Les miss ont vieilli. Hier,
elles se sont présentées habillées, déshabillées plus, déshabillées moins, sur
deux jambes, à quatre pattes et j’en passe. Ils les ont vues sur toutes les
coutures les gens devant l’écran et les nanas ignorantes et puériles du jury dont Khatia
Buniatichvili, qui joue du piano quand elle ne zieute pas le cul des femmes.
Ignoble cette foire aux esclaves !
Ce qui est invraisemblable, c’est
que les ministres de Barnier et Barnier lui-même ont été renvoyés dans leur foyer
par les idiots inutiles de l’Assemblée et que dès le nouveau Premier ministre
nommé, un vieux cheval qui mange à tous les râteliers, Rotailleau, le héros du
gouvernement déchu, a été le premier et le seul a rencontré le patron de Matignon.
Et voilà qu’aujourd’hui, Siegfried sera à Ajaccio pour baiser la pince de la
papauté et demain à Mayotte pour tenter de trouver des solutions pour que la
population décimée par Chido sorte la tête de l’eau, bien qu’elle n’ait jamais vécu
à l’air libre. Je me demande pourquoi ce Rotailleau se démène autant alors qu’il
vient d’être jeté comme un vulgaire paillasson. Censuré et sanctionné, il est
devenu le représentant officiel du Premier ministre et de l’enfant qui se prend
pour un président. Alors pourquoi pas lui ? Président et Premier ministre en
même temps, lui irait comme un gant et les fanas d’Opinel, et les violeurs de
vieilles dames, et les trafiquant d’amphétamines, et les disciples des islamistes,
trembleraient enfin et pris de vertiges, prendraient les jambes à leur cou pour
se cacher dans les forêts où les lions et les tigres pourraient se régaler à
souhait. Je crois que j’ai trouvé la solution et j’espère que vous serez
nombreux à me féliciter.
La lâcheté de Frédéric
Bonnaud, directeur de la Cinémathèque de France, est sans limites. Le plouc a
déprogrammé le chef-d’œuvre de Bertolucci « Le Dernier Tango à Paris »
qui devait être projeté ce soir, à 20 heures, parce que des associations de nanas
psychopathes ont menacé de l’émasculer s’il montrait sur l’écran blanc, Marlon
Brando violer d’une manière particulière la succulente Maria
Schneider. J’ai vu le film il y a plus d’un demi-siècle et je suis toujours en vie
et même, je ne me porte pas trop mal pour mes prochains quatre-vingt-dix ans.
Les réalités, et surtout la vue des chefs-d’œuvre, traumatisent fortement les
gens de notre époque où les cerveaux sont manipulés dès leur arrivée dans le
ventre de la femme coupable. La dictature des imbéciles et des ignorants –
souvent imbéciles-ignorants ou ignorants-imbéciles – lézarde, corrompt, dégrade
et torture la société où s’opposent bourreaux et victimes sans que personne sache pourquoi. La femme est devenue la bêtise même et l’homme le pauvre petit
con qui s’extasie devant sa puérile puanteur de soi-disant révolution. Les haines
se tariront, les guerres cesseront, lorsque l’homme sera enfin devenu homme et
lorsque la femme sera enfin devenue femme. C’est ce qui a toujours manqué à l’humanité.
Et pour réaliser ce rêve, rien de tel que de se rendre chez Freud pour y
pousser la porte de son cabinet afin d’y chercher son miroir, le trouver, s’y
regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien d’autre. Les restes ne sont qu’inutilité.
Le retour à la IVᵉ République est actée. Nous nous
retrouvons sous le régime des partis et ce n’est pas plus mal pour identifier
la perfidie de l’animal politique. Bayrou, une petite girouette enfantine, née
au bas des Pyrénées, a décidé, quand il était noyau de cerise dans le ventre de
sa maman, d’être président d’une république, en France, de préférence. Il y
arrive. Il est enfin Premier ministre après une longue et dure incartade avec l’enfant
psychopathe qui sert de roi à la France et qui ne voulait pas de lui, en
attendant la suite qui semble inéluctable sauf si son expérience n’arrive pas à
déjouer les pièges posés par les résistants. Il semblerait que les
cases vont s’échanger, paraître et disparaître dans leur cadre immuable. Le président,
enfant usurpateur, en reste sans voix, lui qui déjà depuis quelques mois était
enroué. Peu lui importe, il doit tenir jusqu’à ce que la présidence de la commission
européenne se libère en se débarrassant d’Ursula. C’est là qu’il veut vivre et régner
en éclairant l’Europe de ses facéties et de ses proses shakespeariennes. En
attendant, comment de pas constater que le garnement aura usé cinq premiers
ministres en sept ans : Philippe, 3 ans ; Castex, 2 ans, Borne, un an
et demi ; Attal, 7 mois ;
Barnier, 3 mois, et maintenant Bayrou dont la survie dépend davantage des idiots
de l’Hémicycle que du bon vouloir de Sa Majesté en plein déclin. Mais si on
tient compte du décroissement, François risque de ne tenir qu’une petite
semaine. Je ne le crois pas, mais je sais qu’en politique tout est possible, même
le plus impossible des impossibles. Attendons la suite qui ne va pas être sans
agitations intempestives : les ministres à venir, ceux qui vont affronter
l’assemblée des fauves qui se prétendent représentatifs. Il y a bien longtemps
que le peuple n’a pas été représenté et qu’il ne sait même plus s’il existe. Tout cela me donne le tournis. Et si j’allais chez mon Leclerc prendre
mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier qui se rit de toutes ces
comédies
Depuis huit jours les radios et les télés ne cessent
de nous abreuver de leurs longues plaintes poussives : « Quand donc
Sa Majesté Notre Roi Bien Aimé va-t-il nommer son Premier ministre afin que la terre tourne rond alors qu’elle tourne carré depuis que des terroristes ont
tranché le coup de Sa Majesté Louis XVI et celui aussi de notre douce Marie-Antoinette
qui jouait si bien dans le film de Sophia Coppola ? » L’enfant, usurpateur
de majestés, n’est pas si fou. Ce n’est qu’un grand psychopathe petit par l’âge
qui aime faire joujou avec les connards qui ont posé son cul sur le trône.
Français ! Il se joue de vous. Il vous méprise. Il vous ignore. Et comme
vous ne voulez pas le voir, il vous plonge dans le désarroi en détruisant
minutieusement le pays en attendant l’arrivée annoncée des islamistes qui vont
vous châtier sans ménagement. L’enfant sait, depuis longtemps, qui il veut à la
tête de son gouvernement et celui qu’il a choisi est sans importance puisqu’il
ne lui laissera aucun pouvoir et que l’Assemblée dont il a tranché le pénis –
faire un lien avec Louis et son épouse – restera impuissante dans tous les
domaines. Et puisque vous ne voulez pas bouter cette verrue hors de la terre,
tout espoir est consommé. Avant le régime des dictateurs, nous resteront
tributaires de son immaturité et des pouvoirs exorbitants des Hautes autorités,
organismes inutiles, véritables gouffres financiers, qui décident – au nom de
qui et de quoi ? – de supprimer des chaînes télés et d’encourager les garçons
à devenir des filles et les filles à devenir des garçons. Pauvre monde de fous
que les peuples aliénés acceptent sans broncher. L’ignorance des gens de la
terre conduit le monde à sa fin. Refuser Freud et ne pas s’abreuver des notes
magiques d’Eurydice ou de Tristan est un signe d’embryon récalcitrant resté à
jamais dans le ventre de la femme coupable. Je dis ce que pense. Après tout, ce
que vous faites ne me regarde pas. Continuez vos ignominies. Moi, je suis déjà
parti
L’affaire Adèle Haenel me
fait doucement sourire. À 12 ans, la petite fille est engagé pour tourner un
film qui est une succession de scènes de sexe et ce n’était un secret pour personne,
ni pour l’enfant, ni pour ses parents. Je veux bien croire que le réalisateur
ne se soit pas comporté convenablement, bien que je n’aie pas assisté au
tournage ni aux débauchages hors tournage. Mais, si Christophe Ruggia porte une
responsabilité, il est certain – et il n’est pas besoin de le prouver – que les
véritables coupables, les monstres, comme disent certains, ce sont les parents,
les parents en priorité. On ne les a pas vu au procès, ils n’ont pas été accusé
et ne sont pas, à ce jour, incarcérés pour avoir livré leur fille à la prostitution,
ce qui vaut bien deux ou trois décennies derrière les barreaux. Encore une
fois, la justice française, c’est du pipeau – pardon les pipotiers – et l’accusatrice,
une ado psychopatisée par l’ignorance crade qui caractérise ses parents et leur
grande majorité. Encore une erreur judiciaire qui laisse tout le monde
indifférent.
Et le pacte de non-agression passé entre quelques traitres
et le président, est-ce que cela vous laisse indifférent ? « Je ne
mets pas en branle le 49.3 et toi, tu ne me censures pas ! »
Juré-craché, on immobilise la vie politique, on trahit la V° République et on
fait croire que tout est réglé. N’est pas Wotan qui veut. Le pacte de
pacotille, cette cocotte en papier mâché, va tenir le temps d’un éclair furtif
dans un ciel d’été. Et après que les pantins ont fait mumuse, on attend
toujours un Premier ministre qui sera, quel qu’il soit, celui qu’il ne fallait
pas. D’ailleurs à quoi servira-t'il, puisque dès qu’il ouvrira la bouche, il
sera hué puis censurer comme cela se doit. La France est dans le trou. Rien ne
pourra l’en sortir tant que l’enfant n’aura pas été muselé et mis
définitivement hors d’état de nuire. Désolé !
Hier, à l’Élysée, s’est tenu
la conférence des terroristes psychopathes qui hypnotisent les français par
leur indignité, dont pas un n’a l’idée et le courage de sortir des égouts de
Paris tant ils se plaisent dans la vase puante générée par les gros rats poilus
d’Hidalgo, conférence sous la présidence de l’enfant qui, assis sur le
carrelage rutilant du boudoir de sa maman, tend les bras pour tenter de se mettre
sur ses jambes, et qui sert, dans l’instant, de roi à la France. Ceux du bout
de la droite et ceux du bout de la gauche n’y était pas alors qu’ils
représentent une partie non négligeable du pays, la partie essentielle sans
laquelle la machine ne peut tourner. Ces ignorants invertébrés ont pris la
décision de ne plus se chamailler comme les petits garçons, pendant que les
petites filles jouent à la poupée, et pour cela, de rayer de leur logiciel rayé
le 49.3 et la censure, et l’enfant a promis de ne pas dissoudre jusqu’à son
départ qui va faire éclater des réjouissances semblables au départ de Bachar
el-Assad. Le monde des Bisounours est arrivé. De l’Élysée à Matignon en passant
par les Cévennes, on va se bisouter, caresser les dos et plus bas et plus hauts.
Le paradis d’Adam et Eve, avant le serpent et la pomme, va devenir réalité.
Enfin ! Nous y sommes ! Et parions aussi que très bientôt, grâce aux simagrées
et aux foutages de gueules des imbéciles chroniques d’aujourd’hui, le futur
successeur d’Henri IV, de Louis XIV et de Napoléon, sera Mélenchon 1e,
un dictateur mal-embouché, un vulgaire pattier (un pattier est un chiffonnier) qui
va avec l’inquisiteur Bompard et la poissonnière Panot, mettre les femmes sous
voiles et les hommes sur genoux. Français réveillez-vous ! Je sais :
pour cela, il faut un certain courage et un regard capable de discerner ce qu’il
y a derrière l’écran. Il est fort dommage et fort préjudiciable que vous refusiez
obstinément de pousser la porte du cabinet de Freud. Vous pourriez y chercher
votre miroir, vous pourriez le trouver, vous pourriez vous y regarder, vous pourriez
vous y reconnaître et vous pourriez même le traverser. Alors, les insanités
évoquées ci-dessus ne pourraient plus être. Les équilibres seraient retrouvés
et l’édifice pourrait enfin s’ériger dans la confiance mutuelle et ses rouages
s’enchevêtrer. Le manège pourrait tourner jusqu’à la fin des éternités.
« Je serai le président de tous les français ! »
ont répété les fourbes que les naïfs ont portés naïvement à l’Élysée. Tous !
Le dernier en date, le plus jeune et le plus déséquilibré réunit cet après-midi
« tous » les partis pour connaître leurs choix pour le futur
gouvernement alors qu’il ne tiendra en aucun cas compte des différents avis, d’autant
que tous les avis sont frappés d’incompatibilité entre eux. Et pour bien montrer
son esprit antidémocratique-revancheur, son esprit royaliste, son esprit
dictatorial, il a décidé d’exclure RN qui, pour son petit cerveau, n’est pas un
parti normal, n’est pas un parti républicain, n’est pas un parti français parce
que ceux qui le composent ne sont pas français alors qu’ils sont soumis à l’impôt
français et aux lois françaises. Si je n’évoque pas LFI, c’est qu’elle s’est
exclue d’elle-même, sachant très bien que son ADN terroriste islamiste n’est pas
compatible avec la France de Lully et de Debussy. Comment peut-on admettre qu’un
président raye une large partie de la population sous prétexte qu’elle ne pense
pas comme lui ? C’est donc ça le sens de la démocratie, de cette liberté
lumineuse que chantait Voltaire ? Votre président, Français, n’est qu’un
petit enfant au psychisme inabouti qui n’a rien trouvé de mieux que d’épouser
sa maman déjà ridée. Pas celle-là, celle-ci. Il vous ment, il vous dépouille,
il vous humilie. Et vous, crapauds croasseux et grenouilles geignantes, vous
laissez votre bourreau vous sceller les chaînes aux pieds avant de vous passer
la corde au cou. Maudite soit la femme coupable qui m’a éjecté dans ce monde de
falots !
À Bachar Al-Assad succède Abou Mohammed al-Jolani.
Après l’euphorie, la Syrie entre dans l’inconnu le
plus sordide où, sans doute, l’horreur va succéder à l’horreur. Qui sait ce qui
va advenir ? Bachar serait à Moscou où il est invité à la représentation
de Boris au Bolchoï avec le grand Boris Christoff. Macron feint de consulter au
lieu de nommer pour vite régler la dette avant que les océans n’engloutissent l’Élysée
et tous les pantins qui ont nommé l’enfant. Notre Dame reste avachie au bord de
la Seine sans se soucier du gouffre vertigineux dans lequel l’homme se précipite.
Elle ne comprend pas que lorsque qu’il aura tout détruit et se sera détruit
devant son vide, les dieux qui sévissent depuis des millénaires disparaitront
faute de pensées pour les imaginer et qu’elle ne sera plus qu’un tas de pierre
avant de disparaitre elle aussi. Les révolutions révolutionnent avant de révolutionner
les révolutions. Le peuple attend parce qu’il est paralysé du cul et surtout
parce que l’individu reste un éternel enfant devant la terreur des réalités. C’est
l’individu qu’il faut soigner et obligé à aller vers l’autre monde, celui qu’il
ne connait pas, celui de la liberté. Pour cela, je le dis et le redis encore,
il faut pousser la porte du cabinet de Freud, y chercher son miroir, le
trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. C’est tout. Et c’est
parce que le commun est terrifié devant son miroir sans reflet que le monde en
est là, là où il en est aujourd’hui et que quoiqu’il fasse et que quelle que
soit l’apparition du Messie, il n’en bougera pas, l’immobilité du corps et de l’esprit
étant plus confortable que le mouvement qui, quel qu’en soit le sens, change
les configurations dans un effet domino. L’avenir n’est pas rose. Il n’est ni
bleu ni vert non plus. Il n’est pas.
Il semblerait que les organistes
de Notre Dame n’aient pas fait l’unanimité. Je rappelle qu’ils n’ont joué ni
des œuvres de Jean-Sébastien Bach, ni de Charles-Marie Vidor, ni d’Olivier
Messiaen, mais des improvisations improvisées sur le mode du temps actuel, sans
ossatures, sans formes définies, sans liens entre les plans, sans fondamentales
et absentes de tout sens musical et de toutes marques de génies. Pour parler –
écrire – simple et clair, ils ont joué n’importe quoi. L’improvisation est un
art à part entière qui s’apprend et se peaufine au fil du temps. Bof ! Ils
n’ont fait que participer à l’ambiance générale marquée par le tout en même
temps, une cérémonie vulgaire et païenne où Dieu aura été le grand absent. Même
l’archevêque de Paris Laurent Ulrich avait opté pour une tenue de carnaval, une
tenue dessinée par un styliste français peu inspiré, un certain Jean-Charles de
Casttelbajac. Si les murs de la cathédrale ont été embellis, ce n’est pas le
cas des pensées et des psychismes humains qui à force de grisonner vont bien finir
noir, dans le plus beau des noirs du fond de mon puits.
PS : même les Capuçon se sont fait asphyxier par
l’air ambiant. Leur Haendel « arrangé » était aussi pitoyable que
leur lecture de la partition.
En Syrie, le groupe islamiste
Hayat Tahrir Al-Cham a chassé Bachar Al-Assadqui a pris la fuite alors
que Canal a décidé de retirer ses quatre chaînes payantes sur la TNT (Canal+,
Canal+ Cinéma, Canal+ Sport, Planète) en juin 2025, conséquences
du retrait de la chaîne C8, première chaîne de la TNT, par l’Arcom. Avant d’enfin de disparaître, Biden a offert un million de dollars à Zelinski, un ami intime
du couple Macron alors que la première de Nabucco a triomphé à la Scala malgré
la présence de Netbreko. Les fans de Star Academy ont été très déçus.
Leurs chanteurs de caniveaux étaient encore un cran en dessous, ce qui pourtant
est difficile. Le miracle s’est produit. Le monsieur déguisé en Arlequin a
frappé trois fois, trois fois – ce qui fait neuf – la porte de l’édifice. Elle
s’est ouverte toute grande sans que personne ait touché la poignée. Après, les
enfants ont été obligés de chanter des ignominies préhistoriques et répétitives
– ce qui est dommage parce qu’ils chantaient fort bien – et l’enfant au
psychisme inabouti a déclamé des proses redites à la manière Gerard Philip,
mais sans le talent. Trump a observé. Zelinski est resté bouche-bê. Rachida
Dati a été grondée par le pape qui n’était pas là parce qu’il n’a pas voulu
venir. Les frères Capuçon, des amis intimes du couple Macron, étaient de
service. Barnier, pourtant viré, a assuré l’intendance. Les organistes ont improvisé
sans savoir qu’improviser est un métier. Les télés du monde entier ont retransmis
le gros trou de ce vide. C’est tout.
Von der Leyen, dans la
tourmente, ne viendra pas à Notre-Dame. Les agriculteurs ne peuvent plus retenir
leur colère contre Macron, le traitre. La haine submerge la composition d’un nouvel impossible gouvernement. Un plan social est annoncé chez Canal dont quelque
250 employés vont s’inscrire au chômage. L’Opéra de Paris ferme, les grèves le
réduisent à l’impuissance. Le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Cham aura bientôt
la tête du dictateur Bachar Al-Assad. L’un remplace l’autre. Le peuple syrien,
comme le peuple français, est encore cocu. Par crainte de vous lasser, j’arrête
ici l’inventaire de ma marmite géantissime. Et pendant ce temps, l’enfant au
psychisme inachevé qui croit servir de roi à la France, va parader toute la
journée, comme au temps des cathédrales, serrer les mains et caresser les corps,
avec maman aussi, et clamer au monde tout entier, combien il est fier d’avoir
construit Notre Dame de ses propres mains après avoir couru en longueur et en
hauteur aux jeux du cirque, tout l’été, et ceci devant toutes les télés. Bonjour tristesse, a dit Sagan.
Avez-vous remarqué que les Capuçon sont encore de la fête alors que l’épouse de
l’un deux, une certaine Ferrari, ne cesse de vilipender la macronie sur une chaine
télé ? Ne jamais oublier que le diable se cache toujours dans les détails.
Rien n’échappe à qui sait voir et entendre. Un jour, nous saurons.
Quoi qu’on en pense et quoi
qu’on en dise l’enfant au psychisme inachevé, psychisme qui s’est bloqué au
cours de son séjour en maternelle au moment où il eut à choisir entre deux
mamans, l’enfant qui sert de roi à la France, a la cote auprès du peuple des crapauds
et des grenouilles français. Son intervention-minute d’hier soir à la télé,
aurait dû déclencher les foudres des citoyens qui auraient dû spontanément
marcher sur l’Élysée et brûler l’édifice et le lieu avec tous ses pantins. La France,
dans le gouffre, mieux, dans le noir du fond de mon puits aux fond de mon jardin
ou croupissent les âmes maléfiques de ceux qui ont vécus dans la confusion,
serait donc dans cette situation par la faute de ceux qui ne votent pas comme
le veut la convenance en macronie ? Par la faute de ceux qui rejettent l’orgueil,
la perversité, le déni et les caprices du petit Emmanuel ? Par la faute de
Marine Le Pen et de ses amis à qui personne n’a jamais demandé son avis ? Par
la faute de la majorité des français qui survivent dans la douleur, alors que
le marmot se pavane dans les cours royales avec maman en se prenant pour Louis
XIV ou Napoléon ? Ça suffit ! L’individu doit partir. La Ve
République doit être dissoute. La raison doit reprendre ses droits. Mais avant
de reconstruire, il faut faire place nette et pour cela, chacun des citoyens,
du plus petit au plus grand, du plus pauvre au plus riche, du plus fainéant au
plus courageux, du plus laid au plus beau, du plus con au plus subtil, doit se
remettre en question en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher
son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le
traverser. L’homme vérifié et réparé pourra ainsi construire une nouvelle société
où la lumière aura eu raison des zones d’ombre et de l’arbre qui cache la forêt.
Le spectacle n’a pas été bon.
La pièce a été surjouée. Les comédiens n’ont pas été à la hauteur. Leur
impossible sincérité aura été fort ennuyeuse. Il n’y eut que trois acteurs convaincants :
Le Pen, la femme violée, Ciotti le dissident et surtout Barnier mis en terre en
place de Macron le félon. Cette soirée au théâtre, aura été marquée par la
grande erreur de Le Pen – même si son jeu a été parfait - qui en s’alliant aux fascistes
islamiques puants, a probablement – ou pas - mis fin à sa carrière. Jusqu’à
maintenant c’était le bordel permanent. Maintenant, je crois que je vais bien m’amuser,
surtout que l’enfant handicapé de l’Elysée, le grand coupable, ergote ses
tirades de théâtre, ce soir à la télé. Quand votre vieille télé ne marche plus,
vous la jetez et vous en achetez une qui répond à vos besoins, mais aussi à vos
désirs. Si la Ve République se meurt – elle devrait être morte à l’heure où j’écris
– c’est qu’elle a été inventée par et pour un militaire et que lui seul en
connaissait le mode d’emploi. C’est aussi, parce que des voyous se sont infiltrés
dans ses rouages et y ont cassé la pièce maîtresse, l’opposition implacable
entre le blanc et le noir. Ils y ont mis de la couleur et cela a briser les
courroies d’entrainements. Il faut jeter cette constitution avec tous ceux qui
s’y sont frottés et retourner à la maison en espérant qu’elle n’aura pas explosée.
Si les hypocrites, les menteurs, les charlatans, qui prétendent que la fonction
présidentielle est sacrée – ce qui me fait beaucoup rire – ne veulent pas
destituer l’enfant, c’est au peuple de s’en occuper, mais pas avant d’avoir mis
au point la solution de remplacement pour éviter le retour de Robespierre. Il n’est
pas possible de construire une nouvelle société sur des sables mouvants. C’est
pourquoi je réitère : considérer l’individu comme prioritaire, en
priorité, en l’aidant à pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher
son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le
traverser. C’est alors que la vie pourrait bien s’ériger sur la terre, les yeux
pourraient bien s’ouvrir, les oreilles se déboucher, les paroles prendre un
sens et les roues dentelés s’imbriquer minutieusement dans une copulation
éternelle, effrénée et pensée. Et nous n’aurions plus les spectacles
affligeants de la Comédie de l’Hémicycle et ceux du Théâtre des Pantins de l’Élysée.
Le plus rigolo dans tous ça, c’est qu’on laisse les français choisir, alors qu’ils
ne sont toujours pas capable de comprendre que leur petit doigt n’a pas la même
fonction que leur intestin.
Nr. 1 – »Vor Edens Tor im
Morgenprangen« (Alt) 0:01:00 ∙ Nr. 2 – »Wie glücklich sie
wandeln« (Peri) 0:04:25 ∙ Nr. 3 – »Der hehre Engel«
(Tenor, Engel) 0:06:43 ∙ Nr. 4 – »Wo find’ ich sie?«
(Peri) 0:08:31 ∙ Nr. 5 – »So sann sie nach«
(Tenor, Solo-Quartett) 0:10:46 ∙ Nr. 6 – »Doch seine Ströme
sind jetzt rot« (Chor, Chor der Eroberer, Chor der Inder) 0:11:55 ∙ Nr. 7 – »Und einsam steht
ein Jüngling« (Tenor, Chor der Eroberer, Gazna, Jüngling) 0:14:47 ∙ Nr. 8 – »Weh, weh, weh, er
fehlte das Ziel« (Chor) 0:17:09 ∙ Nr. 9 – »Die
Peri sah das Mal der Wunde« (Tenor, Peri, Chor) 0:19:00 ∙
Zweiter Teil :
Nr. 10 – »Die Peri tritt mit
schüchterner Gebärde« (Tenor, Alt, Chor) 0:25:48 ∙ Nr. 11 – »Ihr
erstes Himmelshoffen schwand« (Tenor, Chor der Genien des Nils, Peri) 0:28:29 ∙ Nr. 12 – »Fort
streift von hier« (Tenor, Peri) 0:31:43 ∙ Nr. 13 – »Die
Peri weint« (Tenor, Solo-Quartett) 0:34:55 ∙ Nr. 14 – »Im
Waldesgrün am stillen See« (Alt, Jüngling) 0:37:15 ∙ Nr. 15 –
»Verlassener Jüngling, nur das Eine« (Mezzosopran, Tenor, Jüngling) 0:39:59 ∙ Nr. 16 – »O lass
mich von der Luft durchdringen« (Jungfrau, Tenor) 0:43:31 ∙ Nr. 17 –
»Schlaf’ nun und ruhe in Träumen voll Duft« (Peri, Chor) 0:47:15 ∙
Dritter Teil :
Nr. 18 – »Schmücket die Stufen
zu Allahs Thron« (Chor der Houris) 0:53:35 ∙ Nr. 19 – »Dem
Sang von ferne lauschend« (Tenor, Engel) 0:56:24 ∙ Nr. 20 –
»Verstoßen! Verschlossen aufs neu« (Peri) 0:59:23 ∙ Nr. 21 – »Jetzt
sank des Abends gold’ner Schein« (Bariton) 1:03:32 ∙ Nr. 22 – »Und
wie sie niederwärts sich schwingt« (Tenor, Chor der Peris, Bariton) 1:07:34 ∙ Nr. 23 – »Hinab
zu jenem Sonnentempel« (Peri, Tenor, Mezzosopran, Der Mann) 1:11:11 ∙ Nr. 24 – »O
heil’ge Tränen inn’ger Reue« (Solo-Quartett, Chor) 1:16:52 ∙ Nr. 25 – »Es
fällt ein Tropfen« (Peri, Tenor, Chor) 1:20:04 ∙ Nr. 26 –
»Freud’, ew’ge Freude, mein Werk ist getan« (Peri, Chor der Seligen) 1:26:17 ∙
Julia Kleiter, Peri ∙
Maximilian Schmitt, Tenor solo
/ Jüngling ∙
Gerhild Romberger, Mezzosporan
solo / Alt solo / Engel ∙
Katja Stuber, Sopran solo /
Jungfrau ∙
Krešimir Stražanac, Bariton
solo / Der Mann / Gazna ∙
La loi martiale du président
Yoon Suk-yeoln’aura durée que quelques heures, le peuple sud-coréen et
ses représentants l’ayant muselé avant de le destituer prochainement. Au même
moment, la France s’apprête a destituer son gouvernement grâce à un parti fort
et justement représenté à l’Assemblée, mais humilié et violé depuis des années
par les pitoyables bien-pensants de la gauche islamiste associée à la gauche
rachitique, et du centre micronique psychopathe. Et le président, un enfant au
psychisme inabouti, n’a toujours pas compris que plus personne ne veut de lui.
Seule sa démission ou sa destitution, peut remettre en marche la machine.
Méfiez-vous de lui. Méfiez-vous de ses caprices. Il est capable des colères
fracassantes des marmots mal élevés et de déclencher l’article 16 qui lui donne
les pleins pouvoirs. Et la dictature sera installée pour un bon bout de temps.
Et si cela ne se passe pas, n’oubliez pas que Mélenchon, la pire des
pourritures, attend son heure. Et son heure viendra. La France aura un dictateur
terrifiant qui partagera les jeux interdits avec son copain et ami, Kim Jong-un.
Je ne sais pas si j’ai raison, mais je sais que nous sommes sur le chemin. L’ignorance
et la lâcheté du peuple de France est à l’image de ses dirigeants. Mais vous
avez le droit de penser que c’est plutôt le contraire. Moi je pense qu’il faut
bruler le logiciel et installer un nouveau, celui qui permettra dans les plus
brefs délais notre retour à la maison. Mais attention ! Quand Cooper a ramené
Laura à sa maison, sous leurs yeux effarés, la maison a explosé. Le vide dans
le noir, l’a remplacé. Alors, réfléchissez et comme le dit si bien Barnier,
prenez vos responsabilités.