Ce matin, sur Europe 1, Vincent Trémolet de Villers l’a dit mieux que moi : « En France, la grande déglingue démocratique… », et son discours est édifiant et terrifiant. J’ajoute à ses propos, criant de vérités, ma petite différence qu’est le mot « démocratie » que je n’ai point lu ni vu depuis que je suis né, les rois, de Vercingétorix à Macron, en passant par François 1e, Louis XIV, Napoléon ou De Gaule, ayant toujours fait semblant. Hier, les salopards LFI et la pourriture de la Macronie, ont réuni quelques stupides imbéciles pour vomir sur Marine Le Pen, une victime du système pourtant à terre et agonisant. Si j’ajoute à ce tableau dégoulinant la visite de la mine patibulaire de Barrot à Sa Majesté le Roi du Maroc qui l’a contraint à s’asseoir sur un coin de chaise pour mieux l’humilier, on voit, sans difficultés, que le pays continue sa plongée dans les sables mouvants et que rien ni personne ne le sortira de cet inconfort qui mène à la mort. Cessons les débats et les réunions. Fermons-là pour un bon bout de temps et prenons le taureau par les cornes, de suite, immédiatement, en écrasant sans remord, sans compassion, tous ceux qui placent des pièges à cons sur le chemin de la résurrection. Intéressons-nous à l’individu et à son psychisme exclusivement en lui conseillant de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. C’est la solution. La seule, quoique vous en pensiez. Retarder cette échéance pourrait bien être considérée comme un crime contre l’humanité.