L’affaire de la joggeuse qui était - c’est ce qui a été dit - dans une sale affaire devient son affaire qui est probablement loin d’être propre. Je ne connais pas les conclusions, mais je ne peux m’empêcher de penser que pendant cette apparente fausse disparition, on a continué à ressasser le mépris de l’homme, ce violeur de femme qui doit être exclu de la planète. Et si c’était un coup des stupides #MeTooBanlanceTonPorc pour enfoncer encore un peu plus - est-ce encore possible ? - le vilain mâle qui a un très vilain bâton que la femme ne saurait voir. Pourtant, lorsque hier matin j’ai pris mon café avec mon pote Dieu, il m’a dit : « J’ai créé l’homme avec un bâton extensible pour qu’il soit en mesure de combler la femme que j’ai créé avec du désir. Mais je vois bien que je me suis trompé. La fiche qu’on introduit dans la prise provoque toujours une impulsion électrique qui va souvent jusqu’à la destruction. Même ma fille Marie ne me parle plus. Pourtant, je lui ai donné un bel amant avec des ailes en place du bâton, ce qui n’a rien changé. En fait, je vois que l’homme et la femme sont incompatibles. Heureusement que j’ai réussi les plantes vertes et les serpents. » J’ai dit à mon pote Dieu que je ne lui en voulais pas, mais que puisqu’il est capable de créer, se serait sympa qu’il se décrée. L’homme pourrait alors assumer librement sa condition d’homme.
Vous avez entendu ce matin sur Inter la cheffe d’un mouvement féminin a qui la station a donné carte blanche pour trainer Zemmour dans la boue et bien pire. Elle a dit que celui-ci était un violeur, un fasciste, un gougeât, un hitlérien, une sous-merde innommable qui ne pouvait avoir le droit d’être en vie. Et son discours est passé comme une lettre à la poste, sur une radio payée par les français. Ce sont des bons bougres les français, surtout de bons et gros imbéciles.
PS : Je ne vote pas Zemmour. Je ne vote pas.