Le confinement sera très serré. Comme le café. Le verbiage politique est toujours politique parce qu’à double sens, sans sens, non-sens. Pourquoi pré-annoncer cette nouvelle atteinte à nos libertés sans en donner le contenu précis ? Pourquoi distiller par petites touches toutes ces lois liberticides qui font de nous des moins que rien ? Maintenant que nous sommes réduits à de simples poupées mécaniques, les maîtres du monde peuvent s’en donner à cœur joie en attendant le réveil de Chucky. Alors l’heure de la vengeance sonnera et les tout-puissants seront balayés et châtiés comme cela aurait dû l’être depuis des siècles et des siècles. S’il est temps d’agir, le temps de la pensée doit venir et dominer. Ici on massacre un adolescent, ici on dénonce un innocent, ici on jette une vieille femme à la rue, ici on pervertit un bébé, ici on s’agenouille devant un Roi enfant après s’être agenouillé devant un Dieu inventé de toutes pièces. La folie du monde est à son apogée. Cessons de regarder devant. Regardons à l’intérieur. Regardons notre propre putréfaction et posons-nous des questions. C’est chaque homme, chaque femme, chaque enfant, qu’il faut refaçonner pour leur redonner leur identité originelle. Et après nous verrons bien. Cette victoire sera déjà sans pareil.
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