Grâce à la beauté naturelle de sa voix et à ses qualités expressives, Alain
Vanzo s’imposa comme le plus grand ténor français des années 1960-1970. En
1973 il est le seul français à participer à Naples au concert organisé pour le
centenaire de la naissance d’Enrico Caruso. Alain Vanzo partage alors
l’affiche avec Mario Del Monaco et Luciano Pavarotti, entre autres !
Le Roi de France dénonce
la violence de la campagne royalielle, lui qui aura été pendant cinq ans et qui
le sera encore pendant ces cinq autres années, le Roi le plus violent et le
plus pervers de la Ve Monarchie. Si une toute petite poignée de gens ont crié « Macron
assassin ! », effaçant ainsi totalement le meeting de Zemmour, c’est
que le Roi de France actuel et futur est bien un assassin, non pas un assassin
qui se sert d’un poignard ou d’une arme
à feu, mais un assassin qui se sert uniquement de sa langue, langue acérée et
pointue qui transperce les pensées les plus fragiles en ne leur laissant aucune
chance de survie. Oui, le Roi est bien un assassin, un assassin semblable - et
souvent en pire - à ses prédécesseurs, à ses successeurs, à ses confrères d’Amérique,
de Russie ou de Chine. Tous les Rois ont été des assassins, des grands malades
psychologiques. Le fait seulement de vouloir accéder au pouvoir et de se
présenter au suffrage des peuples est un signe incontestable d’un grave dérèglement
de la pensée et du psychisme que les femmes qui pondent à gogo n’ont pas su
déceler parce qu’elles pondent en ignorant les caractéristiques de la chose qu’elles
expulsent dans le monde des morts qui se croient des vivants.
Marcello Alvarez
est un ténor soprano d’opéra qui ne chante que dans « La Fille du régiment »
de Donizetti parce qu’il y a une notre très aïgüe fortifortifortissimo qu’il ne
rate jamais et qui lui vaut 40 à 50 minutes d’applaudissements pour cet exploit
de cirque. Il y a deux ou trois jours, il s’est essayé - à Gênes - dans le rôle
de Des Grieux de « Manon Lescaut » de Puccini. Et pour cette première
prestation, il s’est arrêté au milieu du premier duo, sa voix, en manque de sur-sur-aigus,
l’ayant abandonné. Il a quitté la scène et l’Italie sur le champ, laissant la
pauvre Manon seule sur cette même scène, dans l’attente d’un remplaçant qui ayant
probablement été prévu - curieux et marrant - a poursuivi le chant avec sa partenaire,
seulement vingt minutes après l‘accident. J’espère que le gougeât n’aura plus d’engagement,
surtout que je connais quelques ténors qui chantent encore mieux que lui « La
Fille du régiment ». Je vais ajouter Alvarez à ma liste noire où trône
depuis plus de vingt ans un certain Roberto A.
Nicolai Gedda
sings "Je crois entendre encore" from Les Pecheurs De Perles by
Georges Bizet
Philharmonia Orchestra
Alceo Galliera, Conductor
1953
Nicolaï
Gedda, tenor - Puccini - La bohéme - Che gelida manina
1962
Nicolai Gedda
& Ernest Blanc sing "Au Fond Du Temple Saint" from "Les
Pêcheurs De Perles" by Georges Bizet in this 1960 recording with the
Orchestre Du Théâtre National De L'Opéra-Comique of Paris conducted by Pierre
Dervaux.
Nicolai Gedda sings "Nacht und Träume" by Schubert
with the great English pianist Gerald Moore
Richard Wagner Tristan und Isolde (Einleitung ... Hörst du sie noch? ...
Isolde! ... O sink' hernieder, Nacht der Liebe ... Einsam
wachend ... Lausch', Geliebter! ... Doch unsre Liebe, heisst sie nicht Tristan
und Isolde? ... So stürben wir)
Isolde - Martha Mödl
Brangäne -Ira Malaniuk
Tristan - Ramón Vinay
Orchester der Bayreuther Festspiele
Herbert von Karajan, conductor
Bayreuth Festspielhaus, July 23, 1952
Ramon Vinay sings "Dio mi potevi scagliar" from Verdi's
"Otello." This is from the December 6 & 13, 1947 radio broadcasts
of the opera with Arturo Toscanini conducting his NBC Symphony Orchestra.
Giovanni Martinelli - Vesti la giubba -
Pagliacci (Leoncavallo)
Giovanni Martinelli - Il Trovatore - Ah si ben
mio - Victor 74439 enregistré le 16 avril 1915
Super rare recording of
Giovanni Martinelli singing "Ti ringrazia Sonora; Ch'ella mi creda"
from Puccini's La Fanciulla del West. This recording dates from 1950, when the
great tenor was 65 years old.
The 26 year old
Martinelli sings "Che gelida manina" from Puccini's La Bohème. This
was recorded at the London studios of Edison Records in April of 1912.