Ce matin, j’aurais souhaité écrire un long texte sur le fait divers Corne à Virus et expliquer - selon moi - pourquoi le Roi de France a placé le peuple en hystérie collective pour établir sa dictature. Mais cela ne m’est pas possible puisque la moitié d’entre vous est recroquevillée dans le coin le plus sombre de sa cave, mort de trouille, et l’autre moitié est déclarée morte alors qu’elle vit sa vie de morte-vivante. N’ayant plus d’interlocuteurs, je renonce. Demain, je vous parlerai de l’homme masqué qui a terrorisé Mozart qui ne s’en ait jamais remis. Je sais. Vous vous en foutez ! Moi, je me fous que vous vous en foutiez...
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