mercredi 11 décembre 2024

le puits au fond du jardin • les gros rats des égouts…

 



 

Hier, à l’Élysée, s’est tenu la conférence des terroristes psychopathes qui hypnotisent les français par leur indignité, dont pas un n’a l’idée et le courage de sortir des égouts de Paris tant ils se plaisent dans la vase puante générée par les gros rats poilus d’Hidalgo, conférence sous la présidence de l’enfant qui, assis sur le carrelage rutilant du boudoir de sa maman, tend les bras pour tenter de se mettre sur ses jambes, et qui sert, dans l’instant, de roi à la France. Ceux du bout de la droite et ceux du bout de la gauche n’y était pas alors qu’ils représentent une partie non négligeable du pays, la partie essentielle sans laquelle la machine ne peut tourner. Ces ignorants invertébrés ont pris la décision de ne plus se chamailler comme les petits garçons, pendant que les petites filles jouent à la poupée, et pour cela, de rayer de leur logiciel rayé le 49.3 et la censure, et l’enfant a promis de ne pas dissoudre jusqu’à son départ qui va faire éclater des réjouissances semblables au départ de Bachar el-Assad. Le monde des Bisounours est arrivé. De l’Élysée à Matignon en passant par les Cévennes, on va se bisouter, caresser les dos et plus bas et plus hauts. Le paradis d’Adam et Eve, avant le serpent et la pomme, va devenir réalité. Enfin ! Nous y sommes ! Et parions aussi que très bientôt, grâce aux simagrées et aux foutages de gueules des imbéciles chroniques d’aujourd’hui, le futur successeur d’Henri IV, de Louis XIV et de Napoléon, sera Mélenchon 1e, un dictateur mal-embouché, un vulgaire pattier (un pattier est un chiffonnier) qui va avec l’inquisiteur Bompard et la poissonnière Panot, mettre les femmes sous voiles et les hommes sur genoux. Français réveillez-vous ! Je sais : pour cela, il faut un certain courage et un regard capable de discerner ce qu’il y a derrière l’écran. Il est fort dommage et fort préjudiciable que vous refusiez obstinément de pousser la porte du cabinet de Freud. Vous pourriez y chercher votre miroir, vous pourriez le trouver, vous pourriez vous y regarder, vous pourriez vous y reconnaître et vous pourriez même le traverser. Alors, les insanités évoquées ci-dessus ne pourraient plus être. Les équilibres seraient retrouvés et l’édifice pourrait enfin s’ériger dans la confiance mutuelle et ses rouages s’enchevêtrer. Le manège pourrait tourner jusqu’à la fin des éternités.        

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire