Et le Roi de France va remettre ça ce matin. Corne à Virus - qui prend une ampleur considérable, faramineuse, monstrueuse, va-t-il dire (et c’est archi-faux) - va l’« obliger » à renforcer considérablement, faramineusement et monstrueusement sa dictature dictatoriale de jeune petit prétentieux qu’il a instaurée à la suite du vote des gros cons de français qui n’ont toujours pas compris que voter c’était désigner son bourreau. Le ridicule - qui ne tue toujours pas - est à son paroxysme et jamais de mémoire de français et de gaulois, le pays n’est tombé aussi bas. Le moment est propice à la révolution impérativement nécessaire, à cette révolution qui mettra fin à tous les pouvoirs de l’homme sur l’homme, à la fin de toutes les lois illégales et liberticides, à la fin de toutes les inégalités sociales et intellectuelles. L’homme ne peut être maître que de soi-même à condition d’en connaître les portes et les chemins. Ce n’est surtout pas la politique qui va le propulser à l’âge adulte - denrée si rare aujourd’hui qu’on n’en voit même pas l’ombre de l’ombre de son ombre -, mais seules les thérapies que Freud a exploitées et offertes au monde. Ce que vous voyez, ce que vous entendez, ce que vous sentez n’est pas ce que vous voyez, ce que vous entendez, ce que vous sentez. C’est derrière les choses que sont les choses. Corne à Virus à bon dos. C’est le cerveau et la pensée humaine qui devraient être à l’ordre du jour. Hélas, trois fois hélas, ce n’est pas pour demain.
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