été en hausse de 16% en 2019. Et le Roi de France - qui n’a toujours rien compris - tente de résoudre le problème par la violence en créant des lois et en musclant sa police et sa justice. Si c’était si simple, ça se saurait. Les MTBTP (MeTooBalanceTonPorc) l’ont dit et redit et crié sur tous les toits : les hommes sont des bêtes sauvages et la cohabitation avec les douces Amazon est incompatible. Et moi qui ait été marié dix-huit années et qui ait vécu un enfer - les tranchées de 14/18 étaient plus douces et donnaient plus d’espoir - je suis persuadé que la solution est l’interdiction du mariage et de la copulation pour fabriquer des marmots rejetons. Je suis persuadé que l’homme et la femme doivent vivre séparément et ne se rencontrer que pour jouir ensemble sur le fauteuil de l’opéra à la vue et à l’écoute de Tristan ou de Parsifal et hors les murs du théâtre, se voir de temps à autre pour faire pouet-pouet en toute liberté. La relation doit impérativement s’arrêter à ce stade et tout le monde s’en portera mieux. L’autre solution - et j’y suis encore plus favorable - est que l’homme comme la femme - ils en ont bien besoin tous les deux - frappent à la porte du cabinet de Freud et entreprennent une analyse de longue durée. C’est dans la connaissance de chacun de soi que le couple trouvera l’apaisement ou la rupture comprise et acceptée - ce qui revient au même -. Et comme Freud et rejeté de partout - ce qui est normal dans ce monde d’ignorants et de bornés - nous n’avons pas le choix. C’est la solution 1 qu’il faut explorer et appliquer.