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https://fr.wikipedia.org/wiki/Anita_Cerquetti
"Ebben! ne andrò lontana"; LA WALLY; Alfredo Catalani
Anita Cerquetti--soprano
LIVE 1956
Verdi: Aida - "Qui Radames verrà!... O Patria mia" ·
Anita Cerquetti, soprano ·
Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino ·
Gianandrea Gavazzeni, conductor
Anita Cerquetti sings Vissi d'arte from Puccini's Tosca.
1956
"Tu che la vanità"; DON CARLO; Giuseppe Verdi
Anita Cerquetti--soprano
LIVE 1956
Autres anniversaires…
Trois personnalités appellent à la démission collective des évêques français. Donc, certains cathos s’apercevraient - avec 2000 ans de retard - que leur secte-religion ne serait qu’une marmite de pervers. Les curaillons de toutes dimensions ont toujours été dans le flou le plus absolu, inventant tout ce que peut contenir leur imagination pour régner et humilier. N’est-ce pas le pouvoir catho qui a inventé la question ordinaire et la question extraordinaire, deux questions toutes aussi ignobles que les méfaits d’Hitler, mais on n’en parle pas parce qu’il ne faut pas en parler. On ne parle pas non plus de Freud parce qu’il est dangereux pour l’homme ignorant de nature. Et pourtant, c’est bien en poussant le porte de son cabinet que vous pourrez chercher votre miroir, le trouver, vous y regarder, vous y reconnaître et le traverser. C’est là qu’est l’issue. Mais comment pourriez-vous le savoir, puisque votre ignorance vous interdit d’essayer.
J’ai beau tirer le corps d’Agnès à moi, elle finira plus froide qu’un mot sans monde. Je suis fatigué. Elle a soulevé trop d’idées. Je tombe de soleil. Mourir lui fera du bien.
haG
d’après Aurélie Loiseleur
Vieux jeux
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Giuseppe_Verdi
Giuseppe Verdi, Requiem
Ilva Ligabue, soprano
Grace Bumbry, mezzo-soprano
Sandor Konja, ténor
Raffaele Ariè, basse
Philarmonia Orchestra
Carlo Maria Giulini, direction
Londra 1964
Gieuseppe Verdi, Falstaff
Falstaff - Giuseppe Taddei
Fenton - Francisco Araiza
Ford - Rolando Panerai
Dr. Cajus - Piero De Palma
Bardolfo - Heinz Zednik
Pistola - Federico Davià
Alice Ford - Raina Kabaivanska
Nannetta - Janet Perry
Meg Page - Trudeliese Schmidt
Mistress Quickly - Christa Ludwig
Chorus - Wiener Staatsoper
Wiener Philharmoniker
Herbert von Karajan , conductor-
1980
Simon Boccanegra........Leonard Warren
Amelia............................Astrid Varnay
Gabriele Adorno............Richard Tucker
Jacopo Fiesco...............Mihály Székely [Last performance]
Paolo Albiani.................Giuseppe Valdengo
Pietro..............................Lorenzo Alvary
Maid...............................Maxine Stellman
Captain..........................Paul Franke
Conductor......................Fritz Stiedry
Metropolitan Opera
Matinée Broadcast 28th January, 1950
Autres anniversaires…
https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/
Il y a encore quelques paumés qui vont aller voter alors que le tour est joué. Après les successions de Rois, les Rois continueront à se succéder. Pour 2022, Macron 2 succédera à Macron 1. Pour 2027, Philippe 1 succédera à Macron 2. Certains disent que Macron 2 et Philippe 1 sont différents. Moi, je les vois copier-coller. Et toujours pas d’invention de la Démocratie aux Horizons. Après sa montée vertigineuse Zemmour va s’écraser au sol. Les Bertrand, Mélenchon, Pécresse vont disparaître de Wikipédia. Janot va errer en haillons d’écolo tapé et prêcher la parole bien comme il faut dans le désert de sa pensée vide. Ils auront tous réussi à tout détruire. L’espoir serait encore permis si l’homme arrivait à franchir la porte de l’adolescence et souvent de l’enfance et s’il osait pousser celle de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Mais ce n’est pas possible. Son impuissance et son ignorance sont ses seules marques de fabrique.
J’aime le flou de Suzanne, je l’aime de chaudes larmes au travers du miroir perdu en cette seconde dévorée comme mon corps être fou.
haG
d’après Tom Saja
Amours
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Camille_Saint-Sa%C3%ABns
Camille Saint-Saëns Symphony No 3 in C minor, Op 78 'Organ'
1 Adagio - Allegro moderato - Poco adagio
2 Allegro moderato - Presto - Maestoso - Allegro
Thierry Escaich, organ
Orchestre de Paris
Paavo Järvi, conductor
Live recording. London, Proms 2013
Jian Wang plays Saint-Saëns Cello concerto with Lyon orchestra conducted by L. Slatkin.
Camille Saint-Saëns Samson et Dalila (Sansone e Dalila) Printemps qui commence (in Italian; O aprile foriero)
Dalila - Irene Minghini-Cattaneo
Unknown orchestra
John Barbirolli, conductor
1929
Camille Saint-Saëns - SAMSON ET DALILA “Mon coeur s’ouvre à ta voix...” (Duo act. 2)
Mezzosoprano italiano FIORENZA COSSOTTO (Dalila)
Tenore francese GUY CHAUVET (Samson) Direttore
Direction, GEORGES PRÊTRE
Paris Théâtre dell’Opèra
15.11.1975 - live.
Autres anniversaires…
J’ai viré la facebookienne qui ce matin a insulté Freud. Les ignorants n’ont pas de place parmi mes relations.
Marine se défait comme ça se défait. Ses corps tombent comme les grandes machines recouvrent les nappes. Abrutie par ses cheveux défaits elle s’enroule comme elle n’a pas su ouvrir la bouche. C’était avant sa naissance, avant que ses cheveux poussent.
haG
d’après Bérénice Biéli
Norma
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois-Adrien_Boieldieu
François-Adrien Boieldieu, Le Calife de Bagdad
Ouverture 00:00
Duo: Allons un peu de confinance (Zétulbé, Késie) 07:35
Air: De tous les pays (Késie) 11:59
Terzetto: Voyez, elle est toute interdite (Zétulbé, Lémaïde, Isauun) 19:05
Romance: Depuis le jour (Zétulbé) 23:16
Chorus: C'est ici le sejour des graces 26:46
Air et ensemble: Pour obtenir celle qui'il aime (Isauun, Zétulbé, Késie, Lémaïde, Un juge) 30:54
Final, Marche, Choeur Et Morceau D'Ensemble: Au choix de votre maitre (Isauun, Zétulbé, Késie, Lémaïde) 38:00
Jean Giraudeau: Isauun
Christiane Eda-Pierre: Zétulbé J
ane Berbié: Késie
Jeannine Collard: Lémaïde
Jean-Paul Vaquelin: - Un juge
Orchestre Lyrique de l'O. R. T. F.
Conductor: Louis Fourestier
François-Adrien Boieldieu, La Dame blanche (No. 8 – Cavatine : « Viens, gentille dame »)
Michel Sénéchal, ténor
Orchestre Symphonique de Paris
Pierre Stoll, direction
Paris, 1961
François Adrien Boieldieu - Concerto in Three Tempi for Harp and Orchestra (c. 1800)
I. Allegro brillante
II. Andante lento
III. Rondeau. Allegro agitato
Anaïs Gaudemard, harp
Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie
Leo Hussain, conductor
Autres anniversaires…
A Centrale Supelec - cela aurait pu être Superette - on harcèle et viole femmes et hommes comme on mange du petit pain. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas la seule école. La seule question que pose toutes les presses est de savoir comment aider les victimes à parler. Moi, la seule question que je pose est de savoir pourquoi à Centrale Supelec on harcèle et viole en toute impunité et pourquoi, par voie de conséquence, le directeur de l’établissement - dont le travail est de connaître sa maison - n’est pas en prison. Quand on sait que les journées d’intégration existent toujours et avec la complicité des directeurs d’établissements, alors que la loi les interdit, il y a de quoi se poser les véritables questions sur la stupidité de notre société et l’infamie de notre système politique où la raison du plus fort, du plus pernicieux, du plus pervers, est toujours et encore la meilleure. Et bientôt, lors de la prochaine pseudo-élection royale, alors qu’on sent un remue-ménage inhabituel, vous allez voir que rien ne va changer. J’en suis persuadé.
Les explorations menées sur Géraldine s'étant avérées infructueuses, David L. et Alfred H. ont souhaité ouvrir de nouvelles pistes concernant l’excentration sectorisée qui projette en pleine nuit le corps qui n'avait pas encore été exploré au lavoir à charbon.
haG
ladepeche.fr
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Ir%C3%A8ne_Jaumillot
Irène JAUMILLOT, accompagnée par l'orchestre de Raymond LEFEVRE, chante la valse de Johann STRAUSS "Aimer, boire et chanter"
16 mars 1967
Tony Poncet, Irène Jaumillot - Duo d'amour de Madame Butterfly, opéra de Giacomo Puccini
Tony Poncet et Irène Jaumillot chantent La Tosca, O de beautés égales, Le ciel luisait d'étoiles, duo et scène finale acte III, de Giacomo Puccini
Jesus Etcheverry, direction
Irène Jaumillot - La Bohème - On m'appelle Mimi, de Giacomo Puccini
Autres anniversaires…
https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/
Il est évidemment que nous allons doucement - ou très vite - vers l’achat de l’enfant par n’importe qui et n’importe quoi. Les parents ont vécu. L’enfant n’aura bientôt plus besoin d’un mâle et d’une femelle pour voir le jour. La science-médecine - le dictateur des temps modernes - est bientôt capable de mettre en rayon des noirs, des blancs, des rouges, des verts, des génies, des idiots, des marmailles à deux bras et deux jambes, mais aussi à trois pieds et quatre demi-mains. Et ces monstres virtuels pourront être achetés en libre-service par des hommes, des ânes, des ados, des porcs, des ânes, des kangourous, des androïds, des applications, des cookies, etc… Ainsi va l’humanité, dans le trou noir au fond du puits au fond de mon jardin.
L’enfant devrait être le fruit d’un couple homme/femme qui a le désir de créer une vie pour la rendre heureuse avec l’aide d’une boite à outils. Et seul l’équilibre psychique du couple peut accomplir cet exploit. Ce qui fait que la naissance devrait être une chose rare. C’est à la femme de s’occuper de l’enfant et à elle seule, l’homme étant là pour assurer l’intendance et surtout et avant tout montrer à l’enfant qu’il aime et chérit sa mère sans ambiguïté. Confier l’enfant aux grands-parents ou à la nounou ou à la grande sœur ou au grand frère est tout simplement un crime parce que dès la naissance l’enfant à besoin de repère et le seul qu’il peut s’approprier, c’est celui de la chair de sa chair. Ceux qui pensent le contraire sont dans le déni comme est dans le déni la société tout entière.
C’est pourquoi je le réécris. Celui qui n’a pas poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, ne peut comprendre pourquoi il est sur terre et ne peut - en conséquence - que participer à la chute de l’humain dans mon jardin où se trouve mon puits dont le fond est noir comme une nuit sans lune.
S’il n’y avait pas Zemmour, on ne parlerait que de la pédophilie dans l’Église qui existe depuis qu’existe l’Église comme elle existe ailleurs depuis qu’existe l’homme. Les déviances sexuelles qui polluent toutes les sociétés quelle que soit leur identité ne disparaîtront pas d’un coup de baguette magique en condamnant et en punissant. C’est l’homme qu’il faut soigner si cela est possible dans la société corrompue, perverse et aliénante dans laquelle nous survivons. Pour changer la société, il faut changer la pensée de l’homme qui n’est qu’une marionnette lâche et peureuse. Il n’y a pas de héros. Tapie n’est pas un héros. Le soldat qui meurt au le champ de bataille n’est pas un héros. Zorro n’est pas un héros. Le courage n’est pas héroïque. Il n’est qu’un passage dans l’inconscience. L’homme est faible. Il faut le piquer pour qu’il reste en vie. Le reproche que l’on peut faire à l’Église n’est pas qu’elle abrite des pédophiles, mais qu’elle donne des leçons de morales au nom d’une Inexistence polluante et criminelle et qu’elle ne respecte pas ses propres règles. Quoiqu’il en soit et quel que soit le sujet, pour que l’homme devienne homme, il doit pousser la porte du cabinet de Freud, y chercher son miroir, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Ainsi entamera-t-il un processus de dépollution, de défabrication, pour retourner à sa fondamentale et retrouver son authenticité. Cette nouvelle campagne électorale est un monstre d’absurdité, un monstre d’ignorance, un monstre d’excréments, suivi par des millions de gens inconscients.
