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mercredi 18 novembre 2020

vu à travers le tube • la liberté, rien que la liberté…

La bête immonde à abattre est aujourd’hui Amazon. Le peuple est versatile. Il lui faut sans cesse un coupable. Ce fut l’homme qui battait puis violait puis tuait sa femme. Ce fut les Le Pen de père en fille. Ce fut les terroristes islamiques. Ce fut les immigrés qui venaient battre puis violer puis tuer les femmes et les enfants et les autres probablement. J’arrête ici, la liste est trop longue. Et tout ça, c’est oublié. On examine, on dissèque, on discourt, on consulte, on vocifère : comment tuer Amazon, cette bête ignoble qui met au chômage tous les petits commerces dont les responsables se pendent haut et court ou se jette du haut de la Tour Eiffel. Moi, je ne vois qu’un responsable - un seul - à la détresse des petits commerçants : le Roi de France qui les inonde d’impôts et leur interdit de travailler sous le prétexte d’un virus qui fait sa promenade habituelle. Le confinement a commencé son œuvre de destruction en montant les gens les uns contre les autres. Je le dis depuis des mois. Si j’achète tout ou presque sur Amazon - mais aussi Rakuten - et bien sûr quotidiennement chez Leclerc, c’est que c’est pratique, c’est moins cher, je n’ai pas à subir les grimaces, la mauvaise humeur ou le papotage des vendeuses.deurs. Quel commerçant en ville peut me vendre l’intégrale du Ring de Richard Wagner en coffret vinyle ou un saxhorn alto mi bémol neuf à 475 euros, ou 300 paires de chaussette pour 15,90 euros ? Et puis, et c’est le seul véritable argument : que faites-vous de la liberté déjà tant entamée ces derniers mois ? La seule chose à sauver dans notre démocratie pas encore inventée, c’est la LIBERTE, rien que la LIBERTE !


dimanche 15 novembre 2020

vu à travers le tube • les dépressions et leurs conséquences…

La santé mentale des français s’est considérablement dégradée. Les atteints de troubles dépressifs ont quasi doublé en un mois. Et les services officiels du Roi de France - godillots, médecins, journalistes - ne parlent que de Corne à Virus. Ils ne sont même pas conscients que le véritable danger, celui qui va tout ravager, c’est ce qui commence à se produire. Aux dépressions vont s’ajouter la misère économique, l’écrasement des « non essentiels », la multiplication des pauvres et forcément la révolte dans le sang. Le confinement et son laisser-passer sont les plus grandes aberrations que la France ait imposées depuis son avènement.  Les libertés sont bafouées. Et quoi qu’on en dise, on verra qu’à long terme, elles sont plus importantes et déterminantes que ce misérable virus qui finira bien par se comporter comme ses collègues et qui pourra vaquer en bonne intelligence avec le genre humain.

 

Et voilà que les catholiques - ceux-là même qui ont massacré les protestants en toute impunité - manifestent dans la rue - c’est interdit par le Roi - pour avoir le droit d’assister à la messe et manger le corps de l’homme mort sur une croix - l'anthropophagie est interdite par le Roi -. En France, l’Eglise n’a pas le droit de s’immiscer dans les affaires de l’Etat. Leur action est donc répréhensible d’autant qu’ils se mettent en danger pour leur croyance que même un enfant de cinq ans ne pourrait croire puisque tout le monde sait que Dieu n’existe pas. Mais - exceptionnellement -, je leur pardonne parce que, sans le savoir évidemment, ces gens se battent pour la liberté, la liberté d’aller et venir, la liberté de penser, la liberté de s’exprimer, la liberté de vivre sa vie comme on le conçoit sans recevoir chaque jours les conseils-ordres d’un godillot politique ou journaliste, ou animateur radio/télé, ou médecin ignorant, ou philosophe de caniveaux, ou bonimenteur de foires à puces. Ça sent le roussi et ce n’est certainement pas sans raison.   


vendredi 6 novembre 2020

vu à travers le tube • plus que des sachants… plus de liberté…

En juin 2021, on va donner le baccalauréat à tout le monde. C’est génial l’Education nationale. Une présence assez bien suivie et le diplôme est garanti. Mais cette fois, même les absents pourront l’obtenir. Et pour continuer avec cette géniale Education nationale, son godillot ministre a décidé de couper l’Ecole en deux : 50% à l’école, 50% à la maison, ce qui montre bien son affection pour la devise - sans cesse ignorée - : liberté, EGALITE, fraternité.

 

Les libertés pour lesquels les français se sont battus ces siècles derniers fondent comme neige au soleil. A chaque coin de rue on vous répond Corne à Virus oblige. J’attends avec impatience le temps où nous aurons appris à vivre avec Corne - dans deux, trois ou quatre ans - pour voir la tête des naïfs et des suppôts du Roi de France quand ils verront que même pour aller pisser il faudra une autorisation et un garde armé pour les accompagner

dimanche 1 novembre 2020

le puits au fonds du jardin • il se passe quelque chose…



 

Il doit se passer quelque chose puisque depuis au moins neuf mois, les responsables de l’Etat - Roi de France et godillots rampants - se précipitent ou sont précipités dans les studios radio et plateaux télé, une, deux, trois ou quatre fois par jour, pour répéter inlassablement que la raison est de leur côté et que les autres ne comprennent rien. C’est scandaleux, ignoble, usant et fatiguant. Gouverner c’est prévoir a dit quelqu’un qui n’était pas con. Et pourtant, en France, la prévoyance et le long terme n’ont jamais été à l’ordre du jour. On improvise sans la moindre réflexion en fonction de l’humeur du jour. La société est à terre, pantelante, brisée, sanglante et atrocement souffrante. Les naïfs - largement majoritaire - sont persuadés que leur mise sous les barreaux, en prison de fait, est la solution pour venir à bout d’un virus qui n’est qu’un virus, du terrorisme islamique - avant il était catholique-chrétien -, de la pauvreté, de l’exclusion, de l’injustice et de toutes les violations de l’humanité. Ces mêmes naïfs aiment obéir le doigt sur la couture du pantalon et n’ont jamais su ou compris que seule la liberté est le propre de l’homme. Nous sommes partis pour des mois - voir des années - en captivité et la France oublie, en chœur à l’unisson, 1789 et mai 1968. Les voix que l’on entend parfois, dans les ténèbres, hurlent seules devant la vision du futur : l’esclavage et la mort désignés et enchaînés. Honte à l’homme non abouti dont il reste à peine les débris d’un enfant.    


samedi 31 octobre 2020

vu à travers le tube • réfléchir, comprendre, dire non…

Réfléchir, comprendre, dire non. La mise en prison avec exceptions - une loi avec exceptions n’est pas une loi - de toute une population, pour la deuxième fois, en sachant très bien que la conclusion sera la colère, la violence et la mise à terre des peuples de toutes races, est chose faite. Le plus exaspérant est la mise en cage des familles où les violences et meurtres vont devenir monnaie courante. Briser une société organisée sans en mesurer les conséquences est sans appliquer des mesures compensatoires - le fric n’est pas un mesure compensatoire - est un crime. Dans certains pays le crime est puni par la mise à mort. Les dirigeants de la France auront des comptes à rendre. J’espère - bien naïvement - que la justice saura accomplir son devoir.   


mardi 27 octobre 2020

vu à travers le tube (bis) • vivre libre ou mourir…

Depuis quand les radios et les télés sont-elles réservées aux médecins épidémiologues, virologues et catalogues en tous genres, médecins ignorants qui sont incapables de dire quoi que ce soit sur un virus sensé décimer les populations. Depuis quand ces énergumènes ont-ils le droit de nous faire la leçon jours et nuits alors qu’ils sont incompétents et n’ont qu’une fonction, décimer le virus qui décime, ce qu'ils ne font pas. Ce sont les politiques qui ont - hélas - un mandat de la nation. Ils ont été élus - en trichant bien sûr - pour laisser vivre les gens et ne pas les plonger dans les méandres de la pièce la plus célèbre de l’histoire du théâtre « Le Malade imaginaire » de Molière dont les propos devraient être rappelés. Ce que font en ce moment ces médico-politiciens - ce n’est que creuser la fosse commune qui va ensevelir la quasi-totalité de la population parce qu’elle aura été malmenée et emprisonnée dans d’atroces conditions, alors que jamais elle n’a failli et qu’elle est au-dessus de tous soupçons.  Vivre libre ou mourir. Ce devrait être la seule devise !

vendredi 16 octobre 2020

vu à travers le tube • déni et réalité...

Bardella le lepéniste file le parfait amour avec la petite fille de Le Pen. Et alors ? Il a bien le droit de copuler avec qui il veut. Moi, j’ai été marié 18 ans avec la fille cachée d’Hitler. C’est au bout de ces 18 ans que j’ai compris qu’elle était pire que son père. Et alors ? J’ai divorcé et j’ai retrouvé ma liberté, ma liberté chérie qui est ma seule raison de vivre. C’est pourquoi, dans ce pays où j’ai été né de force, la France, je suis mort avant d’avoir été expulsé de force du ventre de la femme coupable. Je suis ce qu’on appelle couramment un vivant-mort ou un mort-vivant.

 

Les discours du Roi de France - comme les discours de la totalité des femmes et hommes politiques - sont des modèles parfaits pour les étudiants en déni, discipline où l’on dissèque l’objet et ceux qui en font usage. Le Roi est dans le déni de plus accompli et la plus persuasif qui soit depuis celui de Pierre qui avait seulement un R en plus. Le déni est un mécanisme de défense par lequel le sujet refuse de reconnaître la réalité. Et si le Roi refuse de reconnaître la réalité, c’est que lui, lui qui prétend réglementer les pensées et les actions d’un peuple, ne sais pas ce qu’est la réalité des autres, comme vous, vous ne savez pas quelle est ma réalité et comme moi, je ne sais pas quelle est la vôtre. La réalité ce n’est pas ce que vous voyez - du béton, des cases à habitation, des êtres robotisés, des engins volants ou roulants, etc… -, la réalité, c’est l’image que donne la pensée des mouvements ou immobilités nous entourant et la traduction qu’elle fait des paroles des gens qui prononcent des mots insignifiants. La réalité, c’est l’image que notre pensée nous donne du monde. Pour moi, c’est effrayant et effrayant à un tel point que je ne peux que me souhaiter la mort, la délivrance... la liberté des libertés.


samedi 10 octobre 2020

le puits au fond du jardin • on veut la peau de zemmour !



 

Le Monde veut la peau de Zemmour. Il n’est pas le seul. France Inter aussi veut la peau de Zemmour. Sonia Devillers l’a ouvertement réclamée au président du CSA, lors d’un tout récent entretien. Rokhaya Diallo réclame la peau de Zemmour, avec des trémolos dans la voix quand elle s’adresse à Christine Kelly. Daniel Schneidermann aussi veut la peau de Zemmour, mais ce n’est pas nouveau. Le journal Libération veut la peau de Zemmour. Certains Conseils départementaux réclament la peau de Zemmour. Bref, à l’heure où l’on discute du bien-fondé ou non de la chasse à courre, tous les plus « farouches partisans du débat démocratique » sonnent l’hallali et veulent voir la peau de Zemmour leur servir de descente de lit. (causeur.fr)

 

Moi, je veux la peau des censeurs. Moi, je veux que la liberté d’expression soit totale quoi qu’en soit le contenu. Moi, je me fiche de Zemmour mais je ne fiche pas du fait qu’on veut l’empêcher de s’exprimer. Il est vrai que si on inventait la démocratie, je n’aurais pas besoin d’écrire ces lignes et la France entière pourrait dire ce qu’elle veut.  


vu à travers le tube • elle est libre… nous, pas !

200 djihadistes barbus et armés de couteaux à découper les ventres ont été libérés en compensation de la libération de la vieille dame Sophie Pétronin, âgée de 75 ans. Ben quoi ? Il faut y mettre le prix si l’on veut redonner la liberté - seule raison de vivre - à cette remarquable personne qui aura tenu 4 ans dans les geôles de gens peu recommandables, même si elle affirme qu’elle a bien été traitée. Mais ses paroles ne peuvent être prises à la lettre, car, là-dessous, il y a la broyeuse, la machine politique que vous tous entretenez en allant voter. Curieux ce Roi de France, connu pour la mouvance extrême de sa langue de vipère, qui n’a pas prononcé un seul mot dans le micro, à la descente - de l’avion - de la dame ! Nous ne savons RIEN sur cette affaire et nous n’en saurons jamais rien. Mais, Sophie Pétronin est libre. Et c’est bien l’essentiel.

 

Comme il n’y a plus personne dans les trains, la SNCF qui n’aime pas travailler à perte, les laissent au dépôt au mépris du service publique qui n’a pas à tenir compte des décisions criminelles du Roi de France et de sa cour de godillots qui travaillent méthodiquement les cerveaux des français à l’exercice de la soumission absolue avant l’installation officielle de la dictature et en prenant pour prétexte un virus qui se promène tranquillement parmi ses milliards de collègues. Et c’est ainsi que le nombre de voitures s’est multiplié sur les routes de France, comme sous ma fenêtre où le boulevard avec ses dix ronds-points - un tous les cinquante mètres - voit rouler - ou se mettre au point mort - dix fois plus de voiture qu’il ne peut en contenir. Je ne dis jamais : « Saloperie de virus ! ». Je dis toujours : « Saloperie de Roi de France et saloperie de français qui votent pour des Rois ! »


vendredi 9 octobre 2020

vu à travers le tube • cette terre immonde, au bout du rouleau…

 

Et les libertés s’amenuisent. Et les libertés s’évaporent. Et les libertés meurent dans les sous-sols des châteaux des Rois et dans les chambres fortes des méga-multinationales à qui les peuples laissent carte blanche pour prendre le pouvoir. Les quelques méga-riches s’enrichissent encore et toujours plus sur le dos des méga-pauvres qui crèvent doucement et lentement dans leur souffrance ambiante et collée à leur peau, comme la sorcière chevauchante est collée à son balai. Je ne vois aucune pensée pour dénoncer et donner suite à sa dénonciation. Je ne vois aucun esprit vivant proposer et prendre la tête de la révolution dans le sang. Je n’entends que discours insipides, mensonges éhontés, prononcés dans le déni le plus grandiose et applaudis par le peuple avachi, aplati, vide de sang et de sens, qui croit toujours aux Dieux, aux Pères Noël et qui, depuis plus de 100 000 ans, jette tout son espoir sur le Roi qui remplacera le Roi. L’illusion est la grande, l’immense et la seule puissance dans ce monde de morts-vivants. C’est pourquoi, je persiste et réitère : l’homme n’est pas homme tant qu’il n’a pas franchi le stade anal. Et tous les hommes - je n’oublie pas les femmes - en sont encore là. Quelques-uns s’en sont tout de même sorti. Ils ont eu la capacité de comprendre qu’il était impératif de franchir la porte du cabinet de Freud pour sortir de ce stade de l’enfance qui ne peut être capable de trouver le chemin de la maturité, de l’état de compréhension de soi, de lire la carte des rouages des rapports entre notre conscient et notre inconscient et de s’affirmer comme soi et non comme l’objet d’une société falote en voie de disparition.

 

Et c’est pourquoi Corne à Virus me fait bien rire - beaucoup -. Elle n’est qu’une goutte d’eau dans le suicide collectif des crapauds crasseux qui font « croa » - parce qu’ils ne savent rien faire d’autre - sur cette terre immonde, au bout du rouleau.    

mardi 6 octobre 2020

vu à travers le tube • de quel droit ?

La tempête Alex, qui a décimé la région de Nice, me semble mille fois plus importante que cette pauvre Corne à Virus qui mobilise et paralyse l’information depuis plusieurs mois et pour laquelle on entend que conneries et misérabilisme. Qu’est-ce donc cette société qui, au nom d’un virus (il y en a des milliers et plus sur et dans notre corps) - prend des mesures de plus en plus importantes contre nos libertés, des mesures NON justifiées, des mesures que l’on prend pour les criminels en tous genres ? De quel droit me demande-t-on de porter un masque ? Je ne suis ni Zorro, ni un cambrioleur de banques. De quel droit demande-t-on aux gens sinistrés de quitter leur maison alors que leur seul souhait est d’y crever ? De quel droit me prive-t-on de mes concerts et de mes opéras pour annulation, concerts et opéras où j’avais l’intention de me rendre pour continuer de réchauffer mon cœur, d’exciter ma pensée, mon esprit critique et ma curiosité ? De quel droit me considère-t-on comme « sujet » à risque parce que j’ai 76 ans ? De quel droit m’empêche-t-on d’être maître de ma vie, même si je dois en mourir ? De quel droit la société qui, depuis l’aube des temps, n’a jamais réussi à inventer la démocratie, se permet-elle de me donner des conseils, elle qui est moribonde, cadavérique et qui n’a jamais eu la moindre marque de considération et de conscience vis-à-vis de l’homme qu’elle a infectée jusqu’au pourrissement le plus nauséabond ? Enfin, de quel droit la société rejette-t-elle Freud, le SEUL homme qui a compris la pensée, son conscient et son inconscient indissociables, le SEUL homme capable de comprendre les rouages du système humain et d’y apporter une solution pour chacun de ses problèmes ? Décidément, la femme qui m’a pondu est une bien piètre misérable, elle qui aurait dû savoir que mon mode de pensée serait totalement incompatible avec la vie qu’elle m’a obligé à accepter.   


mardi 29 septembre 2020

vu à travers le tube • la terre est plate et au bout on tombe dans le vide…

C’est formidable ! Dimanche les candidats aux postes de sénateurs ont tous gagné. Désormais il y a beaucoup plus d’élus que de sièges pour s’asseoir. Mais personne n’est empêché de sénatorier debout ! La droite et le centre conforte leur majorité, La République en marche limite la casse, les écologistes poursuivent leur percée, le PS et les communistes se renforcent, Le RN sauve son siège, le gros rougeaud Larcher retrouve son poste - c’est comme si c’était fait-.

 

Et pendant ce temps inutile et coûteux, Amnistie International dénonce l’acharnement judiciaire despotique du Roi de France contre les manifestations et les manifestants dans son pays, Roi de France qui - comme à son habitude - préfère se mêler et soi-disant régler les problèmes des pays étrangers - ce qui va bien un jour nous retomber sur le nez - en allant narguer, chez lui, le gouvernement biélorusse, en soutenant ouvertement son opposante, comme s’il n’avait pas assez à faire avec la France qu’il a mis en décrépitude et qui est entrain de crever sous les lois stupides et néfastes qui tombent toutes les dix minutes.

 

Et pendant ce temps, Sibeth ou Si-bête qui n’en n’est pas à sa première, traite les français d’acculturateurs scientifiques ce qui est le comble venant de la part d’une championne de l’ignorance, surtout que je ne suis pas sûr qu’elle sache ce que cela veut dire puisque cela ne veut rien dire.

 

Comme le dit si bien Emma : « La terre est plate et au bout, on tombe dans le vide ! »