La question est questions. Comme, par exemple, comment Fabius et Juppé se retrouvent-ils au sein d’un comité de « sages » (rires !) alors qu’ils ont été condamnés par la justice ? Comme, par exemple, la Constitution est-elle constitutionnelle ? Comme, par exemple, nommer un chef suprême - un Roi - qui décide de tout, à la tête d’un pays, peut-il être inscrit dans une constitution qui se voudrait démocratique ? Comme, par exemple, l’impuissance maladive chronique du Parlement est-elle inscrite dans la Constitution ? Comme, par exemple, l’élection à 2 tours n’est-elle pas l’exemple même du sabotage d’une éventuelle démocratie ? Comme, par exemple, les élus ont-ils obligatoirement les capacités et les compétences pour jouer le rôle d’un élu ? Comme, par exemple, l’accumulation et l’empilement des lois punitives peuvent-elles résoudre les problèmes de la société ? Comme, par exemple, l’homme.femme peut-il être homme.femme sans avoir appris ? Comme, par exemple, la cohabitation homme/femme - deux être totalement dissemblables - peut-elle vraiment poursuivre ensemble le chemin de la vie ? J’en ai encore 100 000 comme ça dans ma besace.
En attendant, le Conseil Constitutionnel, sous la bienveillance du Roi de France, vient de nous couper notre 3e jambe et notre 5e bras. La prochaine fois, ce sera à coup sûr le zizi. Une fois encore, les femmes ont beaucoup de chance !