« Rachmaninov était un compositeur de grande aristocratie, de grande
élégance. J'aime qu'il ait toujours eu le courage de ses opinions ; il s'est
placé au contre-courant du langage de son époque. » (Hélène Grimaud, Variations
sauvages, 2003)
Khatia Buniatishvili, Neeme Järvi and the Verbier Festival Orchestra
perform Sergei Rachmaninoff’s Piano Concerto No. 3 in D minor, Op. 30 at the
Verbier Festival in 2011.
Mikhail Timoshenko
(baryton-basse) et Elitsa Desseva (piano) interprètent Elle est belle comme le
jour op. 14 n° 9 de Serge Rachmaninov. Une émission enregistrée le 22 mai 2021
au Théâtre de l'Alliance Française
Sous la direction de
Mikko Franck, l'Orchestre philharmonique de Radio France joue l'ïle des morts
de Rachmaninov.
Derrière la fermeté
de l'architecture, l'infaillibilité du style et la perfection digitale percent
la quête anxieuse du message, la passion de la grandeur, l'exigence jamais satisfaite.
Sous la maîtrise de la forme, Rudolf Serkin, infatigablement, questionne la
musique.
06:56 III. Gesangvoll, mit innigster Empfindung. Andante
molto cantabile ed espressivo (06:56 Theme ; 08:50 Variazione I: Molto
espressivo; 10:30 Variazione II:
Leggermente; 11:56 Variazione III:
Allegro vivace; 12:26 Variazione IV: Etwas
langsamer als das Thema [Un poco più lento del tema]; 14:55 Variazione V: Allegro
ma non troppo; 16:07 Variazione VI; 18:07 Theme.)
Byron Janis commence
sa carrière professionnelle à New York en jouant le Concerto pour piano n°2 de
Rachmaninov avec l'Orchestre de la NBC et le chef d'orchestre Frank Black. En
1944, il interprète le même concerto avec l'Orchestre symphonique de Pittsburgh
dirigé par Lorin Maazel, âgé de 13 ans, devant un spectateur nommé Vladimir
Horowitz, qui l'invite à suivre ses cours.