Agnès,
femme sublime dans l’ignorance des contractions, des doutes, des perversions, des
narcissismes les plus crasses, gomme les garçons en habit qui ne parviennent
pas à la jeunesse qui se drape dans le faux tableau du langage possible sans
l’expliquer.
La dernière volonté du Roi de
France - la volonté du Roi est un ordre - est de créer des centaines, voire des
milliers, de vaccinodromes pour injecter aux millions de français la dose qui
va sauver le monde comme jésus - un des bâtards de ces Dieux fantasmagoriques -
est monté sur une croix pour s’y clouer afin de sauver toutes les créatures de
l’humanité ce qui nous a amenés au cataclysme-tsunami de toutes les sociétés.
La dernière fois qu’on a poussé des milliers de gens dans un stade et qu’on les
a pressés comme des sardines à l’huile, c’était pour les mettre dans des trains
composés de wagons à bestiaux à destination de camps de concentration. Je ne
compare pas. Je ne fais que faire fonctionner ma pensée, ce qui est le propre
de l’homme. La pensée des gens de pouvoir est un puits de confusions, de contre-sens,
de ronds-points devosiens, qui n’a qu’une trajectoire : le pouvoir toujours
plus haut, toujours plus contraignant, toujours plus solide pour assujettir et
contraindre les foules à l’obéissance la plus absolue. Obéir à ces individus,
quelques soient leur grade - du petit maire au grand Roi - est un acte lâche,
ignoble et contre-nature. Aujourd’hui, ce n’est plus notre vie qu’il faut
sauver, mais notre liberté : celle de vivre comme celle de mourir.
Eileen Farrell "Un bel dì, vedremo" from Giacomo Puccini's
"Madama Butterfly" on The Ed Sullivan Show on September 20, 1959.
Eileen Farrell and the New York Philharmonic Orchestra under the direction
of Leonard Bernstein, performing the Act IV aria from Ponchielli's "La
Gioconda".
Elleen Farrell sings Aida's aria with the Boston Pops Orchestra under the
direction of Arthur Fiedler in this performance from July 26, 1974 in Boston.
Richard Wagner, Tristan et Isolde, Act II (complete) from Symphony Hall in
Boston (April, 1972). William Steinberg is the conductor with James King and
Eileen Farrell in the title roles.
Les vagues de moralistes
explosent à chaque coin de rue et aussi dans les radios, dans les télés, dans
les internets et aussi dans la tête de ma voisine de palier. Le « fais pas
ci, fais pas ça » est devenu la pensée unique qui submerge toutes les
autres et surtout les deux essentielles : donner à chacun la nourriture du
ventre parallèlement et également avec la nourriture de la connaissance, ce qui
n’est toujours pas à l’ordre du jour comme si se nourrir et savoir étaient le poison
de l’humanité. De génération en génération nous (nous) reproduisons sans nous
poser la moindre question et nous nous réconfortons dans la triste robotique
des objets et des pensées. L’homme.femme n’existe plus même s’il n’a jamais
existé. Nous écoutons et croyons les immondices des sinistres imbéciles qui ne
sont que des machines à tracer des portées et qui ignorent dans l’ignorance la plus
absolue l’identité de l’humain parce qu’ils ignorent scandaleusement leur
propre identité. C’est pourquoi aller voter est un leurre, un danger
irréversible vers la pire des dictatures vers laquelle nous avançons à pas de
géant. Le Roi de France est un dictateur comme l’étaient les précédents parce
que le peuple, les gens, comme dit Méluche, continue de croire comme leurs ancêtres
- système de reproduction - que seul un homme.femme, Dieu en personne, pourra
sauver l’insauvable qu’est la race humaine. La seule lumière au bout du noir du
tunnel sans fin ou du noir du trou sans fin du puits au fond de mon jardin, pourrait
être Freud si l’on permettait à tout à chacun de pousser la porte de son
cabinet où s’impose la liberté dans sa propre définition : être soi et l’assumer
contre vents et marées quelle que soit la puissance extrême du tsunami qui vocifère
à l’extérieur. Ne plus reproduire et réaliser son rêve restent les seules
raisons de vivre sa vie selon ce que nous sommes. Les restes ne sont que pestes
et choléras.
Déguisés en tournesols, gorilles ou encore en médecins, ils étaient 6 500,
hier à Marseille, à s’amuser dans les rues. Il paraît qu’ils étaient jeunes et
sans masque. Et ce n’est qu’en fin de journée que la police a chopé 7 - SEPT -
de ces malotrus. Si ces gens avaient commis un crime, il fallait les encercler
et les garder dans cette situation un mois ou plus en maintenant le cercle bien
fermé. Était-ce des contrevenants méprisant les lois du Roi de France ou des
gens sensés exprimant leur colère légitime ? Je penche pour les deux
hypothèses et je leur apporte tout mon soutien même s’ils n’en ont rien à
faire. Moi, j’ai vu tout l’après-midi et jusqu’à 23 heures des trains bondés
entrer en gare - j’habite en face - et en sortir et des queues interminables de
voitures venues accueillir les innombrables passagers ou les accompagner. Je n’ai
pas vu la police, police que je n’ai pas vu depuis un an. De ma fenêtre, où je
vois la vie plus vraie que nature, je n’ai - aussi - jamais remarqué qu’un
couvre-feu était en vigueur. Les crissements des pneus et les rires des
passants ne cessent jamais avant 22 ou 23 heures. Je n’ai jamais vu la police. C’est
assez réconfortant de voir qu’il y a encore des gens qui ne mettent pas le
doigt sur la couture de leur pantalon. Vivre libre et mourir libre ne peuvent être
que la seule condition acceptable de la vie. Pour ceux qui vont m’assassiner
parce que je soutiens des gens qui ont ignoré Corne à Virus, défoulez-vous sur Bachelot,
une des godillotes-ministres du Roi de France, qui est allé samedi dans un théâtre
parisien, qui a baisé moult amis et qui a attrapé et transmis le virus qui fait
l’actualité.
Bonnes nouvelles. Après 26
ans de sévices faits aux hommes - qui n’ont aucune association sur la place
publique pour les défendre - et aux femmes, France 2 annonce arrêter « Les
Z’amours » émission de débiles pour les débiles fracassés. Quoi de plus
réjouissant en ce premier dimanche de printemps ? Bachelot, la godillote
ministre parmi les godillots.llotes ministres du Roi de France, a été mis en
quarantaine par Corne à Virus. Je n’ai jamais compris pourquoi on appelle dizaine
une quarantaine. Encore une débilité supplémentaire à l’actif des français.
Quant à Bachelot, quoi de plus réjouissant que cette excellente nouvelle ?
Mauvaise nouvelle. Une
centaine d’élus - par qui et pour quoi ? - demande le vote dès 16 ans,
considérant qu’à cet âge on est adulte. Quand on voit qu’à 60, 70, 80, 90 ou
100 ans on est toujours adolescent attardé quelle que soit sa condition
sociale, il y a de quoi se poser des questions sur cette opportunité. Et si, au
lieu de se chipoter sur les âges, on inventait la démocratie qui permettrait à
chacun de se développer individuellement et pleinement en apprenant à penser, à
regarder, à écouter et à décider ce qui convient pour vivre ensemble ?