Qui va couper la langue de Véran ? Qui va faire taire ce bavard intarissable qui n’a que des clous rouillés pour arme, clous qu’il enfonce chaque jour et à toutes heures dans les chairs vives des français morts-vivants ? Il n’exclut pas un troisième confinement ce qui signifie que le retour en prison est déjà acté par le Roi de France qui s’emploie à traficoter les épreuves du bac en raison d’un virus qui mute et qui deviendrait de plus en plus dangereux. Ce virus aura eu raison de toutes les raisons. Les pensées sont fissurées, décérébrées, désossées, cassées et gisantes dans leur sang noir et gluant. La mort est à l’œuvre et nous assistons au triomphe de l’inintelligence, de l’absurdité, le l’inconstance et de l’ignorance de l’homme, seul animal sur terre qui aura marché volontairement à reculons depuis l’aube des temps. Et pourtant, il y a quelques décennies, un homme voyant et discernant a passé sa vie à élaborer une manière différente de concevoir la complexité du circuit électrique de la pensée de l’homme et à étudier son rapport intime avec son double, phénomène du rapport conscient-inconscient qui sont deux éléments bien distants et bien différents et pourtant étroitement liés, deux en un. Alors que quelques-uns de ses disciples appliquent encore ses théories avec un succès indéniable, cet homme - Sigmund Freud - est rejeté de toutes parts, par bêtise et par peur. Aujourd’hui, le père de la psychanalyse est le seul recours à la destruction du monde. Pour guérir la société, il faut commencer par rendre à l’homme toutes ses facultés, car c’est bien l’homme qui doit la composer et non ces enfants et adolescents attardés qui l’envoie directement et violemment dans le mur.
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