Le Roi de France,
l’enfant immature, fait son caprice. Il s’agace de la nullité de son gouvernement
qu’il a précautionneusement choisi et qui n’obtient jamais les résultats qu’il
exige. Pour qu’il y ait résultats, encore faut-il qu’il y ait sujets et
développements. Hors, à part le paraître, chez le Roi, il n’y a que vide, vide
abyssal hors du monde des soi-disant vivants qui peuplent cette terre depuis l’extinction
des gaulois. Le Roi veut du bon sens dans la tenue des collégiennes. Les
français qui pensent, eux, veulent du bon sens dans leur vie, bon sens qui
exclu tous chefs grands et petits, tous donneurs de leçons dans tous les
domaines et une liberté absolue dans leur pensée et dans leurs actes. La
présence d’un Roi à la tête d’un pays est une erreur grave qui ne peut que mener
ce pays au fond du puits. Pour ma part, et parce que je pense, j’attends
toujours la création de la démocratie, déjà réclamée par les gaulois avant l’arrivée
du dictateur César. Ayant déjà beaucoup vécu, je veux mourir libre et que plus
jamais on ne m’emmerde avec Corne à Virus et Playliste de France Inter.
Désormais, je vis avec Isolde, Elsa, Sieglinde, Eva, et le dimanche je vais
prendre le café chez Wotan qui me raconte ses aventures avec les mortelles. C’est
jouissif, piquant et hilarant. Ma fin de vie serait un paradis s’il n’y avait
pas les autres.
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